Histoires érotiques Histoires érotiques de couples amateurs

La Gestionnaire – Chapitre 3

La Gestionnaire - Chapitre 3



Mercredi soir, je termine mon rendez-vous. Il est 18H30. La nuit est tombée. Il fait doux au bord de l’océan. J’ai repéré sur un plan la maison de Charlotte. J’arrive vers 19H15. Je lui passe un coup de fil. Elle répond aussitôt:

— Maître ??

— Oui… Tu attendais quelqu’un d’autre ???

— Non bien sûr… où êtes-vous ??

— Devant ton portail…

— J’arrive…

Une minute plus tard, le portail s’ouvre. J’avance dans la propriété sur le chemin pavé qui conduit à la maison. Le portail s’est refermé après mon passage. La porte du garage s’ouvre. Dans les phares, je découvre Charlotte. Elle porte un trois quarts noir. Elle porte des chaussures à talons hauts noirs. Ses jambes sont gainées de noir. Aura-t-elle respecté mes ordres ?? Elle est au fond du garage. La lumière est éteinte. J’arrête le moteur de l’Audi TT. Je garde les phares allumés. Je reste assis dans le siège baquet. Charlotte me regarde, sans me voir, éblouie par les optiques au xénon. Le portail se referme. Nous sommes tous les deux en attente. Lequel de nous deux va commencer ??

Charlotte se décide. Elle porte sa main à la hauteur de sa gorge. Elle cherche. Elle trouve l’anneau du zip du vêtement. J’ai descendu la vitre de ma portière. J’entends le bruit caractéristique de la fermeture qui s’ouvre. Si les deux pans sont séparés, ils ne bougent pas. Charlotte non plus. Lentement, elle remonte ses deux mains vers le col. Que va-t-elle faire ? Que m’a-t-elle préparé pour m’exciter ? Chaque main saisit le pan du vêtement. Elle écarte les bras et entraîne le tissu. Elle est là en face de moi, dans la lumière crue des phares, nue. Elle porte des bas autofixants. Ne pas oublier de lui en faire le reproche, même si ma bite se trouve brutalement à l’étroit dans mon slip et dans mon pantalon. Elle se retourne. Le col du vêtement est à la hauteur des omoplates. Elle effectue un strip-tease. Elle laisse tomber le tissu au sol. Elle me fait admirer ses fesses somptueuses, fermes, rondes et hautes. Pas la moindre trace de cellulite, d’affaissement. Elle m’expose son cul parfait.

Elle me fait face à nouveau. Elle recule et s’appuie contre le mur lisse de béton. Ses mains empaument ses seins. Elle les pétrit. Elle apporte à sa bouche les bouts qui dardent leur pointe turgescente. Elle se lèche. Ses genoux plient un peu sous le plaisir qu’elle se donne. Elle écarte les pieds et les genoux. Elle m’offre une vision idyllique du sexe féminin. Sa touffe courte et blonde ne dissimule qu’imparfaitement les lèvres de son sexe. Elles sont déjà luisantes. Les caresses ont fait leur effet et la cyprine nappe le sexe. Elle écarte encore plus les genoux. Les lèvres se séparent avec un bruit humide. Son abricot est là. Il bée. Elle lâche ses seins et pose ses mains de part et d’autre de son sexe. Elle tire pour écarter encore plus son sexe. Elle reste dans cette position, les yeux essayant de me découvrir derrière le pare-brise. Je l’entends me dire:

— Je m’offre à vous, Maître adoré. Faites de moi ce que vous voulez. Je suivrais à la lettre tous vos ordres. Ma séance vous a-t-elle excité ??

Je ne lui réponds pas. Je descends de la voiture. Je m’approche d’elle. Je la protège de la lumière des phares. Elle me voit.

— Ne bouge pas !

