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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 6

La bourgeoise et le marabout - Chapitre 6



Chaque soir, avant que mon mari ne rentre du travail, je m’isole dans notre chambre et je sors de sa cachette la dernière enveloppe de mon marabout, celle remise par son assistant Ahmed à l’issue de notre rencontre au magasin de Robert. Même si je les connais par cur, je relis tout de même ces mots « Chère Hélène, vos progrès sont indéniables même si vous avez encore, je l’ai bien remarqué, quelques réticences à vous laisser aller à vos désirs secrets. Soyez sans crainte, je vais progressivement vous libérer de vos chaînes morales. Je vous adresse bientôt un SMS pour la prochaine consultation à mon cabinet. En attendant, laissez-vous aller aux envies de votre mari ».

Aujourd’hui, François mon époux est rentré plus tôt que d’habitude de son travail, j’en suis surprise. Il a un paquet bien emballé dans une main et tient un bouquet de roses de l’autre. « Bonne fête chérie. Tu ne crois tout de même pas que j’aurais oublié ? ». Il vient vers moi et m’embrasse longuement. Une fois les roses mises dans un vase, j’ouvre le paquet et suis fort surprise en découvrant un superbe body noir de chez Aubade, avec un profond décolleté et bien échancré sur les côtés. Mon mari m’embrasse de nouveau et me dit « Enfile ton cadeau et fais-toi belle, je t’emmène dîner ce soir au Chalet des Îles au bois de Boulogne. » Trente minutes plus tard, une fois la voiture garée près du lac, nous embarquons sur le petit bateau qui nous dépose rapidement devant le restaurant. Après avoir déposé nos manteaux au vestiaire, nous sommes vite installés à une table car mon mari avait déjà réservé. Les plats sont délicieux et nous les accompagnons de champagne. Mon mari n’arrête pas de remplir mon verre et je me sens un peu guillerette, presque ivre. François me dit « Tu es superbe chérie, tous les hommes te regardent du coin de l’il ». Il faut dire que j’ai mis des escarpins à hauts talons, mes bas noirs auto fixant me font de jolies jambes et ma robe bien collante et assez courte met en valeur mon 90B ainsi que ma croupe rebondie.

Une fois le dîner terminé et alors que nous récupérons nos affaires au vestiaire, François me dit à l’oreille « Hélène, va aux toilettes et retire ta robe pour être en lingerie sous ton manteau. J’ai envie de toi depuis le début du repas ! » Je suis un peu surprise mais c’est certainement sous l’effet de l’alcool que je m’exécute. Une fois dans le bateau, profitant de la nuit tombée, il se colle bien à moi et m’embrasse à pleine bouche tout en glissant ses mains sous mon manteau pour flatter mes formes. Dans la voiture, alors que nous revenons vers la porte Maillot pour rejoindre notre domicile, le voilà qui change de route en direction de la porte d’Auteuil. Je comprends vite ses motivations quand nous arrivons dans le secteur des prostituées où il y a de nombreuses voitures qui roulent au pas. Il me dit « Tu as vu, elles sont habillées un peu comme toi, en lingerie sexy prêtes à l’emploi » et il accompagne ses paroles en posant sa main droite sur mes cuisses et en remontant bien haut. Puis il engage la voiture dans une petite allée obscure, stoppe le moteur et se penche vers moi. Il ouvre grand mon manteau pour mieux profiter de mes charmes. Tout en dégageant d’une main mes seins du body, il ouvre les boutons pression à l’entrejambe et écarte bien mes cuisses. Sans rien dire et sans résister, je me laisse aller à ses caresses et à la gourmandise de sa bouche qui profite de la moindre partie libre de mon corps. Soudain, je remarque que quelques hommes se sont rapprochés de la voiture et nous observent. Je le dis à François qui me répond qu’il a verrouillé les portes et que ce ne sont là que des voyeurs souhaitant profitant du spectacle d’une jolie femme. Je ferme les yeux et me laisse aller à cette chaleur qui s’empare de moi. Soudain, voilà François qui abaisse les sièges avant, me fait me retourner et se colle à moi. Sa braguette est vite ouverte et le voilà déjà qui s’excite en allant de mes fesses à ma chatte. J’ai quasiment le visage contre la vitre latérale côté passager lorsqu’il me pénètre et commence à me donner de grands coups de queue. Même si mon instinct premier me dicte que ce n’est pas convenable de s’exhiber ainsi, tout mon corps apprécie la situation et je tends bien la croupe vers l’arrière pour mieux sentir le sexe de François en moi. Mais voilà qu’il fait descendre la vitre qui est de mon côté et, après seulement quelques secondes, deux ou trois sexes dressés se présentent devant moi. François me dit « Tu vois, la jolie bourgeoise que tu es leur fait de l’effet. Tu vas les soulager comme une bonne petite salope, je suis sûr qu’ils t’en seront reconnaissants » puis, s’adressant aux hommes, il ajoute « Ma petite salope de femme va bien sucer tous ceux qui enfileront une capote. Elle adore cela ! » Dans un état second, me voilà en train de faire des fellations à ces hommes tandis que mon mari continue à aller et venir en moi. A peine le premier a-t-il joui qu’il est remplacé par un autre et ainsi de suite pendant une bonne demi-heure. C’est alors que je remarque que François, tout en continuant à bien me prendre, est en train de faire quelques photos avec son téléphone portable. Puis le voilà qui se répand longuement en moi tandis qu’un vieux monsieur bedonnant succombe à son tour à la douceur de ma bouche. Avant de refermer la vitre, François lance aux hommes encore présents « Dans quelques semaines, nous reviendrons certainement. Mais cette fois-ci, madame sera exhibée en extérieur ». Puis nous rentrons tranquillement à la maison. Alors que nous sommes au lit, François me dit « Tu t’es très bien comportée, tu es un amour. En attendant notre prochaine sortie, je ne manquerai pas de regarder ces merveilleuses photos » et il me montre les photos où l’on me voit de dos, sans que mon visage soit reconnaissable, prise par sa queue et la tête penchée vers 5 ou 6 sexes bandés. « On les regardera entre mecs au bureau mais je ne dirai pas que c’est toi, sois rassurée ! ». Voulant lui montrer que je restais maîtresse de la situation, je pris son sexe en bouche et au bout de quelques minutes, il jouit en moi. Une fois qu’il fut endormi, je me levai sans faire de bruit, pris le médicament de mon marabout et m’endormis à mon tour une main sur mon sexe encore tout moite et grand ouvert.

