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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 23

La bourgeoise et le marabout - Chapitre 23



La routine est le cancer des couples surtout quand on a, comme François et moi, déjà plus de trente ans de mariage. Je ne sais nullement s’il a des maîtresses au ministère de la culture, peut-être de jeunes stagiaires ou bien des secrétaires matures. Je ne le sais pas et je m’en moque ! De mon côté, même s’il me baise régulièrement, m’organise de belles sorties libertines et me partage maintenant avec mon marabout, je prends plaisir à avoir de temps en temps quelques aventures extraconjugales qui me font découvrir d’autres horizons et m’obligent à faire attention à mon régime, ma silhouette et mon attrait. Après cette seconde séance de rééducation périnéale où j’ai été prise par François et Monsieur Coulibadou, j’ai décidé de retourner faire un petit tour à Pigalle, quartier qui m’excite tout particulièrement. En fin d’après-midi, j’ai donc mis un petit mot à Monsieur Robert lui annonçant ma venue le lendemain en fin d’après-midi « De passage dans le quartier vers 18h30. Espère que votre boutique sera encore ouverte. » Sa réponse ne se fait pas attendre « Je suis impatient ! Je vous organise essayages privés… »

Le lendemain il fait beau et c’est simplement vêtue d’une légère robe avec fleurs avec un petit gilet assorti que j’arrive à la boutique de Monsieur Robert à l’heure prévue. J’entre, il est là derrière son comptoir. Il me fait la bise et me dit qu’il ferme sa boutique car il ne souhaite pas que je sois dérangée. Il passe devant moi et me dit

— Suivez moi, nous allons au premier étage que vous connaissez bien. Il y a plus de choix.

Une fois arrivées au niveau supérieur, deux hommes sont là. Monsieur Robert ajoute en me souriant

— Je crois que vous connaissez mes amis Eric et Pierre. Ils étaient déjà là lors de votre dernière visite.

Les deux hommes viennent vers moi et me font la bise à leur tour. Je dois avouer que la situation n’est pas pour me déplaire car j’ai de gros penchants exhibitionnistes. Monsieur Robert me guise vers l’une des cabines d’essayage où il a déjà préparé quelques tenues à mon attention. Ma robe est rapidement retirée, dessous je ne porte qu’un petit string et un soutien-gorge. Je retire ce dernier avant d’enfiler une jolie robe ultra-courte en skaï noir. Je sors de la cabine et fais quelques pas dans la pièce. Les trois hommes me couvent du regard, ils sont tous les trois assis sur de petits tabourets. Je m’approche et fais quelques mouvements devant eux pour qu’ils me voient sous toutes les coutures. Monsieur Robert m’attrape par le bras et m’attire à lui. Ses mains se glissent sous la robe et il remonte jusqu’en haut de mes jambes. Ses deux copains se sont débraguettés et se branlent lentement en regardant leur copain descendre mon string en bas de mes jambes puis me le retirer. Avant que ses doigts s’infiltrent dans ma fente, je lui échappe et me réfugie dans la cabine.

Je sais que les trois hommes sont déjà bien excités et je le suis autant qu’eux. Je décide donc d’enfiler la combinaison noire que Monsieur Robert a préparée. Elle me va comme un gant et les deux trous au niveau de la poitrine s’adaptent parfaitement à mes seins qui pointent fièrement. A l’entrejambes, la fente dans le vêtement laisse parfaitement accessibles mes deux orifices. Je mets mes escarpins à talons hauts et je franchis le rideau qui me sépare des trois mateurs. Je marche lentement vers eux en bombant le torse pour faire ressortir mes seins. J’ondule de la coupe, je me déhanche exagérément et je m’approche des trois hommes. Tous les trois ont la queue à l’air et je me mets à genoux devant Eric. Je me penche lentement vers son bas-ventre, joue avec ma langue sur son gland tout en m’emparant de la queue de Pierre de ma main droite. Je commence à sucer le premier tout en branlant le second. Monsieur Robert vient se positionner derrière moi et il me dit

— Hélène, cela fait plusieurs fois que vous venez faire la salope dans mon magasin mais je n’ai encore jamais pu profiter de vous. Aujourd’hui enfin, je vais vous prendre. Quel bonheur !

Je glisse ma main libre entre mes jambes, guide son gland vers ma chatte et lui réponds

— Je sais que vous m’avez matée à chaque fois que je suis venue. Maintenant vous pouvez en profiter. Je suis toute à vous !

D’un coup sec, sa queue me pénètre et il se met à me besogner avec vigueur. J’aime quand on profite ainsi de moi, que l’on me baise juste pour le plaisir et pour se soulager. Bien prise par cette queue virile, je m’applique sur celle que j’ai en bouche et Eric jouit rapidement. A peine ai-je avalé tout son jus que Pierre prend la relève. Il a un énorme gland et sa queue est très épaisse. Ma langue s’enroule autour de cette nouvelle tige dont j’espère bien extraire toute la sève.

