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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 33

La bourgeoise et le marabout - Chapitre 33



Nous avons deux fils, Adrien et Antoine, qui sont aujourd’hui casés et que l’on ne voit que très rarement sur Paris car ils sont maintenant installés en Province. Adrien, l’aîné, a 37 ans tandis qu’Antoine n’en a que 34. Ce dernier, ingénieur aéronautique installé à Toulouse, est cette semaine sur Paris car il fait partie de l’équipe qui représente la société Safran lors du salon du Bourget. Par commodité, il est logé chez nous dans le XVIème et peut ainsi facilement et rapidement rejoindre le salon. Arrivé hier jeudi pour participer à la préparation du stand, il doit repartir mardi une fois que tout sera démonté.

En ce dimanche soir, après un dîner à trois François, Antoine et moi-même notre fils décide de se coucher tôt car demain lundi matin le salon ouvre de bonne heure pour les deux journées consacrées aux professionnels. Vers 21h30, François m’entraîne dans la chambre pour que l’on regarde un film au lit. Le connaissant bien, je lis dans ces yeux qu’il a des envies lubriques. Une fois dans le nid conjugal, il me demande de me faire sexy car il a envie que l’on visionne ensemble un film coquin. Tandis que je m’isole dans mon dressing pour me préparer, je l’entends ouvrir le petit meuble télé de notre chambre, farfouiller dans sa collection de films Marc Dorcel puis mettre en route le téléviseur et le magnétoscope. Lorsque je reviens dans la chambre, il a éteint les lumières et allumé deux petites bougies qui créent une ambiance intimiste dans la pièce. Il est déjà nu, allongé sur le lit, regardant les premières images du film ; la boîte du DVD est posée sur ma table de chevet, le titre est « Maman salope ». Je viens au pied du lit et, ainsi placée entre lui et l’écran, je lui montre ce que je porte. J’ai choisi une guêpière rouge, très échancrée sur les côtés, largement fendue à l’entrejambes et à demi balconnets pour ne rien cacher de mes seins. J’ai enfilé une paire de bas autofixants blancs et chaussé une paire de cuissardes rouges qui s’arrêtent un peu en dessous des larges jarretières de mes bas. Je dois lui faire de l’effet car sa queue se dresse et palpite d’envie.

Je viens sur le lit et me met à quatre pattes entre ses jambes pour le prendre en bouche. Comme je sais qu’il jouit rapidement, je préfère ne pas le faire monter au septième ciel trop vite et me contente donc de passer ma langue sur sa hampe et téter son gland. Sa queue est dressée comme un serpent qui va attaquer et cela n’est pas pour me déplaire. Puis il me fait pivoter et je me retrouve face à la télé. Ce coquin de François, bien positionné derrière moi, me gratifie d’un chaud cunnilingus bien baveux. Sur l’écran, une blonde mature est en train de se faire bander les yeux par un homme qui lui dit

— Tu es superbe ma chérie, tu vas voir comme ton mari va bien te faire jouir.

Une fois que la blonde a les yeux bandés, son mari la fait mettre en levrette sur la table du salon, s’absente de la pièce et revient quelques instants plus tard avec un jeune homme.

Je ne peux pas suivre la suite car François s’est redressé, plonge la main dans un petit sac où je sais qu’il conserve quelques accessoires érotiques et me bande les yeux avec un foulard.

— Que fais-tu ?

lui demandé-je.

Il me répond d’une voix lubrique

— Je vais te baiser les yeux bandés comme la blonde à l’écran. Je fais te voir jouir comme le mérite une belle salope comme toi.

Puis, je comprends qu’il s’est emparé de boules de geisha dans le petit sac et les glisse prestement dans ma chatte déjà bien lubrifiée. Quelques secondes plus tard, je sais qu’il tient la petite télécommande à la main car les boules se mettent à vibrer de plus en plus fort dans ma chatte.

Les dialogues de la télé me font comprendre que la blonde doit être en train de se faire besogner par les deux hommes

— Oh oui, c’est bon, plus fort.

— Chéri, que j’aime ta queue dans ma chatte.

— Oh oui, que ta queue est grosse.

— Vas-y fiston, baise la bien.

— Quelle sacrée salope.

Je ne peux rien dire car François vient de glisser sa bite dans ma bouche et me maintient fermement par les cheveux pour que je le suce bien en fond de gorge. Il doit deviner que je suis sur le point de m’étouffer car il retire un peu son gland, me laisse prendre deux ou trois bonnes bouffées d’air puis se glisse de nouveau au fond de ma bouche.

A la télé, les paroles sont de plus en plus crues et je comprends alors que la blonde est en train de se faire prendre par son mari et son fils

— Allez y mes hommes, remplissez moi bien.

— Oh oui, je veux sentir votre foutre se répandre en moi.

— Ta mère est vraiment en manque, heureusement que tu te joins à moi pour la satisfaire.

— C’est un plaisir papa. Cette salope est vraiment accro à nos deux queues.

François se raidit sous mes caresses buccales et se retire de ma bouche de peur de jouir trop vite. Soudain, on me retire les boules de geisha de la chatte et un gland commence à se frotter à ma vulve par la fente de ma guêpière. Mais, surprise, un autre gland se présente de nouveau devant ma bouche. Je n’ai pas le temps de réfléchir et surtout pas l’occasion de dire quoi que ce soit car me voilà avec une queue plantée dans la chatte et une autre au fond de la gorge.

