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La Gestionnaire – Chapitre 11

La Gestionnaire - Chapitre 11



Je suis en déplacement pour deux semaines. Charlotte est déçue, je ne pourrais pas descendre la voir ce week-end. Elle m’inonde de mails. Elle veut encore plus, une découverte nouvelle, quelque chose de très fort, encore plus que la visite de chantier. Elle me laisse le champ libre. A moi de trouver une solution… Comme quoi la formation d’une femme à l’esclavage n’est pas toujours de tout repos. Que vais-je bien pouvoir lui trouver ? C’est le hasard qui me fait trouver une solution.

De retour à Paris, je suis amené à visiter un chantier dans une banlieue. Le chantier est perdu au fond d’une rue. Je gare ma voiture le long de la palissade. Je suis inquiet. Laisser mon Audi TT dans cette rue c’est vraiment de l’inconscience. Si je la retrouve à mon retour, c’est que j’ai le cul bordé de nouilles…

Je pénètre sur le chantier. La porte de la cabane est ouverte. J’entre. Un jeune d’une vingtaine d’années est là, fouillant dans le frigidaire. Il ne m’a pas entendu. J’approche dans son dos. A cinquante centimètres derrière lui, je l’interroge :

— Tu as soif ?

Il se redresse d’un seul coup et cherche à me bousculer pour s’échapper vers la porte. Malheureusement pour lui, je suis un peu lourd et surtout prêt à la ruée du jeune. Je le saisis par le col et lui demande e qu’il cherche exactement.

— Juste de quoi boire un coup, m’sieur !

— Tu mérites une raclée, chapardeur… trouves-toi du boulot et bosses honnêtement…

— Mais je ne trouve pas de boulot…

— Tu vas aller dans la rue. Il y a une Audi TT… Surveille là ! A mon retour tu auras le fruit de ton travail…

Je pars en le laissant en plan. Je ne sais pas sil fera ce que je lui ai demandé. En fin nous verrons bien.

Une demi-heure plus tard je sors du chantier. Il est là, auprès de ma voiture.

— Personne n’y a touché m’sieur ! Garantie sur facture

— Je l’espère bien.

Je lui tends un billet de 20 Euros.

— C’est trop m’sieur…

— Non c’est le fruit du travail…

— A bientôt…

— A bientôt m’sieur

— C’est comment ton prénom ?

— Zinédine, comme le joueur de foot

— Bye Zinédine,

Il me rattrape et me tend un carton. Dessus est inscrit un numéro de téléphone.

— Si tu as besoin de quelque chose, appelles et tu m’auras…

A peine sa phrase terminée, il avait disparu. C’est en rentrant à mon appartement que j’ai pensé à Charlotte et à ses envies. Arrivé chez moi, et après une bonne douche, je compose le numéro du portable de Zinédine. Une, deux sonneries et il décroche.

— Zinédine, c’est ton employeur quand tu te fais prendre le nez dans un frigo…

— Bonjour m’sieur que cherches-tu ?

— C’est difficile à expliquer de vive voix. Il faut que je te rencontre.

— Quand tu veux…

— Dans une heure, chez toi…

— Tu sais où j’habite ?

— Tu sais, tu aurais pu me mettre aux flics ! Alors un mec qui ne le fait pas c’est un pote.

— Dans une heure, chez moi.

Une heure plus tard la sonnerie de la porte d’entrée du hall retentit. Par l’interphone je lui ouvre et lui dit de monter dans l’ascenseur. Quelques secondes plus tard la porte de la cabine s’ouvre. Zinédine est dans mon salon

— Putain m’sieur, comment tu fais ça ?

— Quoi ça ?

— Y a pas de bouton dans l’ascenseur !

— Je le commande d’ici…

— C’est chouette chez toi !

Il visite.

— Tu veux prendre quelque chose ?

— Oui une binouze !! Enfin si t’as !

Je lui sers une Carlsberg.

— Alors que veux-tu exactement ?

— Voilà Zinédine…

— Appelle-moi Zède…

— Z, j’ai une amie qui a des fantasmes plein la tête. Elle a des envies inavouables et m’a demandé de les satisfaire…

— Pourquoi tu t’adresses à moi, t’es impuissant ?

— Non loin de ça… mais elle veut être à la merci de plusieurs hommes…

— Et tu es tout seul…

— Oui… alors crois-tu que tu puisses m’aider…

— Sans problème… ta meuf a envie de se faire ramoner par un groupe de jeunes mecs… je vais t’organiser cela …

— Tu veux faire cela quand ?

— Ce samedi, si tu peux…

— Elle est en manque, ce nest pas possible…

— Tu ne peux pas ?

— Si si… ne t’inquiète pas… je te rappelle jeudi à la même heure… OK ?

— OK ! Au fait ! Elle ne veut que des mecs entre 20 et 30 ans ! OK ?

— Allez bye fais-moi sortir de ton antre…

Je lui ouvre la porte de la cabine et l’expédie dans le rez-dechaussée. Je passe un coup de fil à Charlotte.

— Que fais-tu ce week-end ?

— Rien mon Maître adoré, je t’attends…

— Pour une fois nous allons changer… je t’attends au train vendredi soir… communiques-moi ton heure d’arrivée.

— Je réserve tout de suite et je te rappelle.

