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LA CHIENNE DE MON MAÎTRE – Chapitre 4

LA CHIENNE DE MON MAÎTRE - Chapitre 4



4 – La pesée

Encore sur un nuage savourant mes multiples orgasmes je sens Mon Maître Ange se retirer je pousse un gémissement de frustration jaurais tant aimé que Mon Maître reste plus longtemps en moi Jadore cette sensation quIl me possède, quIl memplit encore

Il me retire mon bandeau, je papillonne des paupières pour mhabituer à la lumière, Il est debout me surplombant je détourne immédiatement les yeux pour ne pas croiser les siens.

En bon prince Il mannonce que je dispose dune heure pour me reposer car la suite du programme est chargée et quIl me veut en forme Je nose imaginer ce quIl me réserve et le remercie pour cet égard.

Il quitte la chambre pour revenir quelques instants après avec la couverture quIl jette sur mon corps nu et encore attaché. Il me laisse ainsi le sexe et les cuisses dégoulinants de cyprine et de sperme, attachée au lit

Sans men rendre réellement compte car je suis vraiment exténuée je plonge dans les bras de Morphée

Lentement les brumes du sommeil se déchirent et je reprend pieds Pendant un court instant je me demande où je suis mais un bruit métallique me rafraîchit la mémoire : je suis sur le lit de Mon Maître enchaînée Je sens immédiatement mon sexe se réveiller à cette réalité

Jappelle alors Mon Maître Ange comme Il mavait dit de le faire à mon réveil Il arrive quelques secondes après

Mon Maître me détache et me donne lordre de me rendre à quatre pattes dans le salon, ce que je fais sans rechigner bien entendu

Il me demande ensuite de prendre la position de punition face au vaste bahut. Je pense à bien écarter les jambes et à bien cambrer le dos pour faire saillir mon cul comme Il aime.

Dans sa main jentends le bruit métallique caractéristique des boules de geisha, je sais quil les enduits de lubrifiant. Puis sans un mot en mécartant doucement les lèvres il introduit la première il doit forcer un peu le passage ce qui marrache une légère grimace qui sefface quand la seconde est en place.

Il me demande ensuite de rester dans cette position, Il caresse mes fesses quelques instants avant de séloigner de nouveau je lentends se diriger vers la table Avec quoi va-t-Il revenir ? Un frisson dangoisse me parcourt léchine ce qui a pour conséquence dentrechoquer les boules qui raisonnent dans mon sexe Quelle sensation étrange, je me souviens de la première utilisation je nosais pas bouger tellement cette sensation me troublais, je narrivais pas à la saisir, à lappréhender Aujourdhui cela va un peu mieux même si cela reste totalement incongru

Redresse toi ! Garde les jambes bien écartées !

Je mexécute Il passe alors devant moi je saisit un éclair bleu dans ses mains

Oh non ! Pas ça ! Pas les pinces à linge ! Javais déjà goûté une fois cette torture et navais guère envie de recommencer

Il commence à magacer le téton gauche pour le faire durcir et poindre. Il létire et place, avec quelques difficultés, la pince je gémit sous la douleur Il recommence avec le second, mais mordonne de poser moi même la pince Je déglutit avec difficulté et prend lobjet, jétire mon sein et fixe la pince Une douleur lancinante irradie ma poitrine, je nose trop bougée ni respirer trop fortement

A ta place !

Oui Maître Ange.

Je regagne alors ma couverture et caresse Mon Maître qui sest installé de nouveau dans son fauteuil.

Bien nous allons planifier notre semaine Petite soumise. Mannonce-t-Il en me tendant mon agenda.

Oui Maître Ange, et jouvre le cahier à la bonne semaine.

Bien donc demain soir après le sport nous recevons des invités

Oui Maître Ange.

Tu nous serviras cela fait partie des devoirs de la catin que tu veux devenir.

Bien Maître Ange

Mercredi tu seras là à 20h15 précises.