Je caresse ses seins, les soupèse. Je pince les pointes. Je les tire comme pour les allonger. Elle se cambre. Je descends le long de ses hanches. Je la retourne. Je lui flatte les fesses, surtout sur la partie haute de la fesse, à la limite des reins. J’ai remarqué chez un grand nombre de femmes que cette zone est très érogène, contrairement à la masse des fesses. Charlotte se cambre encore pour aller au-devant de cette caresse. Elle se livre à moi. C’est à cet instant précis où elle se lâche, toute en confiance que je lui claque très fort la fesse droite. Elle crie:

— Pourquoi ?… Maître…

— Tu ne portes pas de porte-jarretelles comme je te l’avais demandé !

— Pardon Maître, j’ai cru vous faire plaisir en ne portant que mes bas… Je vais en mettre tout de suite.

Je la prends par les poignets et lui rassemble dans le dos. Je la guide et l’emmène vers ma voiture. J’éteins les phares et prends mon sac de voyage.

— On monte !!!

Je la pousse devant moi. Ma main enserre ses deux poignets. Ses épaules sont rejetées en arrière et sa poitrine orgueilleuse se projette en avant. En montant l’escalier, elle tortille du cul. Ses hanches balancent de gauche à droite. Si je ne tenais pas mon sac de l’autre main, je lui aurai bien claqué les fesses. Arrivés à l’étage, elle me conduit à sa chambre. Moquette blanche, lit très large et très bas. Je pose mon sac auprès du lit. Je la retourne vers moi. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle se cambre encore plus, en écartant légèrement les jambes pour être plus stable. Je lui lâche les poignets.

— Ne bouge pas !

Je lui prends le menton entre mes doigts et l’embrasse goulûment. Elle répond à mon baiser. Je l’interromps. Elle pousse une petite plainte de déception.

— Tais-toi !…

Elle avance les mains vers moi.

— Garde tes mains croisées dans ton dos. Chaque main doit tenir le coude opposé. Redresse-toi et baisse la tête. Ton regard ne doit pas croiser le mien…

Elle obéit. Je tourne autour d’elle. Je vérifie sa position. Elle ne bouge pas mais une très légère transpiration couvre sa peau blanche de blonde. La crainte lui fait pousser une petite chair de poule. De l’index, je suis la colonne vertébrale, saute les bras croisés et continue sur les reins. Je soupèse chaque fesse. L’index repart à la découverte. Il glisse entre les deux hémisphères de son cul. Les deux globes se serrent l’un contre l’autre, immobilisant mon doigt.

— Écarte tes fesses !…

Les fesses se relâchent et s’ouvrent, libérant l’index fureteur. Il trouve la rosette plissée. Un petit tour sur l’anneau musclé. Une petite contraction du muscle anal se produit.

— Détends-toi !… Laisse-toi faire…

Les muscles des fessiers et du cul se décontractent une nouvelle fois…

Je la pousse vers sa coiffeuse.

— Reste debout, mets tes deux mains sur le bord du meuble !

Elle obéit.

— Présente tes fesses ! Écarte tes jambes et cambre tes reins !

Elle s’offre et tend son cul tout rond. Puis elle dit :

— Venez, Maître…

Je ne vais pas la satisfaire immédiatement. Je l’inspecte. Je caresse l’arrière-train d’une main ferme et rude. Je fais connaissance du terrain. Je juge les possibilités offertes.

Au bout de quelques secondes, je lui dis :

— Tu sais que tu es à la bonne hauteur pour te faire enculer ?

Elle me répond :

— Faites comme vous voulez, comme vous voulez et où vous voulez, je n’ai pas à avoir de préférence. Si vous avez envie de m’enculer, n’hésitez pas…

Manifestement cela me tentait bien. Je lui tends mon majeur à sucer :

— Suce et enduis bien mon doigt de salive…

Elle le fait très consciencieusement. Je le sors et le présente à l’entrée secrète. Je masse la rondelle musclée. Je tourne le majeur autour du puits et lentement j’appuie et je force l’entrée serrée. Je pénètre le petit trou.