Voilà enfin le SMS tant attendu qui arrive « Après-demain, 16h00 à mon cabinet. Tenue sexy appropriée ». Je relis deux ou trois fois le message, faisant ainsi naître une douce chaleur dans mon bas-ventre, puis j’efface le message pour éviter tout souci avec mon mari. L’attente me parut bien longue mais me voici enfin prête à partir à ma nouvelle consultation. Partie un peu trop tôt, j’arrive au boulevard de Clichy avec près de 30 minutes d’avance. Je me surprends à déambuler entre le métro Pigalle et le métro Blanche pour faire passer le temps. Pour éviter de passer devant la boutique de Monsieur Robert, je choisis le trottoir de l’autre côté. À côté du Mac Donald, je découvre qu’il y a un cinéma érotique « L’Atlas ». M’attardant un peu devant l’entrée, je remarque que de nombreux hommes y entrent et certains me matent très ostensiblement. L’un deux, un quinquagénaire bien sous tous rapports qui devait sortir de son boulot, propose même de m’inviter à la séance. Rouge de honte, je lui tourne le dos et accélère le pas pour m’éloigner. En passant devant les magasins de lingerie, je m’attarde un peu pour regarder les différentes tenues. Depuis que je consulte mon marabout et que j’ai découvert une autre facette de mon mari, mon avis a un peu changé sur le sujet. Même si je considère toujours que ce sont des tenues pour des jeunes femmes, souvent vulgaires ou tout au moins provocantes, je reconnais que c’est agréable à porter voire excitant et que cela rajeunit un corps de femme mature. Mon mari ne m’a-t-il pas dit que cela allait merveilleusement à mon corps encore bien conservé. J’ai donc intérêt à poursuivre encore longtemps mes séances de Pilates, natation et marche nordique.

L’heure tourne et me voilà arrivée chez monsieur Coulibadou qui me fait entrer dans son cabinet avant que je sois installée dans la salle d’attente. Une fois assise en face de lui, il me demande de lui préciser comment cela s’est passé avec mon mari depuis la consultation précédente. Sans trop rentrer dans les détails, je lui explique que nous avons plus de relations sexuelles qu’auparavant mais que j’ai noté que mon mari avait parfois des envies bizarres, un peu perverses à mon avis. Il me demande de préciser un peu ces envies puis me répond que de nombreux hommes ont, comme François, envie d’exhiber leur femme, la voir avec d’autres hommes et parfois même la partager. Je lui réponds que cela me choque un peu même si j’ai ressenti une réelle excitation lors de notre petite aventure nocturne au Bois de Boulogne.