Bien Maître Ange

Nous regarderons un film histoire de tinstruire un peu

Bien Maître Ange, merci Maître Ange.

Ensuite, jeudi peux-tu venir pour passer la soirée avec moi ?

Euh Je ne sais pas encore Maître Ange dis-je timidement

Bien, tiens moi rapidement au courant alors !

Oui Maître Ange.

Vendredi tu seras là à 18h45, tu passeras la soirée et la nuit avec moi, ainsi que celle de samedi.

Bien Maître Ange

Debout ! lordre claque dans le silence qui cétait installé

Rapidement je mexécute et me place devant Maître Ange, les jambes écartées, les mains derrière la tête et le regard baissé.

Bien nous allons passer à la prise de tes mensurations

Oui Maître Ange.

Il faut savoir que dans mes objectifs figure celui de perdre une taille Chose qui me semble très difficile, non pas que je ne le veuille pas, mais je suis gourmande Javoue que jappréhende un peu de ne pas remplir cet objectif même si je fais tout mon possible pour

Maître Ange se lève armé dun mètre de couturière. Sans délicatesse, comme on tâte et apprécie une marchandise Il commence à prendre mes mensurations

Dabord la poitrine, Il enroule le mètre malmenant mes tétons rendu déjà douloureux par le port des pinces, cela marrache une grimace fugace Il annonce alors froidement le chiffre : 85, Il le note sur son carnet. Puis la taille : 67, là Il compare avec mon carnet et me félicite cinq centimètres de perdu ! Jen rosis de plaisir et le remercie. Par contre je déchante avec les hanches 101 ! Là jai le droit à un regard noir ! Il faut que je perde tout ça ! Je nai plus que cinq mois ! Oui Maître Ange, je ferai attention Je Vous le dois puisque mon corps Vous appartient Et enfin la cuisse 55,5 au lieu de 58 ! Je suis un peu rassurée Vous avez lair de nouveau ravit

Maintenant la pesée ! Dans la salle de bain !

Oui Maître Ange

Un sentiment étrange menvahit, jai limpression de nêtre réduite quà un morceau de viande, du bétail que lon inspecte sous tous les angles avant de lacheter,comme une esclave sexuelle Cela me trouble

Dans la salle deau Il me fait monter sur la balance : 63 kg ! Là je nai pas bougé, Il ne dit rien mais je sais très bien ce quIl pense : je suis encore loin du compte

Dans le salon à ma place sur ma couverture, caressant Mon Maître je bois ses paroles. Cette semaine je dois devenir Sa catin Un frisson dappréhension me parcourt léchine Sa catin ? Quattend-Il de moi ? Il mexplique alors ce que cette nouvelle "fonction" implique

Bien entendu je sais ce quest une catin mais je navais aucune idée de ce que voulais dire Mon Maître

Je dois Le servir dans nimporte quelle circonstance, y compris en présence damis comme je dois le faire le lendemain soir

Mais surtout je dois être offerte, prête à accepter tout ce quIl me demandera, prête à satisfaire toutes ses envies Là javoue que je suis un peu perdue à ce moment et me met à douter de moi même : ne fais-je pas déjà tout cela ?

Je pense quIl voit mon air dubitatif Il mexplique alors plus clairement quIl pourra à tout moment se servir de moi et me prendre comme Il le souhaite, où Il le souhaite Je saisit enfin Et je sens mon ventre se réveiller aux images qui défilent devant mes yeux nées de Ses paroles

Nous allons donc travailler dès maintenant à louverture de ton cul !

Bien Maître Ange.

Tu vas aller te laver ! Dépêche toi !

Oui Monsieur Ange.

