Histoires de non consentement Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe noir

La danse des canards – Chapitre 1

La danse des canards - Chapitre 1



Il était presque midi quand Marie-Pierre, seulement revêtue d?un long tee-shirt blanc qui lui arrivait à mi cuisses, fit son apparition dans la véranda qui avait des allures de sauna dans cette torride matinée. Sa chevelure courte ébouriffée, d?un roux artificiel flamboyant, ses grandes lunettes rectangulaires, son mètre soixante dix et ses formes rebondies lui donnaient l?allure d?une veille fille de la campagne anglaise. Marie-Pierre se tint la tête en faisant la bise à Philippe, son hôte.

    – Quelle cuite !!! en plus, je dois avoir une tendinite du clitoris… réussit-elle à dire en se dirigeant vers un bain de soleil qui lui tendait les bras sur la pelouse.

    Marie-Pierre était une quadragénaire certes plantureuse mais pas grosse. Ses seins lourds se balançaient, sans aucune entrave, au rythme lent de sa démarche hésitante. Philippe lui prépara un bol de café alors que, de dos, elle se baissait difficilement en se tenant le front, pour remettre en place le coussin du bain de soleil. Le tee-shirt remonta sur ses grosses fesses bien rondes et en découvrit une bonne moitié. Elle sortait du lit et n?avait pas pris la peine de revêtir une petite culotte vu que son intimité n?avait plus de secret pour son ami après cette courte nuit mémorable. Philippe ne ressentit aucune excitation spéciale, devant cette large croupe fendue d?une raie velue. Même la forêt de poils hirsutes inondant la moule volumineuse de son invitée qui réglait le dossier du siège en baissant fortement son buste, ne l?émut outre mesure. Philippe était HS : Une gueule de bois olympique mais surtout la queue en berne. C?était la conséquence d?une folle nuit de fornication dans un état alcoolique commun avancé, avec la pulpeuse quadragénaire rousse, à qui il apportait maintenant le café. L?épouse de Philippe venait de partir dîner avec sa mère, comme tous les Dimanche.

    En dissolvant deux sachets d?aspirine dans les verres, Philippe pensa furtivement à son couple qui battait sérieusement de l?aile, à ses cinquante quatre ans qui l?avait fait passer sur la rive aux accotements instables et fragiles. Rien n?allait mal !!! pensa t-il ironiquement, en esquissant un sourire à la vue du spectacle insolite que sa copine lui offrait bien involontairement : Elle se ressourçait, allongée sur le bain de soleil, les yeux fermés et l?épaisse touffe frisée découverte épisodiquement par un petit vent qui relevait le bas du tee-shirt immaculé. Philippe s?affala sur le siège voisin et essaya de rassembler les souvenirs brumeux de cette soirée mémorable…

