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La maman de Michel – Chapitre 1

La maman de Michel - Chapitre 1



La maman de Michel.

Le docteur vient dîner.

Bonjour, je m’appelle Michel, j’ai 19 ans, vous avez pu faire connaissance lors des épisodes précédents.

En cette fin de matinée de samedi automnal, alors que je rentre à la maison, après ma sortie VTT , maman me dit que ce soir, "le docteur" vient dîner à la maison, il s’est invité tout seul, le muffle. L’on se souvient que cet honorable chirurgien avait opéré papa à la clinique et de la séance qui y avait eu lieu, la veille de sa sortie. Cette nouvelle me ravit, j’ai hâte d’y être ayant déjà une certaine idée de ce que va être ce dîner.

moi : – Je t’accompagne pour les courses, m’man, si tu veux ; je sais que tu n’aimes pas conduire en ville.

maman : – D’accord, Mich’ ; nous irons chez monsieur T. , les produits y sont fameux.

En effet, "le docteur", exige presque, d’être traité en roi, ce qui ne déplaît pas à maman. Nous nous mettons donc en route vers 2.30 p.m. Il fait encore beau et doux, nous ne sommes pas encore réellement entrés dans les températures de l’automne. Maman porte une robe toute simple, "droite" bleu foncé, décolletée en "U" , son soutien-gorge est adapté à la coupe de la robe car il ne se voit pas. Je lui ouvre la porte de la voiture, ce qui me permet de mater ses cuisses, sa robe se relève quand elle prend place, tellement, que j’aperçois sa culotte noire. Cette discrète vue m’émoustille déjà, cela me fait penser qu’il y a déjà longtemps que nous n’avons rien fait ensemble et qu’elle est toujours aussi aguichante. Je prends place au volant et nous voici partis. Nous achetons les produits de grande qualité dignes des Ets. T. , saumon, charcuterie haut de gamme, entremets, toasts etc…. Maman a décidé de ne pas se taper tout le boulot et donc de faire du tout-prêt sur les conseils de T. , son ami, grand traiteur renommé. Je reste surpris, il ne nous présente pas de facture et nous dit que l’on paiera plus tard en faisant un clin d’oeil à ma mère. Je crois deviner de quelle nature sera ce paiement, à mon avis ces deux là se connaissent très très bien. Notre Volvo break est au fond du parking, presque désert, (en effet, c’est un tel luxe chez T. que la clientèle est plutôt du style "huppé") près du mur d’enceinte. J’ouvre le coffre, maman se penche en avant pour déposer une partie des courses, sa robe se relève et ses cuisses se découvrent, à la limite des fesses. Elle doit se douter que je regarde car elle se penche encore un peu plus, sa robe remonte très haut, me dévoilant sa culotte. Je ne peux pas résister et lui caresse l’arrière des cuisses d’une main, puis les fesses, sur la culotte. Je colle mon corps au sien pour nous cacher un peu de la vue d’éventuels usagers du parking. Avec l’autre main je dépose l’autre sac à provisions dans le coffre. Je trique dur et commence à être sérieusement excité. Nous sommes maintenant très complices et n’avons pas besoin de parler lorsque nous avons envie. Maman me dit souvent qu’elle aimerait faire plus souvent l’amour, mais mon père est top absorbé par sa vie professionnelle et, est trop souvent fatigué, à son goût. Je relève complétement la robe de maman sur ses reins, glisse une main dans sa culotte, par la ceinture et la caresse en faisant descendre la culotte avec le dos de ma main. Ses fesses sont douces et chaudes, je glisse mon index dans sa raie, passe sur son petit trou et descends jusqu’à sa chatte. D’une main, elle me caresse le sexe sur mon pantalon ; dans sa position, elle a des difficultés à ouvrir ma braguette, de ma main libre je dégrafe la ceinture de mon "jean", je le fais descendre avec mon caleçon sur mes genoux ; me voilà cul nul sur le parking. Maman me prend tout suite la bite en pleine érection et commence à lentement me branler. Il y avait très longtemps que cela ne nous était pas arrivé, elle m’astique comme une reine, décalottant lentement mon gland, insistant avec le pouce sur le frein, puis tirant bien à fond jusqu’aux couilles. Mon index est plongé dans sa chatte, très mouillée, je le fais tourner dedans, maman apprécie et se tortille.