Sa venue est rapidement conclut. Je la récupère à Montparnasse vers 19h30. La semaine passe très vite. Les rendez-vous s’enchaînent les uns aux autres. Jeudi soir, Z me téléphone :

— C’est OK pour ta meuf… je lui ai concocté un truc super…

— Explique-moi…

La conversation dura environ une demi-heure. Z se révèle comme un vrai organisateur. Tout est prêt pour samedi soir. Je vais chercher Charlotte au train. Elle descend de la rame du TGV. Elle est repérable parmi tous les passagers. Sa tenue est repérable à cent mètres. Elle porte un cache-poussière noir. Ce dernier n’est pas fermé. A chaque enjambée, les pans du grand vêtement laissent apercevoir ses cuisses. Gainées de noir, elles sont habillées de bottes mousquetaire noires. En haut des cuisses, un short très court noir, lui aussi lui moule le sexe. On peut deviner les lèvres serrées par le cuir. Au-dessus, un pull noir en cashmere, enserre sa lourde poitrine. Le décolleté laisse deviner un sillon profond entre deux globes jumeaux. Elle arrive, fière, altière, sûre de son charme et de l’effet qu’elle produit sur tous les hommes qui la suivent des yeux. Elle s’approche de moi. Elle pose son sac au sol et me jette ses bras autour du cou. Elle me plaque un baiser à couper le souffle à une forge.

— Bonjour, mon Maître adoré… Que m’as-tu concocté pour ce week-end ?

— Bonjour, ma petite esclave préféré… Tu es trop curieuse…

Elle se fait câline, aguicheuse…

— Dis-moi…

— Allez viens… Nous passons à l’appartement…

Le temps de reprendre la voiture au parking de la gare et nous sommes un quart d’heure plus tard dans mon antre.

— Pour la première fois que je viens chez toi, chapeau ! … C’est superbe…

— Ça te plaît ?

— Oui, beaucoup…

— Alors mets-toi à l’aise…

Je lui prends son manteau et le pose dans la penderie. Je me retourne vers elle. Je ne peux qu’admirer la vision que m’offre Charlotte. Elle est restée debout dans le salon. Elle se tient droite, les pieds écartés, les bras croisés dans le dos.

— Tu vois que je t’obéis… je me suis mise dans la bonne position, sans que tu me le demandes…

— C’est très bien…

Elle est là, vêtue de son short moulant. Ses jambes sortent longues, gainées de noires. Les bottes, qui montent au-dessus du genou, mettent en valeur la rondeur les cuisses. Ses seins tendent la laine de son pull. Elle est délicieuse.

Je l’emmène au restaurant. Nous rentrons tard et nous nous conduisons comme un vieux couple. Une séance de jambes en l’air, très classique et une nuit de repos très agréable, enlacés l’un dans l’autre……

Samedi, après une grasse matinée méritée, nous déjeunons. Je propose à Charlotte une balade dans Paris, où elle veut…

— J’ai prévu de faire quelques courses… sans toi…

— Comment cela ?

— Je veux faire des courses seule… dans des magasins spécialisés…

— Ce n’est une attitude d’une esclave soumise…

— Aujourd’hui s’il te plaît…

— Allez, file faire tes emplettes…

Je constate avec surprise que sa tenue est des plus sages: jupe ample, longue, un pull ras le cou ample lui aussi.

— Quelle drôle de tenue ?

Elle relève son pull pour me faire découvrir un soutien-gorge noir très sage. Elle tire son pull et le passe dans la ceinture de sa jupe. Devant mon air étonné, elle soulève sa jupe. Je suis sur le cul. Elle porte un collant et un slip très petite fille, noire quand même.

— Pourquoi cette tenue sage ?

— Parce que je suis une femme respectable et lorsque je sors seule, je n’aguiche pas les hommes, Monsieur l’Obsédé…

— Salope…

— A plus tard…

Je passe un coup de fil à Z.

— Salut Z !

— Salut Jérôme… Alors te meuf est toujours d’accord ?

— Oui elle sait que ce soir, cela va être sa fête… Comment fait-on ?

— Je passe vers 18 h 30 chez toi. On l’embarque dans un véhicule et je t’emmène sur le lieu que j’ai choisi. Après je vous ramène à domicile. OK ?

— OK mais dans quelle voiture ?

— J’ai une camionnette. Tu as un parking ?

— Oui ! Passe-moi un SMS et je t’ouvre la porte du parking. Tu vas au deuxième sous-sol, à côté de l’emplacement 55. Tu verras l’Audi TT. Gare-toi à côté.

— Ce sera un Expert Peugeot blanc tôlé.

— OK nous sommes d’accord ! A ce soir… Bonne journée…

— Salut mec…

Je termine un dossier urgent. Charlotte en faisant ses emplettes, me sauve car ce dossier est vital pour mon secteur. Si je l’emporte, un débouché pour l’étranger, en l’occurrence le Vietnam, est acquis.

