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La correspondante asiate de Marie – Chapitre 2

La correspondante asiate de Marie - Chapitre 2



Ce fut Mme Ghuilemins qui enraya cette spirale de la perversité ordinaire. Elle alla trouver son grand garçon dans sa chambre à coucher, un soir, à la tombée du crépuscule. Jean-Edouard était installé face à son ordinateur et faisait semblant de rédiger un document truffé d’équations complexes, alors qu’en réalité il téléchargeait des vidéos pornographiques mettant en scène des asiatiques à la peau brune et aux allures de gazelles. Sa mère s’arrêta sur le pas de la porte :

-Jean-Edouard, ça te dirait de refaire le professeur ? Je crois que j’ai quelque chose à te proposer

Elle faisait allusion aux cours de soutien scolaire que le garçon avait dispensé de façon très irrégulière à certains des enfants de ses amies. Cette perspective n’enchantait guère le pauvre Jean-Edouard. Mais ce dernier savait qu’il n’avait guère le choix : son refus de travailler pendant ses interminables vacances de thésard désolaient ses parents et son père songeait même à un moyen de le contraindre à intégrer son entreprise, au moins jusqu’à la rentrée. Aussi le garçon hocha-t-il la tête pour encourager sa mère à poursuivre.

-Alors je t’ai trouvé une élève : Samaryl. Elle a vingt-et-un ans dans deux semaines. Ton père et moi avons décidé de lui payer des cours de langue en guise de cadeau. Elle en parlait car elle trouve qu’elle n’est pas assez à l’aise à l’oral. Alors plutôt que donner de l’argent à un des copains de Marie, je préfère que  tu t’en charges

Jean-Edouard approcha son visage de l’écran pour ne rien laisser paraître de l’émotion qui l’envahissait.

-Et on commencerait quand ? demanda-t-il d’une voix éteinte.

-Demain ? Le plus tôt sera le mieux. Samaryl rentre en Indonésie dans une vingtaine de jours, alors inutile de perdre du temps

Le garçon acquiesça. Dès que sa mère eut tourné les talons, il passa ses mains dans sa chevelure blonde en respirant bruyamment. Des heures et des heures en tête à tête avec la belle ! Confrontation obligatoire ! Impossible d’y échapper, à moins de tomber malade ou de se jeter par la fenêtre !

Jean-Edouard balaya d’un geste brusque le bordel qui encombrait son bureau. Puis il s’empara d’une feuille sur laquelle il griffonna les bases d’une progression pédagogique. Toutes sortes d’idées géniales déchiraient comme des éclairs les ténèbres de son esprit tourmenté. Il avait comprit qu’il tenait là l’occasion rêvée d’impressionner Samaryl : et il n’allait pas faillir mais combattre et vaincre ! L’Indonésienne le respectait ? Soit ! Elle quitterait la France admirative de sa personne !

    

*

Jean-Edouard remporta une première bataille le soir-même, au cours du dîner. Quand sa mère annonça à Samaryl qu’elle lui avait trouvé un professeur particulier, puis quelle était l’identité de ce dernier, le garçon, au lieu de rougir fortement comme à l’accoutumée, redressa la tête et lança à sa future élève un regard pénétrant. Déstabilisée, la jeune fille baissa les yeux avant de remercier ses hôtes en leur faisant des sourires et moult petites courbettes. Marie soupira mais n’osa pas contester ouvertement la décision parentale d’embaucher son imbécile de frère. Avait-elle aperçu la lueur conquérante qui brillait derrière les verres sales de ses lunettes ? Ou plus simplement se doutait-elle que le copain qui s’était proposé et pour lequel elle avait toujours eu un faible – avait surtout dans l’idée de donner à sa correspondante des cours de langue au sens propre ?

Sachant que seul un sommeil de qualité lui permettrait d’affronter cette situation en pleine possession de ses moyens, le garçon renonça vaillamment à passer la nuit à consulter des sites X. Il se coucha donc bien avant la tombée de la nuit et s’endormit aussitôt, assommé par un somnifère autrefois subtilisé à ses parents.