J’ai l’impression d’être à la place de la blonde qui gémit à la télé et les paroles de ses deux mâles traduisent la situation dans laquelle je semble être

— Oh maman, comme tu me suces divinement ; bien mieux que ma femme.

— Chérie, ta chatte est brûlante de désir.

— Papa, fais vite que je prenne ta place.

— Patience fiston, retiens toi.

Je me dis que François a dû profiter que j’ai les yeux bandés pour faire entrer Antoine dans notre chambre et ainsi me partager avec lui. Je sais qu’il y a longtemps qu’il y pensait car il m’en parlait parfois lorsqu’il me baisait. Souvent il me disait

— Je voudrais te faire baiser par nos deux fils, je suis sûr qu’ils apprécieraient une salope comme toi.

Bien que ses paroles m’excitaient, je lui disais à chaque fois que cela ne se fait pas, que ce n’est pas bien de baiser en famille. A chaque fois, sa réponse était la même

— Ce n’est pas leur mère qu’ils baiseront mais la salope qui se cache en elle.

Très certainement pour me laisser dans le doute, mes deux baiseurs ne parlent pas et n’échangent aucune parole. Mais que c’est bon d’être ainsi besognée par deux belles queues. Je me cambre bien pour que celui qui est derrière moi, François je pense, puisse bien me saisir par la taille et me donner de grands coups de queue. J’ouvre grand la bouche pour que celui que je suce, Antoine je présume, puisse glisser toute sa hampe entre mes lèvres. Tout en me besognant, les deux hommes me flattent la croupe, me caressent les fesses, me titillent les seins.

Les paroles des acteurs de la télé semblent guider les actes de mes deux mâles

— Maman, viens t’allonger sur moi. Je veux te baiser et te dévorer les seins.

— Tu as raison fiston, nous allons changer de position.

— Papa, tu pourras ainsi l’enculer pendant que je la baise.

— Oui, et nous allons bien arroser cette salope.

Les yeux toujours bandés, je comprends que je dois m’allonger sur le corps étendu sur le lit. Je m’exécute et bien vite j’ai de nouveau une queue plantée dans la chatte. Une bouche avide me dévore les seins tandis que deux mains se posent sur mes fesses et m’entrouvrent. Une bouche me titille l’illet, m’enduit de salive avant qu’un gland ne se pose sur ma rosette. Deux va-et-vient rapides suffisent à me préparer et me voilà maintenant avec une bite bien plantée dans le cul. C’est un régal pour moi d’être baisée par ces deux queues comme la blonde à l’écran qui crie sa jouissance

— Oh oui mes chéris, videz vous en moi.

— Arrosez moi de votre bon foutre, que j’en ai partout en moi.

Les deux acteurs lui répondent en chur

— Oui maman, je viens. Comme c’est bon !

— Chérie, je jouis aussi, je te donne tout ce que j’ai.

A ce moment-là, celui qui m’encule se raidit, me serre un peu plus fort au niveau des hanches et se libère en moi de tout son foutre. Quelques secondes plus tard, celui qui me baise m’attire tout contre lui, soude sa bouche à la mienne, joue avec ma langue et se vide à son tour en longs jets puissants. Les deux queues se retirent de moi mais je reste allongée sur lit, les yeux toujours bandés, pour récupérer de ce violent orgasme.

Lorsque François me retire le bandeau, la blonde à l’écran est allongée seule sur le lit, ses deux étalons ont disparu et le générique de fin défile. Nous ne sommes que tous les deux dans la chambre ; François se lève, arrête le magnétoscope et la télévision puis revient s’allonger de moi. Je lui dis

— Alors coquin, tu as enfin réussi à parvenir à tes fins.

Prenant un air perplexe, il me répond

— De quoi parles-tu ?

Devant son air surpris, je poursuis

— Me faire baiser par l’un de nos fils. Depuis le temps que tu en rêves !

Son visage reste aussi perplexe et il me rétorque

— Tu vois bien que je suis seul avec toi. C’est à la télé que la femme se faisait baiser par son mari et son fils. Salope comme tu es, tu t’es prise pour une star du X.

Comprenant qu’il ne changera pas sa version des faits, j’enchaîne

— Tu as raison, avec les yeux bandés, j’ai dû m’imaginer à la place de la fille en entendant les dialogues. Mais c’était tout de même très bon !

La lumière à peine éteinte, François s’endort et se met à ronfler comme une locomotive. Je passe ma main entre mes jambes et la porte à mon nez, elle est gluante et sent le foutre. Je glisse mon autre main entre mes fesses et en respire également l’odeur, c’est aussi du bon jus de mâle. François me prendrait donc pour une imbécile ?? Je me glisse hors du lit et discrètement sors de la chambre en nuisette. J’ouvre délicatement la porte de la chambre d’ami où dort mon fils Antoine. Dans le noir, je m’approche du lit, retire ma nuisette et me glisse dans le lit. Il se colle à moi, sa queue est de nouveau bandée.

Je lui dis d’une voix suave

— Maman salope a encore envie. Baise moi de nouveau…

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