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La Gestionnaire – Chapitre 15

La Gestionnaire - Chapitre 15



Il est près de quatre heures du matin lorsque nous arrivons à l’appartement. Je fais découvrir le logement à mes trois miss. Mais fatiguées, elles prennent chacune une douche et se jettent sur leur lit dans les trois chambres d’amis que j’ai à l’étage. Revenu dans mon espace, je prends une douche et je pense à Charlotte. Dans quelle galère est-elle allée se fourrer ? Comment va se passer cette année avec ce malade ? Je reste sur cette interrogation et je m’endors. Le soleil filtre à travers le volet roulant. Je sens une présence auprès de moi. J’ouvre un il. Une tache orange est répandue sur l’oreiller près de moi. Nancy est là entièrement nue. Son corps blanc tranche avec les draps bleu nuit. Elle est couchée sur le côté et me tourne le dos. Sa hanche est appuyée contre la mienne. De la main je flatte les fesses somptueuses. Sa peau est douce, blanche et couverte de taches de son. Ma caresse la réveille et elle tend ses fesses au-devant de cette main amicale. Elle se tourne. Ma main est toujours restée en contact avec sa peau.

J’ai donc flatté ses deux fesses.

— Bonjour, Jérôme…

— Bonjour Nancy

Et sans que je ne fasse quoi que ce soit, elle s’approche de moi et m’embrasse sur la bouche. Un vrai baiser, fort. Elle me regarde dans les yeux et d’une voix douce elle me demande :

— Peux-tu me faire l’amour ?… J’en ai envie depuis cette nuit, mais je n’aime pas faire cela en public…

Avant que je ne lui réponde, elle m’enfourche. Elle place son sexe au-dessus de mon érection matinale et se laisse tomber sur le pieu qui émerge de mon ventre. Mon sexe pénètre sans difficulté la chatte humide. Son sexe rasé de quelques jours pique mon pubis. Mais elle a sous-estimé la profondeur de son vagin. Je bute au fond d’elle. Elle crie:

— Brute !… tu vas me perforer… continue… c’est bon…

Elle continue sa danse sur mon sexe. Je n’ai pas à bouger, elle le fait pour moi. Je lui pelote les seins. Ils sont fermes presque durs. Sur chaque dôme, un petit pois est en érection. Ils sont durs comme de petites billes. Je les caresse de l’intérieur de mes paumes de mains. Soudain elle s’allonge sur moi. Ses fesses tiennent un rythme endiablé. Mon sexe est malmené. Son sexe presse le mien. Elle saisit mes mains, les porte au-dessus de ma tête et se met à jouir. Elle pousse un meuglement curieux. Elle jouit pendant une minute environ sans cesser de ruer de son petit cul rond… puis elle retombe sur moi, son visage dans le creux de mon épaule.

— C’est bon ! Elle me roule un nouveau patin…

Elle cesse son baiser, me regarde et me dit:

— J’ai faim, j’ai toujours faim quand je viens de baiser… tu viens manger…

Et elle se lève, toujours entièrement nue. Elle se dirige vers la cuisine… Je la suis. La lumière du matin entre dans la pièce. Je la découvre pour la première fois sous le sunlight de la vie. Elle est merveilleusement bien faite : des seins ronds et fermes, un cul adorable et des jambes très longues… je lui dis :

— Tu es merveilleusement belle, Nancy…

Elle se retourne rose de plaisir et veut commencer une phrase lorsquune remarque traverse la cuisine :

— Et moi, je suis mal foutue ??

Je me retourne… Andréa est là, avec le peignoir de la salle d’eau de sa chambre. Elle laisse tomber le vêtement et fait un tour sur elle-même…

— Alors le verdict ???

— Je ne sais pas, il faut voir…

— Salaud !!

Elle vient vers moi comme une furie, les poings serrés. Elle me frappe de toutes ses forces. Je lui bloque les poignets.

— Si tu continues, je te flanque une fessée

Je la prends sous le bras et la bascule sur ma hanche. Je tape gentiment sur les deux fesses rondes. Elle se met à crier

— Au secours, au satyre…

Je lui administre deux nouvelles claques. Elle gigote des jambes et essaie de se libérer… sans succès… Je la repose et nous partons tous les trois d’un grand éclat de rire… Elle me saute au cou et m’embrasse sur la bouche, d’un baiser chaste…

— Tu ne m’as pas répondu… suis-je bien roulée ou mal foutue ??