Vers 17 h 30, Charlotte est de retour. Elle porte plusieurs sacs de différents magasins connus et deux sacs de plastique noir. Charlotte me fait admirer ses emplettes. Bien entendu, ce sont des sous-vêtements très sexy et pour tout dire, plutôt des sous-vêtements de dame de petite vertu… Elle passe de la chambre au salon où elle se change, revient au salon se faire admirer et ainsi de suite…

De la chambre, elle m’interpelle :

— Tu ne bouges pas… Tu vas voir mes derniers achats…

— Je ne bouge pas… J’attends

— J’arrive…

En effet, elle entre dans le salon. Elle porte un serre-taille noir. Ses seins, déjà tendus et ronds, sont mis en valeur, comme présentés. Sa taille, serrée apparaît encore plus mince. Ses hanches sont amples sublimes. Du serre-taille, courent de longues et fines jarretelles qui soutiennent des bas résille noire. Elle est chaussée de chaussures dont les talons sont d’une hauteur vertigineuse. Son équilibre de marche est instable. Elle avance en essayant de garder une démarche harmonieuse. Elle me tend un sac de plastique noir.

— Tiens, c’est pour toi mon Maître adoré…

Je prends le sac et regarde le contenu. A l’intérieur, je découvre un bandeau de cuir noir pour masquer le regard, un large collier de cuir noir, clouté, muni d’un anneau métallique, une laisse de métal. Au fond du sac, des pinces munies de poids, une barre métallique munie de mousquetons, des poignets de cuir noirs eux aussi munis de mousquetons…

— A quoi va servir tout ce bric-à-brac ?

— A m’éduquer…

— Tu veux réellement passer au SM pur et dur ???

— Guide-moi, j’en ai besoin… S’il te plaît…

— Explique-moi l’utilité de ces objets…

— Le collier, la laisse et le bandeau je ne t’explique pas… pour la barre, c’est une barre d’écartement. Tu me fixeras les poignets de cuir aux poignets et aux chevilles. La barre peut s’allonger et se verrouiller en position longue. Tu fixes les poignets ou les chevilles à la barre et il m’est impossible de refermer les bras ou les jambes… Pour les pinces, tu peux me les poser sur les tétons, sur les lèvres de mon sexe, comme tu le souhaites…

— Cela risque d’être douloureux…

— Oui, mais c’est bon… tu veux bien ???

— Oui, mais j’avais prévu autre chose pour toi ce soir…

— Qu’avais-tu prévu ???

— Va mettre ton tailleur noir, un boléro très décolleté, un porte-jarretelles, des bas noirs et des chaussures moins hautes que celles-ci…

Aussitôt, Charlotte fait demi-tour et part vers la chambre en se dandinant et en tortillant du cul. Quelques minutes plus tard, elle revient vêtue comme je le lui ai demandé. Mon portable sonne. J’ai un SMS. " Suis en bas Z". Je commande l’ouverture du portail du parking. La caméra qui filme l’entrée du parking, montre l’entrée d’une camionnette blanche tôlée. Je reconnais Z au volant.

— Charlotte, va chercher ton bandeau de cuir…

Elle file et me tend l’objet.

— Tourne-toi…

Elle obéit. Je lui pose. Elle ne dit rien. Je lui prends le bras et la guide vers l’ascenseur. Au passage je rafle le sac d’objets SM.

— Où m’emmènes-tu ?

— Tu vas voir… tu voulais quelque chose de fort, je pense que tu vas être satisfaite…

— Dis-moi…

— Non, avance…

Nous descendons jusqu’au deuxième sous-sol. Je tiens Charlotte par le bras. Je vois au fond du parking, juste à côté de l’Audi TT, la camionnette. Z nous a vus. Il en sort et se dirige vers l’arrière du véhicule. Il ouvre les portes. La lumière blafarde du l’éclairage interne montre un plancher de bois.

— Charlotte, tu vas devoir monter dans un véhicule. La marche est un peu haute. Je vais t’aider.

— Ne me laisse pas seule…

— Non je serai toujours là à tes côtés…

— Merci…

Pour monter, elle est obligée de soulever haut son pied. La jupe remonte très haut sur sa cuisse. Z ne peut retenir une remarque…

— Putain qu’elle est belle ta meuf !!

Je sens Charlotte tressaillir. Elle a un peu peur. Ne rien voir la stresse. Nous grimpons aussi avec elle. Le véhicule est surélevé. Charlotte tient debout, Z aussi. Je suis obligé de baisser la tête. Je prends dans le sac les poignets de cuir. J’harnache Charlotte. Le véhicule sert au transport de vêtements. Es barres métalliques courent sur la longueur de la caisse à différentes hauteurs. Je lie les poignets à la barre du haut, les chevilles à celle du bas.

La position écartée des bras a fait remonter la veste du tailleur et la jupe courte. Les seins serrés par les bras, semblent vouloir sauter hors du boléro. Sa jupe est remontée sur ses cuisses et la lisière des bas a été franchie. La bande de peau satinée des cuisses est offerte au regard de Z. Il est exactement dans le même état que le loup des dessins animés de Tex Avery : les yeux exorbités et la langue pendante ! Charlotte est plus à l’aise. Elle sait que je suis ici. Z ne peut pas se retenir.

— Jérôme, s’il te plaît, je ne pourrai profiter de ta meuf en avant-première !

— Comme cela ?

— Hé bien ici tout seul, sans les autres…

— Tu m’as entendu, je ne laisse pas seule, ma meuf comme tu dis…

— Bien sûr, tu peux rester… mais je peux faire ce que je veux ?