    Tout avait pourtant commencé de façon banale :Une amie fonctionnaire fête sa retraite en invitant, dans la salle communale , des copains et collègues chers. Philippe et son épouse hébergeront Marie-Pierre (une collègue de la retraitée) qu?il connaissait bien, suite à des vacances communes avec leur groupe d?amis. Marie-Pierre viendrait seule car, son mari et elle, avaient les problèmes existentiels graves de la vie d?un couple de quadragénaires. Dès son arrivée, Marie-Pierre mit son ami Philippe à contribution car, sa vieille R5, perdait son pot d?échappement. Allongé sous la voiture, il remit des écrous et du fil de fer sur les pattes de fixation alors que la propriétaire accroupie, éclairait distraitement la réparation de fortune avec une baladeuse, tout en lui narrant ses déboires conjugaux. Sa courte jupe estivale, remontait sur ses cuisses ouvertes et ne pouvait cacher un splendide slip léopard très échancré, en tissu léger, qu?elle avait choisi, certainement, une taille en dessous tant il semblait vouloir exploser. Marie-Pierre ne semblait pas du tout se rendre compte de son exhibitionnisme impudique. Elle parlait de son mari, elle s?énervait, en changeant sans cesse de position. Avec les tribulations de son agitation, un élastique latéral de la petite culotte avait dérapé et, un petit bout rose d?une lèvre charnue, accompagnée d?une touffe de poils noirs frisés se faisaient la belle de cette prison féline, jaune et noir. Philippe ne s?émut pas outre mesure de ce peep-show involontaire… Un flirt assez poussé avec Marie-Pierre avait tourné court, quelques années auparavant : Aux sports d?hiver, ils étaient de corvée de ravitaillement et, ils avaient été coincés tous les deux, sur un parking de supermarché, à cause d?une mini tempête de neige. Philippe avait tenté sa chance et Marie-Pierre s?était laissée embrasser à pleine bouche, puis ses seins imposants furent sortis du soutien gorge sans trop d?opposition. Quelques soupirs de plaisir s?échappèrent tant son ami y mettait de la fougue. Alors que la jupe était troussée à la ceinture et que le slip de Marie-Pierre était baissé sous les genoux, les doigts de Philippe commencèrent une exploration humide dans cette forêt de poils mais, la diablesse se ravisa brutalement ! Elle invoqua sa fille, ses valeurs familiales… et remonta honteusement sa petite culotte sur sa touffe frisée. Philippe, frustré, respecta cependant la décision et ne refit plus aucune tentative de séduction.

    La réception de retraite alterna une bouffe médiocre et des danses pour tous les âges. L?hôtesse passait de table en table pour remercier, son mari remplissait les verres vides et Marie-Pierre s?occupait du choix des musiques, en entraînant sans relâche, les récalcitrants sur la piste de danse. L?épouse de Philippe qui n?appréciait pas du tout (depuis toujours) ni les fêtes populeuses ni Marie-Pierre placée à ses côtés, prétexta qu?elle sortait d?une extraction dentaire difficile, pour s?éclipser de la fête en s?excusant. Elle allait comme d?habitude prendre un somnifère puissant et dormir ses dix heures, abrutie par sa drogue. Philippe décida de faire sa B. A. en invitant sa voisine, une coquette et rayonnante sexagénaire, dans une série de tangos. Sa voisine fut ravie car elle était bien seule dans cette assemblée : La gente féminine présente n?aimait pas trop les mamies qui se maquillent un peu trop et qui portent des robes luxueuses un peu trop courtes. La mamie aux cheveux ondulés gris argent surmontés d?un petit chignon, s?appelait Brigitte et Philippe conversa gentiment avec elle, en essayant de ne pas lui écraser les pieds. Ils eurent tout juste le temps de s?échapper quand l?horrible musique de la ? Danse des canards ? éclata dans la salle. Des êtres pensants, sains de corps et d?esprit, s?agitaient en cadence, battant l?air de leurs bras repliés, de façon grotesque, pour imiter le vol du palmipède. Pour couronner cette chorégraphie burlesque, Marie-Pierre, maîtresse de la sono, enchaîna avec une chenille qui n?arrêtait pas de redémarrer.

    – Qu?est qu?on s?amuse ! ? affirma la D. J. au micro, en dandinant son fessier de compétition et, en vidant, cul sec, son verre de St Emilion.

    Philippe trompait son ennui en sirotant pas mal. Il n?avait jamais eu envie, lors de ce genre de soirée festive, de faire de longue et fastidieuse conquête féminine ; Pour tout dire, il était un paresseux de la tendresse et, bien que certaines épouses ne lui cachèrent pas leur intérêt, il se contentait de rares aventures où il ne fallait pas courtiser la dame de longs mois pour espérer une partie de jambes en l?air, aléatoire. Il eut le malheur alors de demander, à Brigitte, des nouvelles de son mari qu?il connaissait un peu. Elle lui en donna… pendant toute la durée du spectacle affligeant des humanoïdes palmés. Son mari faisait une grosse dépression depuis deux ans, suite à une grave opération de la prostate, ce qui expliquait son absence. Philippe fut quand même surpris, quand il plaignit le mari, d?entendre la sexagénaire lui rétorquer vivement :

    – Moi aussi je suis à plaindre ! Je sers de garde-malade, de souffre douleur et je n?ai plus de vie ni personnelle ni… sexuelle !