Le lendemain matin, Jean-Edouard ne s’autorisa qu’un seul orgasme, sous la douche et à des fins purement hygiéniques. Il effectua neuf flexions et presque autant de pompes et passa le reste de la journée à se promener aux alentours du manoir afin de s’aérer l’esprit.

Samaryl et Marie furent de retour dès seize heures. Jean-Edouard marcha d’un pas décidé jusqu’au transat dans lequel la belle se prélassait, au bord de la piscine. Fort heureusement, sa tenue était du domaine du supportable : un polo rose déboutonné et un bermuda crème BCBG à peu près aussi sexy qu’un voile islamique

-Veux-tu que l’on fasse la leçon tout de suite Samaryl ?

Le garçon s’était exprimé d’une voix presque sépulcrale. Intimidée, Samaryl se redressa d’un bond et  alla s’asseoir sans discuter dans le canapé du salon. Jean-Edouard s’installa à ses côtés et se tourna lentement vers elle. Ses genoux touchaient presque ceux de la belle.

La première leçon avait été si bien pensée que le garçon n’eut plus qu’à se laisser porter. Sa timidité maladive s’effaça au profit d’une assurance à laquelle il n’était guère habitué. La belle Indonésienne s’impliqua pleinement dans toutes les situations d’apprentissage proposées et au terme de cette heure de conversation rondement menée salua son professeur en inclinant le buste à plusieurs reprises. Jean-Edouard détourna les yeux pour ne pas être tenté de chercher à apercevoir ses adorables petits seins.

La leçon du lendemain se déroula d’une façon identique, à un détail près : Samaryl avait troqué son short catho contre une courte jupe de jean déchirée. Son professeur en fut quelque peu déconcentré et s’efforça tout du long de ne pas loucher sur les cuisses fuselées de sa belle élève.

Le troisième jour, Samaryl parvint à le faire vaciller d’une seule pichenette en lui posant soudainement une question bien indiscrète :

-Jean-Edouard, tu as une petite amie ?

Troublé, Jean-Edouard releva lentement la tête, s’attendant à voir sur le beau visage de son étudiante une expression moqueuse, identique à celle qu’affichaient son père et Marie quand ils cherchaient à l’ennuyer en abordant ce genre de sujet de façon frontale. Mais Samaryl le considérait d’un air bienveillant en lissant d’une main experte sa chevelure de Lorelei. Le garçon bafouilla un  horrible mensonge :

-Je J’ai rompu il y a six mois (ce qui correspondait à sa dernière conversation avec une personne de sexe féminin qui ne soit pas un membre de sa famille : Estelle, une des amies de Marie, avec laquelle il n’avait pas la moindre chance)

Son élève lui sourit gentiment avant d’annoncer d’une voix triste :

-Samaryl non plus pas avoir de petit amoureux Ancien copain de Samaryl pas sérieux Samaryl s’est séparée de lui

Jean-Edouard fut pris d’un violent accès de panique. Il regarda sa montre et décréta d’un ton brusque que la leçon était terminée. Puis il se leva et quitta la salle comme un automate, sans plus prêter attention à la demoiselle. Il se réfugia dans sa chambre et s’écroula sur son lit. Le visage enfoui dans son oreiller, il se traita d’ « imbécile » et de « sombre crétin ». Samaryl avait-elle succombé à son charme ? N’importe quoi ! Cherchait-elle à l’affoler pour se moquer ou s’était-il tout simplement trompé quant à son attitude ? Quoiqu’il en soit sa réaction de misérable puceau avait été désastreuse !

Lors du dîner, Jean-Edouard se montra volontairement sous son plus mauvais jour : nerveux, presque agressif. Il afficha tout du long une expression qui se voulait implacable mais qui lui donnait plutôt l’air d’un détraqué. Cependant personne ne lui prêta attention. Comme à l’accoutumée, son père monopolisa la conversation pendant que Marie et Samaryl discutaient à voix basse de leur programme du lendemain.