— Vous êtes toutes les deux magnifiques, différentes mais très belles…

Elles se lovent toutes les deux dans mes bras. Nous avançons vers la terrasse. Elles s’extasient devant le point de vue sur le Jardin du Luxembourg. La vue du soleil matinal, enfin presque vers 10 heures, est magnifique. C’est à cet instant de pur bonheur, qu’un léger toussotement nous fait sursauter. Nous nous retournons. Au beau milieu de la pièce, Carole est plantée, les bras croisés dans le dos. Elle porte toujours son serre taille, ses bas et ses talons hauts. Son cou est toujours orné du collier auquel pend la laisse.

— Que dois-je faire, Maître ???

— Je pense qu’il est temps que tu quittes ces vêtements et que tu prennes une douche. Quand tu auras terminé, nous prendrons le petit-déjeuner et nous parlerons tranquillement de notre avenir… aller files vite te mettre propre…

Carole part vers l’escalier. Ses fesses nues portent encore les traces des coups de cravache que je lui ai donnés cette nuit.

— Carole, que prends-tu au petit-déjeuner ??

— Comme mon Maître voudra…

— Réponds à ma question, sinon je te corrige très sérieusement…

— Je prendrais bien un thé, s’il vous plaît…

— Eh bien voilà, il suffit de la dire…

Je passe un coup de téléphone au boulanger du coin de la rue et commande des pains chauds et des croissants. Nancy et Andréa se pressent dans le coin-cuisine. Comme deux petites fées du logis, elles dressent la table du petit-déjeuner sur la terrasse, à l’abri de la tenture. Quelques minutes plus tard, nous prenons tous les quatre notre petit-déjeuner. Nous nous prélassons dans les fauteuils. Je prends la parole :

— Bien Mesdemoiselles, après cette nuit mémorable, il va falloir prendre quelques décisions cruciales. Je pars au Vietnam pour une année. Donc je ne serais pas là. Mon appartement sera fermé. Alors, je vous propose de rentrer chez vous. Nous nous reverrons peut-être une autre fois.

Je ne pensais pas que mes propos allaient déclencher une telle hostilité. Trois furies m’agressent verbalement…

— Il n’est pas question que nous arrêtions notre relation…

— Chacune à votre tour, sinon je ne vais pas comprendre… Nancy à toi…

— Jérôme, si tu es d’accord, je serai pour rester ici dans ton appartement. Il faut bien l’entretenir, faire le ménage, arroser les plantes, réexpédier le courrier, etc… Je me propose d’être ta maîtresse de maison. Voilà mon idée…

— Bien, à toi Andréa…

— J’ai la même idée que Nancy. Nous pouvons être tes maîtresses de maison…

— Mais, dans le cas où j’opte pour votre solution, une seule maîtresse de maison me suffit…

Andréa réagit immédiatement…

— Mais quand Nancy partira en Irlande pour visiter ses parents, tes plantes crèveront de soif…

— Argument irréfutable, belle avocate…

Nancy prend la parole autoritairement

— Tu vois, Jérôme, tu es obligé de nous prendre à ton service…

— Tout dépend des salaires que vous souhaitez…

Andréa s’écrie :

— Le logement, c’est tout !

— Bien, si vous pensez que cette solution est viable, je l’accepte. Mais je veux et j’exige que vous ne receviez personne dans mon appartement… compris…

Les deux étudiantes acceptent…

— Nous irons chercher vos affaires dès cet après-midi…

— Et moi, qu’est-ce que je deviens ?

Carole me regarde avec un air triste.

— Carole, nous avons vécu un moment agréable pour l’un et l’autre. Mais il n’est pas viable. Il faut que tu reprennes ta vie avec Marc…

— Il n’en est pas question… tu m’as fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas… mais que j’aime… alors si tu as deux maîtresses de maison, tu pourrais avoir une soumise de maison…

Nancy, Andréa et moi éclatons de rire…

— C’est une solution, mais comment pourras-tu être une soumise, sans Maître ?