    Après les fromages, la sono proposa une série de slows baveux. Brigitte entraîna son confident un peu éméché sur la piste. La sexagénaire était ravie : Elle vivait quasiment cloîtrée depuis vingt ans avec son ours de mari et pour une de ses premières sorties en solitaire, un charmant gaillard semblait lui prêter attention… Brigitte était lasse de sa vie monotone, de ses timides masturbations nocturnes. Brigitte rêvait depuis longtemps d?une aventure torride où son corps pourrait enfin exulter… Peut-être pour une dernière fois avant une vieillesse invalidante et, pourquoi pas, se déciderait-elle aujourd?hui à franchir le pas ?! Peut être sa première et dernière chance… Brigitte osa. Philippe, surpris, sentit la mamie aux jambes superbes se lover contre lui pendant que les deux mains féminines se plaquaient fermement sur ses épaules puissantes. Une fluette voix féminine hésitante lui faisait des propositions peu ordinaires et sans aucun complexe. Ils dansèrent presque joue contre joue, en frottant discrètement leurs corps. Philippe, que plus rien n?étonnait, ne paniqua pas mais il fut quand même choqué que la seule femme qui lui proposait, à mots couverts, une partie de jambes en l?air, avait une très bonne soixantaine ! Cette charmante dame en manque de sensations l?avait classé parmi les gens de son âge, sans penser à mal… Philippe, accusa l?humiliation involontaire ; Il venait de prendre un sacré coup de vieux sur la tronche … Le mari de la retraitée, un peu saoul, prit alors le micro et avertit les danseurs que pendant le dernier slow, il couperait tous les éclairages. Des applaudissements et quelques cris de mères de familles excitées répondirent à sa proposition.

    Dans le noir absolu, à peine étoilé des deux lampes rouges de secours aux portes, Philippe sentit une bouche se coller à la sienne et lui sucer goulûment la langue. Les ongles de Brigitte lui labouraient la chemise. Philippe n?était pas à jeun, et il se comporta, contrairement à ses habitudes, presque comme un soudard :Sa main droite passa sous la robe légère de la mamie et, il empoigna l?intimité féminine à travers le tissu élastique et épais d?une gaine. Brigitte se crispa, eut envie d?insulter ce grossier personnage qui essayait vainement d?introduire ses mains pleines de doigts sous sa gaine-porte jarretelles très ajustée. Elle fut lâche et intéressée à la fois :Son corps avait besoin d?un émoi physique, sensuel et Philippe était plus jeune, viril… Brigitte sentit que la main de Philippe tirait sur les deux boutons pression qui verrouillait la languette de l?entrejambe (permettant aux dames de faire pipi sans descendre la gaine ni les bas). Elle était sûrement devenue folle mais elle le laissa faire. Brigitte savourait son plaisir après une abstinence qu?elle croyait définitive. Des gros doigts pourtant délicats, lui caressaient maintenant la fente. On roulait son petit bouton, on pénétrait sa chatte et elle écartait les cuisses en ondulant du bassin pour se donner du plaisir sur les deux doigts envahissants de son complice. Brigitte sentit les doigts masculins se retirer lentement de leur refuge et elle poussa un petit ? Oh !!! ? de réprobation quand elle sentit un index humide s?immiscer dans son orifice anal. Brigitte, horrifiée et impuissante, se laissait fouiller pour la première fois et, pratiquement en public. Elle ne voulait pas, pourtant, paraître puritaine, d?autant qu?elle avait réussi à convaincre Philippe, de lui rendre une petite visite coquine Mardi (jour de pêche à la ligne de son cher époux). Voilà que cela se compliquait avec ce phantasme masculin de sodomiser sa partenaire ! Tant pis, Elle prendrait le risque quand même… En fait, la peur que, peut-être, cet événement arrive, excitait terriblement la sexagénaire qui espérait, inconsciemment, des sensations fortes pour épicer sa vie fade de mère de famille exemplaire.

