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La découverte de mon corps – Chapitre 2

Je suis une MILF soumise, même très soumise - Chapitre 11



Perdue dans mes pensées, j’arrivais vite au bungalow. L’expérience que je venais de vivre m’avait mis les nerfs à vif. Il fallait que je prenne une douche, que je m’éclaircisse les idées. J’enlevais d’un mouvement rapide mes vêtements et m’installais sous le jet d’eau chaude. Je pris le gel douche et commençais à m’en appliquer sur le corps, le long de mes bras, de mon cou… Arrivé à mes seins, je sentis mes tétons se dresser sous mes doigts. Mon corps en redemandait, il n’avait pas été entièrement satisfait tout à l’heure. Sans vraiment réfléchir, ma main glissa le long de mon ventre pour arriver à mon entrejambe et mes doigts finirent par entrer en contact avec mon clitoris. Instantanément, un frisson me parcouru le dos et mes doigts commencèrent à dessiner des cercles réguliers dans mon intimité. Mon bas ventre se réveilla aussitôt et mon corps, si avide de caresses, multipliait chaque sensation, chaque contact par dix. J’accélérais le mouvement, voulant nourrir ce plaisir qui montait en moi. Je dû alors me tenir au mur de la douche sentant mon corps trembler sous cet assaut de plaisir. Cet envie de sexe qui s’était réveillée en moi lors du test avec Ethan ne faisait que m’embrasser d’avantage à chaque seconde. Je voulais qu’un homme s’occupe de moi, je voulais ressentir sa peau contre ma mienne, ses lèvres expertes sur mon corps, ses doigts agiles dans mon intimité, je voulais tout et je le voulais tout de suite. Je rentrais alors mon majeur en moi et commençait des va et vient énergiques. Un long gémissement sorti de mes lèvres avant même que j’y prenne conscience et se répercuta sur les murs de la salle de bain. Je rentrais un deuxième doigt voulant augmenter encore le plaisir que je ressentais. Je me mordis la lèvre inférieur en sentant mon corps entier s’enflammer à l’arrivée de ma jouissance qui se faisait imminente. Mes gémissements se firent plus fréquents, mes doigts plus rapides et alors que mon plaisir arrivait presque à son sommet, j’entendis la porte d’entrée claquer.

-Eden? Tu es rentrée? cria Léa

Je me retournais rapidement vers la porte de la salle de bain, pas de verrou. J’eu à peine le temps d’attraper une serviette et de la dérouler autour de moi que la porte de la salle de bain s’ouvrit.

-Ah tu es là, dépêche toi, on va être en retard pour le diner. Oh c’est bon, ajouta-t-elle en voyant le regard que je lui jetais, ne fait pas ta timide, on est toutes faite de la même manière.

Sans lui répondre je me retournais vers le miroir et attrapa ma brosse à cheveux

— Tu as intérêt de te dépêcher ou je te botte les fesses, dit elle, je t’attend dans la chambre.

Je fis la moue alors qu’elle sortait, je n’allais pas pouvoir me faire jouir pour le moment…

Cinq minutes plus tard je sortis de la salle de bain coiffée et maquillée. Léa était à l’extérieur au téléphone, j’entrepris donc de m’habiller. J’enfilais tout d’abord un soutien gorge en dentelle blanche et une jupe d’été de couleur crème, comme bas j’hésitais entre un tanga crème ou un string en dentelle blanche. J’entendis la porte d’entrée s’ouvrir et Léa entra telle une furie.

-Mes frères seront là ce soir et il y en a un que je n’ai pas vu depuis plus de trois ans! Si on est pas dans le réfectoire dans 5 minutes on ne pourra pas y entrer donc on y va! dit-elle en me tirant par le bras

-Attend, je n’ai même pas fini de me préparer, l’arrêtais-je

Elle attrapa mes escarpins noirs et me força à courir jusqu’au réfectoire à pieds nus ce qui était, selon elle, plus rapide qu’à talons. Nous arrivâmes juste à temps et je m’arrêtais juste à l’entrée pour enfiler mes chaussures. C’est en me baissant pour fermer les sangles que je sentis que quelque chose n’allait pas. Je me relevais rapidement sous les rires de Léa

-Et ben dit donc Eden, dit-elle, on dirait bien que tu as oublié ta petite culotte.

Je devins toute rouge alors que Léa continuait de rire. Dans la précipitation j’avais complétement oublié et ma jupe courte n’était peut être pas adaptée à cette soirée venteuse.

-Oh c’est bon , continua-t-elle, ça m’arrive aussi souvent de ne pas en mettre, c’est agréable. Aller on rentre, de toute façon, on a pas le temps de faire un aller retour.