Mon marabout se lève, me fait retirer ma robe puis, après m’avoir complimentée sur la lingerie que je porte celle offerte par mon mari et étrenner au Chalet des Îles, il me fait entrer dans une pièce inconnue où l’on accède par une petite porte située derrière son fauteuil. Il s’agit d’une sorte de chambre d’une dizaine de mètres carrés avec un grand lit rond au milieu et quelques petits canapés deux places et fauteuils installés le long des murs. Il y a également un grand miroir au plafond et des miroirs plus petits accrochés aux murs entre les sièges. J’ai un mouvement de recul en y découvrant son assistant Ahmed entièrement nu allongé sur lit. Mon marabout me dit alors « Hélène, jusqu’à présent, vous avez toujours eu les yeux bandés et vous n’aviez qu’un rôle passif. Aujourd’hui, vous n’aurez pas de bandeau mais la pièce sera tout de même plongée dans l’obscurité. Par ailleurs, c’est mon assistant qui va être passif et c’est à vous d’oser prendre les initiatives. ». Il s’éloigne de moi, appuie sur un interrupteur et nous voilà tous les trois dans le noir le plus complet.

J’avance lentement vers le centre de la pièce et arrive jusqu’au lit. Je tends les mains et découvre les jambes de l’assistant. Je m’approche un peu plus de lui, il ne peut pas me voir et cela me rend plus hardie. Mes mains remontent le long de ses jambes, caressent ses bourses et bien vite je devine sa verge bien tendue sous mes doigts. Je viens à califourchon au-dessus de ses jambes et me penche vers son sexe. Bien vite, mes lèvres enserrent son gland gonflé et, tandis que mes mains se promènent sur son torse, je commence un long mouvement de va-et-vient. Je m’applique à bien le téter, à faire coulisser mes lèvres serrées sur sa hampe et à engloutir son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Il apprécie ma fellation car sa queue continue à gonfler dans ma bouche et ses coups de bas-ventre accompagnent les mouvements de ma tête.

Maintenant bien excitée par cette situation nouvelle pour moi, je me décide à venir sur lui et c’est avec facilité que je m’empale sur cette queue qui me remplit de plaisir. J’ondule du ventre tandis qu’il me tient bien par les hanches, je me caresse les seins d’une main et la chatte de l’autre tellement je suis bien. Au bout d’une dizaine de minutes, alors que j’ai déjà joui deux fois, Ahmed se retire de moi, se lève et je le devine qui quitte la pièce. Je n’ai pas le temps d’être surprise qu’un autre corps nu se colle à moi. Je m’allonge et m’abandonne aux envies de mon marabout. Même si je suis déjà bien ouverte, il doit forcer un peu pour prendre la place d’Ahmed en moi. J’ai vraiment l’impression d’être ouverte et possédée mais c’est divinement bon. Il me besogne ainsi avec lenteur et je jouis tout en lui offrant ma bouche et mes seins à dévorer. Puis le voilà qui me fait mettre à plat ventre, glisse un coussin sous mon ventre et sa bouche se plaque sur mes fesses. Il me prépare de sa langue agile et je sais que je vais de nouveau lui offrir ce que je refuse à mon mari. Mais il sait si bien me préparer, me faire languir, que mes fesses se tendent comme une offrande lorsqu’il pointe son gland contre ma rosette. Avec lenteur et douceur, il se glisse en moi et bien vite je suis de nouveau possédée par son énorme sexe. Je tends la croupe en arrière pour mieux ressentir ce plaisir d’être prise ainsi. Son buste est penché sur mon dos, il me mordille la nuque, me caresse les seins et me prend maintenant sans ménagement. Dans un long râle, il se vide en moi en longs et puissants jets. Il reste quelques instants collé à moi puis se retire. La lumière revient dans la pièce et, avant que je sois relevée, mon marabout est déjà reparti m’attendre dans son bureau.

Une fois ma robe enfilée, je suis assise en face de lui. Il me dit « C’est parfait Hélène, vos progrès sont manifestes et tout cela est de bon augure pour la suite. Je pense que vous êtes prête à commencer une nouvelle phase dans votre traitement. Il serait en effet maintenant bon que vous soyez vous-même en pleine lumière. » Puis, se levant et se rapprochant de moi, il ajoute « Nous nous reverrons dans deux semaines, je vous préciserai la date par SMS. D’ici là, continuez à répondre aux attentes de votre mari ».

Installée dans le métro qui me ramène vers le XVIème arrondissement, je repense à ce que je viens de vivre et je me dis que ce n’est vraiment pas digne d’une femme de mon âge et de mon statut. Mais la chaleur que je ressens encore dans mon bas-ventre et ma croupe fait vite disparaître ces objections. Quelques hommes m’observent avec insistance et je me demande si je dégage un parfum de femelle qu’ils peuvent sentir. Qu’importe, je rentre chez moi le corps et l’esprit apaisés.

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