— Bin dis-donc, Maryse, ma salope ! Tu m’en diras tant, quelle cochonne !

M… ! C’est T. qui vient de nous surprendre.

T : – Vous avez oublié le saumon sur le présentoir, le voilà ! J’me suis dit que je pourrai peut-être vous rattraper, bin dis-donc, Maryse, tu me scies là !

maman : – Euhhhhhh ! Bon d’accord, tu nous a surpris, surtout tu ne dis rien à personne, hein ?

J’ai immédiatement débandé et remonté mon pantalon, je reste sans voix.

T : – Je savais que tu étais cochonne mais pas à ce point quand même, ma grande. Bon ! Je ne dis rien à condition qu’on continue à trois, d’ac ?

maman : – Mais ton magasin ?

T : – J’ai deux serveurs très compétents, ils peuvent tenir la boutique sans moi.

De toute façon, nous ne pouvons pas refuser, et puis après tout, c’est si bon.

Notre voiture est en configuration break, sièges arrières rabattus. T. retire sa toque, son tablier, se met à poil et se glisse dans le coffre au côté de maman, il se couche sur le dos et bande déjà, il a un engin assez impressionnant. Il doit avoir dans les 60 ans et il est fort bien conservé, ce type. Maman est toujours dans la même position. T. fait descendre la fermeture éclair dorsale de sa robe, dégrafe son soutien-gorge, maman s’accoude, facilitant la manoeuvre, ainsi ses seins pendent sous elle.

T: – Ohhhh Maryse ! Tes gros nichons, je les adore !

Il se met à les lui malaxer vigoureusement, les têtons durcissent tout de suite ; maman lui prend la bite en main et le branle comme elle le faisait pour moi tout à l’heure. Ca y est, la partie a commencé. Maman s’allonge sur le dos. T. approche son visage du sien leurs lèvres se joignent, les langues s’agitent, ils se roulent des patins langoureux. Je trique sec, de nouveau ; je me déshabille complétement, moi aussi, m’allongeant à côté de maman, à l’opposé de T. J’enlève complétement la robe de maman, et fait descendre lentement sa culotte en la saisissant aux hanches à l’élastique de ceinture. Je réalise l’un de mes fantasmes, ôter la culotte de ma mère, c’est fabuleux. Lentement je découvre les poils de sa touffe toujours fournis et drus, puis je découvre la fente rose au milieu de cette jungle et, ensuite lentement, je descends le longs des cuisses, des jambes et lui enlève cette culotte. T. d’un geste brusque me l’arrache des mains et la renifle sauvagement. Maman se met à quatre pattes me présentant sa croupe, et, appuyée sur les coudes, commence à sucer T. qui se met à râler de plaisir. Je me couche sur le dos et enfile ma tête entre les cuisses de maman, j’écarte avec les pouces les lèvres de sa chatte et y enfonce ma langue d’abord en pointe, puis à plat pour bien lécher toute la longueur de la fente humide. Maman gémit la bouche pleine, tandis que je lui enfonce mon index dans le cul, je trique tellement que ça me fait mal. T. change de position, se mettant à genoux, attire maman à lui et la prend en levrette. Sans délicatesse il enfonce son pieu dans la chatte de maman et la tenant par les hanches commence à la fourrer violemment.

T : -Tu la sens ma queue, salope ?

maman : – Ouiiii, vas-y c’est bon, continue !

Trop excité pour durer, monsieur T. jute rapidement en sortant sa bite et en lâchant son jus sur les reins de maman.

maman : – Bin dis-donc tu as fait vite mon salaud.

T. : – J’avais trop envie, tu es trop bandante, on continue ?

maman : – Oh là non, je n’ai pas le temps, j’ai des invités ce soir.

Là-dessus, tout s’arrête, je reste comme un con avec ma bite raide et je ne peux rien en faire, les autres se rhabillent, c’est terminé, on ferme. A cause de ce connard d’ éjaculateur précoce de T., je me retrouve frustré de maman, j’avais là pourtant une occasion en or. Maman se rend bien compte que je suis en colère et sais très bien pourquoi, pour me calmer, elle me dit qu’on se rattraperait ce soir. J’espère bien ! me dis-je.