Après le repas, Jean-Edouard regagna sa chambre avec la ferme intention de jouer toute la nuit à des jeux de guerre ultra-violents. Mais alors qu’il gravissait l’escalier qui conduisait à son antre, au deuxième étage du manoir, il entendit s’élever dans son dos la voix de Samaryl :

-Jean-Edouard ! Jean-Edouard ! Je voudrais demander explication !

Elle le rattrapa au sommet des marches et s’approcha dangereusement. Qu’elle était petite ! Et si fragile ! Elle n’arrivait même pas à l’épaule de son professeur.

-Je mal comprendre quelque chose : le emploi du conditionnel et le différence avec le futur simple. Tu peux me expliquer encore ? Si je dis « Si demain j’ai le temps, j’achèterai un maillot de bain. », c’est futur ou c’est conditionnel ?

Jean-Edouard se dirigea vers sa chambre en marchant comme un somnambule : résister ! Ne pas répondre à l’appel de cette si jolie sirène ! Dans quelques secondes il serait en sécurité et ne risquerait plus de se ridiculiser. Mais pourquoi était-elle aussi cruelle ? Que y avait-il de si drôle à lui faire perdre tous ses moyens ?

-Tu pas vouloir expliquer moi ? lança une dernière fois l’Indonésienne d’une petite voix innocente et  totalement craquante.

Jean-Edouard avança d’un pas, mais Samaryl se glissa contre la porte, relevant la tête et tendant sa jolie bouche en direction du garçon. Alors tant pis : le jeune homme se jeta sur la poupée indonésienne. Dans un état second, il écrasa ses lèvres charnues contre celles de sa belle élève, ses baisers croissant en intensité à mesure qu’il la serrait dans ses longs bras osseux. On aurait dit un vampire assoiffé, effrayé à l’idée d’être interrompu dans son festin de sang. Un dernier baiser brutal arracha à Samaryl un petit cri de douleur. Les yeux fous, Jean-Edouard se redressa et attendit la paire de claques qui n’allait sûrement pas tardé. Mais la belle se contenta de passer le dos de sa main sur sa bouche humide :

-French Kiss vraiment comme ça ? Faire mal !

Alors Jean-Edouard la poussa dans son repaire en lançant des regards inquiets en direction de la cage d’escalier, puis il se rua sur elle, la renversa sur son lit défait et l’embrassa à nouveau comme un sauvage. Samaryl passa ses bras autour de son cou et lui montra qu’elle savait elle aussi faire des baisers avec la langue. Jean-Edouard prit soudainement conscience qu’il avait été aveuglé par son manque total d’estime de soi. Puis il éprouva des sensations jusqu’alors inconnues et se retrouva plongé dans un état de félicité absolue.

Jamais un fruit ne lui avait semblé aussi délicieux que les lèvres de la belle. Et Samaryl était tellement somptueuse ! Elle avait désormais les paupières gonflées et respirait lentement, signe que les baisers passionnés du garçon produisaient leur effet. Puis celui-ci commença à lui caresser les jambes et même l’intérieur des cuisses, très haut, tout près de sa culotte. Jean-Edouard bandait très dur mais prenait tout son temps, jouissant pleinement des décharges de plaisir qui se répandaient dans tout son organisme.

Pris d’une envie soudaine d’admirer Samaryl dans toute sa splendeur, Jean-Edouard s’agenouilla au pied du lit. La princesse était allongée sur le dos, ses immenses cheveux noirs de Barbie déployés tout autour de son beau visage et les cuisses largement écartées. Sa jupe en jean était retroussée et ne cachait plus grand chose de son slip noir en soie. On distinguait la forme des lèvres de son sexe et entre elles une tache de mouille encore presque invisible. Mais quand Jean-Edouard posa le bout de son index sur le renflement de la petite culotte sexy, Samaryl le repoussa doucement :

