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La descente aux enfers de Marion – Chapitre 6

La descente aux enfers de Marion - Chapitre 6



Premier jour dans la cave

Samedi 20 octobre 10h00

Marion était donc seule dans la cave, Laurent étant parti travailler. Elle retourna dans sa chambre et commença à s’habiller. Bien décidée à prendre soin de son corps, Marion choisit un legging de sport et une brassière qu’elle recouvrit d’un t-shirt moulant.

Elle se dirigea alors vers la pièce où se trouvaient les équipements de sport, mais à peine arrivée, elle sentit que quelque chose n’allait pas. Son ventre était comme torturé et émettait des bruits plus qu’inquiétants.

Elle comprit rapidement ce qui se passait et se précipita aussitôt aux toilettes. Elle eut tout juste le temps de se déshabiller avant de se vider entièrement, sans douleur, mais sans aucun contrôle.

Marion se rappela alors du comprimé que lui avait donné Laurent avant son départ… Et elle se sentit humiliée, salie à l’idée que lui, sur le trajet pour aller au travail, dans sa belle voiture, devait l’imaginer dans cette situation un peu honteuse…

Marion commençait à angoisser, même quand Laurent n’était pas présent, il avait quand même le contrôle total sur son corps. Le départ de Laurent lui avait fait penser à un moment de répit, mais il n’en était rien.

Après une vingtaine de minutes, Marion, honteuse et se sentant sale, fit couler un bain dans l’espoir de se détendre un petit peu. Après cela, elle retourna dans sa chambre et épuisée, décida de s’allonger dans son lit. Ce début de journée avait vraiment été fort en émotion, en quelques heures, elle avait pour la première fois été vue nue par un homme, qui lui avait ensuite touché toute son intimité, avant de lui faire subir une épilation au chalumeau. L’humiliation du laxatif avait fini d’enfoncer le clou et Marion s’endormit alors rapidement.

Son sommeil fut cependant agité. Dans ses rêves, elle était à la place de la femme présente dans une de ses vidéos préférées, les seins exposés sur une épaisse planche de bois. Dans ce rêve, c’est Laurent qui approchait d’elle armé d’une poignée de clous d’un diamètre impressionnant. Comme dans la vidéo, elle assistait, impuissante, à la scène. Laurent saisit un premier clou, et le plaça à la verticale du téton de Marion, en le tenant fermement. Il souleva ensuite le marteau et s’apprêta à porter un grand coup. Lorsqu’elle vit le marteau s’abattre sur le clou, Marion ne ressentit rien, mais elle fut réveillée par un bruit sourd, celui de la porte de sa chambre qui venait de se refermer.

Laurent se tenait debout dans sa chambre.

« Quelle heure est-il ? » demanda-t-elle.

« 17h30, et j’espère que tu es bien reposée, j’ai besoin de me défouler un petit peu… »

Il s’approcha alors de Marion, gisant dans son lit, et ôta le drap qui la recouvrait. Elle s’était endormie en portant un t-shirt et une simple culotte en coton blanc. Sa poitrine qu’elle avait toujours trouvée petite avec son 80B, mais qui avait l’avantage d’être bien ferme et remontée était bien dessinée par la coupe du t-shirt et ses deux tétons pointaient à travers le tissu d’une manière flagrante.

Ce détail n’échappa pas à Laurent : « Je vois que tu n’es pas indifférente à ma présence… ».

Marion, qui émergeait encore de sa longue sieste, ne put retenir un sourire, « S’il savait pourquoi mes seins sont au garde à vous… » pensa-t-elle.

En examinant Marion plus en détail, Laurent remarqua que la culotte au niveau de son entrejambe était luisante et assombrie par un liquide visqueux. « Je vois que tu as fait de beaux rêves… Il est l’heure du cauchemar à présent ! dit-il avec un sourire narquois. A quatre pattes ! ordonna-t-il ».

Marion ne se laissa pas désirer, et quelques secondes plus tard, elle se cambrait fièrement sur son lit. Pendant qu’elle repassait ses cheveux derrière sa nuque, Laurent avait ôté sa ceinture de cuir. Marion frémit alors, si le premier coup de ceinture dans la forêt avait déchiré son legging, quel serait l’effet sur sa peau quasi-nue ? La réponse ne se fit pas atteindre, puisqu’un grand claquement retentit dans la pièce. La douleur ne fut pas immédiate, l’adrénaline et la surprise inhibant certainement ses sens pendant quelques dixièmes de seconde, mais une chaleur atroce commença à irradier sa fesse gauche, où le coup l’avait atteinte.

