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La cascade à l'hôtel – Chapitre 1

La cascade à l'hôtel - Chapitre 1



EN DOMINIQUE :LA MACEDOINE DES RACES .

Bonjour, je m?appelle Ondine (Martiniquaise métisse de 30 ans, lesbienne)

Dans la première histoire mon mari a présenté notre couple, notre évolution et vous a raconté l?expérience dans le train avec cette étrangère sur laquelle j?ai flashée.

J?avais compris, après un petit échange verbal, que cette femme superbe, était hétéro mais pas insensible aux charmes féminins. Ne la sentant pas vibrer totalement sous mes premières caresses, j?avoue avoir saisi l?opportunité d?utiliser les attraits virils de mon mari pour accroître son désir sexuel, la faire craquer, abaisser ses dernières retenues et la mettre totalement à ma merci.

Je n?avais jamais imaginé, ni même aspiré ou envisagé, partager une partenaire sexuelle avec mon mari. Entièrement comblée par les rapports vécus avec mes amantes, Je ne pensais pas en tirer un avantage ou un plaisir quelconque. D?autant que lui même n?a jamais exprimé, ni manifesté, un attrait pour ce type de rapport.

Cependant après cette fête à ? deux femmes ? un homme ? j?avoue avoir changé d?avis sur l?intérêt de la chose : J?avais toujours remarqué que les femmes bi ou hétéros avec lesquelles j?ai eu des aventures avaient, quelque part, une incompréhensible ? froideur ?. Je sentais chez elles une différence nette de comportement, de chaleur, d?investissement, de participation, de relâchement durant nos échanges sexuels en comparaison avec mes amantes lesbiennes.

(Je ne me l?expliquais pas car avec elles j?ai toujours décupler d?ingéniosité, de talents, d?intensité, d?originalité, d?innovation et variété pour les satisfaire, les faire fondre de plaisir. Ceci peut être pour les faire adhérer à la cause des lesbiennes ou les faire constater que les femmes lesbiennes savent autant, sinon plus, donner du plaisir à une autre femme qu?un homme.)

L?explication m?a été révélée, de façon étonnante et troublante, durant l?échange dans ce train.

Avec la participation de mon mari, la femme s?est offerte totalement, de plus à des inconnus, sans complexes ni retenu !

C?était la première fois que j?arrivais aussi vite avec une inconnue au summum de la conquête, du rapprochement des corps, de l?échange charnelle et de l?explosion sexuelle. La présence active de mon mari en a été la cause !

Cela a déclenché chez moi, après coup un sentiment à la fois d?impuissance, de jalousie et en même temps de possession de nouveaux pouvoirs pour assouvir ma soif de conquêtes féminines.

Elle semblait à la fois libérée, hyper chaude et vibrante, envahie brutalement par une bombe de désir et de luxure prête à exploser à tout moment. Elle fondait littéralement sous les caresses de mes doigts, mes seins, ma bouche et ma langue quand mon mari la prenait de sa bite provocante par sa dureté et sa taille.

Oui ! J?avoue que cela a été une grande révélation car j?avais rarement vue une femme sombrer à cette vitesse dans une excitation intérieure aussi effrénée et forte.

Pour les femmes bi et hétéro, le contact à l?homme est sûrement un catalyseur puissant durant les échanges sexuels. Nous pouvons donc exploiter ce fait nous les lesbiennes quant nous souhaitons conquérir une femme non lesbienne et avoir un rapport sexuel majeur et vraiment complet avec elle.

Aussi je me suis alors promise, quand le besoin se fera ainsi ressentir, d?associer avec ? diplomatie ? et comme ci de rien était, mon mari à mes  ? quêtes ? féminines pour le sexe.

Par contre, pour mes rapports féminins de c?ur et d?esprit je n?ai vraiment pas besoin de sa masculinité.

Cette fois donc je lui ai proposé d?écrire cette deuxième nouvelle, d?une part pour apporter mon grain de sel à l?expérience du train, d?autre part pour vous expliquer les raisons de mon changement, et puis enfin parce que l?aventure que je vais vous raconter me tiens à c?ur pour l?intensité de ce feux d?artifice sensuel et la charge incroyable d?émotion qu?il a déployé !

Et puis, bien plus que lui, je pense que c?est moi qui ait ressenti le plus profondément le moment ! (peut être que lors de la prochaine nouvelle il vous en dira deux mots !)

En Martinique, en période de pleine lune et beau temps, pour les gens ayant envie de une aventure sexuelle originale, innovante, libérée de carcans et riche en surprises, toutes les occasions sont bonnes pour aller prendre un Bain de minuit à deux ou en groupes.

Après une soirée festive, ou au cinéma, en boite, en zouc, ou à l?occasion d?une drague, d?un flirt, d? une virée folle entre copains et copines ou simplement d?une envie de variété, de piment, d?originalité dans la relation conjugale ou amicale.

Les couples insouciants ou peu fortunés et les groupes avec plusieurs hommes accompagnant les femmes s?arrêtent plutôt sur n?importe quelle plage ou crique et vont offrir la chaleur de leur corps déjà tout excités, à la tiédeur de l?eau de la mer.

Les couples de gens plus inquiets, timides ou ceux qui veulent passer incognito louent une chambre d? hôtel pour la nuit . Ils investissent alors les plages privées des hôtels sans retenus, rassurés par la discrétion, la sécurité, etc .. garanties par l?hôtel

Les femmes lesbiennes, risquent en allant sur n?importe quelle plage, de se faire aborder dans l?eau ou sur le sable par des hommes machos, ou bien trop excités par ces ébats féminins ou encore dont la conviction de leur virilité leur monte a la tête.

