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La mère de ma copine Elodie – Chapitre 2

Week-end triolisme zoo - Chapitre 1



Salut c’est votre folle de lycra.

Dans l’épisode précédent je vous racontais en tant que jeune opticien travaillant dans une grande chaîne je m’étais fait courtiser et littéralement enlever par une femme de facilement 25 ans mon aînée. J’avais une copine prénommée Élodie, mais cette cliente prénommée Geneviève s’en foutait; elle me voulait un point c’est tout. Voilà comment un vendredi soir après le boulot Geneviève était venue me chercher pour que nous allions dîner à Chartres et là elle m’a imposé de dormir sur place à l’hôtel. Cette femme était une meneuse, une meneuse d’homme d’après ce que j’avais compris elle dirigeait plusieurs centaines de personnes. Geneviève se déplaçait dans une magnifique grosse berline Audi; je ne vous raconte pas le plaisir que j’avais à me déplacer dedans, surtout quand elle m’a laissé la conduire pour me rendre à Chartres. Donc le jour de son anniversaire j’étais entre ses jambes à l’hôtel en train de lui brouter son minou.

J’avais vraiment l’impression d’être son gigolo mais en même temps je prenais vraiment grand plaisir à essayer de lui en donner. De temps à autre elle se redressait pour me saisir la tête et me l’enfoncer un peu plus entre ses jambes. De temps à autre elle réussissait même à lever un peu ses fesses de telle façon à ce que je j’aille lui coller ma langue jusque dans son petit trou. Il faisait très bon dans la chambre et nous prenions grand plaisir à nous faire du bien en petite tenue. Après m’être fais un masque sur le visage avec sa cyprine mais surtout 20 bonnes minutes Geneviève a fini par prendre son pied. J’étais assez contente de moi devant ce que je venais de réussir à faire, donner du plaisir à une femme de grand standing. J’ai continué à lui donner des coups de langue au moins 5 minutes, histoire de continuer à lui donner du plaisir et surtout d’aller au-delà. C’est ma copine Élodie qui m’avait expliqué ça, d’autant quelle adore ça; manifestement Geneviève aimait aussi.

Mon amante est restée dans les nuages 10 bonnes minutes, elle m’a invité à ce que nous nous couchions histoire d’être en forme demain matin. Le plus beau c’est que entre son sac à main et sa petite valisette de toilettes il y avait tout pour passer une nuit en dehors de chez elle. C’est ainsi qu’elle s’est déshabillée devant moi et j’ai pu découvrir son corps d’une extrême beauté, pas une ride, des seins fermes et arrogants un corps irréprochable. Je ne pense pas qu’un être humain de sexe masculin aurait pu résister à un corps si bien réussi. Autant, pour certaines personnes, on se dit que le créateur était en RTT; autant là, on pouvait constater qu’il avait fait plus que les 48h autorisées… Avec ses cheveux ondulés qui descendait juste en dessous des épaules, le moindre mouvement de sa tête la rendait encore plus belle. Elle est partie dans la salle de bain, puis est revenue dans une petite nuisette qui avait du mal à dissimuler cette plastique irrésistible. De mon côté, c’est vêtu de mon boxer que je me suis couché contre elle dans son dos; pour avoir le plaisir de sentir son corps sur mon sexe, à l’occasion.

Nous nous sommes couchés comme ça mais elle en a décidé autrement à savoir que c’était elle qui devait être dans mon dos, je vous laisse imaginer que j’ai obtempéré sans broncher. Nous nous sommes endormis assez rapidement collés l’un à l’autre, ainsi je ne pourrais faire que de beaux rêves. J’ai mis au moins une heure à m’endormir; avec tout ce qui m’arrivait, cela me tournait dans la tête. Geneviève avait mis le réveil à 7h mais c’est un peu avant 6h qu’elle m’a réveillé car elle voulait continuer mon éducation. C’est ainsi que pour mon réveil elle s’est glissée sous les draps pour me faire un petit plaisir, juste histoire de me réveiller mon petit kiki. Une fois ce dernier bien en forme, elle est venue se mettre sur moi à califourchon; sans trop perdre de temps elle s’est emboîtée en moi, c’est rentré comme dans du beurre. J’avais l’impression de ne lui servir que de bite, quand je ne voyais aller et venir sur mon sexe qui maintenant était bien dur; heureux d’avoir un tel réveil je pense.