Le docteur arrive à 8 p.m comme prévu, accompagné d’une belle jeune femme brune qui doit avoir 35 ans de moins que lui, qui en a 60 passés. Présentations habituelles, cette jeune fée est sa nouvelle conquête du moment, elle s’appelle Chris. Elle porte une robe de soirée bleu-nuit, fendue sur les côtés de haut en bas, avec des chaussures à haut-talon, elle a omis le soutien-gorge, ses seins fermes ne bougent presque pas lorsqu’elle se déplace, tout en style, c’est "la classe" cette femme. Elle est splendide.

Nous discutons de la vie, de tout et de rien durant le repas, attendant le moment du Champage. Chris aide maman à débarasser la table ; Chris est sympathique, sans manière mondaine, une jolie femme toute simple comme nous les aimons. Elle s’exprime avec un léger accent que je ne puis définir et d’ailleurs c’est sans importance. Nous nous rappelons en faisant rire Chris, notre séance à l’hôpital lors de l’opération de papa, c’était formidable.

Après la première coupe de champage que nous prenons dans le salon, le docteur, assis dans l’un des fauteuils, attrape maman par les hanches et la fait asseoir sur ses genoux. Immédiatement il glisse une main sous sa robe et remonte sur les cuisses jusqu’à l’entrejambe que maman écarte, déjà excitée.

Papa, trop heureux de savoir qu’il va pouvoir s’amuser avec la superbe jeune femme brune, laisse le docteur s’amuser avec maman.

papa : – Alors docteur, ça vous rappelle de bons souvenirs ?

le docteur : – Bon, appelez-moi, Pierre maintenant, laissez-tomber "le docteur". Alors bob, la petite, elle te plaît ?

papa : – Elle est magnifique.

Chris rejoint papa dans le canapé, pose une main sur sa braguette, le caresse un peu et dégrafe le pantalon. Papa enlève sa chemise et se retrouve vite nu. Chris monte à califourchon sur les cuisses de papa, lui faisant face et le prenant par la nuque à deux mains, lui colle ses lèvres sur les siennes. La robe étant fendue jusqu’à la ceinture, cela ne pose aucun problème, le haut des cuisses blanches, visible au-dessus des "dim-up" noirs, donne une note encore plus érotique. Les bouches sont collées, on ne voit pas les langues que l’on devinent tournoyant à l’intérieur.

Le docteur a sorti les nénés de maman de son soutien-gorge, ils flottent au-dessus du décolleté de sa robe, il les malaxe et les tête tandis que maman lui caresse les cheveux. Elle a les cuisses écartées, la robe relevée jusqu’à la ceinture, la main du docteur fouille sa culotte, il lui rentre au moins deux doigts.

le docteur : – Un moment d’attention svp ! Pour toi, Chris, un petit cadeau, Mich’ va foutre sa mère à poil devant nous.

Chris : – Mais Pierre, c’est sa mère quand même, tu es fous ou quoi ? T’as trop bu !

le docteur : – Je n’ai bu qu’ une coupe de champagne, tu rigoles Chris ! Allez Mich’ , au boulot !

Le docteur va prendre place sur le divan en plaçant Chris entre papa et lui. Je me suis rapidement déshabillé et suis prêt, le docteur va me faire réaliser un autre de mes fantasmes, déshabiller maman. Papa quant à lui ne dit rien, il a trop envie de Chris, et de toute manière, il est habitué. Je déplace la table basse du salon ainsi l’on est beaucoup plus à l’aise. Le docteur et papa ont chacun glissé une main dans le décolleté de Chris et lui pelote chacun un sein, tandis qu’elle caresse lentement leur bite durcie.

Maman se place debout face au canapé des trois spectateurs, tandis que, queue bandée je me mets derrière à elle, ma bite lui collant aux fesses.

maman : – Vas-y chéri, fais plaisir à ce coquin de docteur, déshabille maman.

Sans répondre je dézippe sa robe, lentement en prenant les bretelles je la fais descendre jusqu’à ses chevilles, je dégrafe son soutien-gorge que je laisse tomber au sol, et ensuite lentement en mettant les pouces dans l’élastique de ceinture de sa culotte je la fais descendre jusqu’en bas en m’accroupissant. Ca y est j’ai foutu ma mère à poil, me dis-je. Pour me relever je pose les mains sur ses cuisses, j’ai le nez pratiquement dans sa raie, je termine en posant mes mains sur ses hanches. Je n’y tiens plus j’ai une trique d’enfer, je me colle à elle la bite contre sa raie et je lui prends les nichons en main, je la caresse en serrant peut-être fort car elle pousse un petit cri, je suis trop excité. Maman, malgré ses 53 ans est toujours aussi désirable et sensuelle.

le docteur : – Non, non , Michel, ta mère est réservée aujourd’hui, elle est à moi.

maman : – Laissez-moi le sucer un peu docteur.

le docteur : – Bon, pour montrer à Chris alors, d’accord.

Chris : – Quoi, elle va le…..

le docteur : Chuuuuut !

Maman se retourne, me fait mettre de profil, par rapport aux spectateurs, elle s’agenouille devant moi, de la main gauche elle me soupèse les bourses, et, de la droite me branle lentement. Elle sort la langue et commence par en donner quelques coups sur le gland, le frein, la hampe, elle tourne autour du gland puis d’un coup, l’engloutit en bouche. Ele ferme les yeux et commence à me pomper lentement, une sensation extraordinaire m’envahit, c’est inexplicable, la bouche de maman qui salive sur ma bite, sa langue qui taquine mon gland, c’est doux, c’est chaud ; c’est fabuleux, je me fais sucer par maman dans une partouze, un rêve que je croyais impossible à réaliser : merci docteur.

Tout le monde est maintenant très excité, Chris ne porte que son mini-slip, elle suce chacun leur tour les deux hommes assi à ses côtés. Elle a les nichons très fermes, c’est étonnant.

le docteur : A moi maintenant Maryse, mets-toi en levrette !

Il est comme lors de la séance à la clinique, droit au but, pas de délicatesse, il est là pour baiser maman, il y va direct, c’est un vieux vicelard triqueur sans imagination.

Maman se met en position, écartant bien les cuisses pour laisser passer la queue du docteur qui est d’un très beau gabarit.

A regret je laisse maman et vais rejoindre papa et Chris. Elle à genoux au sol et suce papa qui est assis dans le canapé, je m’agenouille à côté d’elle, lui caresse le dos, les nichons par en-dessous, ses têtons sont très durs, les fesses sur le slip, les cuisses ; je n’ose pas enlever le slip, après tout, la séance semble sous contrôle du docteur, on ne va lui gâcher son plaisir.

papa : – Viens t’asseoir Mich’, fais-toi sucer aussi, Chris est formidable.

Je me place près de papa et immédiatemment Chris me prend en bouche, tout en branlant papa. Elle suce plus vite que maman et me branle plus fort, elle va me faire juter tout de suite, ça va pas ça, me dis-je.

Papa sort du divan et vient se mettre derrière Chris, il tire sur le mini-slip, il est tellement excité qu’il le déchire. Je penche un peu la tête pour mater son cul, papa lui met une main à l’entrejambe alors qu’il tient sa bite de l’autre pour baiser Chris.

papa : – M…… !!!!!!!!!!! P..!!!!!!!!! c’est un travelo, salopard de docteur, tu nous a pris pour des cons ! Mon salaud !

le docteur : – Enfile-le et t’occupe pas, Bob.

Malgré notre surprise, nous ne débandons pas et l’excitation est toujours intense. Chris me suce toujours, il m’a enfilé un doigt dans le cul, je n’en peux plus et je jute dans sa bouche. Il s’applique à avaler tout mon foutre, et me nettoie parfaitement la queue.

maman : – Vas-y Bob chéri, enfile-le.

