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La cabine d'essayage – Chapitre 1

La cabine d'essayage - Chapitre 1



Je m’appelle Robert j’avais au moment de cette histoire un peu plus de 20 ans, avec ma mère nous adorions les cabines d’essayages des magasins de lingerie féminine. Nous prenions des petites boutiques avec une vendeuse ou une patronne qui nous branchait.

Dès que c’était possible ma mère trouvait toujours un moyen pour que la vendeuse la matte en petite tenue, et elle l’appelait même, pour lui donner ses impressions sur la lingerie qu’elle aimerait acheter. Elle lui demandait son avis en tant que femme pour sentir les caresse légères et furtives, elle ne manquait pas l’occasion pour se dénuder devant elle.

Nous avions déjà été dans un magasin ou la vendeuse lorgnait plusieurs fois en direction de ma mère pour voir sa poitrine à l’air ou en petite tenue. Elle tournait autour de la cabine et regardait souvent dans notre direction car le rideau n’était pas complètement fermé. Après plusieurs essayages et ayant juste trouvé un soutien gorge qui convenait, en sortant la vendeuse d’une trentaine d’années, qui n’était autre que la patronne, me fit un sourire complice en disant à la prochaine fois et que si l’on aimait la nouveauté, de venir dans un mois pour essayer les nouveaux modèles et aussi que de temps à autre qu’elle vendait des dessous sexy pour toutes les tailles.

Nous y sommes retournés un mois plus tard vers la fin de la journée presque à l’heure de la fermeture et nous demandions dans un premier temps, de nous faire voir ce qu’elle avait en soutien gorge. Il faut dire que ma mère avait une poitrine opulente avec des seins qui commençaient à tomber mais très compacts et lourds. J’adorais sucer le bout en les malaxant de mes mains. J’avais plaisir à mettre ma tête dans cette poitrine généreuse. Je lui demandais souvent de se mettre sur moi pour les faire pendre afin de pouvoir les frictionner avec ma bouche. Je plaquais mes mains de chaque côté et me claquais le visage avec. C’était pour moi des moments d’une intensité extrême.

Nous prenions quelques modèles de formes et de couleurs différentes pour parer ces 105 cm bonnet E. Nous allions dans la petite cabine et je restais dehors en laissant le rideau entrouvert, je l’aidais à lui mettre les seins dans les bonnets en les réajustant souvent. La vendeuse demandait si cela lui allait et ma mère se retournait en exhibant fièrement ses deux globes merveilleusement enserrés dans la lingerie. Des fois certaines lingeries, étaient plus cintrées que d’autres, et faisait remonter ses mamelles laiteuses et douces vers le haut, lui donnant une poitrine impressionnante et au bord de l’explosion.

Je lui retirais alors pour le donner à la vendeuse et celle-ci lorgnait maintenant avec insistance sur cette poitrine généreuse. Vue l’heure tardive qui se faisait, la patronne décidait de fermer la boutique pour être auprès de nous. Elle nous emmenait dans l’arrière boutique à l’abri des regards et l’on pouvait essayer la marchandise en toute quiétude et complicité.

La patronne avait une taille fine des seins bien proportionnés dont le dessus était visible au travers d’un chemisier légèrement déboutonné, une jupe moulante au dessus des genoux laissant apparaître des jambe longues et bien galbées.

En plus des soutiens gorge, ma mère demandait aussi d’essayer des culottes en la questionnant sur ce qu’elle avait de nouveau.

Joignant le geste à la parole, elle se déshabille devant nous et immanquablement je bandais très dur tout en étant surpris de cette situation et de l’attitude de ma mère vis à vis la jeune fille.

Ma mère me fit un clin d’oeil, je la laissais faire, lorsqu’à son retour elle demanda à la jeune fille qui s’appelait Nicole, de l’aider à lui enfiler la culotte tandis que moi je mettais le soutien gorge. Un hooo ! d’admiration et un passage en revue par Nicole commençait.

En se baissant à la hauteur de mon pantalon elle devinait dans quel état j’étais, tout en plaquant ses mains sur les fesses de maman. Nicole lui demande alors d’écarter une jambe et ensuite de la lever, tandis qu’elle lorgnait sur son entrejambe, et moi je faisait pareil à Nicole qui c’était accroupie et m’offrait une vue sur le haut de ses cuisses.

Professionnellement elle replaçait les poils qui dépassaient de la culotte, pour dire à ma mère que c’était un peu juste comme taille. Mais à mon avis elle en a profité pour passer ses doigt discrètement sur ses lèvres intimes.

Puis se redressant c’était au tour des seins quelle commençaient à soupeser de ses petites mains, et elle prenait la liberté de bien les réajuster dans les bonnets. Les tétons étaient ressortis et tout durs après ces caresses. Ma mère était contente de cette fin de journée et elle appréciait les mains douces de Nicole sur son épiderme.

Puis elle lui demandait si elle était d’accord d’essayer la dernière collection très sexy qu’elle avait reçu. Ma mère était comblée par cette proposition et était dans un état d’excitation extrême.