-Je dois descendre Jean-Edouard, Marie va chercher moi. Je serais très honteux après

Elle se releva souplement et réajusta sa jupe. Puis elle se pencha et embrassa tendrement son partenaire en posant ses mains sur ses épaules :

-Mais tu pas t’inquiéter, je reviens plus tard

*

Emballer Samaryl avait été pour Jean-Edouard une expérience totalement inattendue et presque irréelle. Le garçon ne comprenait toujours pas par quel miracle une telle beauté était ainsi tombée sous son charme. Mais alors qu’il attendait avec impatience le retour de la belle, le plaisir et la fierté s’estompaient déjà au profit d’un sentiment d’angoisse grandissant. Jusqu’à présent, tout s’était déroulé à la perfection : le garçon avait caressé la peau satinée de la splendide asiatique en faisant preuve d’un feeling extraordinaire. Mais parviendrait-il à lui faire l’amour avec autant d’aisance ? Samaryl devait espérer un French Lover de première classe et non pas un benêt pathétique tout juste bon à jouir en secret avec ses petites culottes.

Comme s’il s’agissait d’une opération militaire, Jean-Edouard élabora un plan d’action : en premier lieu, échanger avec Samaryl quelques tendres French Kisses, puis l’embrasser derrière les oreilles et dans le cou, caresser ses seins, puis ses fesses et ses cuisses. Enfin, fourrer sa tête entre ses jambes et embrasser ses lèvres du bas comme s’il s’agissait de sa jolie bouche. Préliminaires terminés ! Après un pareil traitement, elle serait trempée et il ne resterait donc plus qu’à la pénétrer comme on enfonce un couteau chauffé à blanc dans une motte de beurre tendre. Ce n’était pas sorcier. Quelques coups de reins comme quand il baisait son oreiller en imaginant sa cousine Sophie ou Catherine, la meilleure amie de sa mère. Simple formalité. Et en cas d’éjaculation précoce, il prétendrait qu’il était « trop excité » et lui proposerait de recommencer. La regarder nue lui permettrait de se remettre à bander dans les plus brefs délais.

Jean-Edouard avait pensé à tout. Sauf à l’éventualité que Samaryl ne veuille pas « coucher » et au problème des préservatifs qui ne lui effleura même pas l’esprit. Mais Samaryl ne se montrait pas. La rejoindre dans sa chambre était hors de question. Les parents logeaient de l’autre côté du manoir, mais Marie dormait juste en face et avait pour habitude de laisser sa porte entrouverte.

Pour passer le temps, Jean-Edouard se brossa à nouveau les dents, méticuleusement. Puis il vérifia l’odeur de ses aisselles et celle de son gland. Rien d’anormal : « check-up OK, paré au décollage mon commandant ! » pensa-t-il en saluant un gradé imaginaire. Il contempla sa verge qui commençait à gonfler. Un bien bel engin. Vingt centimètres s’il partait de la base de ses testicules. « Et j’en connais une qui va en profiter, de mon gros airbus A320 ! » gloussa-t-il pour se donner du courage, avant de se sentir grotesque à pavoiser ainsi alors qu’il n’avait rien d’un queutard cynique

Onze heures quinze. Jean-Edouard n’en pouvait plus et arpentait sans relâche sa chambre et le corridor, à l’affut du moindre bruit. Mais qu’est-ce qu’elle foutait ?

Presque minuit. Jean-Edouard s’allongea sur son lit et ferma les yeux pour essayer de se détendre. Et si elle ne venait pas ? Et si elle avait subitement réalisé qu’il n’avait rien d’un beau gosse ? Au moins, il aurait déjà roulé des pelles. La perte du pucelage serait pour une autre fois. Avant ses trente ans. Au besoin avec une escort. Tant pis pour ses économies.

Minuit passé. Jean-Edouard sursauta. Une présence à ses côtés : Samaryl, assise sur le bord du lit dans un kimono blanc en satin. Elle passa la main dans les cheveux ébouriffés du garçon :

-Tu dormais ? Je peux retourner dans ma chambre, chuchota-t-elle.