« J’espère que tu es mieux réveillée maintenant ! ironisa Laurent. Comme c’est ton premier jour ici, je pense qu’un seul coup de ceinture suffira. Suis-moi à la salle de bain maintenant ! ».

Elle se releva péniblement. Arrivée à la salle de bain, elle constata la marque nette, tachetée de petites gouttelettes de sang, laissée par la ceinture. Laurent demanda à Marion de s’allonger dans la baignoire, ouvrit sa braguette et commença à uriner sur le bas-ventre de Marion. Au fur et à mesure que sa culotte et son t-shirt devenaient transparents, Laurent dirigeait son jet vers le haut du corps et fini par inonder le visage de Marion qui haletait volontiers pour récupérer quelques gouttes du nectar.

Il attrapa ensuite Marion par les cheveux, seule partie de son corps encore à peu près sèche et la souleva pour l’aider à se relever. Toujours en la tenant fermement par ses longs cheveux bruns, il l’emmena à nouveau vers la chambre.

Au milieu de la pièce, il descendit la culotte le long de ses jambes, puis l’enfonça sur la tête de Marion, à la manière d’un bonnet.

« Je me faisais déjà des chapeaux comme ça quand j’étais petite ! » dit-elle.

Laurent sourit, et lui demanda de se remettre à quatre pattes sur le lit, la tête face au mur. Alors qu’elle obtempérait, Laurent finissait d’enlever son pantalon, exhibant alors son sexe dressé. Il saisit ensuite un tube de lubrifiant, et s’en appliqua une bonne quantité au bout du gland.

Sentant Laurent se rapprocher d’elle, Marion voulut rappeler à Laurent qu’elle était vierge, et que c’était donc sa première pénétration. Mais au moment où il l’agrippa par les hanches, elle ne put pas dire plus que ceci : « Fais doucement s’il te plaît, je te rappelle que je suis viAAAAahhhh !! ». Marion s’écroula alors sur le lit, en effet, non seulement Laurent n’y était pas allé de main morte, mais son sexe était maintenant logé au plus profond du rectum de Marion. Laurent resta immobile quelques secondes, le temps de laisser Marion se décontracter et ravaler quelques sanglots. C’était d’ailleurs les premières larmes de Marion depuis sa rencontre avec Laurent. Ce n’était pas des larmes de douleur, car la pénétration, bien que violente était maintenant supportable. Non, elle était dans cet état de détresse car la jeune fille qui quelques jours plus tôt n’osait pas rendre visite au médecin de peur de devoir se déshabiller, était maintenant totalement soumise à un homme qui pourrait être son père, et qui l’avait humiliée en lui urinait dessus et était maintenant au plus profond de son intimité.

Laurent se retira ensuite de quelques centimètres, puis la pénétra à nouveau, très délicatement cette fois-ci. Marion ferma les yeux, et émit un long soupir. Elle se rendit compte que le tiraillement de la première pénétration avait disparu, laissant place à une tout autre sensation. Marion se sentait comme remplie par ce corps étranger. Cette vie en elle lui procurait une chaleur qui remontait tout le long de son ventre, jusque dans sa poitrine. Cette présence la contrôlait, elle était littéralement prise par Laurent.

Après quelques instants, il commença à accélérer les mouvements va-et-vient, jusqu’à ce qu’il pousse un profond râle, en s’immobilisant tout au fond de Marion. Elle sentit alors la chaleur s’intensifier, et des spasmes dans tout son bas-ventre. Aucun doute, il avait joui en elle.

Laurent se dégagea alors, et ramassa ses affaires.

« Je n’aurais jamais imaginé perdre ma virginité par mon petit trou » lui dit-elle.

Il se dirigea vers la porte, et se retourna vers Marion. Celle-ci s’était redressée à genoux dans le lit. De sa main gauche, elle récolta un mélange de sperme et de sa propre mouille qui suintait entre ses jambes et porta ses doigts à sa bouche, en faisant un clin d’il à Laurent.

« Tu n’as encore rien vu ! » annonça-t-il en quittant la pièce.

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