Aussi en général elles envahissent les hôtels pour vaquer à leurs ébats sexuels sans gènes. D?autant que les femmes créoles, ne peuvent pas exprimer et vivre au grand jour leur nature lesbienne ou bi .

Ce sont plutôt les hommes antillais qui sont très hostiles à cette tendance qui fait surface de plus en plus autour d?eux !

Ils considèrent une lesbienne comme une femme sûrement un peu folle qui, par son attitude, révèle, de façon terrible et inacceptable, que la gente masculine, nombreuse et porteuse d?une virilité tant manifestée et offerte, serait tellement incapable de satisfaire sexuellement une femme, qu? elle se tournerait, par dépit, vers les faveurs d?une autre femme.

Ils en sont donc malades et souvent, malgré toutes sortes d?explications, ne comprennent toujours pas : comment une femme peut désirer et éprouver plus de plaisir avec une autre femme qu?avec un homme ?!

Ils se sentent relégués en dessous d?une femme ! sentiment rehaussé par le fait que, dans ces îles les hommes sont, en général, très machos, fiers de leur virilité, et convaincus que la femme est toujours inférieures et souvent un objet à la disposition de leur volonté et plaisirs divers.

Et comme sur une île, presque ? tout le monde se connaît ? et donc les ? nouvelles ? circulent à grande vitesse par le ? bouche à oreille ?, une femme dont on connaît la nature lesbienne est vite repérée, pointée du doigt et peut donc se faire rejeter à son travail, dans sa famille, par ses amis (es) etc..

Les hôtels peu fréquentés par les locaux, surtout hors périodes de vacances d?été, constituent un havre de paix et de liberté pour la gente lesbienne, gay et bi. Ils trouvent là une ? main tendue ? pour laisser libre cour à leur désirs inassouvis Et je peux vous dire qu?elles en profitent à fond et sans limites !!! ( chambres ? lieux de promenades- sauna privés- boites de nuit- piscine aux heures désertes ou en soirée- plage)., évidemment sans trop s?afficher ouvertement dans les zones public de l?hôtel pour ne pas choquer la clientèle qui pourrait ne pas apprécier !!! Lors d?une autre histoire : ? le Bain de Minuit Erotique Antillais ? je vous raconterait un de ces Week-end de folie.

Je ne me prive pas de nombreux séjours, que j?appelle ? séduction ?, à l?hôtel ou même dans les îles anglaises juste à coté (Saint Lucie ou Dominique) pour aller vraiment au bout de mes aventures lesbiennes, pour débloquer mes partenaires trop peureuses, gênées ou intimidées.

En général çà marche et nous sommes toutes les deux ou trois émerveillées de notre séjour. Cela me coûte beaucoup car c?est moi qui invite et donc qui paye. Je peux encore assumer grâce aux revenus conséquents de notre ménage et le peu de charges familiales, alimentaire et de logement (pas d?enfants ?une grande maison héritée de mes parents sur 6 hectares de terres à 3/4 cultivées avec verger, bétail, volaille et rivière)

Une seule fois c?est mon amante qui a payé tous les frais !!! Je me suis fait invitée par elle dans un hôtel de la place ou elle venait d?arriver, en voyage de noce avec son milliardaire d? époux américain (elle, une française qui travaillait aux ?tats-Unis ?désormais elle n?en avait plus besoin !!- : 28 ans et son ? jeune ? mari : 62 ans !!)

Elle était venue me consulter afin de connaître la médecine douce locale pour garder sa ligne et affermir ses seins, soit disant tombants, alors qu?elle n?avait que 28 ans !

Tout de suite j?ai flasher sur elle !! Féminine et féline à souhait dans sa robe moulante en satin rehaussée de volants, fines bretelles et empiècements en voile affolants imprimés léopard.!

D?autant que j?ai vite compris qu?elle n?y allait pas de main morte pour me réussir à séduire, avec son regard langoureux adouci par le vert de ses yeux, sa voie suave, ses doigts comme des petites tiges de cristal qui allaient souvent ratisser sa chevelure blonde longue et abondante, ses jambes qu?elle n?arrêtait pas de plier et déplier suffisamment chaque fois pour me faire apercevoir la profondeur de son entre jambe.

Elle me regardait fixement tout en parlant.

Elle avait remarqué que mon regard passait alternativement de ses yeux vers ses jambes. Je perçu alors sur son visage un sourire dont le replis au coin des lèvres était celui de la séductrice ayant repéré et déjà frappé sa prochaine victime.

Enfin, elle immobilisa une jambe pliée, le mollet posé sur le genou de l?autre. Mais, à bien regarder, le nouveau spectacle était plus insupportable pour mes sens :

L?intérieur de ses cuisses, comme deux cavernes aux parois veloutées, semblait ferme. Sa jambe pliée et posée sur l?autre révélait, juste à la naissance de sa robe moulante alors remontée bien haut sur ses cuisses, sa peau tendue dont le teint doré à mourir tranchait avec un bas marron foncé se terminant à mi cuisse.

Et le clou du spectacle se produisit quand, écartant encore un peu ses jambes dans un mouvement anodin, je découvris, au fond de cette antre de rêve, une petite bande de tissu rouge comprimé entre deux délicats renflements roses parsemés de petits poils blonds frisés !!! je ne sais combien de temps j?ai du rester paralysée par le spectacle des lèvres de sa chatte emprisonnant son slip rouge.

A-t-elle fait exprès d?élever un peu le timbre lancinant de sa voix pour me sortir de mon rêve ? mais, comme prise en flagrant délit, j?élevai d?un seul coup les yeux vers ses yeux d?un vert qui vous glace de candeur, pour constaté de nouveau son sourire, encore plus affirmé, marquant définitivement une victoire déjà assurée de son charme sur tout mon être.

