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LA DECHEANCE DE MALAURIE – Chapitre 4

LA DECHEANCE DE MALAURIE - Chapitre 4



La porte dentrée souvrit et une femme, dune cinquantaine dannées, forte, fit son apparition. Malaurie fut surprise. Elle sattendait à ce quelles soient seules, Katia et elle. Mais voici que quelquun simmisçait dans leur complicité.

La femme dévala les escaliers avec une célérité surprenante pour sa corpulence et se présenta devant elles.

 Bonjour, madame ! Avez-vous fait bon voyage ?

 Oui, merci, Marie. Sil vous plait, pendant que je moccupe de petite chienne, voulez-vous conduire la voiture dans la grange et y décharger le matériel.

 Bien madame !

Marie monta dans la voiture, découvrant ses larges cuisses celluliteuses, à la vue de Malaurie. Elle démarra et partit vers la grange. Katia tira sur la laisse et emmena la jeune fille dans lherbe. Là, elle lâcha la laisse et lui dit :

 Allez, fais tes besoins. Nous nallons pas y passer la journée !

Autant elle navait pas ressenti de gêne en urinant devant Katia t son amie, en ville, autant elle se sentait gênée de le faire actuellement. Tout dabord, parce quelle avait envie de déféquer, ensuite, parce quelle se sentait gênée par Marie. Katia commença à sénerver :

 Dépêche-toi, petite chienne. Parce que lorsque tu seras à lintérieur, plus question de sortir jusquà demain.

Mortifiée, la chienne se mit accroupie, les bras tendus, et poussa. Enfin, elle se soulagea. Sa maîtresse sortit un sac plastique et y recueillit ses étrons. Puis elle tira la chienne jusquau perron. Dans la maison, elle donna la laisse à Marie, en disant :

 Marie, pouvez-vous la laver, sil vous plait ?

 Bien sûr, madame. A quelle heure volez-vous dîner ?

 Dix-neuf heures trente, cela ira ?

 Bien madame, ce sera prêt. Allez, viens toi, on va aller te laver !

 Au fait, Marie, tant que jy pense. Elle ne peut pas parler. Alors, inutile de lui poser des questions. Elle ne répondrait que par un aboiement !

 Daccord madame !

Marie conduisit la chienne à la douche. Ce nétait pas une salle de bains, mais un coin, dans une pièce, derrière la cuisine. Elle retira la laisse et le collier à la jeune fille, séquipa dun tablier en caoutchouc puis sempara dun tuyau, ouvrit leau et dirigea le jet sur la peau de Malaurie. Elle frissonna, plus surprise par la puissance du jet que par la température de leau. En effet, celle-ci était tiède.

 Tu es une chienne, commenta la femme âgée, tu es lavée comme une chienne !

Ensuite, la femme sempara dune brosse large et y versa un shampoing. Elle sapprocha de la chienne et se mit à la brosser avec vigueur. Le brossage dura un bon quart dheure, et lorsque Marie sarrêta, la peau de la chienne était rouge. De nouveau, elle prit le tuyau et la rinça.

Après lavoir essuyée, la femme lui remit le collier et la laisse et la reconduisit au salon, où se tenait sa maîtresse. Celle-ci resta un long moment dans un silence complet, puis, semparant de la laisse, attira Malaurie vers elle :

 Alors, cela te plait, de jouer à la petite chienne ? Dit-elle, en la fixant dans les yeux.

Ne pouvant répondre, la jeune fille émit un aboiement qui pouvait passer pour un oui. Sa maîtresse reprit :

 Puisque tu es une chienne, je pense que tu ne verras aucun inconvénient à te faire saillir comme une chienne ?

Malaurie tressaillit, se demandant où Katia voulait en venir. Avait-elle lintention de la livrer à un animal ? Elle eut bientôt la réponse, lorsque sa maîtresse appela la servante:

 Oui madame ? répondit celle-ci en arrivant dans le salon.

 Je crois quil est temps de faire saillir cette petite chienne. Demain, nous la mettrons avec Brutus !

 Bien madame ! Madame a encore besoin de moi ?

 Non, Marie, merci ! Vous pouvez aller vous coucher !

 Merci madame ! Bonsoir madame !

 Bonne nuit, Marie !

Katia resta seule, avec sa petite chienne. Celle-ci fixait son regard sur sa maîtresse, guettant ses réactions. Tout dabord, quallait-elle faire delle, lorsquelle irait se coucher ? Avait-elle lintention de la faire saillir par un chien, ce Brutus, ou nétait-ce quune rhétorique ?

Pourtant, Malaurie sentait son ventre se crisper, sa chatte palpiter, signe dune excitation montante. Pourvu que Katia ne sen aperçoive pas. Celle-ci se pencha et commença à caresser sa soumise, dabord les cheveux, puis elle descendit sur léchine. Malaurie frémit lorsque les doigts de sa maîtresse atteignirent sa croupe, glissèrent le long de sa raie, pour sinsinuer entre ses lèvres intimes.

 Cest bien ce que je pensais, dit Katia en se redressant et passant ses doigts sous le nez de la chienne, tu es excitée à lidée de te faire saillir par Brutus ! Tu en as envie, hein ?

La petite chienne émit un aboiement rauque, plaintif, qui ne voulait dire, ni oui, ni non. De toute façon, elle savait que ce serait inutile de protester. Katia avait pris sa décision et elle allait être saillie par un mâle. Elle appréhendait et espérait cela, en même temps. Katia reprit :

 Tu ne seras pas tout le temps une chienne ou une pouliche. Non, cela ne mamuse pas tellement. Tu redeviendras bientôt ma soumis, mon esclave. Tu sais que le frère de Marie, eh oui, encore une, est en train de réaliser ton cagibi. Lorsque nous rentrerons, tu retrouveras ta condition. Et là

Elle me fixa un instant, avec un sourire énigmatique et continua :

 Lorsque jen aurai envie. Je te torturerai, jusquà ce que tu cries grâce ! Tu sais, je suis très douée pour cela ! Je te ferai anneler les seins et la chatte. Lorsque jen aurai fini avec toi, tes seins ressembleront à des outres flasques, pendantes sur ton ventre. Tes tétons seront allongés de plusieurs centimètres. Les lèvres de ta chatte seront démesurément longues, équipées danneaux, très lourds, de plaques, pour les étirer plus encore. salope comme tu es, je crois que tu vas aimer cela ! Bon, je crois quil est temps daller se coucher. Suis-moi.

Katia mena sa chienne en laisse, jusquà sa chambre. Là, elle jeta un édredon et une couverture, sur le sol, au pied du radiateur. Puis elle attacha la laisse au radiateur et alla se coucher. Quelques instants plus tard, Malaurie entendait le souffle apaisé de sa maîtresse. Katia dormait.

Il lui fallut plus longtemps pour y arriver. Elle repassait constamment les paroles de sa maîtresse dans sa tête et simaginait comme elle le lui avait dit, les lèvres de sa chatte distendues, ses seins, flasques, harnachée. Non, décidément, elle ne pouvait se faire une véritable idée de ce qui lattendait. Elle finit par sendormir, deux heures après sa maîtresse.

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