— J’ai une idée… si tu me paies une ceinture de chasteté, Nancy et Andréa pourront me la poser et me la retirer selon tes désirs. Elles pourront aussi vérifier si je me conduis en bonne soumise…

— Hum… Nancy et Andréa, votre avis…

Andréa répond la première comme d’habitude…

— Je suis d’accord, mais je ne veux pas prendre la responsabilité de battre Carole…

— Nancy…

— Je suis d’accord avec Andréa, mais…

— Mais…

— Elle penche la tête et regarde ses genoux… son visage rosit…

— Mais… s’il faut corriger Carole, je veux bien,… mais pas fort…

— Sacrée Nancy, tu serais un peu dominatrice sur les bords… Carole, ton avis…

— J’accepte tout…

— Bien, comment vas-tu faire pour Marc ?

— C’est très simple…

— Ah tu trouves…

— Je vais me raconter un peu… Je suis pharmacienne. Mes parents possèdent neuf pharmacies sur Paris. Je suis gérante de l’une d’elles. Marc loge dans mon appartement, un studio au-dessus de l’officine. Je vais le foutre dehors, ce salaud…

— Pourquoi salaud ?…

— Parce qu’il m’a emmenée dans cette galère…

— Tu es libre de partir quand bon te semble…

— Oui, mais j’y ai pris goût… et j’aime…

Elle va chercher son manteau long. De la poche elle sort son trousseau de clés et son portable. Elle compose un numéro et attend le décroché…

— Allô ? Marc ? C’est Carole…

-…

— Laisse-moi parler…

-…

— Je viens de prendre une décision irrévocable. Tu as deux heures pour prendre tes affaires et quitter le studio.

-…

— Tais-toi !… si dans deux heures tu es toujours là, les déménageurs mettront tes affaires sur le palier… les serrures seront changées vers 16 heures… Compris ? Adieu, minable…

Et elle coupe la communication et jette le portable sur la table… Je me permets un commentaire acide :

— Et tu me parles de soumise…

Un rire nous prend tous les quatre. La discussion a duré plus longtemps que prévu. Il est près de midi et il est temps de préparer un léger repas. Crudités, salades, vin rosé frais et eau fraîche pour les lendemains de fête… il est treize heures trente quand les trois femmes de mon PHDC (pour les ignorants : Petit Harem De Campagne…) s’en vont vers leurs appartements respectifs.

Je flâne dans l’appartement quand la sonnerie de la porte d’entrée retentit. L’écran vidéo me visualise les arrivants : FXB et Charlotte sont dans le hall. Je leur fais parvenir l’ascenseur. Le chuintement de la cabine me fait me retourner. FXB est là dans le salon. Il porte un costume clair. Charlotte est derrière lui. Elle porte un attaché-case. Elle est vêtue d’une veste noire trop petite pour être fermée sur sa poitrine. Il manque dix bons centimètres pour que les pans de tissu se rejoignent. Ses seins sont libres. Je peux deviner une chaîne qui barre la vallée de ses seins. Sa jupe noire aussi, est très courte, vraiment très courte. Je les invite à s’asseoir sur la terrasse. FXB s’installe dans un fauteuil, face à moi. Charlotte reste debout, légèrement en arrière de FXB. FXB, après les échanges normaux entre gens civilisés, attaque le vif du sujet

— Cher ami, je suis venu pour le contrat de prêt de cette chienne… nous allons régler les différents détails et conclure cette affaire. Ensuite je vous laisserai…

Sans bouger, il s’adresse à Charlotte :

— Chienne, le contrat…

Charlotte prend la mallette. Elle l’ouvre et tend une liasse de documents à FXB.

— Tu es trop lente, chienne… tu seras fouettée ce soir ! Dix coups… tu me le rappelleras…

— Oui Maître…

Je prends le contrat et commence à le lire de manière assidue. Je vais voir si une clause ne peut pas être suspensive du dit-contrat. Au bout d’une heure, je n’ai rien trouvé pour permettre à Charlotte de sortir de ce bourbier. Je modifie un article en particulier, celui du respect de l’intégrité de Charlotte : pas de tatouages, de piercings, ou toute autre forme de signes distinctifs permanents… Je modifie un autre article. Le respect de la condition de Charlotte devra être tenu. Il n’est pas question de la refouler au rang d’un animal…

FXB accepte les modifications. Il est moins d’accord quand je lie ces modifications à des intérêts à hauteur de 10% de la somme du prêt en cas de non-respect du contrat. Mais il signe le contrat. J’en garde un exemplaire. FXB veut me montrer les progrès de Charlotte.