Elle me parlait d?une voix feutrée et enveloppée, de sa ligne et de ses seins mais j?avoue n?avoir rien suivi de ses propos, à la fois troublée, charmée, attentive et fascinée par son jeu et sa féminité étalée et magnifiée jusqu?au bout des ongles !!!

J?ai eu une envie irrésistible d?en découvrir plus, d?admirer plus !!! Avait t?elle perçu mon désir impatient ou a-t-elle voulu me tester en déboutonnant lentement chaque bouton du haut de sa robe jusqu? en dessous du nombril. Elle marquait un petit temps d?arrêt chaque fois qu?elle posait ses doigts sur le bouton suivant et me regardait en disant :

? je vais vous les montrez, mes seins, et vous rendrez compte de visu !! ? pour le premier bouton.

Puis ? vous savez , je porte rarement de soutien c?est trop agréable de les laisser librement remuer sous le linge !! ? pour le deuxième.

? De toute façon, avec l?humidité et la chaleur, je suppose que beaucoup de femmes doivent faire comme moi dans cette île !!? Pour le troisième.

? Et peut être même ne pas s?embarrasser de slip ou string !! ? ajouta t?elle au quatrième.

Et ? c?est pourquoi aussi que je veux qu?ils restent bien ferment et debout !! dit t?elle en déboutonnant le cinquième.

A chaque regard vers moi, mon expression à la fois d?impatience et de confusion érotique ne devait pas lui échapper car ma respiration s?accélérait à tel point que mon torse se soulevait et s?abaissait de façon assez perceptible.

Et enfin ? En tant que femme, je suppose que cela ne vous fait ni chaud ni froid de voir les seins d?une autre femme !!? si cela vous gène faut pas hésiter à me le dire ! ? dit-elle en traitant le dernier bouton qui révéla un nombril délicatement et profondément taillé dans la vallée d?ange basanée de son ventre. Que n?aurais-je donné pour me précipiter vers lui et y introduire une langue caressante et fouineuse !! d?autant qu?il était décoré d?une perle se balançant au bout d?une minuscule chaîne prolongeant son piercing.

Ensuite, elle écarta, de part et d?autre, les deux pans de sa robe, libérant de l?étreinte du tissu ses deux seins, monuments de charme finement sculptés dans une chair vibrante et croquante.

Je ne pu m?empêcher d?ouvrir la bouche envahie par l?extase, regard paralysé sur ces deux monts dorés animés d?ondulations envoûtantes et apaisantes au dessus de la vallée lisse et soyeuse de sa poitrine!!

Elle avait peut être remarqué une lueur de désir dans mon regard puisqu?elle m?invita à venir vérifier la véracité de ses dires sur le caractère soit disant tombant de sa poitrine. De tous ses propos je n?entendais que des brides de phrases, mais celle qui libéra mon attente a retenti comme un ressort dans ma tête :

? Vous pouvez venir les toucher pour vérifier que je ne raconte pas des histoires !!! ?

Me dit t?elle avec insistance.

La seconde qui suivi je mit debout comme un ressort et j?ai marqué un temps d?hésitation en réalisant que je m?étais levée vraiment trop vite !!. Un sourire de conquérante dans le coin de ses lèvres me révélait qu?elle avait remarqué ma précipitation à venir vers elle.

Elle me savait totalement à sa merci. J?avais accroché à son hameçon et il lui suffisait maintenant de m?attirer à elle car l?effet puissant de sa séduction sur moi m?avait rendue sans force pour espérer encore lui résister. J?allais me laisser tirer vers elle, asservie à son charme déployé, comme droguée par son irrésistible charme féminin !!!

Je repris un peu mes esprits pour ne pas m?effondrer devant elle, prête à m?offrir toute entière à elle. Je voulais savoir d?où lui venait ce pouvoir puissant qu?elle exerçait sur moi.

J?ai fréquenté des femmes nettement plus séduisantes, bien faites et bien mises qu?elle ! Pourquoi elle alors ? Sans avoir réalisé que j?avais marché vers elle, je sortis de mes interrogations par le contact de mes mains sur les courbes chaudes et douces, oui, incroyablement douces, de ses seins.

Un premier jet de cyprine inonda alors mon slip me poussant à légèrement refermer mes cuisses de crainte que le liquide révélateur de mon excitation ne s?écoule le long de mes jambes ! Je savais que mes émissions intimes étaient souvent très abondantes.

Retenant à en souffrir mes mains pour ne pas caresser les massifs moelleux de ses seins. J?ai légèrement tremblé des doigts et, de peur peu être que je ne retire alors mes mains troublées, elle plaqua ses mains sur les miennes et se mit à faire mes mains soupeser ses seins d?un mouvement de haut en bas dévastateur sur mes nerfs.

Un frisson me traversa le corps libérant un deuxième jet de cyprine dans mon slip que je sentais maintenant gorgé de liquide chaud. Il ne fallait surtout pas que mon slip lâche son humidité le long de ma cuisse car ma jupe droite arrivant à mi cuisse, ne cacherais pas longtemps mon état.

Heureusement la femme relâcha mes mains que je m?empressai d?écarter de ces monts délicieux en détournant mon regard pour ne pas les re-plaquer tout de suite.

Me sentant affaiblie par tous ses efforts de retenu, par l?émotion et l?excitation qui me ravageait fortement en profondeur, je reculai et m?assit contre le bureau, un peu en retrait, à coté de ma ? patiente ? visiblement peu étonnée du trouble que j?avais beaucoup de mal à masquer.