Monsieur Robert se retire de ma chatte et c’est maintenant sa langue qui vient se glisser entre mes fesses. Le coquin sait y faire et je comprends vite qu’il a l’intention de me visiter l’autre orifice. Cela n’est pas pour me déplaire, une salope doit assumer ! Une fois que je suis bien préparée, son gland se positionne et, par petits coups brusques, se glisse dans mon petit cul. Avec délicatesse au début, puis avec plus de fougue dès que le conduit est bien dilaté, il me besogne en levrette. Tandis qu’il me serre bien aux hanches pour me maintenir en place, je tète avec gloutonnerie la queue de Pierre. Eric, bien que vidé, s’est glissé sous moi et sa bouche s’active sur ma chatte délaissée par la bite de Robert. Je ne sais nullement si les trois compères ont l’habitude d’uvrer ainsi avec les salopes qu’ils rencontrent mais ils font cela avec application. Au bout d’un bon quart d’heure, Monsieur Robert se répand dans mon fondement tandis que Pierre me délivre en bouche de longues rasades de semence. Je fonds sous la langue d’Eric qui recueille en bouche le nectar de mon plaisir intime. C’est repue et trempée de partout que je reprends le métro pour rentrer chez moi.

Lorsque je sors du métro rue de La Pompe, une station prédestinée pour une belle salope comme moi, j’ai encore le bas-ventre en feu. En passant près du petit parc dans la rue qui mène à notre appartement, je décide de m’arrêter quelques instants pour prendre le soleil car je sais que François n’est pas encore rentré chez nous. Je m’assoie sur un banc, face au soleil, dans un petit coin isolé entre deux massifs. J’ai les yeux fermés et je profite de l’instant présent lorsque je devine quelque chose qui me frôle le genou. Je pense qu’il s’agit d’un papillon et je n réagis pas mais ce contact est un peu froid et humide. Je ne bouge toujours pas et le contact remonte légèrement entre mes jambes, se glisse sous ma robe et arrive presque au tissu de mon string. Je me décide à ouvrir les yeux et quelle n’est pas ma surprise lorsque je découvre que c’est un chien qui me renifle la chatte. Devant ma réaction un peu vive, l’animal recule et je constate alors que son maître est assis près de moi. Je le reconnais, c’est un monsieur d’une cinquantaine d’année que j’avais déjà croisé un jour avec son chien Stark, un superbe mâle doberman. Il me dit

— Je suis vraiment désolé Madame. Stark est un coquin et, avec l’arrivée des beaux jours, il est un peu intenable. J’espère qu’il ne vous a pas fait mal.

— Non, pas de mal ! C’est la surprise qui m’a fait sursauter et réagir ainsi.

— Soyez rassurée, il n’est pas méchant. Comme moi, il est doux avec les femmes.

Je lui fais un grand sourire et je lui réponds

— C’est une nouvelle technique de drague ? Sortir accompagné de son chien et aborder les femmes dans le parc. C’est original !

Il me répond

— Stark est très bien éduqué, il faut dire que j’ai une amie qui m’a bien aidé pour cela.

Dans les propos très anodins de ce monsieur, je comprends parfaitement de quelle éducation il s’agit. Bien que n’ayant aucune expérience dans ce domaine, j’ai lu quelques histoires de zoophilie particulièrement excitantes.

Je décide alors d’être un peu provocante pour voir la réaction du Monsieur. Très sérieusement, je lui annonce

— Je reviens de Pigalle et j’ai été bien saillie comme une salope par un ami. J’ai la chatte encore toute poisseuse et c’est peut être mon parfum de chienne qui a excité Stark.

Tout en caressant le dessus de la tête de son chien, l’homme me répond

— Très certainement. Il adore sentir les effluves de jolies femelles.

Après avoir jeté un coup d’il autour de nous pour vérifier que nous étions seuls, il pose sa main sur mon genou et me force à écarter les jambes puis, s’adressant à son chien, il lui dit

— Stark, montre à la dame comme tu es un bon chien.

L’animal vient devant moi, s’assoie sur ses pattes arrière et glisse de nouveau sa tête sous ma robe. Bien vite, j’ai sa truffe fraîche au niveau de son pubis et sa langue râpeuse commence à lécher le léger tissu bien imbibé du foutre de Monsieur Robert et de ma mouille. Mon voisin glisse une main sous ma robe et écarte le fin tissu pour libérer ma fente. Aussitôt, Stark y glisse sa langue et commence à bien me laper. C’est divin, je ferme les yeux et incline la tête en arrière pour me laisser aller. Sa langue bien chaude se glisse tout au fond de ma chatte et j’ai droit à un superbe cunnilingus. J’écarte grand les jambes pour qu’il puisse aller encore plus profond et, après dix minutes de ce traitement, je jouis comme une folle et l’animal se repaît de mon nectar. Lorsque je rouvre les yeux, mon voisin se lève, remet la laisse à son chien et me tend un petit papier. Il me dit

— Je m’appelle Grégor et j’habite un peu plus haut sur l’avenue Paul Doumer. Voici mon numéro de téléphone.

Je le remercie et lui dis que j’ai été ravie de cette rencontre et de cette découverte. Il me répond

— Stark et moi vous recevons quand vous le souhaitez. N’hésitez pas !

Une fois rentrée à la maison, j’ai le temps de prendre une douche avant que François rentre à son tour. Après le dîner, nous allons dans la chambre et il me baise devant le grand miroir, lui debout et moi à genoux sur le prie-Dieu comme il aime. Il me dit

— Je dois m’absenter deux jours la semaine prochaine. J’ai convenu avec Monsieur Coulibadou qu’il te sortira pour quelques exercices. J’espère que tu te comporteras bien.

Lorsqu’il se vide en moi, je lui réponds

Oui chéri, ne soit pas inquiet. Je vais me comporter comme une véritable chienne, n’est ce pas ce que tu souhaites…..

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