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La déchéance du cocu – Chapitre 7

La déchéance du cocu - Chapitre 7



Cela fait un mois et demi que Julie est revenue à la maison. Jai perdu le contrôle de ma vie. Pour commencer elle ma fait cesser mon activité de consulting, ce qui est assez simple et rapide, voulant que je sois à sa disposition et pour pouvoir me contraindre en permanence, sans se soucier de ma fatigue. Jamais je naurais soupçonné une telle volonté de contrôle mais surtout de prise de pouvoir chez elle et je me sens profondément apaisé de ne plus rien contrôler. Même le souci de mes finances ne se pose plus puisque tout est entre ses mains. Elle se fait plaisir en permanence avec des tenues somptueuses, des chaussures de luxe, des restaurants hors de prix où je ne fais que le chauffeur à lattendre, soit avec certaines de ses amies, soit parfois avec des inconnus. La première fois avec sa meilleure amie ce fut très humiliant. Je la connaissais très bien.

Arrivée à la maison, je lui ai ouvert la porte, et nous nous sommes embrassés. Elle était un peu surprise de ma tenue, un costume noir avec cravate noir je faisais très serveur de brasserie. Je lai installée puis après lui avoir servi un drink, je suis allé chercher ma femme à qui jai servi un verre également avant de les laisser toutes les deux papoter. A moment de partir dîner Julie ma appelé et je suis allé chercher la voiture pour les emmener toutes les deux, assises à larrière. Sophie ne disait pas grand-chose, attendant sans doute dêtre seule avec Julie pour comprendre la situation tandis que je tenais la porte ouverte pour quelles puissent sinstaller au restaurant où javais réservé une table la veille. Quant à moi je devais rester dans la voiture, nayant plus le droit à ces plaisirs, ni même à manger ce que jaimais. Julie ne me nourrissait que de légumes et poisson parfois, sachant que je naimais pas cela, et je navais droit quà un unique repas dans la journée. Je voyais son sadisme se développer peu à peu, à mon grand bonheur, car rien ne me fait plus de plaisir que sentir son plaisir dans ma souffrance. Ainsi mes assiettes sont devenues des gamelles, ma nourriture sest dégradée et manger est un vrai déplaisir.

Lorsquelles sortent du restaurant, je suis là à leur ouvrir la portière, elles ont bu et je vois que Sophie me regarde différemment. Julie a dû lui parler. Jen rougis de honte. Arrivé à a maison je vais ranger la voiture, et je retrouve les deux amies au salon. Ma femme me fait venir, et lordre tombe simplement, je dois me mettre nu. Mon regard est immédiatement baissé, et jobéis mécaniquement sans réfléchir. Elle ma éduqué à obéir ainsi, je ne pensais pas que cétait possible, mais ses punitions pour un ordre qui nest pas immédiatement exécuté sont vraiment terrifiantes, et même si je le voulais je ne pourrais plus ne pas obéir immédiatement. Comme je lai également appris, je me mets nu en rangeant proprement mes vêtements et me mets spontanément à genoux, les mains dans le dos, la tête baissée. Les deux femmes se mettent à parler de moi, cest très humiliant et très excitant. Sophie a de petits rires hystériques, vient se lever, me fait me pencher en avant pour découvrir le très gros plug que jai depuis ce matin au fond de moi, quelle na pas deviné tandis que je conduisais empalé dessus. Avec le bout du pied elle fait bouger ma cage de chasteté qui na pas bougé depuis des mois, mes érections sont bien moins vives, Julie le sait et pense que je serais ainsi impuissant. Je me suis renseigné et en effet cela semble pouvoir être le cas au bout de quelques années néanmoins. Jen suis loin.

Julie me demande mon carnet de fautes, je vais le chercher à 4 pattes le ramenant entre mes dents, mortifié de devoir le faire devant cette amie que nous connaissons très bien. Elle lit à haute voix ce que jai pu écrire, et qui doit sembler risible à un inconnu. Julie propose à Sophie de partager les coups de cravache, jen aurais 20 de chacune, et spontanément je remercie les deux femmes de bien vouloir méduquer.

Les coups de Julie sont très forts, elle veut montrer comme je résiste et je fais de mon mieux. Je suis honteux lorsque cest au tout de Sophie qui est assez hésitante et continue de rire nerveusement. Ses premiers coups sont ratés, certains sur mon dos, cela fait mal. Julie lui indique de frapper plus forts, les derniers sont incroyablement puissants, douloureux, les larmes me montent aux yeux. Sophie ne sarrête pas aux 20 coups promis, Julie lui dit de se lâcher, et elle se laisse enivrer de se pouvoir, de mes pleurs et de mes cris tandis que je continue de moffrir, comment faire autrement, cest ma nature profonde. Sophie me fait me retourner, son regard est fiévreux, violent. Je mets mes mains sur la nuque et elle frappe à toute violence mes cuisses puis mon ventre, ma poitrine. Cest si fort que je ne crie plus, je ne pleure plus. Je suis asphyxié. Je ne remarque pas Julie qui se caresser à ma voir souffrir autant. Je mécroule, mais Sophie continue sur tout ce qui tombe sous la cravache, elle minvective, je sens une profonde haine en elle, je rampe, je lèche ses pieds, arrivant enfin à la calmer. Jamais je ne laurais imaginé ainsi. Les pleurs reviennent tandis que je la lèche, la tension qui se lâche, elle seffondre dans un fauteuil tandis que ma femme exhale un orgasme profond à notre surprise à tous deux.

Malgré mon épuisement je dois me relever pour leur servir à boire, et je reste à genoux tandis que les deux femmes parlent de moi comme dun objet. Sans aucune empathie Julie annonce à son amie, et donc à moi-même, quelle nenvisage pas de menlever un jour ma cage de chasteté, ou sinon pour en remettre une plus petite avec des pointes. Elle ne veut plus de mon sexe. Sophie approuve à ma grande honte, exprimant son dégoût pour les hommes et ce lamentable sexe. Cest vrai que jai honte de ce sexe, mais ne plus jamais jouir, je meffondre intérieurement. Mon seul plaisir sexuel sera de la lécher, mais aussi de me faire enculer par des hommes. Lorsque Julie explique à Sophie que jadore lécher et me faire mettre à la chaîne, jaimerais disparaître. Pourquoi me fait-elle donc cela ? Devant une amie, ou ce que je croyais être une amie. Jai une boule au ventre, une certaine panique mélangée dune profonde excitation, cest étrange, je suis au bord dun abysse. Jai totalement perdu le contrôle de ma vie. Je nose imaginer létat de mon compte en banque, Julie prenant un malin plaisir à dépenser plein dargent pour elle sur mes comptes, moi qui suis tellement précautionneux et angoissé à ce sujet. Et cela mexcite aussi cet abus, parce que cest elle, et quelle peut tout.

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