Elle se leva immédiatement comme pour ne pas me laisser me refroidir et lança : ? quant à ma silhouette, il faut trouver une solution car, mois après mois, je prend un peu plus de poids !! Regardez !! ?a s?arrondi là et là de plus en plus !! Bientôt je ne pourrais plus mettre mes petites robes comme celle que je porte !! Voyez !! Jusqu?à maintenant je peux encore la mettre ! je peux encore la soulever comme ça pour remonter mes bas ou bien aller aux toilettes ! ?

Joignant son geste à la parole, elle souleva sa robe jusqu’au dessus de son nombril (percé d?un petit délicat dauphin en or) révélant ses cuisses de gazelle somptueuses, son bassin dans toute sa splendeur !!! Je sentis mes jambes me lâcher devant l?intensité érotique du spectacle qu?elle m?offrait sans pudeur :

Un minuscule string rouge vif en maille satinée dont les lanières étaient enrichies de petites perles nacrées reluisantes, cachait mal la toison blonde de sa chatte dont les lèvres rose clair et les poils d?or jaillissaient de provocation dans son entrejambe, de part et d?autre de ce bout de tissus tentateur.

Elle a du certainement apercevoir que je n?ai pas pu m?empêcher de mordre d?extase ma lèvre inférieure.

Elle ne tarda pas à se retourner, sûrement pour assainir le coup de grâce à mon inertie. Elle me présenta ses fesses magiquement mises en valeur par la splendide ? queue de baleine ? rouge du string jaillissant hors de son sillon fessier en un somptueux papillon brodés.

? Et là aussi !! ? dit t?elle, en passant ses mains caressantes sur les lobes de ses fesses, ? il ne faut pas que je prenne un gramme de plus pour qu?elles restent fermes et toniques ! Regarde quand je me penche et me relève !! On ne voit pas un seul pli de graisse sous la peau !!! ? Et elle fit alors ce qu?il ne fallait pas me faire !

Elle se pencha en avant et me présenta ses fesses et sa croupe d?enfer dans toutes leur largeur, la vulve et tout son entre jambe lancé vers l?arrière, vers moi.. Ce fut le bourreau adoré de ma retenue !! l?affolante petite bande de tissu de son string plongeait entre les deux collines fascinantes de ses fesses, telle une invitation inouie.

Sans réfléchir, pris par le vent de folie de l?excitation qui explosait par tous les pores de ma peau, par tous les muscles de mon corps , je me jetai d?un seul mouvement, la tête la première, au milieu des fesses de cette femme.

En même temps un nouveau jet abondant de cyprine vint surcharger mon slip, expulsé par mon vagin qui m?offrit immédiatement après une agréable contraction. Le trop petit bout de tissu de mon string plissée entre les lèvres de ma chatte était trop petit pour retenir ce trop plein de liquide gluant qui se mit à dégouliner sur la peau frémissante du haut de mes cuisses.

A peine le contact établi avec la chair douce et chaude de sa croupe que ma ? maîtresse ? se releva me laissant accroupie comme une chienne soumise à ses pieds!!

Et elle me lança : ? eh bien !! Quel assaut !! Mais que t?arrives t?il soudain ?! ?

Seul le tutoiement dans sa phrase me rassura sur la nature de sa réaction.

Je me relevais, fébrile, et repris ma pause, appuyée sur le bureau en disant : ? à quel jeu joues tu ? Tu déploies ton charme à l?extrême au point de m?exciter au plus haut point et, quand je ne résiste plus, tu me jettes comme une chienne ! ?

? Toi ! Excitée ! Tu m?étonnes ! Qui me le prouve ? Peut être n?es tu qu?une simple profiteuse qui cherche à avoir les faveurs d?une femme riche ?!! ? Répondit t?elle

Certaine de la preuve que constituait l?abondance de l?émission de mon désir intime je lui lançai : ? viens vérifier, tu es une femme, donc tu sais ou et à quel point on peut apprécier le désir véritable et non simulé d?une femme ! ?

Elle s?approcha et plaça directement sa main sous ma jupe, entre mes cuisses resserrées pour conserver le jus abondant de chatte imprégnant toute ma peau largement jusqu? en haut des cuisses.

Sa main, à peine arrivée en haut de mes cuisses, juste à l?entrée de ma jupe, fut retirée, baignée et reluisante de ma cyprine tiède.

? Incroyable dit t?elle je n?ai jamais senti une femme aussi humide !! tu ne va pas me faire croire que c?est moi qui t?ai fait cette effet là !!?? ?

En disant ces mots elle remis sa main dans mon entre jambe et progressa dans l?antre humide jusqu’à toucher ma chatte sûrement brûlante sous ces doigts.

Elle était debout devant moi, sa poitrine provocante était exposée à peine à 5 cm de ma tête et son parfum m?envoûtait de nouveau.

Elle déplaça habilement le tissu de mon slip et se mis à jouer, d?une main trop lubrifiée, avec les replis de ma vulve. Cette main n?était pas celle d?une novice. Elle me rappelait plutôt celles d?une lesbienne expérimentée.

? Oui, dit t?elle, je suis maintenant convaincu que c?est pas du bleuf !! Ton minet est brûlant de désir !! C?est la première fois que tu as une pulsion pour une femme ???

? Mais non voyons !! ça fait des dizaines, voire des centaines de fois !! je ne compte même plus !! je suis lesbienne !! je pensais que tu l?avais remarqué en ma faisant tout ce jeu !!!? lui dis je.

Sans me répondre elle se jeta sur moi et plaqua sa bouche contre ma bouche.

Très rapidement sa langue envahie la grotte de ma bouche fouinant dans tous les recoins en furet rapide et doux ! un frisson descendit le long de ma colonne et je passai, me laissant fondre, mes mains dans sa chevelure en lui rendant son baiser profond.