Je peux vous garantir que pour un petit jeune comme moi, dépucelé depuis peu par sa copine Élodie; avoir une telle prestation matinale, cela marque les esprits. Elle me griffait la poitrine, elle m’arrachait des poils de la poitrine, elle me plantait les griffes dans le ventre; Geneviève était déchaînée. De temps à autre elle venait m’embrasser et je sentais ses cheveux se déposer sur mes épaules; c’était vraiment émouvant et surtout excitant. Ce qui m’embêtait un peu c’est quen même temps je pensais à Élodie et je culpabilisais d’être en train de vraiment la tromper. Pour me soulager la conscience, que je me disais que ce n’était pas moi qui était venu courtiser Geneviève; mais bien elle qui m’avait dragué fermement, sans vraiment tourner autour du pot. De temps à autre, elle me caressait l’intérieur des cuisses pour même aller quelques fois jusqu’à mon petit trou. Par moment j’avais l’impression que cette femme connaissait mieux mon corps que je ne le connaissais.

Cétait vraiment Geneviève qui dirigeait les opérations et moi je ne faisais que subir; j’étais son sextoys, j’étais son gigolo, j’étais là pour lui donner du plaisir. Je prenais grand plaisir aussi à sentir nos poils pubiens s’entremêler, se caresser se chevaucher; j’avais vraiment l’impression que nos corps ne faisaient qu’un. Pour un réveil énergique il n’y avait pas mieux et ce qui devait arriver arriva; je n’ai pas pu me retenir et je lui ai déposé toute ma liqueur au plus profond de ses entrailles. Elle a continué à monter et descendre sur mon sexe alors que j’avais pris mon pied, mais manifestement nous n’étions pas synchronisés. Alors que cela devenait intenable pour moi elle a fini par prendre son pied et s’est mise à m’embrasser pour ne pas crier. Pour essayer de penser à autre chose je regardais par la fenêtre la cathédrale de chartres et le soleil qui était en train de se lever dessus.

Il allait être bientôt 7h du matin et je venais de prendre mon pied comme jamais je ne l’avais pris avec une cougar. Elle est restée un bon quart d’heure allongée sur moi, et moi toujours emboîté en elle; un moment de douceur auquel, pour rien au monde je n’aurais osé donner fin. Après avoir repris ses esprits elle a aussi repris la pêche et elle m’a dit que maintenant il fallait passer la seconde pour que nous nous préparions. Nous sommes passés tous les deux sous la douche et nous sommes habillés. Ah j’oubliais un petit détail elle m’a imposé ainsi que je porte ton tanga pour que je pense à elle pendant la journée. Je lui ai expliqué que je n’avais pas besoin de ça pour penser à elle du matin au soir, elle a tenté si bien insisté que j’ai fini par accepter d’enfiler son tanga sous mon boxer. Je lui ai demandé si elle ne mettait plus de culotte, elle m’a répondu quà chaque fois que nous ferions l’amour elle me donnerait sa culotte ou son tanga.