— Chienne, montre-toi…

Charlotte se dégage du fauteuil et se place face à moi. Elle ôte sa veste et la laisse tomber. Elle place aussitôt ses bras dans son dos. Ses seins sont, comme je l’ai supposé, nus. Une chaîne d’or en maille cheval relie ses deux tétons. Au milieu de cette chaîne pend une perle oblongue. Elle est dans la vallée de ses seins. Des anneaux glissants permettent de serrer sur les tétons le système de maintien. Les bouts sont rouge sombre. Le sang circule avec difficulté. FXB ordonne :

— Chienne, tire sur tes tétines…

Charlotte baisse la tête, s’aide de la main et place la perle dans sa bouche. En relevant la tête, la chaîne tire sur les tétons. Les seins sont remontés.

— Chienne, regarde le ciel, cela t’aidera…

Charlotte relève encore la tête. Elle regarde le tissu de la tenture. Ses seins sont étirés par les bouts.

— Chienne, relève ta jupe…

— Charlotte saisit le bas de sa jupette. Son ventre nu est mis à l’air instantanément.

— Chienne, tourne-toi et mets-toi à l’équerre…

Charlotte se tourne et se penche en avant. Elle a le dos droit et à l’horizontale.

— Chienne, cambre-toi…

Charlotte cambre le dos. Ses fesses ressortent. Je peux voir qu’elle est investie. Un godemiché occupe son sexe et un autre son cul. Les deux olisbos sont reliés par une chaîne tendue. Au centre un anneau pend. FXB me demande:

— Vous vous demandez le rôle de cet anneau…

— Vous connaissant, il doit avoir une utilité dans l’éducation de la soumise…

— Exact… Chienne, la mallette…

Le temps que Charlotte se redresse, ouvre la mallette, FXB m’explique.

— J’ai remarqué que la chienne n’ouvre pas assez les jambes. Alors je vais l’obliger à le faire… Chienne… donne…

Charlotte lui donne un objet. FXB le tient par un mousqueton. Il s’agit d’un objet métallique de trois à quatre centimètres de diamètre et un centimètre d’épais. Sur les parties plates sont plantées des pointes acérées de 1 centimètre de longueur. FXB regarde Charlotte…

— Chienne, ouvre tes cuisses…

Charlotte obéit. Son regard traduit sa crainte. FXB crochète le mousqueton à l’anneau situé au niveau du périnée… L’objet pend entre les cuisses nues.

— Voilà, vous comprenez cher ami, l’utilité du système…

— Je comprends en effet…

Et comme si ne me l’imaginait pas, FXB met une pichenette dans le pendentif. Celui-ci se balance, d’avant en arrière et de gauche à droite. Les pointes rencontrent, soit la chair tendre de l’intérieur, soit la peau douce et nue du pubis, soit la masse charnue du bas des fesses. Les pointes griffent, piquent à chaque passage. Des filets de sang prouvent que l’objet est particulièrement dangereux. Je regarde Charlotte. Elle regarde le sol. FXB lui ordonne :

— Chienne, relève la tête, n’oublie pas ta chaîne, vite !…

Charlotte met la perle entre ses lèvres et relève la tête. La douleur de l’étirement de la pointe de ses seins la trahit. Elle serre les cuisses. Par ce mouvement inconsidéré, elle bloque la boule entre ses cuisses. Les piquants se plantent dans la chair tendre. Le sang coule sur la peau claire et satinée de l’intérieur des jambes. Charlotte pleure à chaudes larmes. FXB la traite de douillette. Il écarte d’un revers de main les cuisses et décroche la boule, sans précaution. Les piquants griffent les cuisses sur une plus large surface. Charlotte me regarde à travers ses yeux embués.

— Viens chienne, nous partons… Ramasse vite ta veste…

Charlotte obéit. Elle passe devant moi me jette un regard de détresse, passe devant FXB qui au passage lui claque les fesses durement. Ils montent dans l’ascenseur. Je ne reverrais Charlotte que dans une année. Le seul lien que nous aurons sera un mail par semaine, comme convenu dans le contrat.

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