Elle déplaça sa bouche sur ma joue puis descendis sur mon cou, et s?attarda dans le creux sous le cou près de l?épaule (une de mes plus insupportables zones érogènes !!) pendant que sa main déboutonnait mon chemisier.

Un plaisir doux m?envahissait et je me reteins de ne pas gémir.

Mes mains pénétrèrent de nouveau ses cheveux parfumés pendant que sa langue descendit en serpent cajoleur vers le sillon en haut de mes seins.

Elle enleva mon soutien et ne tarda pas à prendre le bout de mes seins entre ses lèvres.

Elle remonta et approcha sa langue de ma bouche et je sortie spontanément la mienne pour que nos deux langues se titillent allégrement, mes seins plaqués, pressés, contre sa poitrine chaude et agréablement molle.

Mes doigts ratissèrent le creux de sa colonne pendant que ses doigts fouineurs et doux retournèrent honorer ma chatte humide d?une main, et la fente de mes fesses de l?autre main.

Mes muscles du vagin et de l’utérus se contractent d?excitation et de joie à l?idée des moments de plaisir et bonheur maintenant à portée de mains que l?avenir me permettrai de vivre avec cette fée que je croyais encore tout à l?heure hors de ma portée !! un autre frisson plus violent me traversa la peau, et les pointes de mes seins se sont durcies contre ses mamelons.

Je pensais que j?allais me mets à éprouver pour elle le même sentiment passionné que j?ai éprouvé il y a deux ans pour cette pauvre Sainte-Lucienne, négresse travailleuse dans les champs de banane (mais très propre et élégante malgré sa condition !!) venue me consulter pour une allergie incurable à un engrais. Grande féminité, gentillesse terrible, le c?ur sur la main, une finesse d?esprit et une curiosité renversante, une aura fascinante partout ou elle est !!! J?étais folle d?elle ! A plusieurs reprises je lui ai proposé de venir vivre avec moi. Je l?ai beaucoup aidée financièrement. J?ai même payé son billet pour l?Angleterre ou un membre de sa famille lui avait trouvé un travail dans une usine de conserve. Depuis, plus de nouvelle !!! J?en souffre car c?est l?une des seules femmes pour laquelle j?ai éprouvé vraiment un amour fort et durable.

? Elle s?écarta et me dit : ? moi aussi, chérie, je suis lesbienne !! Je m?appelle Brigitte et toi ?

? Ondine. Mais pourquoi t?es tu mariée et, en plus, avec un homme âgé !!? ? lui dis je.

Brigitte affirma : ? Mon mariage n?est qu?un prétexte pour avoir tout ce que je veux. En contre partie je donnes à mon mari la jeunesse d?une femme et puis tout ce qu?il veut que je lui fasse. Un homme âgé est moins exigeant en amour, plus compréhensif, moins possessif et jaloux. Il sait que je suis lesbienne et il m?aime, c?est pour cela qu?il a voulu se marier avec moi ! il n?aurait pas aimé une femme qui le trompe avec un homme. Avec une autre femme il accepte et aime même cela. Il m?a demandé d?assister à mes ébats de tant à autre. Il comprend qu?à mon age je veux encore jouir de la vie, donc il me laisse beaucoup de liberté que je passe avec mon amie et puis les femmes de mon choix . Toi tu m?as plu dès que je suis rentrée dans ton bureau ! Raison pour laquelle j?ai voulu savoir si je te plaisais aussi !!! ?

? Tu sais je me trompe rarement, dès les premiers échanges de regard, je sais si une femme est lesbienne ou pas ! J?arrive à déceler le désir profond dans son regard ! Alors je passe à l?attaque pour confirmation. Et puis, de toute façon, que je la crois lesbienne ou pas, je passe toujours à l?attaque par une séduction innocente mais très érotique. Qu?il y ait des suites positives ou pas c?est pas grave parce que moi-même ça m?excite toujours un peu et puis les fois ou ça marche, comme aujourd?hui, tout ce que ça m?apporte au présent et à l?avenir et tout ce que je découvre remplacent toutes les fois ou ça n?a pas marché, rejet brutal ou pas !!?

Je répondit 😕 Tu sais moi aussi je me suis marié sachant très bien en moi que j?étais lesbienne mais c?étais pour la réputation, pour éviter critiques et rumeur ! mais c?est pas plus mal car Elie est merveilleux, un ami et compagnon irremplaçable !! tu sais Brigitte, concernant ta séduction de tout à l?heure, soit tu t?y es bien prise, ou bien il y a un courant qui passe fort entre nous, peut être plus que le sexe, ou alors tu as vraiment du talent, un don !! ?

? Je te propose de vérifier cela parce que moi aussi j?ai envie de toi tout de suite !! ? dit t?elle.

? ?coute, ici ce n?est pas possible j?ai des clients à coté, dans la salle d?attente, ils vont nous entendre et puis ce serait trop précipité. Avec toi j?aurais aimé prendre mon temps pour t?apprécier, me délecter de ton c?ur, savourer ton corps lentement, tendrement.?

Ce fut elle qui semblait maintenant envahie par un trouble manifeste. Elle me proposa donc d?aller à son hôtel.

Mais ne connaissant pas vraiment ses intentions, craignant son mari, sa suite de serviteurs, au cas ou ils participeraient à nos ébats, et puis voulant garder, à partir de cet instant, une maîtrise de la situation jusqu?au bout, je lui ai proposé plutôt une île voisine, lui disant que c?est comme ça que les femmes procèdent ici pour protéger leur réputation, les rapports entre femmes étant mal vécus ici.

