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La croisière – Chapitre 1

La croisière - Chapitre 1



Bonsoir,

je vous propose ce texte.

Un grand merci à Sergueî Lioubov de sa patience, de ses conseils, et des ses corrections.

J’ai écrit les trois premiers chapitres pour voir si la construction vous semblait suffisamment intéressante pour être publiée. Si c’est le cas et si ce texte est apprécié, je vous proposerai la suite.

Les personnages :

Isabelle : la propriétaire du voilier 37 ans ;

Raphaëlle : sa fille étudiante (qui prépare son entrée dans de grandes écoles) 18 ans ;

Chloé : étudiante en philo ;

Jean et Christine : un couple libertin ;

Marc : le narrateur 50 ans ;

Lucie : la fille de Marc 28 ans.

Chapitre 1 : La rencontre

Marc est assis à la terrasse dune brasserie dans le centre de Paris. Cette belle après-midi de printemps fait oublier le temps froid et humide qui a rendu lhiver si désagréable.

À 50 ans, Marc est un homme suffisamment aisé pour pouvoir profiter de la vie. Il a été marié pendant 20 ans. Son ex femme et lui ont vécu une vie harmonieuse et passionnée. Ils ont, dès le début de leur mariage, rangé la fidélité au rang des conventions dépassées et vécu une vie sexuelle très libre ensemble ou séparément puis, peu à peu, ils se sont éloignés et ont décidé de se séparer. Leur fille Lucie et ses deux enfants vivent à Londres pour des raisons professionnelles.

Marc vit une vie très libre, libérée, libertine. Sa sexualité exigeante lui fait avoir de nombreuses aventures. Il a établi une morale personnelle basée sur un seul principe : le plaisir sexuel ne doit jamais être imposé, contre la volonté dune partenaire, sous aucune forme que ce soit. À partir de là, Marc considère que rien nest impossible et que tout est permis.

Assis à la terrasse de cette brasserie, Marc attend. Fatigué par un début dannée très occupé, il a décidé de faire une croisière en voilier. Marin confirmé, il aurait pu louer un bateau et trouver un équipage, mais il avait envie de quelque chose de plus tranquille. Il avait trouvé intéressante cette petite annonce dun certain Dominique et de sa fille qui souhaitaient avoir un équipier pour dix jours de croisière sur un bateau de 14 mètres. Après plusieurs échanges par mail, Marc attendait donc de rencontrer Dominique pour définir les conditions de cette traversée.

Assis, dégustant un excellent whisky, Marc regardait les passants surtout les passantes qui, avec les premiers jours du printemps, avaient ressorti les jupes, les robes et les chemisiers échancrés.

Sortant de sa rêverie Marc lève les yeux.

Bonjour. Vous devez être Marc, nest ce pas ?

Oui, tout à fait.

Marc, étonné, regarde cette jeune femme debout devant lui.

Je suis Dominique, ou plutôt Isabelle de mon véritable prénom ; pardonnez-moi, mais jai volontairement caché ma véritable identité. Il est difficile pour deux femmes de trouver un équipier sans risquer de tomber sur un pervers Nos échanges, les quelques renseignements que jai pu prendre sur vous, et vous avoir observé depuis une vingtaine de minutes mont rassurée.

Isabelle se tient debout devant Marc. Elle est vêtue dun tailleur de prix ; elle doit avoir entre 35 et 40 ans. Belle, élégante, mince, des cheveux blonds cendrés remontés en chignon, un foulard autour du cou, elle observe Marc de son regard bleu. Celui-ci, un peu énervé à cause de cette manipulation, se lève pour proposer à Isabelle de sasseoir en face de lui.

Que désirez-vous boire ?

Un verre de vin blanc, s il vous plaît.

Elle ouvre son étui et sort une cigarette, demandant dun regard si cela ne gène pas Marc. En réponse, Marc sort un briquet pour lui offrir du feu et, appelant le serveur, il demande un verre de vin blanc.

Isabelle et Marc sobservent. Après un instant de colère, Marc comprend que pour deux femmes souhaitant partir avec un homme sur un bateau, il est nécessaire de prendre certaines précautions. En regardant Isabelle, il affine son analyse. Belle et élégante, raffinée aussi comme en témoigne certains détails de sa tenue, intelligente et fine (elle a laissé passer la colère de Marc), un sourire simple et chaleureux. Se remémorant les discussions par mail, Marc sait quelle possède un cabinet médical de renom (cela doit être vrai) ; elle est fortunée, veuve depuis 5 ans. Son instinct lui laisse penser quelle na pas de relation amoureuse, et même que le sexe ne fait pas partie de ses priorités.