Je me lève me dirige vers la table des supplices y prend la poire et le petit bol que je remplis deau tiède Je repasse prendre le tube de lubrifiant et menferme dans les toilettes

Assise sur la cuvette je reprends deux secondes mes esprits et digère lannonce de Mon Maître. Jenlève alors mon string et me rend compte que mon sexe se noie Alors que je me saisis de la poire pour la remplir mon bras tape une des pinces : une douleur mirradie toute la poitrine et marrache un gémissement. Je réalise alors que je les avais complètement oubliées et que jappréhende le moment où Monsieur Ange va se décider à les enlever Je connais la douleur brûlante que cela cause quand le sang circule à nouveau et que la peau reprend sa forme

Mais je nai pas le temps de marrêter à ses considérations Mon Maître mattend ! Rapidement alors je procède au lavement

Quelques minutes plus tard je retrouve Mon Maître dans sa chambre jétais passée entre temps nettoyer mon petit matériel et attendais au pas de la porte quIl daigne sintéresser à moi

Tu as fini ? Ton cul est propre ? Tu as tout nettoyer

Oui Maître Ange.

Au salon !

Je le devance alors mappliquant à marcher correctement avec mes talons (ce qui nest pas encore très facile pour moi qui ai lhabitude de mes baskets) balançant le bassin pour faire rouler mes fesses comme Monsieur Ange me la appris

Mon Maître, de nouveau assis dans son fauteuil :

A genoux devant moi !

Oui Maître Ange.

Ainsi devant lui le buste entre ses jambes, Il joue un peu avec mes seins qui ne sont plus quune sourde douleur à présent, je me raidis à chaque fois quIl effleure mes tétons Puis lentement Il ouvre une première pince je ne peux alors retenir un gémissement de douleur, jai vraiment beaucoup de mal à supporter les pinces Avec effarement je regarde mon téton qui conserve la forme de la pince Le sang qui circule à nouveau crée une douleur vicieuse, ça me brûle, ça me lance Vous imaginez alors aisément à quel point je redoute le moment où Il va soccuper du second sein Jaimerais pouvoir frotter le premier libéré mais je nose esquisser le mouvement de peur de me faire gronder

Le second est libéré plus rapidement jétouffe un soupir de soulagement mêlé de douleur En fait ce nest pas moins douloureux ainsi Comment faire alors ? Rien, il ne faut rien faire cela ne serait pas amusant sinon, pas vrai Maître Ange ? Votre chienne doit souffrir pour Vous et apprendre à tirer du plaisir de la douleur

Mon Maître penche alors son visage vers ma poitrine jai un mouvement de recul, peur davoir mal Mais je suis rapidement ramenée à lordre : Il pose ses deux mains sur ma croupe quIl serre comme si Il voulait y pénétrer. Et dautorité Il lèche mon sein droit, lentement en jouant avec le téton meurtri je ne peux retenir mes gémissements de douleur et mes mouvements incontrôlés de recul Il se délecte de ma peur et ma douleur, je suis sûre que ses yeux brillent, malheureusement je ne peux les voir

Avec la même lenteur Il passe au second, la douleur et la même, mais bizarrement je sens mon ventre se réveiller : les caresses de Mon Maître, quoique douloureuses, deviennent rapidement source de plaisir pour moi je sens mon sexe saliver

Bien maintenant, voyons voir ce cul ! Il faut que nous nous en occupions si tu veux devenir Ma Catin !

Oui Maître Ange répondis-je avec une certaine appréhension.

En effet les dernières tentatives de dilatation sétaient mal passée et la douleur trop forte mavais obligé à arrêter Mon Maître Ces tentatives avortées me laissaient un goût de honte, honte de navoir pas réussit à contenter Mon Maître, et un goût dinachevé également, car jai connu des sodomies si plaisantes avec Lui

A quatre pattes ! Non pas comme ça ! Met toi parallèle au meuble !

Je mexécute tant bien que mal.

Ressors moi ce cul ! Mieux que ça ! Écarte les jambes !

Et pour bien me faire comprendre Il écarte violemment mes genoux dun coup de pieds.

Ainsi disposée mes fesses sont bien saillantes et narguent un peu Maître Ange qui sagenouille derrière moi. Il caresse, mord, pétrie ma croupe avant dentamer la dilatation

Comme je suis une débutante encore Il y va doucement, Il ne débute la séance quavec le petit embout de ma poire, ce qui correspond à peu près au diamètre de son petit doigt Je me détends, du moins jessaye mais pas moyen, ai-je peur davoir mal comme les autres fois ? Pourtant je sais pertinemment quil faut que je me détende mais rien à faire Mon Maître introduit alors son index et là : une sensation de déchirure me fait crier. Pourquoi ai-je aussi mal ? Je ne comprend pas mais automatiquement je me crispe et le contrôle de ma respiration ny change rien.

Que se passe-t-il ?

Jai jai mal Maître Ange

Et bien ! Détends toi ! me réplique-t-il en continuant à soccuper de mon cul

Je je ny arrive pas Maître Ange pas dans cette position balbutiais-je.

Il retire alors prestement son doigt :

Prends ta couverture et allonge toi ! Vite !

Oui Maître Ange

Mais au moment de mallonger je pense à mes seins qui sont toujours aussi douloureux Jhésite un instant

Eh bien ? Jattends !

Je Oui Maître Ange.

Et je mallonge rapidement, en me mordant la lèvre pour me pas crier, pour ne pas décevoir plus Mon Maître

Il mécarte violemment les jambes et réintroduit son doigt Je respire lentement, jessaye de me détendre mais rien ny fait : la douleur est toujours là ! Je suis frustrée, jai honte et je suis triste de ne pouvoir satisfaire Mon Maître mais je prends la décision de lui demander darrêter,en disant le mot magique ’pouce", timidement bien sûr

Je suis déçu ! Tu mas habitué à beaucoup mieux ! Sa voix est dure, ses paroles me transpercent le cur, jai si honte Ce nest pas ainsi que tu vas pouvoir devenir Ma Catin !

Oui Oui Maître Ange Je vous présente toutes mes excuses dis-je avec des sanglots étouffés

*****

Extase, délectation et abandon… Voilà trois sensations qui envahissent mon corps alors que ma soumise subit mes derniers assauts. Mais ce dernier sentiment ne mest pas autorisé ici. Je nai pas le droit de mabandonner car je me dois de tout maîtriser. Aussi je me retire sèchement et froidement. Je me relève et me rhabille tout en contemplant ma proie exténuée par tant dorgasmes.

Je prend mon temps pour retirer son bandeau. Elle est tout de suite aveuglée par la lumière du globe lumineux provenant de la table de chevet, filtrant puissamment au travers des ailes de plomb dun dragon gardant son trésor.

De la voir ainsi, heureuse et perdue, je ne peux que men émouvoir, et connaissant la suite du programme que je veux lui faire subir tout en ne perdant pas de vue sa futur récompense je décide donc de lui accorder une heure de repos. A quoi bon se presser ? Nous avons tout notre temps pour une fois, autant en profiter. Je lui annonce et la quitte sans autre forme, sachant pertinemment que cela la frustrerai tout de même, elle qui aime tant les tendres étreintes après lorgasme. Mais je ne veux pas quelle se trompe, je ne suis pas ici pour lui offrir de la tendresse ! Si elle en veux elle a "son ange". Moi je suis en quelque sorte son"éducateur",son "dresseur"… Je me doit dêtre strict et sévère.

Je reviens tout de même quelques instants plus tard pour jeter nonchalamment une couverture sur son corps recroquevillé et attaché puis jéteins la lumière.

Je retourne alors à mes préparatifs avec la pensée obsédante et délicieusement sadique de savoir mon esclave attachée, nue, débordante de ma semence, trempée de son propre désir et sans la possibilité de pouvoir se vider… Cela mexcite et jai alors bien du mal à attendre lheure que je lui ai promis. Mais soit, je le fait.

Au bout dune heure, son horloge biologique bien réglée par la crainte de la punition je lentend mappeler. Je ne la fait pas trop attendre sans tout de fois me hâter à sa rencontre. Il ne faut pas oublier qui commande ici… Je la détache et sans plus attendre je dégage la couverture pour offrir à mon regard ce corps qui mappartient. Je lui ordonne alors de me suivre dans le salon, à quatre pattes,tirée par sa laisse pour la suite de notre programme.

Une fois arrivée je lui fait prendre sa position de punition, elle doit sûrement en prendre peur et se demander quelle faute elle a bien pu commettre. Mais ici rien de tout cela. Si je la fait placer ainsi, les jambes bien écartées et la croupe relevée cest pour enfoncer au plus profond de son intimité ces petits objets diaboliques que sont les boules de geisha. Jagit très vite pour quelle nai pas le temps de comprendre ce quil se passe, les enduit largement de lubrifiant et les enfonces sans vergogne.

Voilà les deux objets vicieux plantés en elle et qui la plongerons dans détranges sensations dès quelle fera le moindre mouvement. Cela dit je nen ai pas fini.

Elle obéit bien et nest pas tombée dans le piège de se relever une fois la pose finie car je ne lui avais pas commandé de le faire. Elle reste ainsi et moi je vais chercher deux nouveaux objets de torture. Je reviens ainsi avec deux pinces bleus en plastique dur. Jempoigne sans douceur le premier sein, le malaxe un peu pour en faire sortir le téton puis mattelle à mettre la première pince. Je ne manque pas de voir avec quelle horreur ma soumise découvre lobjet car elle a déjà eu lexpérience et sait combien cela peut être douloureux… Mais ce quelle na pas encore découvert cest quavec cette douleur sa sensibilité sen trouvera exacerbée et quainsi sa poitrine sera réceptive à des formes de jouissance quelle na pas encore eu goût de découvrir.

Mais de la vient ma première difficulté pratique du à mon inexpérience !

En effet je venais juste de lui mettre les boules de geisha, mes doigts étaient donc encore enduits de lubrifiant et de sa cyprine ! Ainsi son téton ne cessait pas de me glisser des doigts et finit lui même par être lubrifié, la pose de la pince fut alors assez fastidieuse pour que je mavance sur mon enseignement en lui apprenant le supplice de se linfliger soi même en lui demandant de se mettre elle même la deuxième pince.

Je lui tend donc lobjet quelle regarde avec beaucoup dappréhension mais quelle prend. Ensuite je la vois consciencieuse, bonne élève de son maître soucieuse de bien faire, poser son propre instrument de torture…

Tout cela ne sest pas passé sans quelques gémissements mais globalement je suis satisfait de son attitude. Je vais donc me poser le plus naturellement du monde dans mon fauteuil, regarde son petit cul bien bombé et ses cuisses humides de son désir et lui ordonne daller à sa place sur la couverture à coté de moi.

Aussitôt elle se met à luvre, loreille tendu aux dires de son maître et ses mains caressants mon torse. De sentir ce contact, cest pour moi comme sentir son indéfectible désir de mon corps. Et de me sentir ainsi désiré si… Comment dire ? Pulsionnellement ? Sauvagement ? Primairement ? Cela fait gonfler mon sexe dun désir tout aussi tribal.

Mais je ne laisse rien paraître et sèchement je lui tend son agenda et lui explique que nous devons nous organiser.

Là dessus il ne nous faudra pas plus de dix minutes pour établir ce planning strict, avec des horaires bien imposés, étalés sur toute la semaine. Ainsi je dose savamment mystère et connaissance pour quelle craigne ce qui lattend tout en le désirant et en aiguisant sa curiosité vicieuse.

Jattend quelques temps de flottement puis je lui ordonne sèchement de se lever. Immédiatement elle se met en position, en face de moi, jambes écartés, mains derrières la tête, les yeux baissée, en un mot : "offerte".

