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La fille du patron – Chapitre 2

La fille du patron - Chapitre 2



Le soir, comme convenu, je me présente au boulot. Mon collègue H est bien là, avec un nouveau venu.

— Tu ne bosses pas aujourd’hui L?

— Non, je suis juste de passage, j’ai pris un jour de repos, mais j’en profite pour passer prendre un verre.

— Oui, et que me caches-tu?

— Rien, juste envie de décompresser un peu.

— Allez, bonne soirée, avec un grand sourire en prime.

Merde, il n’est pas con lui, j’aurais des choses à lui expliquer plus tard.

Je suis à peine installé au bar à siroter un JB coca qu’arrive V.

— Bonjour L, contente de te voir.

— Pareil pour moi.

— J’en ai pour un quart d’heure, on se retrouve au parking. 

Je termine mon verre à l’aise et me rend à mon véhicule.

Ah, la voilà!

Même pas le temps de descendre du véhicule, elle est déjà assise sur le siège passager. Je me penche vers elle et déjà nos langues se cherchent, mes mains se promènent sur son corps.

— Démarre s’il te plait!

— Ou va-t-on?

— Je t’indique la route.

— J’aimerais malgré tout savoir.

— On va chez moi.

— Mais ton homme et les enfants…

— Mon compagnon n’est pas là et les enfants sont chez ma sur pour la nuit, je t’expliquerais en arrivant.

Vingt minutes plus tard, nous sommes arrivés. Je lui demande ou je dois stationner mon véhicule, par souci de discrétion. Mais elle me dit de me stationner devant la maison.

Je ne suis pas contrariant, elle doit avoir ses raisons, allez, on verra bien.

Nous entrons, intérieur coquet, à peine passé dans le salon, elle se jette sur moi. 

— Fais moi l’amour, la maintenant.

Pas la peine de me le dire deux fois.

Sa robe tombe au sol, les sous-vêtements suivent le même chemin.

Elle est nue devant moi, ses seins pointent de manière agressive. Mes mains caressent son corps, je fais rouler ses tétons entre mes doigts. 

Elle gémit, j’étire ses tétons, bon dieu, elle aime se faire étirer les tétons, ceux-ci ont atteint une belle taille, elle doit souffrir car je ne fais pas dans la douceur. Elle a l’air d’aimer.

Ma langue et surtout mes dents s’acharnent sur ces derniers, tandis que ma main descend prendre possession de son ventre. Sa fente est humide, un doigt passe sur son bouton, elle doit avoir reçu une décharge électrique, elle coule et je n’ai pas encore exploré son con.

Elle est en manque de bite, pas possible, une bonne aubaine à ne pas laisser passer l’occasion. En comparaison avec ma femme, le jour et la nuit.

Pour sa part, elle a pratiquement arraché ma chemise, et elle s’acharne sur mon jeans.

Vite, me débarrasser de ces frusques.

Je me sépare de ce corps, et enlève mes frusques.

Je reprend possession de son corps, nous roulons dans le canapé. Avant de me rendre compte de quoique ce soit, elle vient de me chevaucher et ma tige est entièrement dans son ventre.

Jamais je n’ai connu une telle fureur de baiser.

Elle monte et descend sur ma queue. Merde, je ne suis même pas couvert. 

Bon sang, elle coule tellement que mes couilles et la raie de mon cul sont trempés. Sa toison est poisseuse de sa mouille.

Quelle chiennasse, bordel, je vais la tringler à fond, je redouble mes coups de reins, je vais lui perforer la matrice. Lorsque j’en aurais fini avec elle, sa moule sera en compote, elle n’arrivera plus à en prendre une avant un bon moment.

Mon gland tape bien au fond, je ressort ma bite au maximum et me remet violemment au fond de son ventre, encore et encore.

Mes mains sur ses hanches la font monter et descendre en cadence. 

J’en profite pour lui sucer en alternance ses tétons, les mordre.

Et soudain, je sens son ventre se resserrer sur ma tige, elle jouit, et j’ai vraiment la sensation qu’elle étrangle mon sexe. Ma queue est devenue un trayon de vache et elle essaye de me soutirer du lait.

Je ne tiendrais pas, je me laisse emporter. Je viens en trois ou quatre puissants jets, j’ai la sensation que mes couilles sont absorbées.

Elle s’affale sur moi, et nous restons collés l’un à l’autre, l’impression d’être deux limaces collés l’une à l’autre.

Après quelques minutes de récupération, caresses et baisers, mon sexe ramollit et sort de son ventre chaud. Elle se relève et part vers la salle de bain en me disant qu’elle revient de suite. 

Je suis dans ce divan trempé, assis dans une flaque de mouille et de sperme, le tout mélangé et je baigne dedans.   

Elle revient et me demande si je veux venir prendre une douche.

Bien sur que je veux, besoin de me rafraîchir après cette étreinte torride.

Passage à la douche, je reviens au salon, elle a épongé le divan, elle est allongée et m’attend.

— Viens, il faut que je te parle.

— Oui, je crois que c’est nécessaire après ce que nous venons de vivre.

— Ecoute, depuis le premier jour ou je t’ai vu à la boite, j’ai eu envie de toi. J’ai mis mon compagnon dehors, je veux que tu viennes vivre avec moi.

La, il y a un blanc de ma part…

— Mais, je suis marié, j’ai des enfants, on ne part pas comme cela.

— Je l’ai bien fait pour toi. Tu n’auras plus besoin de travailler enfin comme tu le fais actuellement. Et je ferais tout ce que tu auras envie pour que tu ne regrettes jamais ta décision. Tu pourras tout me demander, jamais je ne te refuserais quelque chose. J’ai envie de faire plein de choses folles avec toi, que nous ayons un nous deux ensemble.

— Tu veux dire que tu serais prête à accepter toutes mes demandes et réaliser tout ce que je te demanderais de faire.

— Oui, si tu viens vivre avec moi, tu seras mon amant, ami, maître, je serais ta femme, maîtresse, soumise ou putain si tu me le demandes. 

L’homme est faible, je n’ai pu résister.

à suivre…

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