Brigitte n?a pas hésité une seconde à accepter mon invitation

Avertissant par téléphone son mari, elle prétexta qu?il lui fallait rendre visite à une guérisseuse en Dominique pour récupérer une plante très rare idéal pour la fermeté des seins. Son mari a accepté à une seule condition : Qu?elle se fasse accompagnée par un de ses gardes du corps et par sa ? femme de compagnie ? (comme la qualifie Brigitte !) , une certaine Nadia. J?ais compris par la suite le ravissement soudain dans les yeux de Brigitte à l?annonce que son mari, non seulement acceptais, mais que Nadia serait de la partie. Car cette ? femme de compagnie ? assure bien plus que la compagnie de Brigitte, c?est son amante à tout faire qui participa en Dominique à tous nos ébats sexuels, pour mon immense plaisir (au sens propre et au sens figuré) .

? Tu sais, me dit Brigitte en se rendant vers la porte de la salle d?attente, elle me suit en général partout, mais je n?étais pas sur que James accepterait qu?elle me suive en Dominique . Je ne suis pas encore habitué à cette aisance financière. ? ? Attends je vais te la présenter !! je pense qu?elle va te plaire ! j?ais fait jouer les relations de mon mari pour trouver cette compagne lesbienne à mon goût ! ? Rajouta t?elle en clignant d?un ?il.

Elle sortie à peine quelques secondes et réapparu avec une magnifique négresse aux yeux clair dont l?intensité du regard vous glace le sang. Sa poitrine faisait éclater le décolleté ravageur de sa robe fleurie en stretch extensible qui suivait parfaitement toutes les rondeurs superbes de son corps.

D?ailleurs, à leur départ, quand elles se sont retournées pour se diriger vers la porte, je me suis délectée en admirant son cul large et bien maté mis en valeur par un bassin à la courbure très prononcée!!

La danse délirante des hanches et des fesses qui accompagna sa démarche, féminisée à l?extrême par des talons aiguilles, me remplit tellement d?extase que j?ai du m?asseoir pour récupérer. Mes jambes me lâchaient, assommée par l?énergie perdue pour contenir le désir.

Dans un film j?ai entendu un homme dire, subjugué par les charmes irrésistible d?une femme : ? il faut que je me la fasse un jour!! ?. Le même sentiment , je croit, avait du m?envahir ce jour là envers Nadia.

Avant de retourner à son hôtel juste pour prendre quelques effets pour 2 journées, Brigitte me demanda de lui indiquer un hôtel calme, retiré, tranquille, naturel, plutôt petit mais chic, avec un personnel discret et ? compréhensif ?.

Je lui indiquai un hôtel ou j?avais déjà séjourné à l?intérieur des terres, aux abords d?une des 125 rivières de l?île (Dominique est l?île plus irriguée des Antilles et le tourisme vert y est génial !!) avec cascade, piscine naturel, jardin paradisiaque, le tout dans un cadre et un mobilier coloniale. Elle me dit alors, pensive :

? Tu sais, à bien réfléchir, ce garde du corps va nous coller à la peau tout le temps !! et puis sous son air soit disant froid et intéressé, il me semble bien voyeur !! Cette bosse inesthétique qui gonfle des fois sous sa braguette le trahit et m?agasse! je vais proposer à James de venir, il va vaquer à ses occupations,faire son sport, visiter l?île avec son garde, car c?est un passionné de nature tropicale et puis nous aurons notre paix toutes les trois. Qu?en penses tu Ondine ? ?

Je répondit 😕 Tu as raison, avoir un mec partout ou je suis et de plus avec souvent son membre dur trahissant son désir caché et brut de me pénétrer, comme cela, sans même présentation préliminaires, séduction, émotion, tendresse!! Très peu pour moi Brigitte !! Par contre pour ne pas paraître bizarre toute seule alors que toi tu es accompagnée, je vais inviter Elie à venir avec nous ! ?

Elle téléphona de suite à James pour l?avertir du nouveau programme, puis à l?hôtel pour réserver pour 3 hommes et 3 femmes en rajoutant qu?elle souhaitait n?avoir aucun autres clients présents durant ce week-end et qu?ils seraient dédommagés grassement si ils acceptaient de quitter l?hôtel dès notre arrivée le lendemain matin!!!

Brigitte demanda également une réduction du personnel au strict minimum pour assurer le service. Elle fit préparer une suite avec un immense lit, beaucoup de fleurs, du voilages et linges de lit en satin ou coton couleur pastelle, et des miroirs au plafond surtout au dessus du lit.

Ayant compris qu?elle faisait nous préparer là un nid propice à nos futurs ébats et câlins nocturnes, je lui ait dit de rajouter à la liste un fond sonore avec des sons apaisants de la nature (vagues-oiseaux-cours d?eau-etc?) et des diffuseurs d?arôme aux senteurs de Ylang Ylang, jasmin, santal et lavande musquée ( met une ambiance de détente, de bon état d?esprit,de bien-être, de bonne humeur, de fraîcheur et d?incitation à l?acte amoureux).

Je devais me charger d?amener les compléments alimentaires pour activer la libido féminine et dynamiser la sphère sexuelle des femmes.

Arrivés sur place le matin, nous avons rejoint nos 4 chambres : James et Brigitte, Elie et moi, le garde et Nadia ayant chacun une chambre individuelle. Ne sachant pas ce que me réservait Brigitte dans l?organisation de ce séjour, j?étais impatiente déjà de rejoindre la 5 ième chambre que nous avions fait préparer pour nos moments intimes à trois. J?étais persuadée que ce serait le clou du séjour . Et bien quand Brigitte et Nadia me sont apparues, 1 heure après notre arrivée, sur la magnifique véranda riche en fleurs, orchidée suspendues aux poteaux, meubles anciens, perruches et perroquets, j?ais compris que la chambre ne serait qu?un des nombreux moments chauds du séjour !!!