J’acquiesçais et la poussa à l’intérieur où nous attendait notre groupe ainsi que les frères de Léa qui l’accueillir en la serrant dans leurs bras. Après les avoir salué je m’installais à la seule place libre qu’il restait, à coté d’Adam, le frère ainé de Léa. Durant le repas celle-ci fût scotcher aux lèvres de son frère Anthony qui revenait d’un voyage de trois ans en Indonésie et qui racontait chaque détails avec la plus grande attention. Il avait fait le voyage spécialement de Paris après son retour pour voir sa sur. Pour ma part, j’étais trop loin pour bien entendre ce qu’il racontait, je me perdis donc lentement dans mes pensées. Depuis que j’étais sortie de la douche sans avoir eu le temps de finir ce que j’avais commencé, mon corps m’envoyait des appels. Il voulait que l’on s’occupe de lui et je ne pouvais qu’être d’accord avec lui. J’essayai de me rappeler les sensations que j’avais ressenti juste avant que Léa ne fasse interruption dans la salle de bain. Mon corps se réveilla et je me sentis mouiller sans même avoir eu à me toucher. Il fallait que je m’éclipse aux toilettes afin que je puisse jouir, j’en avais envie, mais j’en avais aussi besoin, c’était une nécessité à présent. J’avais l’impression d’être une bombe à retardement qui allait exploser à un moment ou un autre sans qu’on ne puisse rien faire.

Au moment où je me décidais enfin à me lever, le frère de Léa, Adam se retourna vers moi

-C’est fou ce que ça peut être barbant ces histoires, tu ne trouves pas?

Je le regardais de travers, il ne pouvait pas me faire ça, la politesse voulait que je reste, mais mon corps entier suppliait pour que j’aille m’occuper de lui dans les toilettes.

-Personnellement je n’entends pas grand chose, donc je ne peux pas dire si ça m’intéresse ou non. Dis-je d’une petite voix. Excusez moi une minute, je reviens.

Sans attendre de réponse, je me levais. Alors que je me dirigeais vers les toilettes, Léa m’appela.

-Eden, ils arrivent avec les desserts, vient!

Je me retournais vers elle, elle avait décidé de m’empêcher de jouir, ce n’était pas possible autrement! Je revins d’un pas lourd vers la table et essaya de m’asseoir. Malheureusement, maladroite comme je suis, je manquais de tomber de ma chaise en me prenant le pied dans celle d’Adam. Je réussis de justesse à me rattraper sans que personne ne remarque rien, personne sauf Adam, qui avait du avoir une vue plongeante sur mes fesses dénudées. Un regard vers lui me confirma ce que je pensais, à son sourire, il était clair qu’il avait pu apprécier le spectacle.

On me déposa une coupe de fruit devant moi alors que je bouillonnais de l’intérieur. Cette soirée n’aurait pas pu plus mal se passer. En m’avançant sur le bord de la chaise afin d’être plus près de mon assiette, je sentis que j’avais l’entrejambe trempée et je ne pu m’empêcher de me trémousser un peu. Il fallait que je me calme, tôt ou tard, j’arriverais bien à prendre du temps pour moi et pour mon corps.

J’entrepris alors de picorer dans ma coupe sans vraiment d’appétit. Si j’avais faim, ce n’était pas de nourriture.

Je sentis alors une main chaude se poser sur ma cuisse. D’abord surprise je regardais alors Adam, qui était à coté de moi. Il me lança un beau sourire et tourna la tête vers la conversation mine de rien. Mon corps se mis à chauffer d’instinct et, alors qu’il remontait petit à petit en me caressant la cuisse, je fermais les yeux pour mieux apprécier ce contact. Ses doigt arrivèrent au niveau de mes lèvres et je ne pu empêcher mes jambes de s’écarter. Je sentis ses doigts se frayer un passage en moi et il commença une série de va et viens délicieusement lents. Je me mordis la lèvre inférieur, signe de mon excitation et en ouvrant les yeux, je le vis me regarder d’un air grave. Alors que nous nous fixions, il accéléra d’un coup le mouvement et je du faire preuve d’une force surhumaine pour ne pas gémir à table. je me mis à me dandiner discrètement sous l’effet de ses doigts en moi. Le plaisir était de nouveau en train de prendre possession de mon corps et je dû me mordre l’intérieur des joues plus d’une fois pour ne rien laisser paraitre aux autres. Enfin, le plaisir se fit si intense que je me cachais le visage dans les mains afin de pouvoir me laisser aller. Je me mis à jouir silencieusement, retenant ma respiration afin de ne laisser aucun son sortir de ma bouche, emprisonnant les mains d’Adam entre mes cuisses serrées.

Lorsqu’enfin, je me détendis quelques minutes plus tard, je me décidais à ouvrir les yeux et à libérer la main d’Adam. Personne n’avait remarqué notre petit manège et Adam me regardait avec un magnifique sourire. Sans me quitter des yeux, il amena la main qu’il avait utilisée sur moi à sa bouche et lécha sensuellement ses doigts.

-Délicieux dessert, tu ne trouves pas Eden? dit-il

Je ne pus m’empêcher de rire en sentant mon corps en partie libérée avec cet orgasme.

-Ca c’est sur! lui répondis-je en ouvrant sa braguette, mais nous n’avons pas fini…

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