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La bourgeoise et le puceau. – Chapitre 9

La bourgeoise et le puceau. - Chapitre 9



Le jour commence à poindre mais la chambre conjugale est toujours plongée dans l’obscurité. François dors encore près de moi, j’entends sa respiration profonde et régulière. Je jette un coup d’il à mon réveil, il est seulement 06h30 et nous nous levons tous les deux à 07h15. Peut-être ai-je eu un pressentiment mais voilà la poignée qui tourne lentement et une silhouette nue se découpe dans le cadre de la porte entrouverte. Elle se dirige vers le lit, soulève délicatement la couette et se glisse près de moi. Je me cale un peu plus contre François pour laisser un peu de place à mon visiteur matinal. A voix basse, on me dit

— Bonjour Hélène, j’espère ne pas vous avoir réveillée. La proposition faite hier soir par mon oncle de vous visiter parfois au lit était si tentante que je voulais en profiter le plus vite possible.

— Tu as bien fait Florian, ton oncle ne t’a-t-il pas dit que je suis à ta disposition chaque fois que tu as envie, même en sa présence. Peut-être même voulait-il dire surtout en sa présence.

A peine lui ai-je répondu que sa tête disparaît sous la couette.

Je sens que l’on trousse ma nuisette, deux mains m’écartent bien les jambes et une langue avide se pose sur mon sexe. Les deux mains continuent de remonter ma nuisette afin de mieux accéder à ma poitrine. Des doigts agiles jouent avec mes tétons tandis qu’une bouche gourmande me dévore la chatte. Je me laisse aller, dans le noir j’ai l’impression d’être ainsi le jouet sexuel d’un inconnu qui profite de moi alors que mon mari dort encore. Mais je comprends bien vite que François est réveillé lorsqu’il se rapproche de mon oreille et me dit à voix basse

— Bonjour chérie, ne te dérange pas pour moi. Je vais rester au lit pour t’entendre jouir et j’espère que tu vas bien te donner à Florian. Cela va le mettre en forme pour la journée.

Je ne lui réponds pas car une onde de chaleur remonte déjà de mes cuisses jusqu’à la pointe de mes seins. Florian émerge de dessous la couette et sa bouche vient maintenant s’occuper de mes seins. Il me les mordille puis s’empare de ma bouche. Sa langue joue avec la mienne. Son gland gonflé cogne à l’entrée de mon sexe, le coquin fait durer le plaisir en se frottant mais sans me pénétrer. Je donne des coups de bas-ventre pour faire entrer sa queue mais il anticipe à chaque fois et se contente de m’exciter. Soudain, d’un coup puissant, il pénètre jusqu’au fond de mon intimité et commence ses va-et-vient. Que c’est bon d’être ainsi prise au réveil, la chatte encore bien serrée après une nuit de repos.

Son sexe a maintenant atteint sa pleine dimension et il me remplit entièrement. Heureusement, maintenant que je suis bien lubrifiée, il n’a aucun mal à coulisser en moi. Il retire entièrement sa queue pour mieux la replonger, il alterne des mouvements rapides puis des plus lents, ce vaurien prend plaisir à me faire languir même si j’ai déjà joui. Soudain, François s’adresse à lui et dit

— Mets ta tante bien allongée sur le ventre et visite là comme elle le mérite.

Florian me fait mettre à plat ventre tandis que François me passe un oreiller que je glisse sous mon ventre. J’ai ainsi la croupe bien relevée et je retire entièrement ma nuisette pour bien sentir le contact avec mon jeune amant.

Florian change de position et vient à la tête du lit de sorte que je peux enfin prendre sa queue en bouche. J’aime le goût de ma chatte sur son sexe et je prends un vilain plaisir, à mon tour, à le sucer lentement pour faire monter la pression.

Pendant ce temps, discrètement, François glisse sous la couette ses doigts enduits de salive et commence à me préparer la rosette. Ses doigts jouent avec mon petit cul, lubrifie bien le pourtour puis un doigt force mon intimité. Il continue ses mouvements arrondis dans mon anus puis c’est avec deux puis trois doigts qu’il achève ma préparation.

— Elle est prête pour t’offrir son petit cul

susurre-t-il à Florian.

Florian revient entre mes jambes, s’allonge sur moi et commence à me caresser les seins tout en me mordillant la nuque. Son gland force doucement mes fesses qui s’ouvrent sous la pression de son glaive. Je remue doucement des fessiers tandis qu’il ondule sur moi. Je sens mes chairs qui s’ouvre, sa queue qui m’investit, la chaleur qui s’empare de moi, le désir qui s’exacerbe en lui. Il est au fond et recommence maintenant à me donner de bons coups de queue. Je tends du mieux possible ma croupe en arrière pour qu’il aille encore plus loin en moi. Je ne suis qu’un doux fourreau pour son glaive. Je tends les mains vers l’arrière, saisis mes deux fessiers et les écarte bien pour lui ouvrir encore plus grand le passage. Florian ahane à chaque coup de boutoir, François cherche à l’exciter encore plus

— Vas-y Florian. Cette salope aime être enculée par une jeune queue.

— Vois comme elle se donne, on dirait une bonne petite pute.

— Elle a déjà joui deux ou trois fois. Et elle en redemande.

— Profites en bien. Je te la donne bien volontiers.

— Vide toi bien en elle, elle aime le foutre.

Soudain voilà Florian qui se raidit, se colle tout contre moi, pince un peu plus fort mes seins et me mord un peu plus la nuque. Il s’immobilise et ses puissants jets de sperme m’inondent le fondement. Après quelques instants sans bouger, certainement pour bien se vider, il se retire et quitte discrètement notre chambre.

A peine la porte s’est elle refermée sur Florian que François me fait remettre sur le dos et vient sur moi. Son sexe est tendu et n’a aucun mal à pénétrer ma grotte qui a été bien ouverte par notre neveu.

— Tu as joui comme une belle salope. Je vais maintenant en profiter pour bien commencer moi aussi ma journée de travail.

me dit-il en me besognant de plus en plus vite.

Je me laisse de nouveau bien baiser même si l’excitation est moindre. L’oncle est moins endurant que le neveu et François se répand vite en moi puis se lève. Je reste au lit quelques minutes supplémentaires pour bien absorber tout ce foutre familial en moi. Pourtant, lorsque je me lève et me dirige vers la salle de bain, quelques filets de sperme coule de ma chatte et de mes fesses le long de mes jambes. Je vais être obligée de doubler la dose de parfum aujourd’hui. Je ne voudrais pas que mes collègues de travail sentent mon parfum naturel de bourgeoise farcie au sperme matinal…

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