En fait, à ce moment là également j?ai compris le stratagème de Brigitte : Un hôtel uniquement à nous 3 femmes pour prendre, durant tout le séjour, tous nos aises en terme de vêtement sexy n?importe ou, jouir de la liberté d?évoluer nues partout et donner libre cour à nos fantasmes sexuels.

Brigitte, avec une allure hautaine, s?est présentée sur la véranda totalement nue sous une robe en polyamide bleu turquoise tellement transparente que tous les détails de son corps magnifique m?étaient révélés magnifiés par les rayons du soleil. Et Nadia était en body string blanc transparent échancré au bassin et ouvert au niveau des seins présentant ainsi au grand jour le charme ravageur de son opulente poitrine et de sa croupe indescriptible.

La surprise et cette scène inouïe d?érotisme fit mon sang ne faire qu?un tour violant de ma tête vers mon bas ventre déclenchant un frisson d?extase. Heureusement que j?étais déjà assise !!!. Cet évènement restera toujours gravée dans ma mémoire comme l?un des plus inattendu, chaleureux et prometteur !!!

Nadia s?est assise comme moi sur une berceuse en bois et Brigitte sur un magnifique fauteuil Emmanuelle. Elle paraissait là telle une déesse dominatrice, et moi, de nouveau sous son charme oppressant et d?autant plus que je paraissais étrangement gênée et diminué par mon accoutrement devant le leur.

Et pourtant j?avais pris soin de bien choisir le linge à mettre pour cette première rencontre afin d? être attirante et charmante : Un cache c?ur cintré rose, on ne peut plus féminin, en dentelle avec large poignés fendue mettant avantageusement en valeur mes seins et ma poitrine, ouvert bien bas dans mon entre sein ? et une jupe courte rouge, arrivant au dessus à ? de mes cuisses, avec dessus en maille filet arrivant lui à mi cuisse avec la taille élastiquée légèrement en V devant en dessous de mon nombril !! un tel look dans d?autres circonstances aurait fait flasher puis craquer la plus froide ou timides des lesbiennes !! Mais là, Brigitte et Nadia m?avaient effacé, ternie, presque ridiculisé !!

? je crois, dit Brigitte qui avait retrouvé sa voie feutrée et suave de mon bureau, que tu n?as pas bien compris l?objet de notre séjour ici, Ondine !!? ?c?est notre weekend, totalement notre week-end !!! Durant ces deux jours tous nous est permis !! Sans limites ni gènes entre nous, Ondine !! Alors si tu acceptes les règles de ce jeu, va te changer, tu n?es pas du tout sur la bonne longueur d?onde, Ondine !! ?

Je lui répondis 😕 Très bien Brigitte !!, tu es forte, très forte !! J?avais raison de ne pas t?avoir sous estimé à mon bureau ! Ton bagage de séduction est renversant !! Je saurait me montrer à la hauteur !! Mon seul regret c?est que je ne pourrais pas rivaliser avec vous car vous avez prévu du linge sexy pour 48 heures jour et nuit, mais moi, seulement pour 2 nuits !! ?

? Ecoute Ondine, nous ne sommes pas dans une rivalité, mais dans une liberté !! mets ce qui te plais ou, ne mets rien !! la nudité n?est elle pas le plus beau vêtement ?!! nous venons tous au monde nu !!! mais l?homme est le seul être vivant a avoir jugé bon de se vêtir par pudeur ou tout autre sentiment déviant !! mis a part pour lutter à l?extérieur contre le froid, les vêtements sont tous inutiles !!! Et puis même si tu n?as pas assez de vêtements pour décupler ton charme vers nous, peu importe, car notre amour et notre envie de toi sont déjà suffisamment puissants. Cest la raison pour laquelle nous cherchons à te séduire encore plus, te faire avoir autant envie de nous que nous avons envie de toi. Et tout ceci pour que cette fête de tous nos sens soit réussie !!! ? répondit Brigitte.

Je m?absentai 10 minutes pour revenir avec un superbe body collant blanc en dentelle extensible décolleté au dos et surtout ouvert à l?entrejambe. Je crois que l?effet sur Nadia et Brigitte a été plus envoûtant que je l?espérais car j?ais bien vu leurs yeux si charmants s?élargir, m? analyser de haut en bas et elles sont restées bouche bé durant bien 1 à 2 minutes. Surtout que je ne me suis pas gênée de légèrement entrouvrir mes jambes pour que mon coquillage de chatte rasée soit bien visible dans la fente de mon body !! Ayant déjà expérimenté l?effet dévastateur de ce body même sur les lesbiennes les plus aguerries, je pensais l?utiliser pour mettre le paquet en érotisme ce soir une fois dans la chambre-nid ! mais là mes plans sont modifiés ! il fallait ? frapper ? fort dès le début !! et en plein jour !!!!

Sortant de sa délectation contemplative Brigitte lança : ? ma chérie, tu es délicieusement croquante !! je n?en espérais pas temps de ta part !!! tu as beaucoup de goût et de raffinement !!… merci !! je crois que ces deux jours seront les plus agréables de ma vie !!! Allez, venez on va visiter la propriété avant de déjeuner. ?

Au milieu des 3 jardins somptueux et riches de l?hôtel nous avons évolué ainsi vêtues, jouant comme des enfants, riant, blaguant, goûtant aux saveurs (fruits) et douceurs (plantes, fleurs, soleil, brise tiède, oiseaux, colibri etc?) de la nature tropicales.

Au travers de quelques haltes sur les bancs de jardins, les rochers aux abords des courts d?eau, ou simplement assises sur le gazon dense, j?ai pu apprécier, en plus du charme incontestable des corps de Brigitte et Nadia exposés sous tous les angles, également la candeur, l?insouciance et la douceur de leur âmes. Elles me sont souvent apparues, durant cette promenade, véritablement telles 2 fées étincelantes évoluant dans un paradis naturel hors du monde et du temps .