— Oui ! Fais ce qui te plaît !

Il me regarde incrédule. Il ne croit pas à sa chance. Je hoche la tête pour l’encourager à profiter de l’aubaine qui lui est offerte. Il hésite et enfin se décide. Il tend la main vers Charlotte. Je l’encourage :

— Ouvres sa veste, tu seras plus à l’aise…

Charlotte avance le ventre. Z fait sauter le bouton. Les deux pans de la veste se séparent. Les seins libérés d’une contrainte poussent le tissu du boléro. Les pointes sont saillantes. Elles tentent de percer le fragile vêtement. Z n’en peut plus. Sa main vient au contact du sein de Charlotte. Surprise, elle se crispe quelques secondes, puis appréciant la main qui découvre la rotondité, la poitrine gonflée se prête au toucher et vient au-devant de la caresse. Le téton se retrouve pincé entre le pouce et l’index de Z. La pression augmente. Charlotte serre les dents, plante ses incisives dans sa lèvre supérieure. Z se libère de ma présence. Il relâche l’objet rond et chaud. De ses deux mains, il soulève le boléro. Le passage des seins est un peu dur, vu la masse de la poitrine de Charlotte. Le passage effectué, les seins sont libres de toute entrave. Ils s’exposent devant le regard médusé de Z. Ils les attrapent à pleine main et les pressent à leur base, près du torse. Les deux masses semblent prêtes à éclater.

Les tétons se colorent en sombre et pointent encore plus. Z se jette comme un mort de faim sur le premier sein. Il le lèche, le suce, le mordille. Puis, il passe à l’autre, et lui fait subir les mêmes mauvais traitements. Charlotte ne semble pas s’en plaindre. Bien, au contraire, sa respiration s’est accélérée. Elle commence à haleter. Comprenant que son action sur les seins fait son effet, il recommence, agaçant l’un puis l’autre des deux globes jumeaux. Mais son désir est exacerbé par l’attitude de Charlotte. Il resserre les seins l’un contre l’autre et aspire les deux tétons. Il les tient entre ses dents. Il mâchouille, suce, tiraille. Il serre les dents derrière le tétons et de sa langue pointue et dure, il caresse, tourne autour, appuie, tapote les pointes turgescentes. Charlotte est très réceptive à ces attouchements. Elle ne se retient pas. Elle gémit franchement. Z est tout fier de faire plaisir à cette superbe meuf. D’habitude, il a toujours fait cela avec des petites pissouses de sa cité.

Là cette fois, c’est avec une vraie femme. Tout en gardant les tétons entre ses dents, il relève la jupe. Il la monte au niveau de la taille. Elle ne le gênera plus dans ses avances. Les mains descendent sur les fesses. Vierges de tout vêtement, les mains s’aventurent, découvrent la peau douce du cul rond et accueillant. Elles malaxent, tâtent, pétrissent la chair offerte et consentante. Elles écartent les deux masses charnues libérant la vue sur la raie des fesses et l’anneau brun plissé. Le majeur d’une des mains se tend et plonge entre les dômes voisins. La pointe du doigt s’arrête sur l’anneau. Il le masse. Le cul rond un instant bloqué, se tend vers le doigt fureteur. La première phalange tente un percée, enfin plutôt une entrée. Le doigt sec ne peut perforer l’antre. Il reste sur le bord et le caresse. L’autre main passe sur le ventre et plonge entre les cuisses. Elle trouve une fente sans poil. Ses yeux s’arrondissent devant cette nouvelle surprise. Z lâche les pointes de seins et recule pour admirer le mont de Vénus nu.

La main va plus loin chercher entre deux lèvres humides, la grotte secrète de Charlotte. Le bassin s’avance et le sexe s’ouvre à la main inquisitrice. Le doigt pénètre l’antre, sans aucune difficulté. Le pouce trouve sous le capuchon, un bouton oblong, gavé de sang. Sa sensibilité est à son maximum. Charlotte projette son sexe en avant. Elle s’empale sur les doigts masculins qui la fouillent. Elle se branle sur les doigts groupés comme un sexe d’homme. Z arrête le mouvement et s’écarte de Charlotte.

— Non restes, continues, ne t’arrêtes pas…

— Jérôme, peux-tu lui libérer les mains… J’ai envie qu’elle me suce… tu veux bien.

Je libère les mousquetons qui maintiennent les bras de Charlotte en l’air. Dès qu’un des bras est libre, elle saisit le membre raide et vertical qui bat contre le ventre de Z. L’autre libre, Charlotte se jette sur le sexe tendu. Elle l’absorbe, le gobe, l’avale. Z aspire violemment de l’air. Charlotte est une gourmande. Z se dresse sur les pointes de ses pieds pour pousser son sexe dans la gorge de la jeune femme. Le spectacle qui m’est offert est dément. J’ai devant moi, les cuisses de gainées de noir, le cul nu est fendu par la position, le dos plat et la tête de Charlotte qui monte et qui descend sur un sexe raide. Je descends la fermeture de ma braguette. Mon sexe est comprimé dans mon slip. Je le libère. Mon sexe se tend devant son cul et je le fais glisser entre les fesses de Charlotte. Elle n’est pas surprise. Au contraire, elle avance son cul pour faciliter le contact. Je la pose mes mains sur les l’extérieur des fesses. Je les écarte et offre à ma bite, l’anus. Je frotte deux ou trois fois mon gland dans la raie accueillante.