Avec un petit sourire, Isabelle lui dit :

Pouvons-nous parler de cette croisière ?

Bien sûr, avec plaisir.

À partir de ce moment, la conversation devient plus facile. Même si Isabelle reste réservée, les échanges leur permettent assez vite de trouver une forme de complicité et de régler les mille détails nécessaires à une croisière réussie. Vers 17 heures, ils se quittent en se donnant rendez-vous trois semaines plus tard au Grau du Roi.

Marc voit Isabelle monter dans son cabriolet et séloigner après un dernier signe de la main.

Il ouvre son smartphone et envoi un SMS : « Ça y est, je suis disponible. Quas tu prévu pour ce soir ? » Un bip lavertit que la réponse est arrivée. Une adresse, et cette indication : « Confessionnal numéro 3. »

Chapitre 2 : Le confessionnal

Marc se lève et commence à marcher pour rejoindre ladresse indiquée. Il sourit en pensant au plaisir que lui réserve cette soirée : il va retrouver Chloé.

Cest une étudiante en master de philosophie. Marc la rencontrée dans une soirée libertine chez des amis communs. Au-delà de la simple attirance sexuelle, ils ont sympathisé. Chloé lui a fait comprendre quelle arrondissait ses fins de mois en organisant, pour quelques relations choisies quelle appelle avec humour son « club de sponsors pour ses études », des moments érotiques où elle met en uvre leurs fantasmes les plus secrets. Comment résister à pareille invitation ? Cela fait maintenant cinq fois que Marc retrouve Chloé qui, à chaque fois, a su le surprendre.

Marc est arrivé à ladresse indiquée : une église. Il entre et cherche le confessionnal numéro trois. Un bip : « Assieds-toi à la place du prêtre. » Marc regarde autour de lui ; léglise est déserte. Il ouvre la porte du confessionnal et sassied. À sa droite, il entend un bruit ; il dégage le volet du claustra et voit une jeune femme agenouillée. Il reconnaît Chloé. Elle sest déguisée en collégienne, couettes, chemisier blanc, jupe plissée. Elle est à genoux.

Bénissez-moi, mon Père, parce que j ai péché.

Pour parler, elle a pris une voix légèrement rauque, basse, qui oblige Marc à se concentrer pour lécouter.

Je vous écoute, ma fille.

Mon Père, jai commis le pêché de luxure.

Luxure ? À votre âge? Cela métonne, ma fille.

Mon Père, j ai commis lacte de chair avec mon professeur de gymnastique.

Cest grave, ma fille Pour vous pardonner, je dois savoir exactement ce que vous avez fait.

Jai profité de son passage dans le vestiaire. Jétais seule, et jai fait exprès de lui laisser voir mon corps dénudé.

Cest mal, ma fille : vous avez tenté ce pauvre homme. Comment a-t-il réagi ?

Jai vu une bosse sous son short Jai laissé tomber ma serviette et je me suis penchée pour la ramasser, lui exhibant mon… mes enfin, vous comprenez, mon Père.

Non, ma fille. Soyez précise !

Jai exhibé mon cul, mon Père, en restant ainsi pour quil puisse voir mes fesses, ma raie et ma rondelle, mon Père. Jai honte, vous savez

Hummm Et ensuite, quavez-vous fait ?

Je me suis approchée. Je me suis agenouillée et jai fait glisser son short. Sa queue était très très dure, mon Père.

Cétait de votre faute, ma fille ; jespère que vous avez honte de votre comportement.

Oui, mon Père, je le sais. Oh oui, jai honte ! Jai honte davoir eu ma fente trempée, de mexhiber ainsi. Alors jai commencé à sucer sa queue.

Comment, exactement ?

Je lai branlée pour sentir sa raideur ; jai fait couler un filet de salive que jai étalé du bout de la langue, puis jai pris son gland en bouche et je lai aspiré. Ensuite, jai fait glisser ma langue le long de sa bite, mon Père, et jai gobé chacune de ses couilles, lune après lautre

Jai du mal à croire quune adolescente comme vous ait pu réaliser de telles choses aussi contraires à votre éducation chrétienne.

Oh si, si, mon Père ; je vous lassure. Je peux vous montrer si vous voulez

Chloé se relève et entre dans la partie centrale du confessionnal. Avec un sourire coquin, elle sagenouille entre les jambes de Marc. Elle voit quil a déjà ouvert son pantalon pendant la « confession » et quil a commencé à se branler. Elle aime sa queue, longue, raide, épaisse. Marc est circoncis : son gland est parfaitement dégagé. Elle se penche tout en fixant son client du regard. Les jeux dombres et de lumière dessinent le visage magnifique de la jeune étudiante. Elle commence à laper le bout du gland ; elle recueille une goutte.