Ainsi encouragé par maman, papa pose sa bite sur le trou du cul de Chris et lentement lui enfonce dedans, le prenant par les hanches, en levrette, il le lime à fond. Je regarde le docteur qui n’en peux plus et se lâche dans la chatte de maman avec un grand Ahhh de soulagement. Après un instant il se retire et approche sa bite gluante de la bouche de Chris qui lui nettoie. Maman s’est également approchée et debout, près de papa qui lime Chris, elle se fait nettoyer la chatte , en l’écartant à deux mains, du foutre du docteur ; papa s’applique, la lèche et en a plein le menton, il ne parvient pas à tout avaler. Maman termine ce petit entretien avec une serviette de table en papier qui traînait par là. Le docteur s’est avachi dans un fauteuil et regarde la scène passivement. Papa encule Chris de plus en plus fort et va jouir, maman à genoux à côté d’eux, branle le travelo énergiquement, tellement bien, qu’il parvient à bander. Papa jouit également dans un grand cri, il éjacule tout dans le cul de Chris et se couche, épuisé sur le tapis. Maman continue le nettoyange en s’occupant du travelo avec la serviette papier et en léchant la bite de papa. Tout ceci m’a remis en forme et je bande de nouveau ; tandis que le docteur, papa et le travelo prennent place dans le divan en se touchant la bite, maman s’assied dans un fauteuil, les cuisses écartées sur les accoudoirs et me fait un clin d’oeil en hochant la tête, me faisant comprendre que je dois la rejoindre. Alors que je m’apprête à lui manger la chatte, elle me prend le bras et m’attire sur elle. Ainsi couché sur elle, je sens la douceur de ses gros nichons, ma cuisse frotte sur son barbu très touffu, c’est à la fois doux et rugueux, c’est une étrange sensation ; maman pose ses mains sur ma nuque et m’attire à elle ouvrant grande la bouche, elle la pose sur la mienne, immédiatement sa langue pleine du foutre de papa fouille ma bouche, s’enfonce dedans, nos langues tournent l’une autour de l’autre, elle m’aspire ; puis, met sa langue en pointe pour que je la lui suce, nous nous roulons des patins fougueux. Toujours en m’embrassant, maman, glisse la main entre nos corps pour saisir ma bite en pleine érection et la dirige vers sa chatte, je bouge un peu pour l’aider et ça y est ça rentre ; ma bite est dans la chatte de ma mère. c’est très mouillé, il doit rester le foutre du docteur à l’intérieur, maman glisse sur le fauteuil pour mettre ses fesses juste au bord, je me mets alors debout et la soulevant un peu je commence à la limer. Elle est très excitée, c’est elle qui fait des mouvements de bassin pour venir glisser sur ma queue, elle s’agrippe aux accoudoirs, ses gros nichons se balancent de tous côtés, elle va se faire jouir, elle accélère et finit par avoir un orgasme terrible, elle en crie de plaisir. Maman reste quelques instants sans réaction, ses gros seins se soulevant à chaque respiration, elle récupère lentement tandis que je me retire. Pour moi c’est extraordinaire, maman a joui sur ma bite, quel pied !

Les autres ne sont pas restés inactifs, ils sont sur le tapis, papa est en 69 sous le travelo, agrippé à ses nichons, tandis que le docteur encule son Chris bien à fond. Avec maman, on regarde papa sucer cette bite, il a l’air de fair ça bien car Chris bande. Papa jouit le premier, giclant dans la bouche du travelo puis; vient le tour du travelo qui jute tout dans la bouche de papa qui ne peut tout avaler, ça lui coule sur le menton et dans le cou ; dans un grand cri, le docteur jouit dans le cul du travelo, c’est une pluie de foutre qui s’abat dans le salon.

Pour regarder ce spectacle, maman m’a fait asseoir à côté d’elle sur le fauteuil, on est très serré, l’un contre l’autre. Machinalement elle me caresse la bite, tandis que je lui pelote ses gros nichons.

maman : – Tu vois Mich’, ton père n’a pas fini de nous étonner.

moi : – Oui m’man , c’est une question d’ambiance.

D’un commun accord nous reprenons tous à poil dans le salon; une coupe de champagne, servie par papa. Le temps a passé vite et monsieur le docteur nous dit qu’il doit se reposer car il opère tôt demain matin. Il assure la permanence du dimanche. Tout le monde se rhabille donc et nos invités prennent congé en promettant de nous revoir, très bientôt.

bracounet

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