Elle tend son cul. Je l’entends souffler, gémir de douleur. Elle serre les fesses pour contrer l’introduction.

— Détends-toi ! Ne serre pas les fesses ! Au contraire, pousse, ouvre tes fesses comme si tu voulais chier !

Elle hoquette. J’ai déjà remarqué que les grossièretés la choquent et en même temps l’excitent. Elle tend réellement ses fesses. Je sens son cul se dilater. Mon doigt entre plus facilement sur toute la longueur.

— Doucement, cela fait un peu mal…

Je continue un peu de lui masser le conduit étroit et ressors doucement.

— Je crois que je vais devoir t’éduquer de ce côté…

— Je veux bien mais vous ferez doucement… S’il vous plaît…

— Mais avant je vais t’en mettre un coup dans la chatte !

Tournant la tête au-dessus de son épaule elle me regarde prendre ma queue et l’approcher de sa fente. Elle maintient ses cuisses écartées pour me faciliter la tâche. Elle passe sa main entre ses jambes pour attraper mon gland et le guider. J’ajuste son sexe béant et quand je suis en place, je lui dis :

— J’y suis !! Ça doit aller !! Je vais m’enfoncer.

Je la regarde dans la glace de la coiffeuse. Elle ferme les yeux pour mieux profiter de la pénétration, du passage délicat. Je m’enfonce dans un râle de satisfaction. Je rentre tout jusqu’au bout. J’entre sans aucune peine en poussant un soupir de bien-être. Je remarque qu’elle aime être prise comme une salope et à quel point elle aime être prise de force. Elle se conduit comme une chienne en chaleur qui rencontre un chien et se fait saillir. Prenant ses hanches en mains, je commence à la tringler. Elle mouille. Je la fouille brutalement. Son sexe est accueillant. Il moule ma bite comme un gant. Son sexe me serre la verge. Elle tend toujours son cul. Il s’épanouit, s’ouvre pour permettre une intromission encore plus profonde.

Elle se tient au bord du meuble car je la laboure de toutes mes forces sans aucun ménagement. Le coït animal pur ! J’ai beaucoup de mal à me contenir. Elle commence à gémir, à crier de plaisir. Elle me félicite, m’encourage.

— Vas-y continue ! Bourre-moi à fond comme la salope que je suis… baise, baise-moi… vide-toi…

Je n’en reviens pas… Elle se livre totalement… elle se lâche et devient la femelle qui se fait saillir…

Au bout d’un moment, je geins :

— Je crois que je viens !! Oui, je vais décharger. Tu le veux là ?

— Où vous voulez !!

Pourquoi lui ai-je demandé cela ? Je me retire d’un coup sec. Je lui prends par les cheveux et m’oblige à me mettre à genoux. Je lui enfourne ma bite dans la bouche. Je lui viole la bouche. Elle me serre la bite entre ses lèvres. Je pousse à fond. Elle a un haut-le-cur. Je continue. Je sens la jouissance arriver. Le sperme monte dans ma verge.

— C’est là que je me vide !

Elle a eu le temps de voir une queue luisante de jus, de son jus. Je sépare ses cheveux. J’en fais deux couettes, une dans chaque main. Je la tiens fermement. Je l’oblige à suivre le rythme que je souhaite en tirant d’avant en arrière sur ses couettes. Je me masturbe dans sa bouche. Elle apprécie. Elle me prend dans sa main mes couilles pour les compresser. Elle veut que mon éjaculation arrive plus vite. Je me retiens. Non elle ne fera pas juter quand elle le veut mais seulement lorsque je le voudrais. Je souffle, je râle de plaisir, geins de bonheur. Je tire vers moi les deux couettes. Elle ne peut que suivre, sans la lâcher, et mon gland gicle dans sa bouche. Je lui obture la bouche avec ma grosse queue. Elle n’a pas le choix. Elle est obligée d’avaler toute ma purée. Elle déglutit avec peine. Le trop-plein coule à la commissure de ses lèvres. Elle me tète aspirant les dernières gouttes de liquide. En me regardant droit dans les yeux. Elle nettoie ma queue et me la rend luisante de salive, propre comme un sou neuf.