Humm, salaud, ça ta excité, nest-ce pas ?

Marc est troublé par ce passage au tutoiement émanant de cette jeune fille déguisée en collégienne. Elle commence à pomper son amant. Elle masse doucement les couilles de Marc. Mais, tirant sur ses cheveux, il lui dit :

Viens, je veux te prendre.

Laisse-moi faire, chéri

Dans lespace étroit du confessionnal, Chloé se relève et se tourne. Elle relève sa jupe plissée bleue. Elle ne porte aucun dessous. Tenant elle-même la queue raide de son amant, elle sassied sur sa bite, collant son dos au torse de Marc. Marc enfouit son visage dans le cou de Chloé, mordillant sa peau fine et douce, léchant les gouttes de sueur. Chloé étouffe un gémissement. Elle prend la main de Marc pour quil la bâillonne. Elle peut alors se laisser aller, montant et descendant sur le chibre épais, se laissant retomber pour sentir le choc au fond de son utérus. Bâillonnée par la main de son amant, elle jouit violemment. Marc se vide dans le ventre de sa maîtresse, dans ce confessionnal, dans cette église au cur de Paris.

Les deux amants reprennent leur souffle.

Chloé se relève et se penche pour lécher la queue humide de Marc. En riant, elle laide à se rajuster puis ils sortent ensemble du confessionnal et de léglise. Marc a pris Chloé par la taille et ils marchent en direction de son hôtel.

Chloé sourit aux regards désapprobateurs de certains passants qui voient dun mauvais il ce couple, un homme mûr et une collégienne. Cest vrai quavec son déguisement, personne ne pourrait penser quelle a 23 ans. Ils arrivent à lhôtel. Dans lascenseur, ils commencent à sembrasser. Marc passe ses mains sous la jupette de Chloé pour caresser ses fesses nues et musclées.

Hummm, jai envie de toi Merci pour cet intermède, à léglise : cétait gonflé, mais excitant !

Jétais sûre que cela te plairait ; je te connais : tu adores jouer avec la morale comme moi.

Ils sortent de lascenseur, enlacés, la main de Marc caressant le cul de Chloé, explorant sa raie et son anus. Elle gémit de plaisir et ouvre la porte de la chambre.

Ils sont nus en quelques minutes. Marc plaque Chloé contre le mur. Elle enroule ses cuisses autour de la taille, elle saccroche à sa nuque. Elle sent le gland épais écarter, ouvrir ses lèvres intimes. Elle gémit et ondule pour pousser Marc à la prendre violemment. Elle aime se faire clouer comme cela, se sentir percée par sa queue, et quand la pine force sa chatte serrée, elle lâche un long gémissement de plaisir.

La pièce est pendant plusieurs minutes remplie de gémissements, de cris et de mots crus. Les deux amants se connaissent et connaissent les gestes et les caresses qui les excitent mutuellement. Les mains de Marc portent Chloé, et ses doigts fouillent son anus pendant que sa queue pistonne le ventre serré de la jeune fille Elle jouit la première, plantant ses ongles dans le dos de Marc qui se vide à son tour dans le ventre de sa maîtresse.

Ils rejoignent le lit.

Après de longs baisers, Marc débouche la bouteille de champagne et propose à Chloé de quoi récupérer un peu. La discussion se fait facilement entre eux sur les études de la jeune femme, sur les affaires de Marc, sur leurs lectures, et quand la conversation glisse vers des sujets plus intimes, le désir reprend ses droits.

Les caresses, les baisers, les peaux qui se frottent, le désir qui monte Deux fois encore dans la nuit, les cris de plaisir ont envahi la chambre. Ils sendorment enfouis lun contre lautre, leurs deux corps parfumés de leurs plaisirs partagés.

Chapitre 3 : Trois semaines plus tard

Marc est assis dans le cockpit du bateau. Les courses sont faites, rangées. Marc a installé son ordinateur portable avec les applications de navigation. Il a vérifié la météo et les conditions de mer. Il a aéré le bateau, fait le plein deau.

Isabelle la appelé pour lui dire que son avion, en provenance de Paris, avait un peu de retard.

Marc prend le temps de boire un verre. Il profite du soleil et de la température douce pour laisser dériver ses pensées.

La veille au soir, il sest arrêté pour passer la nuit chez des amis, Jean et Christine, à Mauguio.

Ils possèdent une jolie villa relativement isolée. Christine, qui est infirmière, travaille dans une clinique à Montpellier. Jean a monté une entreprise de travaux publics.

Ils se connaissent depuis longtemps : ce sont les amis intimes les plus anciens de Marc. Ils ont découvert et parcouru se sont égarés aussi ensemble les chemins du libertinage. Dabord à quatre avec son ex femme, puis à trois après son divorce ; ils sont ceux qui savent tout de Marc, et Marc sait tout de ce couple, même leurs secrets intimes et cachés.

En arrivant, Christine la accueilli, vêtue dun simple paréo noué autour du cou et dune paire de sandales à talons. Elle la entouré de ses bras pour échanger un long baiser plein de tendresse. Elle est grande et, avec ses talons, elle dépasse légèrement Marc. Rousse aux cheveux frisés mi-longs, des éternelles lunettes de soleil posées sur le nez ou les cheveux, selon la lumière. Ses yeux verts sont magnifiques.

Le prenant par la taille, elle conduit Marc à larrière de la maison où Jean, terminant une conversation téléphonique, lui fait un signe de la main. Les deux hommes se font la bise. La complicité est totale entre eux. Marc respecte totalement le couple quils forment. Ils forment un trio amis-amants, avec juste ce quil faut damour entre tous les trois pour que leurs relations puissent exister depuis toutes ces années.

Ils sinstallent sur des fauteuils bas. Le paréo de Christine remonte, dévoilant sa fente nue. Marc lui adresse un sourire complice, alors elle rabat le paréo, non par pudeur mais pour faire désirer ce qui sera tout à lheure largement exhibé.

Ils discutent en dégustant le léger repas que Christine et Jean ont préparé, tout en buvant un punch frais. En ce début juin, la douceur sest installée sur lHérault. Jean parle de son dernier contrat important qui lui cause des soucis, Christine donne des nouvelles des enfants, Marc leur parle de cette croisière.

Jean sest levé et, se mettant nu, il plonge dans la piscine. Christine et Marc débarrassent les restes du repas, ne gardant que le punch et les bouteilles deau. Ils échangent des baisers de plus en plus longs et langoureux.

Viens ; assieds-toi sur les coussins.

Marc obéit. Il s assied sur les grands coussins qui vont leur tenir lieu de lit en plein-air. Christine détache son paréo et vient s asseoir sur Marc, les genoux de part et dautre des ses cuisses.

Ils sembrassent.

Jean, accoudé au rebord de la piscine, les observe. Il voit le mouvement de leurs bouches, de leurs langues. Il devine la salive qui glisse de lun à lautre. Cela fait longtemps que Christine et lui pratiquent les jeux libertins sous toutes les formes. Mais ces moments avec Marc ont une intensité particulière, du fait de leur parfaite harmonie. Avant chaque visite, le couple parle, imagine et sexcite sur cette visite. Ils font lamour avec plus de désir. Ensuite il y a la soirée, le week-end, quelques jours ; cest selon. Jean sait que, comme à chaque fois, cette soirée sera un très long moment de plaisir. Et ensuite, après le départ de Marc, ils partageront tous les deux un dernier moment, un dernier jeu de punition, où Christine sabandonnera à ses désirs masochistes.

Christine sent la langue de Marc qui se glisse dans sa bouche. Ce sentiment dêtre envahie, forcée ; le plaisir daspirer sa langue et de la téter Elle aime sentir la salive de son amant couler dans sa gorge. Quand, un court instant, leurs bouches sécartent, un filet de salive les unit encore avant quà nouveau leurs lèvres ne se soudent. Elle sent les mains de Marc qui progressent doucement caressant son dos, ses reins, glissant sur ses fesses, entre ses fesses. Elle gémit de sentir les doigts qui caressent sa raie. Elle ondule lorsque son doigt sarrête quelques instants pour toucher sa rondelle. Puis les doigts qui continuent de glisser effleurent ses lèvres intimes. Elle sait que dans cette position sa fente est ouverte. Elle sait que les doigts de Marc vont sentir ses lèvres intimes gonflées, quil va découvrir les filets de sperme provenant de la baise quelle a partagée avec Jean en fin daprès-midi.

Marc caresse les fesses et la fente de Christine. Elle est trempée, et ses doigts sont couverts de cyprine. Mais il devine sous ses doigts le contact plus épais du sperme de Jean. La fente de Christine est grande ouverte, et les doigts de Marc effleurent le clitoris dressé. Christine sest écartée pour ouvrir les boutons de sa chemise. Marc la regarde. Les yeux de son amante brillent de désir ; elle griffe sa peau puis passe sa langue par-dessus la griffure.

Attends, mon chéri, mets-toi nu.

Elle se relève, debout devant Marc toujours assis. Celui-ci, levant le visage, embrasse et frotte sa bouche, son menton, son nez contre la chatte trempée, se régalant de lodeur et du goût de Christine.

Non, non, déshabille-toi dabord. Je veux ta bite dans mon ventre.

Tu en as envie, salope ?

Marc finit de retirer sa chemise et la jette sur un fauteuil.

Ouiiii, chéri, oui : tu vois bien comme je dégouline pour toi !

Marc retire rapidement chaussures, pantalon et short.

Hummm, oui ma chérie, oui je le vois. Ta moule est déjà ouverte et je vois le jus de Marc qui coule de ton ventre.

Et ça te plaît, mon salaud ?

Ouiiii, salope ; oui, laisse-moi te fouiller de ma langue.

Mais Christine revient et, forçant Marc à sasseoir, elle se laisse glisser contre lui jusquà ce que le gland de la queue dressée de Marc touche sa fente. Elle se laisse alors tomber, la queue senfonçant loin au fond de sa grotte. Elle entoure les fesses de Marc et commence à bouger, faisant onduler son bassin sur la queue de son amant. Elle tourne le visage vers son mari.

Hummm, Jean, il est en moi Je vais me baiser sur lui. Regarde-nous, mon amour, regarde-nous baiser.

Jean est sorti de la piscine. Il est en train de se sécher tout en regardant le couple baiser devant lui. Sa queue est dure. Il veut laisser Marc profiter pleinement de Christine avant de rejoindre le couple. Il entend leurs gémissements, leurs cris. Leurs baisers sont devenus humides et baveux. Jean voit les deux mains que Marc a passées sous les fesses de sa femme, glissant deux doigts dans sa rondelle anale. Il soulève Christine pour la laisser retomber sur sa queue, lui tirant à chaque fois des longs cris de plaisir. Christine ne se retient pas, et Jean sait à quel point elle aime cette façon sauvage de baiser.

Tu vas juter, salaud ! Tu vas mélanger ton foutre avec celui de Jean.

Ouiiii, chérie, je vais jouir Je vais gicler au fond de ton ventre !

Vas-y Vas-y Je viens Je jouis, je jouis comme une chienne ! Ahhhhh

Marc jouit violement. Christine est accrochée à son amant. Leurs corps humides de sueur sont collés. Ils reprennent lentement leur souffle. Elle caresse avec douceur le visage de son amant. Ils échangent de doux baisers.

Hummm, une baise rapide et sauvage ; ça fait du bien, mon chéri.

Oui. Jadore aussi. Mais côté baise sauvage, tu nen as pas fini. Jean a envie de te prendre à son tour.

Mes deux salauds Vous me gâtez !

Elle pousse Marc pour quil se couche et elle bascule vers lavant pour se mettre à quatre pattes, pour soffrir à Jean. La queue de Marc glisse le long de son ventre. Elle sait que sa chatte doit bâiller de manière obscène, dégorgeant les jus mélangés de ses amants. Elle aime se sentir aussi salope.

Jean est venu derrière elle. Il caresse ses fesses, ses chairs intimes gorgées. Christine a enfoui son visage dans le cou de Marc. Elle se sent si bien avec les deux hommes quelle aime

Elle gémit lorsque la queue de Jean pénètre sa fente.

Elle râle lorsque son mari ressort sa queue.

Elle geint lorsquil appuie son gland contre son anus.

Elle se cambre pour bien sentir la queue pénétrer son conduit anal.

Elle halète lorsque Jean commence ses va-et-vient.

Elle crie quand Marc caresse sa chatte et son clitoris alors que Jean lencule de plus en plus sauvagement.

Je suis votre pute : baisez-moi Vous êtes deux salauds ! Vous êtes deux pervers ! Je vous aime, je jouis encore Ahhhhh ouiiii !

Jean sest vidé dans lanus de sa femme et il a glissé sur elle. Les trois amants restent un moment à récupérer. Christine est coincée entre ses deux hommes.

Marc sort difficilement de sa rêverie.

La nuit a été longue, et plusieurs fois encore ils ont joui. Mais il a entendu la porte du catway, qui permet aux plaisanciers de rejoindre leurs bateaux, souvrir. Il voit arriver deux femmes. Il reconnaît Isabelle : elle porte une tenue sport avec un pantalon sombre, un chemisier clair et des chaussures de bateau. Elle a coiffé ses cheveux en queue de cheval. Légèrement derrière elle marche sa fille, quil distingue moins bien. Marc se lève pour aller à leur rencontre.

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