Chaude comme elle était, j’étais en train de me dire que j’allais rapidement pouvoir ouvrir un commerce de dessous féminin. Je me suis pris à rêver un instant en regardant par la fenêtre la rivière l’Eure qui coulait au pied de l’hôtel. Nous avons fini de nous préparer puis sommes partis prendre notre petit déj. Ils n’ont pas eu de chance car le petit déj était à volonté et hier soir; le repas était bon mais ne m’avait pas vraiment rempli de bide. À table Geneviève n’arrêtait pas de me regarder avec des yeux désireux, amoureux, coquins; je pense que si nous avions été dans l’intimité elle m’aurait sauté dessus. Je sentais ses pieds revêtus de bas satinés, me caresser les jambes d’une façon très provocante. Une fois le ventre plein nous sommes remontés à la chambre pour nous faire une petite beauté et nous laver les dents avant de partir. Vu que nous avions dix bonnes minutes d’avance, elle est venue me faire un petit plaisir; je ne me reconnaissais plus, j’étais toujours demandeur avec elle.

N’ayant pas emmené de déodorant avec moi, je me suis mis du déodorant féminin sous les bras; Geneviève a poussé le vice jusqu’à me mettre quelques touche de parfum féminin. Nous sommes descendus à la voiture, puis avons pris la route direction mon boulot; il fallait juste attraper l’autoroute A10 et aller jusqu’au bout à la fin de cette dernière. Cela ne nous a pris qu’à peine 30 minutes. Ça sentait la gonzesse dans la voiture et pourtant j’étais dedans. Nous sommes arrivés à mon boulot avec de l’avance et j’ai eu droit à un roulage de pelle en règle de sa part qui m’a beaucoup ému par sa sincérité. Vu que j’étais en avance nous sommes restés un peu dans sa voiture à nous bécoter; à vrai dire je ne voulais plus partir et ne voulais plus la quitter. Mais il fallait que je retombe sur terre, cette femme avait l’âge de ma mère; en plus j’avais une copine: Élodie.

Après 10 minutes on ne peut plus sensuelles dans sa belle Audi, je suis parti bosser, un peu à contrecur; mais il fallait… Arrivé au boulot, mes collègues étaient là depuis une demi-heure; j’ai repris mon train-train habituel, excepté le fait que Geneviève n’a pas arrêté de m’envoyer des SMS on ne peut plus chauds toute la journée. Je l’imaginais parfaitement dans son bureau en train de dicter ses messages à son téléphone en espérant qu’il n’y ait pas beaucoup de collègues à elle qui l’entendent s’exprimer comme elle le faisait. Parmi tous les SMS que j’ai reçus dans la journée l’un d’eux venait dÉlodie, elle me disait qu’elle aimerait bien que l’on se voit ce weekend, que l’on se fasse un weekend en amoureux. Quand elle m’écrivait ça, cela voulait dire qu’elle avait envie que nous fassions de choses, je ne lui ai pas dit mais pour ma part disons que j’étais pratiquement rassasié. J’adorais m’envoyer en l’air avec Élodie que ce soit dans mon lit, dans la cuisine, sur la table du séjour, dans les champs et même dans sa voiture. Nous avons même fait ça dans une cabine d’essayage et dans la réserve de mon magasin; un soir où j’étais seul de fermeture.

Dans un de ses SMS Geneviève me disait qu’elle aimerait bien passer le weekend (ce qu’il en restait plutôt…) avec moi car je lui manquais déjà, je lui ai répondu que je préférais profiter de ma chérie officielle sans pour autant vouloir la blesser. Dans ma tête, les idées commençaient à s’embrouiller; entre Geneviève et Élodie j’en étais à me poser des questions, mais la logique voulait quand même que je sois avec Élodie. Nous étions du même âge, partagions les mêmes idées, étions complices et allions très bien ensemble. L’avenir avec Élodie était le mariage puis la procréation honnêtement je ne savais pas comment concevoir l’avenir avec Geneviève. Avait-elle des sentiments pour moi ou n’étais je juste qu’un sextoy. Toujours est-il que ce jour-là j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer au boulot, mes idées étaient plutôt axées autour de ces deux femmes.

Donc le samedi soir c’est Élodie qui est venue me chercher et nous sommes rentrés directement chez moi pour passer une soirée ensemble et surtout un dimanche en amoureux. J’étais un peu étonné quant à ma condition physique compte tenu du fait que j’avais fait des folies avec Geneviève je pensais que je serai un petit peu au tapis avec ma belle. L’excitation et dont je n’ai pas été bien long à répondre aux avances de ma chérie, j’ai bien évidemment fais attention à me débarrasser du tanga que m’avait imposé Geneviève. C’est ainsi qu’après le repas nous sommes passés dans le séjour et nous sommes mis à regarder la télé mais rapidement les mains d’Élodie se sont mises à être entreprenantes. Connaissant ma belle j’ai fait attention à me déshabiller en arrivant et me mettre en survêtement histoire de libérer l’accès si besoin était. Elle s’est retrouvée à quatre pattes sur le canapé et moi une jambe en l’air et une jambe par terre; elle n’avait pas été bien longue à prendre mon sexe en bouche, l’autre main étant en train de me caresser le poitrail.

Élodie a fait une pause histoire de se dévêtir complètement, elle m’a totalement débarrassé de mon survêtement; puis est venue s’asseoir sur mon sexe en me tournant le dos. Ma chérie avait l’air bien plus excitée que moi et pourtant moi je l’étais déjà bien. Toutes les deux ou trois minutes elle changeait de position pour essayer de trouver celle qui était optimale pour lui faire le plus de bien. Elle est venue ensuite face à moi et m’a demandé que je la soulève pour l’emmener jusqu’au lit et que nous fassions attention à rester emboîtés. J’ai réussi à me lever, elle était fermement accrochée à mon cou mais surtout elle serrait très fort ses jambes autour de ma taille. J’ai quand même mis mes mains sur ses fesses pour la retenir un peu, ainsi nous avons pu nous retrouver dans la chambre. Je l’ai déposée sur le dos, ses jambes du coup étaient très écartées et là j’ai commencé à aller encore plus loin en elle.

Je ne sais pas pour quelle raison mais ce soir Élodie était déchaînée nous avons fait l’amour comme des fous. Quand j’ai senti que j’allais partir en elle, je me suis retenu puis je suis descendu à la cave pour lui faire le plus grand bien possible. Depuis le temps que je lui mangeais son minou, elle adorait ça; j’en connaissais le moindre recoin sensible entre ses jambes. Elle avait réussi à me faire mettre à genoux sur le lit dans le sens inverse du sien, ainsi elle pouvait me caresser le sexe pendant que moi je lui mangeais sa friandise. À force de coups de langue répétés, mais surtout bien précis elle a fini par prendre son pied et du coup je l’ai à nouveau pénétrée. Ce coup-ci quand j’allais sentir remonter la liqueur, j’allais la laisser partir en elle; chose qui se produisit peu de temps après. Bien qu’ayant éjaculé en elle, j’ai continué un petit peu car je savais qu’à chaque fois elle prenait à nouveau son pied mais vaginalement chose qui s’est confirmé quelques minutes après.

Nous sommes restés allongés une demi-heure côte à côte épuisé par l’effort animal que nous venions de produire. Moi qui pensais que nous avions fait ça à la va vite nous nous sommes levés pour rallumer la télé ce n’était plus Sebastien mais Ruquier. Je savais Élodie très dure en affaires dans son travail de tous les jours, mais à la maison elle était d’une douceur qui me laissait sans voix. Dans ma tête je culpabilisais car dans la même journée, je venais d’honorer deux femmes, dont l’une devait avoir 25 ans de plus que l’autre. Maintenant nous étions en train de nous endormir devant la télé Élodie était blottie contre moi mon bras gauche la tenait et lui réchauffait le dos. Vu qu’elle venait très souvent à la maison, il y avait même des vêtements à elle dans ma penderie. Quand j’ai vu qu’elle s’était endormie je l’ai prise dans mes bras pour l’emmener dans le lit pour que nous nous y endormions.

J’étais vraiment très amoureux de ma belle.

Si ce chapitre numéro 2 vous a plu j’y mettrai une suite.

Bisous à vous

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