Puis je vis l’anneau. Je pose et pousse lentement sur la bague serrée. L’anus se relâche et s’ouvre pour faciliter l’intromission. Je pousse sans arrêt, jusqu’au moment où les poils de mon pubis touchent les fesses féminines. Charlotte recrache le membre de Z et jette un regard derrière elle.

— Merci mon amour, vas-y, pilonne moi, bourre moi, encule moi bien à fond pendant que je suce ton jeune ami…

Charlotte reprend en bouche le chibre qui lui bat les lèvres. Elle pompe le membre, aspire comme si sa vie en dépendait. Z ne maîtrise pas la cavale qui lui taille la plus belle fellation de sa courte vie de mâle. Voulant réguler la montée de son plaisir, il saisit les cheveux mi-longs de la jeune femme. Les regroupant par couettes de chaque côté de la tête, il impose les mouvements de Charlotte. La fellation devient animale. Je calque mes mouvements sur ceux de Z. Lorsque Charlotte avance sur le sexe tendu de Z, ma bite sort de son cul. Dès que le bourrelet du gland apparaît, je tire sur les fesses pour qu’elle revienne s’empaler et libérer la bite noueuse de Z. Ce traitement ne dure pas très longtemps. Z commence à geindre. Je sens la sève monter. Z jette sa tête en arrière et grogne comme un vieux fauve. Il tire les couettes et maintient Charlotte contre lui. Il veut éjaculer au fonds de la gorge de la femme. Il se vide. Charlotte essaie de se libérer. Apparemment, il lui donne une dose gigantesque de sperme.

Je ne retiens pas. Je me vide dans son cul accueillant. Mon sexe débande lentement. Z se retire de la bouche de Charlotte. Mais, comme tout jeune homme, il bande toujours. Il me regarde.

— Je peux la baiser ?

— Bien sûr, mais tu ne présumes pas trop de tes forces ?

— Tu vas voir !

Charlotte se redresse. Elle finit d’avaler la semence de Z. Elle se lèche les lèvres pour ne pas en perdre une goutte.

— Jérôme, tu peux l’attacher de nouveau ?

— Z, tes désirs sont des ordres…

— Charlotte, donnes tes bras !

Charlotte en soumise docile, me tend les bras pour que je verrouille de nouveau les mousquetons. Z ne prends pas de gants. Il enfile le sexe dégoulinant de mouille comme un sapeur. Charlotte pousse un cri de surprise. Mais elle absorbe la bite. Z la pilonne comme un forcené. Il force le sexe, pousse à fond. Charlotte crie:

— Va doucement, ne cogne pas au fond !

Z ne tient pas compte des souhaits de Charlotte Il brutalise le sexe offert. Il se vide dans l’antre chaud en poussant quelques coups. Il remballe son sexe et me dit:

— Allez, on y va, on va être en retard…

Il n’a pas de regard ou ne tente pas de caresse pour Charlotte. Il a pris une femelle et ensuite, il la jette. Charlotte aura t-elle comprit ou souhaite-t-elle ce genre de relation, je nen sais rien ? Je baisse la jupe de Charlotte et referme sa veste. Je lui caresse la joue et l’interroge :

— Alors, c’est vraiment ce que tu cherches ?

— Merci Jérôme, ce que tu viens de m’offrir m’a particulièrement satisfaite… merci…

— Ne crois pas que c’est terminé, ce ne fait juste que commencer… je te laisse, je vais rejoindre mon jeune ami… à plus tard, Charlotte …

Je m’installe dans la cabine, à côté de Z qui a pris le volant. Charlotte est restée attachée dans la caisse. Z sort du parking et se faufile dans la circulation dense de la fin de journée. Nous gagnons rapidement les faubourgs de la banlieue. Nous entrons dans une zone industrielle. Celle-ci se fait remarquer par de nombreuses usines abandonnées. Les vitres sont brisées et les portails sont grands ouverts. Z tourne et entre dans la cour gigantesque de l’une d’elles. Il roule doucement pour éviter les nids de poule. Malgré tout, les cahots sont importants. Je me retourne et regarde par la lucarne dans la caisse. Charlotte est ballottée de droite à gauche. Heureusement qu’elle est attachée…

Z stoppe le véhicule face une très grande porte. Comme par miracle, celle-ci est encore en état. Il klaxonne. Deux coups brefs et un coup long… Le battant s’ouvre.

— C’est la caverne d’Ali Baba ?

— Non c’est la mienne…

Voyant mon sourire et surtout mon rire étouffé, il m’interroge:

— Tu te fous de ma gueule ?

— Un peu…

— Pourquoi, qui c’est cet Ali Baba ?

— Laisse c’est une histoire de gamin, une histoire que tu aurais dû lire, il y a quelques années…

Mais déjà, il ne s’intéresse plus à mes dires. Un grand hall est découvert par la porte. Le véhicule entre et roule jusqu’au fond. Il s’immobilise devant une porte métallique.

— Ne bouge pas, je vais chercher mes amis…

— OK, je t’attends…

Je vois Z franchir le battant métallique. Le portail d’entrée s’est refermé. Deux jeunes beurs se sont approchés du véhicule. Ils l’encadrent. Ils attendent en tournant tout autour. Leurs regards noirs sont inquisiteurs. La porte s’ouvre. Z apparaît. Il n’est pas seul, comme il me l’avait annoncé. Une quinzaine de jeunes l’accompagnent. Il me fait signe de descendre.

— Mes amis, je vous présente Jérôme, un ami…

Une suite de borborygmes diffuse du petit groupe. Je les salue par un bonsoir.

— Jérôme a une amie qui veut connaître le plaisir d’un gang-bang… il nous l’a amenée. Elle va être à nous pour la soirée. Seulement, il va falloir participer aux divers frais : la camionnette, le groupe électrogène et les capotes… OK ?

Toujours le même murmure en guise de réponse.

— Alors que la fête commence… je précise que si Jérôme dit non ou c’est fini, il n’y a pas de discussion possible… OK ?

Z ouvre les deux portes arrière de la camionnette.

— Voilà la bête…

Une suite d’onomatopées est lâchée :

— Putain la belle meuf, elle a l’air bonne, j’ai déchargé dans mon pantalon…

La faible lueur de l’éclairage de la caisse me permet de voir l’inquiétude de Charlotte. Elle ne s’attendait pas à une suite de l’intermède du parking. Z monte et libère Charlotte. Il la guide pour qu’elle descende. Sa jupe remonte très haut. Z me regarde avec un clin d’il.

— Tu restes là Jérôme…

Et il me fait un signe du bras pour que je suive le groupe. Il pose son index sur ses lèvres ordonnant mon silence. Je hoche la tête pour lui signaler mon accord. Il prend les mains de Charlotte et les attache dans son dos. Je lui tends le sac de Charlotte. Il regarde, plonge la main et sort le collier de cuir noir et la laisse métallique. Il équipe Charlotte du collier.

— Soulève ta jupe et montre tes fesses. Je veux que mes copains puissent profiter du spectacle de ton cul jusqu’à la salle…

Charlotte tortille des hanches. Sa jupe remonte. Elle saisit le bas et tire vers le haut. Son cul est à la vue de tous. Z tire la laisse.

— Allez viens, salope…

Charlotte, devant la traction exercée sur son cou avance. Nous avançons et passons devant tous les membres de la petite troupe. Charlotte est assaillie. Des mains fusent de partout. Rien n’est épargné. Les fesses sont généreusement pelotées. D’autres s’aventurent entre ses cuisses et découvrent sa chatte imberbe. L’un des participants ne peut se retenir :

— Putain elle a le cul nu cette pute…

Nous franchisons la porte métallique. La salle est plus petite. L’un des jeunes met en route le groupe électrogène. Le ronron du moteur est discret. Des projecteurs s’allument. Au milieu de la pièce, une estrade est installée. Les jeunes se sont ordonnés autour de la surélévation. Z guide Charlotte et la conduit jusqu’à un escalier fait de deux parpaings. Il la positionne au milieu. Charlotte est sous le feu des deux projecteurs halogènes. Z prend la parole.

— Chers amis, je vais vous présenter la femelle qui souhaite se faire culbuter par plusieurs mecs. Elle s’appelle Charlotte. Elle a trente ans. Elle mesure 1,70 mètre et pèse 55 kilos… son tour de poitrine est de 90 C … son tour de taille de 60 et son tour de hanches de 9O…

Une phrase est lancée :

— Au lieu de nous dire, fais nous plutôt voir, on jugera nous-même…

— Soyez patients… je précise qu’elle suce comme une reine, qu’elle a une chatte très accueillante et un petit cul adorable… c’est le seul endroit que je n’ai pas essayé, mais le reste vous me connaissez, c’est tout bon…

Z approche de Charlotte. Il libère ses poignets. Il ouvre la veste et la retire. Le boléro moulant et décolleté dessine les seins et les faits encore plus tentants. Charlotte sait se mettre en valeur. Comme je lui ai appris, elle se tient cambrée, gonfle sa poitrine. D’elle-même, elle a écarté ses pieds et a relevé sa tête. Elle crâne, fièrement dressée sur ses talons hauts. Elle est le clou du spectacle. Elle est une incorrigible exhibitionniste. Une rumeur monte…

— Le tee shirt, le tee shirt…

Z fait durer le plaisir. Il saisit le bas du vêtement et lentement, très lentement remonte vers le haut.

— Plus vite, tu nous fais perdre du temps…

Z continue. Il est bloqué dans son déshabillage, par les seins de Charlotte. Ils sont gros et le tee-shirt étroit. Il tire sur le devant et les deux seins apparaissent.

— Putain les nibards… c’est des vrais ?? C’est du silicone ?? Dis-nous Z ??

— Je peux vous garantir que ce sont des vrais sans rien, que de la vraie femelle… lève les bras, salope…

Charlotte obéit. Z ôte le boléro en tirant vers le haut. On dirait qu’il dépouille un lapin… Il lui pelote les seins, les presse, les triture. Il saisit les pointes qui sont tendues. Dans mon coin j’observe la scène. Elle est déjà excitée. Les doigts tournent, écrasent, étirent les tétines blondes. Le traitement les fait s’injecter de sang. Elles sont devenues plus sombres et elles dardent encore plus…

— Garde tes mains derrière ta tête…

La poitrine de Charlotte dans cette position est encore plus attirante. Ses seins sont comme deux torpilles fixées sur son torse. Ils n’ont pas une seule envie de s’effondrer et de se répandre comme des outres pleines. Les spectateurs sont bouche bée.

— Alors vous êtes satisfaits ?

— Dépouille là du reste…

Z s’attaque à la fermeture éclair de la jupe. Il tire d’un seul coup vers le bas. Le zip déchire le silence religieux de la scène. La jupe a cette particularité de se couper en deux par la fermeture. Il ne lui reste qu’un morceau de tissu rectangulaire entre les mains. Tel un prestidigitateur, il dévoile les trésors cachés. Le sexe nu de Charlotte fait son effet. Une trentaine d’yeux se focalisent sur cet endroit nu obscène. Les lèvres du sexe sont visibles, incarnat, humides. Charlotte ne peut pas s’empêcher de mouiller dès qu’elle est montrée, et surtout forcée à se montrer.

— Maintenant, je vais vous distribuer des petits tickets. Je les tirerai et par groupe de trois vous passeraient dans le baisoir… je vous laisse admirer la chose dont vous allez profiter… Charlotte tourne toi pour que chacun puisse te voir… si certain veulent voir des choses, demandez les… tu le feras, n’est-ce pas Charlotte ?

— Oui, bien sûr…

Z descend de l’estrade et passe dans le groupe. Il distribue des cartons et récupère des billets qu’il fourre dans sa poche… Pendant ce temps, des ordres ont fusés.

— Montre ton cul…

Charlotte obéit et se retourne. Elle se cambre pour faire saillir ses fesses bronzées.

— Penche toi en avant et écarte tes fesses… fais nous voir ton cul…

Charlotte s’exécute sans empressement, calmement. Elle met une langueur dans ses mouvements qui doit faire monter la pression dans les slips… Z a terminé la distribution. Il vient vers moi. Il me tend un bol. Il contient les doubles des tickets distribués. Il me demande en chuchotant, d’en tirer trois. Je plonge la main et ressort trois papiers. Z les annonce à haute voix.

— 13, 5 et 9…

Trois jeunes s’approchent du podium. Z fait descendre Charlotte. Il me fait signe de venir avec lui. Nous pénétrons dans une pièce plus petite. Une moquette usagée recouvre le sol. Au milieu de la salle un lit trône. Il est fait de plusieurs matelas côte à côte. Un drap blanc le recouvre. Z arrête Charlotte au pied du lit. Il retire le collier.

— Charlotte, tu devras obéir à tous les souhaits de mes amis…

Se retournant vers eux, il leur présente un sac. Chacun d’eux plonge la main à l’intérieur. Dans chaque main un boule de couleur différente. Une rouge, une jaune, une noire… Du regard je l’interroge. Il explique à haute voix pour que je sache et pour que Charlotte apprenne ce qui va lui arriver.

— Le treize a tiré la boule rouge, Charlotte tu devras le sucer, jusqu’au bout… le cinq a tiré la jaune, il te baisera quant au neuf, il t’enculera… compris Charlotte ?

Charlotte hoche la tête en signe d’acquiescement. Z se dirige vers elle et lui retire son bâillon. Il me le tend. Déjà les trois premiers gagnants se sont mis nus. L’un est allongé sur le dos. Il attire Charlotte vers lui. Elle touche le lit. A tâtons, elle trouve les jambes nues. Elle enjambe le corps étendu. De la main elle a trouvé le membre fièrement dressé au milieu du corps. Elle le frotte une ou deux fois sur ses lèvres humides et s’assoit d’un seul coup sur l’excroissance verticale. Elle pose ses mains de chaque côté du torse et tend ses seins à la bouche gourmande. Elle sollicite la succion de ses pointes. La bouche masculine a compris et aspire la pointe du premier sein à sa portée. Un autre s’approche et pose sa main sur les épaules de Charlotte. Il pousse en avant le torse. Charlotte pose ses coudes sur le lit. Elle cambre ses fesses. Elle a compris qu’elle allait se faire enculer. Sans douceur, le jeune homme la prend l’extérieur de ses fesses. Il tire en arrière et de chaque côté.

Les fesses s’ouvrent et dévoilent l’anneau plissé. Il crache sur l’anus et pointe son gland sur la rondelle. Il pousse fort en avant Charlotte a senti le lit bouger. Une queue se présente à ses lèvres. La poussée sur son anus la fait avancer. Le membre devant sa bouche force le barrage de ses lèvres. Tout cède d’un coup. Ses lèvres s’arrondissent autour du membre nerveux et sa rondelle absorbe la bite très puissante. Les trois hommes prennent un rythme puissant régulier comme une horloge. Ils ne bougent pas en cadence. Charlotte cherche à harmoniser les coups de butoir qu’elle prend. Par moments, elle sent les queues sortirent ensemble d’elle. Au contraire, à d’autres moments, elle se sent être remplie de tout bord. La sensation a l’air de lui plaire. Elle se déchaîne totalement. Elle rue comme une cavale. Elle s’offre complètement, tendant ses orifices à l’intromission des sexes avides. Quelques minutes plus tard, ils se vident dans tous les trous offerts. Charlotte avale la semence difficilement.

Il y a longtemps qu’il ne s’est pas vidé. Elle s’étouffe. Le sperme lui ressort par les narines. Elle hoquète. Elle finit par reprendre son souffle. Z s’approche d’elle :

— Ça va ?

Charlotte toussote.

— Oui ! … ça va…

— OK on continue…

— Attends un peu…

— Tu crois qu’ils veulent attendre… ils ont envie de profiter de toi…

Il se retourne vers la porte et crie les trois numéros suivants:

— 17, 3, et 7

Trois jeunes beurs entrent à leur tour dans la pièce. Leur déshabillage est rapide. Ils tirent au sort la boule qui lui indiquera la voie d’entrée dans la jeune femme. Ils se mettent en place. Sans aucun préliminaire, ils investissent les reins, le sexe et la bouche de Charlotte. Ils ne cherchent pas à faire plaisir à la femme qu’ils possèdent. Ils prennent leur plaisir. Ils jouissent des entrées féminines. C’est tout. Ils veulent un exutoire à leur trop plein de sperme. Je ne sais pas comment Charlotte ressent cette possession. Je cherche toujours à comprendre ce qui la conduit à vouloir ce genre de rencontres de soumission sexuelle.

Les jeunes, par groupe de trois se succèdent. Charlotte a tout juste le temps de reprendre son souffle et ses esprits qu’une nouvelle équipe arrive et prend la suite.

Une heure et demie plus tard, le dernier trio en termine. Z les rappelle tous dans le "baisoir", comme ils nomment le lieu de leurs méfaits.

Ils font un cercle autour de Charlotte. Elle est à genoux sur le sol. Elle est complètement hagarde. Elle regarde autour d’elle. D’un coup d’il circulaire, elle évalue le nombre d’hommes qui se sont servis d’elle. Z me demande de ne pas intervenir dans ce qui va suivre. Je m’inquiète et lui demande la raison de ce retour et ce qui va se passer exactement.

— C’est un rite qu’ils font à chaque fois… laisse les faire

— Si cela va mal, je t’en tiendrais comme responsable… OK ?

— OK !

Z se retourne vers le groupe. Tous le regardent et attendent son accord. Z hoche la tête. Chaque jeune homme ouvre sa braguette et sort son sexe. Pour certains, ce sont de nouveaux des bites dressées, pour d’autres se sont des sexes mi-durs. Ils y a peu de temps qu’ils ont éjaculé et n’ont pas encore retrouvé toute leur vigueur. L’un deux s’approche de Charlotte. Il la prend par le bras et l’aide à se relever. Il la conduit au milieu de la pièce au-dessus d’un plan carrelé. Au centre de cette zone, une bonde d’évacuation métallique rouillée tranche. Il laisse Charlotte. Fatiguée, elle se laisse retomber à genoux. Tout le groupe est revenu autour d’elle. Tous les sexes pointent vers elle. Tous ont retrouvé une verdeur et bandent allègrement. Les jeunes pointent leur bite sur Charlotte. Dans un ensemble presque parfait, ils commencent à uriner. Les jets dorés convergent sur le visage de Charlotte. Elle essaie de se soustraire à la douche humiliante. Mais la fatigue joue contre elle. Elle ne peut s’échapper aux jets puissants et malodorants qui frappent son visage, ses cheveux, son corps.

Ses épaules se haussent et tressautent. Charlotte pleure. Comprend-elle enfin sa déchéance ? Je ne le sais pas… Enfin les jets tarissent. Chaque participant remballe sa marchandise et par petits groupes, ils quittent la pièce. Je m’approche de Charlotte. En passant près du lit improvisé, je rafle le drap. Malgré les souillures de sperme qui l’ont tâché, j’enveloppe Charlotte. Je l’essuie. Z m’apporte un drap sec. J’entoure le corps fourbu. Je la prends sous les genoux et sous les bras et l’enlève. Je la porte vers la camionnette. Z a prévu le coup. Une plaque de mousse a été installée dans la caisse. J’allonge Charlotte. Je fais signe à Z que je reste près d’elle. Il ferme les portes. Le véhicule s’ébranle. Quelques dizaines de minutes plus tard, elle stoppe. Je fais fonctionner le portail du parking. Z nous arrête au ras de l’ascenseur. Les portes s’ouvrent. Je porte de nouveau Charlotte. Z est gêné.

— Si tu as besoin de moi encore, pour tout autre chose, appelle moi… je ferai tout pour te satisfaire et me faire pardonner … salut Mec…

— Salut…

Dès notre arrivée dans l’appartement, je me dirige dans la salle d’eau. Je dépose Charlotte dans la baignoire et fait couler l’eau. Je la douche pour enlever les souillures d’urine et de sperme qui la maculent. Je lui fais couler un bain avec des sels de bains décontractants. Je lui fais un shampooing. Je la laisse profiter de ce moment pour récupérer. Plus tard, je la sèche et la dépose dans les draps frais de notre lit. Quittant la pièce, elle me rappelle :

— Merci mon Maître doré pour cet après-midi de rêve…

Je sors. Contrairement à ce que je pensais, elle n’est pas écurée. J’éteins la lumière et ferme la porte doucement.

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