    Après un gâteau dégoulinant de triglycérides, un champagne douteux et une troisième danse des cols verts, Marie-Pierre et Philippe, bien enivrés, s?en repartirent. Vers trois heures du mâtin, bras dessus – bras dessous, ils visaient la ligne blanche médiane pour ne pas trop tituber dans les rues désertes du village. Marie-Pierre supplia son hôte de lui masser les pieds dès leur arrivée au gîte. Philippe s?accroupit et s?exécuta de bon coeur. Sa patiente avait discrètement remonté sa robe sur ses fortes cuisses et elle s?amusait à le narguer coquinement en dévoilant, épisodiquement, le triangle jaune abricot d?un slip ajouré de dentelles. Elle se leva alors et mit le single de la danse des canards dans la chaîne Hi-fi :

    – Je veux t?apprendre cette danse ? lança- elle en rigolant.

    Sans complexe pour ses formes assez plantureuses, elle entreprit un déshabillage rapide et intégral. Ses gros seins lourds prirent un mouvement de balancier d?horloge dés qu?elle entama la chorégraphie que, Marie-Pierre mutine, transforma très vite en une danse d?invitation à la débauche. Philippe se fit allonger autoritairement à terre, par la danseuse, qui encadra son visage de ses chevilles en agitant de façon obscène son bassin aux cuisses ouvertes. Puis une toison brune et abondante s?ouvrit sur une fente rose foncé quand, Marie-Pierre, s?accroupit pour se faire brouter l?entre jambes. Philippe n?avait jamais vu une chatte aussi velue : Les poils étaient longs et frisés et remontaient très haut dans la raie féminine. Des lèvres roses et très charnues encerclaient une fente longue que sa langue goûta religieusement. Marie-Pierre se laissa brouter le minou, sans honte aucune, de longues minutes. Elle lança quelques encouragements très cochons à Philippe tandis, qu?encore accroupie sur le visage de son amant, elle écartait encore plus les cuisses pour son petit bouton rose soit porté à incandescence. Philippe reprit son souffle en explorant de son index un petit trou ridé et moite. Sa partenaire bascula alors sur les genoux et, il se trouva devant la croupe ouverte de Marie-Pierre qui, maintenant à quatre pattes, avait sorti le sexe masculin de sa prison et le branlait délicatement. Marie-Pierre osa seulement entreprendre une fellation de son amant, dès qu?elle sentit une langue agile, refouiller sa raie trempée et sa fente béante.

    Pendant que deux gros doigts la sodomisait en douceur, Marie-Pierre, en transe, au bord de l?orgasme, supplia son amant de la prendre de suite, en s?allongeant sur le tapis et en ouvrant ses jambes repliées. Elle sentit un sexe court mais trapu s?enfoncer dans son vagin béant. Philippe prit son temps en pénétrant sa maîtresse qui le pressait d?activer le mouvement. Les mains pétrissant les grosses mamelles, Philippe accéléra alors le rythme et Marie-Pierre lui griffa au sang le dos, avant de pousser un feulement bref et grave. Sûrement à cause de l?alcool ingurgité, Philippe ne jouit pas, mais ce n?était pas très grave, pensa t-il en regardant le corps moite de sa partenaire qui, les yeux pétillants, reprenait sa respiration, un sourire radieux aux lèvres en regardant le sexe bien raide et dégoulinant de son amant.

    – La nuit va être courte assura t-elle en engloutissant le membre de son partenaire qui lubrifiait déjà, avec les moyens du bord, son orifice anal.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire