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La jeune fille au pair – Chapitre 2

La jeune fille au pair - Chapitre 2



Irène se réveilla le matin, en sueur. Elle fut alors frappée de plein fouet par le souvenir de la soirée qu’elle avait passée avec Robert Adamson et rougit alors, seule dans sa chambre. Elle ne savait pas quelle attitude elle était sensée adopter. Elle avait aimé la façon dont le vieux pervers s’était conduit avec elle, elle adorait être dominée de la sorte. Néanmoins, elle se sentait un peu honteuse d’avoir ce genre de rapports avec son employeur.

    Elle se leva, prit une douche rapide et se prépara. Elle décida de ne mettre ni culotte si soutien gorge, cette fois là pour signifier sa soumission à Adamson, irrésistiblement tentée qu’il la touche à nouveau. Elle descendit et trouva une note sur la table lui indiquant ses travaux de la journée, signée par Mme Adamson. Elle s’y mit sans attendre, à la fois pleine d’appréhension à l’idée de ce que la note lui apprenait dans ses dernières lignes : Robert rentrait manger seul ce midi.

    Elle fit le repassage avec soin avant de s’attaquer au ménage dans la cuisine et dans la chambre de ses hôtes. Irène, ne pouvant résister à la tentation de fouiller un peu partout, se laissa aller à ouvrir les placards et tiroirs des différents meubles de la pièce.

    Au début, rien de bien inattendu : des draps et des vêtements, des accessoires, des sous-vêtements… Puis, alors qu’elle s’approchait d’un étrange petit secrétaire, un peu en retrait dans un petit renfoncement de la pièce, elle découvrit dans les tiroirs tout un tas de petits objets destinés au plaisir. Des godes de différentes tailles, de petites boules de geisha, des menottes et autres sangles ; il y avait également un drôle de petit sextoy rose, de la forme et de la taille d’un uf. Intriguée, elle le prit en main pour le palper et le reposa vivement, consciente que ce qu’elle faisait était quelque peu déplacé… C’est alors qu’elle vit, sous les jouets, une sorte de livre, format A4. Elle le prit délicatement et le feuilleta.

    C’était en réalité un album photo. On y voyait le couple et de nombreux convives autour d’une table en train de s’adonner à une immense orgie. Au fil des pages, Irène glissa ses doigts sous sa petite robe et commença à frotter son petit bouton. Plus elle regardait de photos, plus elle s’excitait et bientôt, elle était en train de gémir, le vide béant entre ses cuisses réclamait de la matière… Sans réfléchir, tout en continuant de se toucher, elle enfonça profondément l’oeuf en elle, gémissant de plaisir. Elle se caressa ainsi encore de nombreuses minutes.

    Soudain, un claquement de porte résonna dans la maison. Irène sursauta : c’était Robert, il était déjà rentré ! Elle avait du passer plus d’une heure dans cette chambre ! Elle replia vivement l’album qu’elle rangea en vitesse, oubliant complètement luf qu’elle avait encore en elle, et descendit en vitesse saluer son hôte.

    Adamson lui rendit à peine son salut et se mit à table sans lever même les yeux de son journal. Tandis qu’elle s’activait en cuisine, il fini par poser son journal et lui jeta un bref regard. C’est alors qu’il vit le filet de mouille qui coulait le long de ses cuisses qu’Irène n’avait pas remarqué. Il afficha alors son sourire ironique et lui demanda de venir. Rouge comme tomate, Irène obtempéra, ignorant qu’elle n’avait pas réussi à cacher, aussi bien qu’elle l’espérait, son émoi. Il la saisit par les épaules et la fit mettre à genoux lentement, elle ne lutta pas. Il coucha alors le haut se son corps sur ses genoux à lui, de manière à ce qu’elle soit à quatre pattes en travers de lui, lui offrant la vue sur ses petites fesses fermes, dénudées par la robe. Il se mit à les caresser et lui dit :

— L’idée que je rentre a nervée ton petit con moite, on dirait…

Il essuya de son doigt la mouille et le frotta contre sa chatte trempée. Irène ne dit rien, haletante, ne sachant si elle était ravie ou paniquée. Il enfourna alors deux doigts, butant contre luf.

— Mais qu’est-ce que..? s’étonna-t-il. Il tira dessus et ricana. Mais en plus d’être une véritable trainée, tu fouilles dans les tiroirs ?

Penaude, Irène se dit rien.

— Néanmoins c’est un jouet très intéressant que tu as pris là, reprit-il, tout sourire.

Il le remit d’un coup dans le trou béant d’Irène et lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le sol, ce qu’elle fit sans objecter. Il se leva alors, alla jusqu’à la cuisine et sembla fouiller dans un tiroir. Il revint, victorieux, un petit objet à la main. Il se mit à table et appuya sur l’objet qui émit un petit déclic. Luf se vit alors à s’affoler dans le con d’Irène qui se retenait de jouir, pantelante. Robert se mit alors à manger, sans un regard pour elle, qui n’osait pas crier de plaisir ou même bouger d’un pouce, alors même que ses jambes chancelaient sous le plaisir. Elle ne faisait quétouffer des gémissements.

    Robert mangea rapidement et lui ordonna de débarrasser. Elle eut du mal à se lever mais, chancelante, elle obtempéra tandis que le jouet la rendait folle de plaisir. Adamson l’éteint alors, et elle s’affala sur une chaise, ruisselante et haletante.

— Désormais, tu ne seras plus autorisée à le retirée. Je serai le seul à le pouvoir, c’est compris ? lui demanda-t-il d’une voix égale.

— Ou…oui, répondit-elle, n’ayant pas encore repris tous ses esprits.

— Je m’en vais dans ce cas, répondit-il. Du travail m’attends. Oh, et sache que la portée de ce truc est énorme, ajouta-t-il dans un sourire, en fermant la porte d’entrée.

    Durant ses tâches de l’après midi, elle eut droit à plusieurs "visites" d’Adamson qui la fit jouir à distance dans divers endroits de la maison. Enfin seule, elle avait pu s’égosiller et jouir de tout son être entre deux coups de chiffon.

    Durant ses séances de plaisir solitaire imposées, elle repensait aux photos des Adamsons et nourrit tout un tas de fantasmes cet après midi là….

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