Dès qu’elle a fini son toilettage, elle se lèche les babines, pour récupérer tout ce qu’elle a pu avaler.

Elle se relève et me remercie du regard et dit :

— Je vous remercie mon Maître…

— Après cet intermède, tu vas m’offrir l’apéritif…

— Oui, Maître, suivez-moi…

Elle se dirige vers la porte. Elle n’est vêtue que de ses bas. Son cul tortille devant moi. Je ne peux retenir ma main et je lui claque la fesse. La trace de ma main reste marquée en rouge sur la chair blanche de son cul.

— Pourquoi Maître ??

— Parce que j’en ai envie…

— Merci Maître…

Nous arrivons dans le salon. Elle m’invite à m’asseoir dans le fauteuil en face de la cheminée. Un feu brûle dans l’âtre.

— Que désire mon Maître ?

— Un cognac tonic…

— Oui Maître…

Elle se dirige vers un meuble moderne. Elle prépare mon breuvage préféré. Je regarde la pièce. Elle revient. Elle me tend un verre. Elle s’assoit dans le fauteuil en face de moi.

— Je ne t’ai pas dit de t’asseoir !

— Pardon, Maître !

Elle se relève comme si elle était assise sur un ressort.

— Agenouille-toi ! Les fesses posées sur les talons ! Cambre-toi ! Les seins bien en avant ! Les bras croisés dans le dos… et la tête haute ! Et les yeux baissés…

— Comme cela Maître…

— Oui ! C’est désormais la position que tu devras prendre lorsque je serais là…

— Bien Maître…

Elle ne bouge plus. C’est une statue qui est à genoux à côté de moi. Je sirote mon apéritif. Après quelques minutes de récupération, je me propose de commencer l’éducation de Charlotte.

— Charlotte, je pense que tu as beaucoup de choses à apprendre…

— Oui Maître, je suis ignorante dans le monde du sexe…

— Voilà ce que je te propose comme éducation…

— J’écoute ce que je dois apprendre.

— Comme je te l’ai dit dans mon mail, la tenue est primordiale. Nous allons voir des vêtements dans ta garde-robe.

Elle se lève et me guide vers sa roberie. Elle ouvre les portes de l’armoire. Elle se tient à côté de la porte, les bras croisés dans le dos. Je sors tous les pantalons et les jette par terre. Je procède de même pour les jupes et robes longues. Il ne lui reste plus que deux ou trois jupes. J’ouvre les tiroirs. Je sors tous les collants. Je les déchire.

— Je ne vais plus rien avoir à me mettre…

— Je reste là demain, nous irons faire des emplettes…

— Bien Maître…

Je l’oblige à prendre les vêtements qui jonchent le sol. Je la conduis dans la cuisine.

— Ouvre ta poubelle !

— Pourquoi ?

— Jette toutes ces frusques… je ne veux plus les voir…

Dans un hoquet, elle jette les vestiges de ses toilettes dans le sac plastique noir.

Je la guide vers la salle d’eau. J’ai pris au passage, ma trousse de toilette. Je la fais s’allonger sur le dos à même le carrelage blanc et froid.

— Écarte tes cuisses… remonte des genoux vers la poitrine…

Elle s’exécute sans broncher…

— Tiens tes genoux écartés de chaque côté de tes seins…

Ainsi dans cette position, elle m’offre une vision de rêve sur son sexe. La mousse de poils blonds qui cache son abricot dissimule les lèvres et l’entrée de sa grotte intime.

— Ton sexe n’est pas propre… je vais te nettoyer… je vais te débarrasser de cette toison superflue…

— Pourquoi Maître ?