Nicole revient vers nous, ma mère complètement déshabillée, elle me demande à mon tour de me mettre à l’aise vu mon état et que je serai beaucoup plus libre de mes mouvements.

J’avais une érection terrible et l’atmosphère torride qui régnait se prêtait merveilleusement bien à la situation. Pour ma mère j’aurai fait n’importe quoi, je m’exécutais avec plaisir.

Bien voilà t’es pas mieux comme ça me lance t’elle. Nicole regardait fixement en direction de ma verge bien dressée et ma mère l’a prise en main dans un premier temps pour bien la décalotter et la présenter à son regard, puis commence un branle d’une douceur extrême presque comme au ralenti montrant bien à Nicole sous toutes les coutures la beauté intime de son fils, alors n’y tenant plus, elle s’agenouille pour la prendre dans sa bouche et la lécher tout le long.

Je regardais Nicole qui commençait à se caresser en mettant sa main droite en dessous de sa jupe, devant ce spectacle somptueusement érotique et inattendu. Elle n’en perdait pas une miette, elle s’approche de nous et à son tour en se mettant à genoux elle prenait mes bourses bien pleines avec sa main gauche sur le côté, tandis qu’elle introduisait sa main droite dans la raie du cul pour se diriger vers l’anus. J’écartais un peu les jambes pour faciliter le passage.

Elle mouillait ses doigts avec sa langue, et m’introduisit un doigt dedans, tandis que ma mère léchait mon membre en serrant bien ses lèvres pulpeuses et donnant des coups de langues rapide et doux sur mon gland violacé et gonflé de plaisir. Elle sortait ma bite et au dehors lèchait celle-ci jusqu’à mes poils et revenait pour mieux la réengloutir dans sa bouche.

Ces deux femmes à mes pieds s’affairant sur mes parties intimes était extraordinaire et je comprends maintenant la stratégie de ma mère qui voulait pimenter notre relation en échafaudant cette situation. Elle est arrivée à ses fins, car n’y tenant plus par les caresses de ces deux furies, je crachais tout mon jus en inondant la bouche de ma mère de ce précieux liquide qu’elle avala jusqu’à la dernière lampée.

J’étais dans un état second, et les deux femmes étaient maintenant à poils et se donnaient en spectacle sur la moquette épaisse de l’arrière boutique.

Elles se mirent en 69 et je voyais le cul de Nicole largement écarté au dessus de la tête à ma mère, sa fente très ouverte laissait apparaître des petites lèvres ourlées d’un rouge vif, entourée de petit poils, soigneusement taillés sur le pourtours de sa vulve, dont au fond de son sillon, l’on pouvait voir qu’elle avait un vagin largement ouvert dégageant une chaleur douce et une odeur enivrante et un clitoris excité lui aussi, qui ressortait en haut de sa fente.

Je m’approchais de plus près pour participer aux ébats et je pris la place de ma mère tandis qu’elle alla s’asseoir à hauteur de tête de Nicole, sur une chaise, les cuisses largement écartées, offrant sa vulve remplie de mouille et en écartant avec ses mains ses grosses petites lèvres gonflées par l’excitation.

Puis reprenant de la vigueur par les caresses labiales de Nicole qui suçait remarquablement bien je décidais de lui remplir sa chatte. Elle se mit à quatre pattes la tête dans les cuisses de ma mère et les reins cambrés faisant ressortir son connin baveux.

Ho oui criait-elle, continue c’est bon, je lui prenais ses seins qui remplissaient bien les mains et je limais avec un plaisir nouveau de la vison de cette inconnue bouffant le sexe poilu de maman.

Ma mère se relève et m’invite à faire plaisir à Nicole qui se mit sur le dos, ma mère accroupie sur son visage écartait son intimité au maximum et moi bouffant à mon tour la chatte de Nicole, montant avec ma langue de l’anus au clitoris, et en faisant le chemin inverse plusieurs fois de suite, sans manquer de darder ma langue dans ses deux trous.

Avec mes mains j’écartais ses lèvres pour entrer ma langue dedans. Elle mouillait comme une fontaine. Je me remis à bander devant un tel spectacle et décidais devant Nicole de baiser ma mère.

Je l’a prenais en levrette tandis qu’elle suçait la fente de Nicole qui à son tour se mit à jouir dans un grognement sourd, en quelques coups je demande aux deux femelles d’accueillir toutes les deux mes lampées de sperme qui commençait à monter le long de ma tige.

Jouissant une nouvelle fois sur ces deux visages celles-ci se bousculait pour pouvoir en avoir le plus possible.

Après une bonne douche et avoir acheter beaucoup de sous vêtements, nous quittâmes Nicole très éprouvée physiquement, les couilles vidées par tant de plaisirs intenses et qui resteront gravés à jamais dans ma mémoire.

Nous évoquions souvent ce moment avec maman, et elle m’avoua plus tard qu’elle était de connivence avec cette fille qui n’était qu’une vendeuse intérimaire et que je n’ai jamais revu.

Les garces…. Mais de celles là j’en redemande.

Vitacona45

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