Le seul point qui nous rattacha à la réalité, fut, en passant sur un petit pont chinois en arc, la vue de James et Elie, les pieds dans l?eau, discutant tant bien que mal dans un anglais francisé, en regardant le fond de l?eau de la rivière ou déambulaient des poissons mulets ou lapia et des écrevisses insouciantes.

Dans l?hôtel le personnel étaient effectivement réduit puisque nous n?avons, durant tout le séjour, repéré seulement 6 personnes : La gérante, 2 femmes de ménages, un garçon pour servir les repas, boissons, collations et porter le petit déjeuner, un jardinier et un gardien.

L?hôtel est entièrement clôturé sur une dizaine d?hectare par une haute clôture électrifiée et la porte d?entrée blindée ouvre et ferme après contrôle du gardien. James a d?ailleurs été ravi par cette sécurité accrut au point qu?il a certainement donné ? quartier libre ? à son garde du corps .

Lors du repas, toujours avec nos même vêtements,nous avons bien ressentis un relatif émoustillement compréhensible d?Elie, James et du serviteur dont la bosse, au niveau de son bas ventre, à chaque service plus grosse, révélait l?effet attirant sur ses sens de notre charme vestimentaire et corporel.

Elie et James ont planifiés une sortie à cheval dans les sous-bois de l?hôtel et nous, une sieste à mi-soleil sur des hamacs.

En progressant vers le jardin ou était les hamacs nous sommes passées près d?une étable ou James et Elie, guidés par une servante et le garde du corps, venaient de partir à cheval .

Nous avons distinctement entendu les cris de plaisir d?une femme venant de l?étable.

Nous nous sommes approchées sans bruit. Toutes les trois nous avons observés les assauts puissants du garde du corps pénétrant la chatte d?une servante couchée sur le dos sur une table. Sa jupe était relevée jusqu?au ventre et son corsage ouvert, les deux bonnets de soutien relevés pour libérer une poitrine de taille correcte malaxée sans ménagement par les mains de l?homme.

Visiblement il s?activait sur elle, introduisant son pénis à un rythme très soutenu et puissant au point, qu?à chaque coup de butoir, il propulsait la femme vers l?arrière. A chaque assaut, elle poussait un cri de douleur ou de plaisir, qui sait !? Peut être un peu des deux.

Un tel spectacle sexuel n?a rien pour apaiser un éventuel penchant voyeur d?une lesbienne, mais, c?est la dureté, l?inattendue et l?originalité de la scène qui fit que nous restâmes à regarder.

Au bout d?une minute d?assauts incessants, l?homme se retira, la bite gonflée et inclinée à 10 ou 11 h devant lui. Il retourna alors la femme comme un vulgaire sac et, attirant violemment le bassin à lui, enfourcha la femme d?un coup brusque.

Sans comprendre, nous vîmes le garde, suant de partout, cracher abondamment sur le fesses de la femme. Quand il pris la salive de sa main et l?amena vers le sillon entre les fesses,puis introduisit un doigt humide dans l?anus, que nous avons compris qu?il préparait une sodomie musclée.

Sans tarder, il s?écarta de nouveau, guida son pénis vers l??illet anal et, poussant d?un mouvement sec, il fit pénétrer le gland. La femme, visage retournée sur les coté , poussa un cri rauque en faisant une grimace.

Insouciant de ce signe de douleur, l?homme repris son rythme infernal dans l?anus suffisamment dilaté pour n?offrir aucune résistance au va et viens.

Au bout d?une ou 2 minutes, à chaque remonté du pénis, on voyait distinctement un liquide visqueux marron et un peu rougeâtre qui s?échappait du trou anal et s?écoulait dans le sillon vers la vulve. Etait ce du sang ou des matières fécales, ou les deux ??!

? C?est pas toi, Nadia, qui aurait accepté çà bien que tu aimes l?anal avec un pénis, un gode ou des doigts !!! ? dit Brigitte !.

? Ah tu peux le dire ! Alors que c?est tellement agréable quand c?est fait en douceur tout en excitant le clito!! ? lanca Nadia en me regardant fixement.

Elle avait remarqué que, chaque fois que l?occasion se présentait, j?avais du mal à détacher mon regard de son fessier renversant !? Et pourtant il le fallait pour ne pas être trop envahie de désir car ma chatte à l?air n?avait aucun tissu pour retenir toute émission importante de cyprine.

Et Nadia poursuivit en disant : ?cette malheureuse n?a évidemment pas fait de lavement avant sa sodomie !!! moi, dans mes effets de toilette, j?ai toujours ma poire pour me préparer l?anus quand je prévoit des d?ébats sexuels ?

Pris de soubresauts répétés, le garde éjacula longuement, pénis planté bien fond dans l?anus, extirpant des cris plus stridents à la servante qui, relâchée, s?affaissa, exténuée et meurtrie.

La bite sortie de son antre badigeonnée de matières fécales masquant la blancheur de sa peau. L?homme essuya son membre avec le bas de la robe de la femme, remonta son pantalon et sorti de l?étable sans un regard pour sa victime et en lui disant ? si tu ouvres ta bouche je te ferais renvoyer !! tu entends !! ?.

Brigitte, visiblement outrée, arrêta le garde à sa sortie et lui dit : ? pas question !! Au contraire, c?est toi qui sera renvoyé pour ce viol, dés le retour de mon mari si 1) tu ne fait pas des excuses à cette femme, 2) tu ne la raccompagnes en la portant à sa chambre 3) tu payes ton viole en la dédommageant avec t

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