— Je te veux propre, sans poils…

J’ai une vue plongeante sur sa chatte, sa raie culière. Ma main droite va se poser sur son sexe, deux doigts écartent les lèvres. L’intérieur luisant est de couleur rouge cerise. Deux doigts s’engouffrent, écartent, tournoient dans ce puits d’amour. Charlotte gémit.

L’index descend la raie culière, tourne autour de la rosette. Celle-ci est lubrifiée de cyprine. L’index force l’entrée du conduit secret.

— Non, Maître, pas là !

Deux claques s’abattent sur les fesses.

— Tu ne dois refuser aucun de tes orifices !

L’index reprend sa lubrification, retourne à l’assaut de l’étroit passage. Charlotte est crispée, contractée, je renonce, on verra plus tard, dans une position plus favorable. J’ai une vue magnifique sur sa chatte blonde, peu poilue.

— Charlotte, tu vas perdre tous poils !

— Si vous voulez, Maître…

Première concession, elle s’est faite sans hésitation et sans restriction, Charlotte est vraiment motivée.

Sur le lavabo, je prépare un rasoir, avec lame neuve, la mousse de rasage, de l’eau chaude et le blaireau, un gant de toilette, du lait après-rasage. Je reviens, contemple un instant ses poils blonds qui vont disparaître. Je les humecte avec le blaireau humide et fumant. La bombe de mousse chuinte et dépose une boule ronde de mousse onctueuse. Je l’étale doucement sur tout le pubis. La situation est plaisante. Charlotte est écartelée, et un triangle bien blanc garnit son entrejambe. Le rasoir bien en main, la lame crisse avec précaution, dans les moindres recoins et plis de cette partie intime. Charlotte ne bouge pas d’un poil, c’est le cas de dire !!! Mes gestes sont doux, caressants, attentionnés. Je découvre la beauté de sa chatte, l’anus bien lisse, jusqu’au pubis, plus un poil, c’est doux. Je nettoie le surplus de mousse avec le gant de toilette humide d’eau très chaude. Cela permet d’éviter le feu du rasoir. Je verse le lait après rasage. Je masse la partie imberbe pour faire pénétrer le produit apaisant.

— Que ressens-tu ?

— Cela me fait tout drôle, j’ai l’impression d’être encore plus nue, Maître.

— Je te préfère ainsi offerte.

— Je voudrais toucher, Maître !

— Tout à l’heure, patience.

— Tu devras prendre un rendez-vous avec une esthéticienne. Je viendrais, avec toi à ce rendez-vous, pour une épilation totale. Ensuite, chaque mois tu y retourneras.

— Bien Maître…

Je la relève et l’emmène dans le salon. Je suis passé dans la salle d’eau et j’ai pris les ceintures des peignoirs.

Je tire une chaise au milieu de la pièce.

— Assis toi sur cette chaise…

Charlotte pose délicatement son cul sur la paille tressée.

— Mets tes pieds à l’extérieur des pieds de la chaise…

Elle obéit en me jetant un regard suppliant.

Je lui attache chaque pied à l’extérieur. Le reste de la ceinture me sert à lier les genoux au niveau de l’assise de la chaise. Elle ne peut pas resserrer les jambes. Son sexe est bien visible.

— Donne tes mains dans ton dos…

Elle me tend ses poignets. Je les passe au-dessus du dossier et les attaches au barreau le plus bas possible. Charlotte est très cambrée. Ses seins pointent, arrogants et offerts à toutes caresses.

— Je te laisse méditer sur ta condition d’esclave… A plus tard…

— Ne me laisse pas comme cela… s’il te plaît

— Tu n’es pas autorisée à me tutoyer…

— ……

Je sors mon mouchoir de ma poche. Je pince le nez de Charlotte. Pour respirer, elle ouvre la bouche en grand. Je pousse le bâillon improvisé dans la bouche béante. Elle me jette un regard suppliant.