Alors je lui annonce que nous allons prendre ses mensurations en vue de ses objectifs. Je prend le matériel adéquat et commence mon "inspection".

Sans aucune tendresse, comme sil sagissait de la plus simple marchandise quil faut évaluer. Elle se prête volontiers à cette exercice ce qui memplit de fierté et de pouvoir. Ainsi elle me fait sentir à quel point elle mappartient. Je la possède et en dispose comme bon me semble, même si cela veut dire pour elle dêtre reléguée au rang de simple objet. Comme cela mexcite ! Mon vit est tout dressé durant toute la durée de lexercice ou parfois je passe une main rude dans son entrejambe, essuyant ses lèvres gorgées de désir pour en tester lhumidité qui ne réduit décidément pas.

Je crois que dans tout cela ce qui me plut le plus fut le moment de la pesée. En effet si la prise pure des mensurations sadresse encore à lobjet humain, la pesée elle sintéresse à tout objet, nimporte lequel. Ainsi jen termine par cet exercice et en retire un plaisir sadique certain.

Cette séance terminée je la fais revenir au salon, à sa place desclave, au pied de son maître tout puissant pour le moment phare de la séance : lannonce de lobjectif de la semaine.

Je prend le ton le plus grave possible pour quelle comprenne toute la portée symbolique et limportance de celui-ci : devenir ma catin !

En lui annonçant je lui explique ce que cela implique pour moi : être toujours offerte, quelque en soient les circonstances et quelque soit lorifice qui lui sera sollicité (bien sûr dans le cadre de notre contrat cela ne prend pas en compte des situations telles que les rencontres familiales). Pour cela elle devra travailler dur, apprendre à me sucer comme une catin, ouvrir son cul pour accueillir mon membre sans attente .

Mais cest aussi un comportement : se comporter comme tel, racoler son lot de sexe, allumer toute étincelle sexuelle exploitable…

Je nen dis pas trop long non plus pour laisser son imagination aussi prendre sa place et donner loccasion à ses désirs, même cachés delle même, de sexprimer dans linterprétation de mes dires.

Tout de fois elle me semble un peu perdue je lui explique alors concrètement ce qui sera attendu delle si un jour elle a lhonneur de devenir ma catin.

Alors seulement il me semble quelle saisie la profondeur de ma pensée. Cela nous met en phase et japprécie ces moments là, ces moments où elle accepte en connaissance de cause, lassouvissement de mes fantasmes par lassouvissement des siens.

Bien sûr jétais décidé à tout de suite mettre en pratique cela pour bien illustrer mes propos. Ainsi, devant toujours être offerte et accessible par nimporte quelle orifice il était de bonne augure de travailler la dilatation de ce charmant petit cul qui depuis quelques temps déjà me faisait résistance. Alors ni une ni deux, le sexe déjà érigé par la perspective de ce chaud refuge je lui ordonne sèchement daller prendre sa poire à lavement et daller sexécuter. Ce quelle fait, là encore, sans aucune protestation… Je pense quelle est encore sonnée par notre discussion, mais sa soumission est indubitable, cela mexcite.

Le temps de son lavement me parait atrocement long et jai limpression que des heures viennent misoler de ma petite soumise. Mais heureusement elle fini par réapparaître, son bol et sa poire dans les mains, bien propres et lavés, comme une bonne petite esclave à son Maître. Ma bite na toujours pas désenflé alors je l’amène à quatre pattes au salon où je commence dabord par enlever les boules de geisha inondées de sa cyprine puis je mattelle aux pinces.

Là je dois dire que mon sadisme a pu enfin sexprimer pleinement et jen ai ressenti un très grand bonheur et une immense satisfaction. Jai adoré regarder son visage grimacer et entendre son petit râle aigu lorsque jenlevais la première pince pour observer ensuite un téton sculpté par la pince. Ma queue allait exploser lorsque je mattaquais alors avidement à la deuxième pince. Jétais persuadé que toute sa poitrine devait être irradiée par la douleur et quintérieurement elle luttait pour lapprivoiser car je la voyais faire preuve dun grand courage… Grand courage que ma langue vint récompenser en léchant le téton meurtris. Geste délicat et attentionné extérieurement mais profondément sadique réellement car chaque coup de langue venait raviver la douleur tout en la mêlant à un insidieux plaisir quun personne inculte refuserai de saccorder. Je sens alors sa poitrine tenter timidement de séchapper alors que le reste de son corps tente de la contrôler pour accepter les actes du Maître. Je ne cesserai que lorsque le téton aura retrouver une forme naturelle et que ma petite soumise sera bien excitée.

A ce moment là je lui demande de se mettre à quatre pattes sur une couverture en face de moi. Quelle se tient bien dans cette position et mon imagination polissonne simagine déjà comblant ce cul béant de ma semence. Cela aiguise mon appétit et comme jadore ce "royal" fessier je ne retiens pas la tentation daller le pétrir et le croquer : après tout elle mappartient jen dispose comme bon me semble et je sais quelle adore cela.

Ma gourmandise satisfaite et mon sexe sur le point déclater la braguette tendue à lextrême de mon pantalon en sky jentreprend alors le travail de dilatation avec minutie, "doigté", et patience. Jai appris que concernant cet orifice, surtout lorsquil est novice, la force et la brutalité nentraînait pas de bon résultat. En effet pour que lanus se dilate bien il faut que la soumise soit détendue, hors un passage en force douloureux ne mène certainement pas à cet état. Je commence alors doucement à caresser sa rosette que jenduis par là même de lubrifiant (pareil, jai appris quil ne fallait pas lésiner sur ce produit, ça se vend par tube de 100 ml alors ne soyez pas avare lorsquil sagit de la sodomie).

Ensuite jutilise le petit embout de la poire à lavement (plus fin quun petit doigt) pour faire quelques allées et venue entre les deux fesses charnues. Jusquici tout se passe bien et je me contrôle assez pour ne pas lui sauter dessus et la prendre sauvagement. Jenduit alors mon index droit de lubrifiant, ma main gauche étant entièrement recouverte de bagues articulées il vaut mieux ne pas sen servir car je doute quune griffe en argent soit des plus relaxant.

Jenfonce précautionneusement mon doigt dans sa rosette et je la sent instantanément se resserrer ! Par la même petite soumise grimace et soupire de douleur intense. Je lui demande ce qui ne va pas et elle minforme de sa vive douleur. Soit, je stoppe tout mouvement et reste calmement mon doigt planté dans son cul en attendant quelle se détende. Généralement cest la meilleur chose à faire dans ces cas là et bien souvent, après les quelques minutes dadaptations nécessaires lanus se dilate et lexercice peut se poursuivre. Mais là je la sens tendue comme un arc et en effet le temps narrange rien à laffaire, plus ça va, plus elle a mal. Dans ce cas je retire mon doigt et la fait sallonger complètement pour quelle puisse se détendre. Ainsi jai vraiment tout mis en uvre pour quelle se sente bien, elle na aucune raison dêtre tendue. Pourtant elle va persister dans cette état et après un nouvel essai avec mon index elle abandonne lâchement ! Je suis très déçu car je sais que dordinaire, même dans les mauvais jours, elle va beaucoup plus loin que cela et ne me cache pas de lui dire pour quelle sente bien le poids humiliant de son échec !

La prochaine fois elle aura intérêt à être assez détendue pour venir delle même sempaler sur ma bite, mais cela je ne le dis pas, cela nuirait irrémédiablement au climat de détente nécessaire à la pratique et en plus la voyant rougir à lextrême je sais quelle pense déjà à fournir les plus grands efforts que ses ressources lui permettent.

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