Jean-Edouard l’enlaça brutalement, à la façon d’un rugbyman :

-Non ! Surtout pas ! Je t’attendais Samaryl !

-Je bien désolée mais ton papa montré moi un bel album sur Bordeaux et la région, avec beaucoup de photos. Lui m’a raconté beaucoup d’histoires, même ta maman est allée dormir avant

-Ce n’est pas grave, je suis content que tu sois venue Jean-Edouard embrassa tendrement la jeune Indonésienne en songeant que son père était tout de même un lourdingue de première catégorie. L’habitude de commander, d’être écouté par des encravatés aux ordres, d’avoir à ses trousses des cohortes de secrétaires et de jeunes stagiaires séduisantes

Après quelques baisers passionnés, Samaryl ôta délicatement son kimono. Elle ne portait rien dessous à l’exception d’un slip brésilien rose saumon en dentelles que Jean-Edouard connaissait bien. Mais le souvenir honteux de tout ce qu’il avait fait avec cette petite culotte fut aussitôt balayé par le désir qu’éveilla en lui le spectacle du corps élancé de Samaryl. La langue pendante, il contempla les petits seins fermes aux tétons pointus et dressés. Puis Samaryl tourna sur elle-même en riant et en faisant onduler sa chevelure. Ce cul qu’elle se payait ! Des fesses rondes et rebondies qui donnèrent à Jean-Edouard l’envie de la fesser. Fou de désir, le garçon l’attira à lui et embrassa tout ce qui passait à portée de sa bouche vorace : la gorge, les seins, les flancs. Samaryl le repoussa pour pouvoir faire glisser son slip le long de ses jambes de top model. Jean-Edouard jeta son tee-shirt et son short à l’autre bout de la pièce et baissa son caleçon, exhibant avec fierté ce qu’il considérait comme son meilleur atout : sa grosse queue. La poupée regarda un instant l’énorme pénis d’un air troublé. Puis elle s’allongea sur le lit, les chevilles croisées, une main négligemment posée entre ses jambes, l’autre essayant de cacher ses seins. Le grand jeune homme était un brin déçu de la facilité avec laquelle elle passait à l’acte : il aurait voulu que les préliminaires s’éternisent afin de rester le plus longtemps possible dans son domaine de compétences limité.

-Mais tu fais attention. Ton chose est très gros, tu vas me faire mal si tu ne fais pas doucement, le prévint Samaryl.

-Jean-Edouard s’allongea lourdement sur sa partenaire et couvrit son visage de baisers bruyants :

-Attention, tu me étouffer ! Tu me faire un peu mal !

Préférant être pénétrée qu’aussi maladroitement embrassée, Samaryl attrapa la verge du garçon entre ses doigts aux ongles manucurés :

-Attends. C’est par là. Je vais te aider à la mettre.

Encore incapable de se contrôler en de telles circonstances, le pauvre garçon sentit tout son corps se contracter la main de sa partenaire était tellement douce ! – et sut que s’il ne faisait rien, il allait éjaculer avant même d’avoir perdu sa virginité ! Alors il échappa à l’étreinte de Samaryl et plongea la tête entre ses cuisses. Son état d’extrême nervosité l’empêcha d’apprécier la vision puissamment érotique du sexe légèrement bombé et surmonté d’un duvet noir taillé à ras. Tâchant de surmonter sa peur, il commença à tripoter la belle :

-Attention mon chéri. Tu me faire un peu mal

A tout hasard, Jean-Edouard enfonça sa langue dans la fente étroite puis aspira les tendres chairs roses entre ses lèvres pincées en se demandant où se trouvait précisément ce fameux clitoris. Pour ne pas le contrarier, Samaryl se laissa faire pendants quelques instants, avant d’appuyer doucement sur son front du bout des doigts, pour le forcer à relever la tête :

-Moi vouloir autre chose, supplia-t-elle

Toute nouvelle reculade était impossible ! Alors Jean-Edouard se coucha sur Samaryl et essaya d’introduire son pénis pendant qu’elle se contorsionnait pour ne pas avoir les seins écrasés. Puis elle l’aida à enfoncer sa verge raide. Mais la sensation de son gland glissant doucement entre les parois chaudes et humides fut fatale au garçon : il se retira aussitôt et arrosa le ventre de sa partenaire d’un jet de foutre épais en poussant un gémissement ridicule. L’espace d’un instant, on aurait dit qu’il allait se mettre à chialer. Puis il s’effondra et débita comme un automate les excuses prévues :

-Je suis désolé. J’avais trop envie. Je n’ai pas fait l’amour depuis six mois. On va recommencer.

Jean-Edouard avait de la chance car Samaryl était une jeune personne compréhensive et peu regardante quant à la qualité de ses amants. Après s’être essuyée, elle posa la tête sur son épaule :

-Tu es très beau. J’aime garçons comme toi : grands, minces, blonds.

Jean-Edouard jugea plus prudent de ne pas la contredire : elle se rendrait compte bien assez tôt qu’il était plutôt très ordinaire. Mais elle ? Avait-elle conscience de son charme stupéfiant ? De sa valeur sur le marché des choses de l’amour ? Jean-Edouard lui posa la question en des termes détournés :

-Et toi, dans ton pays, on te trouve comment ? Tu as du succès ?

-En Indonésie garçons m’aiment bien et me trouver jolie, mais quand je vois Marie ou ses amies françaises, je me sentir très moyenne. Si Marie venir en Indonésie elle pourrait devenir une actrice ou une chanteuse ! Nous les Indonésiens avons des peaux noires pas très jolies. Nous aimons mieux les belles peaux blanches. Et les nez droits, et les cheveux clairs, et les yeux bleus ou verts.

Elle paraissait réellement attristée. Amusé, Jean-Edouard la serra dans ses bras :

-Noire toi ? Mais tu n’as rien d’une Africaine ! Et de toute façon pour les Français, ce n’est pas un problème : black is beautiful !

Le garçon était même persuadé que sa chère soeur et ses copines jalousaient férocement la peau veloutée et les cheveux de jais de la belle Indonésienne. Et ces superbes jambes qu’elle n’avait même pas besoin d’épiler ! Et ce corps galbé sans le moindre poil de graisse ! Mais Samaryl ne semblait pas convaincue :

– Et je croire même que tu ne voulais pas de moi. Tu n’as pas beaucoup faire attention à moi avant. Alors que moi je t’aime bien depuis le premier jour.

Incroyable : la somptueuse Samaryl était complexée par son physique et peu sûre de son charme !

Puis le contact de sa peau nue produisit son effet : le sexe de Jean-Edouard se dressa à nouveau. Cette fois, il parvint à s’introduire en entier dans la fente de la belle. Il s’appliqua à la pénétrer lentement et eut la joie de l’entendre enfin pousser un gémissement de plaisir. Mais il ne put s’empêcher de jouir encore beaucoup trop tôt et cracha son sperme jusque sur les seins de Samaryl. Pourtant, elle sembla satisfaite. Ses yeux félins brillèrent dans la pénombre :

-Ton chose est trop gros. Nous devoir le faire doucement sinon mon pussy va me faire trop mal après.

Cependant, Jean-Edouard refusa de la laisser partir avant un dernier round qui s’avéra être – et de loin – le meilleur des trois. Le garçon s’autorisa même une petite fantaisie : quand Samaryl murmura que la douleur qu’elle ressentait devenait insupportable et qu’il devait en finir « rapidement », il la pénétra brutalement en observant avec satisfaction son sexe maculé de sécrétions blanchâtres entrer et sortir comme le gros piston d’une fuck machine lancée à plein régime. Puis il éjacula ses dernières gouttes de la nuit dans les poils pubiens de la belle, en se mordant les lèvres pour ne pas crier des insanités

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