— Tu es punie pour m’avoir parlé sans mon autorisation…

Et je quitte la pièce. Je dois travailler sur un dossier. Je vais chercher mon micro portable et je reviens dans le salon. Je m’installe face à Charlotte. Je travaille sans lui jeter le moindre regard. Je la surveille du coin de l’il. Tout doucement, insensiblement, elle se relâche. La position est plus avachie. D’une voix dure, je lui ordonne:

— Tiens bien la position… Reste bien cambrée…

Elle se redresse.

Il est 22 heures. Cela fait plus de deux heures que Charlotte est attachée à sa chaise. Je lui libère les chevilles et les genoux. Je l’aide à se relever. La tenant par les poignets, je la guide dans la chambre. Je lui retire son bâillon improvisé. Elle fait fonctionner sa mâchoire. Je la prends par les cheveux et l’embrasse fougueusement. Elle répond à ce baiser.

— La première partie de ton dressage est finie pour ce soir…

— Merci, Maître…

— Va dans ta chambre…

Je la suis. Elle exagère le balancement de ses hanches. Arrivée, elle tourne le dos au lit et me fait face.

— Tourne-toi…

Elle s’exécute

— À genoux, tête sur le lit…

Avec ses bras attachés dans le dos, son équilibre est précaire. Elle se met en position. Le lit très bas l’oblige à se cambrer et son cul est bien mis en valeur.

— Comme cela, Maître

— C’est bien, petite esclave…

Je me déshabille. Je m’agenouille derrière elle. La vision de son cul offert me fait bander. Je la saisis par les fesses. Je pointe mon gland sur son abricot imberbe. Je frotte ses lèvres. Instantanément, ses babines s’entrouvrent. Je pousse doucement. Mon sexe entre comme dans du beurre. Aucune résistance ne s’oppose à la pénétration. Bien au contraire, ses fesses s’épanouissent, s’ouvrent, s’offrent à cette entrée. Aussitôt, Charlotte se met à gémir.

— Que c’est bon… j’en avais trop envie… Continue… bourre-moi…

Je commence un long et lent va-et-vient.

Contrairement à ce que pense un grand nombre d’hommes, ce n’est pas une pénétration brutale au fond du vagin qui fait jouir une femme, mais la caresse lente d’un sexe sur l’entrée de son sexe la fait monter très rapidement au septième ciel.

Charlotte, déjà très excitée ne tarde pas à jouir. Depuis que je la baise, elle a enrichi son vocabulaire. J’ai rarement vu une femme prononcer autant d’insanités quand elle prend son plaisir. Je me vide en elle.

Après quelques minutes de récupération, je lui libère les poignets. Nous passons dans la salle d’eau.

Nous nous douchons ensemble. Nous nous lavons avec nos mains. Mon sexe se dresse. Sous la cataracte d’eau chaude, elle se met à genoux et engloutit ma verge. Elle me malaxe les couilles. Elle va m’éponger complètement. Elle a tari mes testicules… j’éjacule quelques jets… Elle délecte de ma semence. Fin de la séance salle d’eau.

— Viens, j’avais préparé des plateaux dîner…

Elle m’entraîne dans la cuisine. En parfaite femme d’intérieur, elle dresse très vite une table. Champagne, saumon fumé, salade verte et rouge, pommes……

Nous dégustons. Charlotte a remis ses bas. Je suis nu.

— Je te rappelle que tu dois toujours avoir les cuisses écartées, petite esclave…

Comme surprise par ma remarque, elle reprend immédiatement la position que je lui indique. Elle se cambre pour faire saisir ses seins et enroule ses jambes aux pieds de la chaise.

— Comme cela, je te plais ainsi ?…

— Oui très bien…

Je la récompense d’un baiser. Après avoir débarrassé et passé par la salle d’eau pour des ablutions hygiéniques normales, nous nous retrouvons dans le grand lit. Elle vient se blottir dans mes bras avant que l’un comme l’autre nous ne tombions dans les bras de Morphée.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire