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La nouvelle vie d'Isabelle – Chapitre 6

La nouvelle vie d'Isabelle - Chapitre 6



Plongée dans ses sombres pensées, Isabelle est inattentive à sa conduite. Involontairement, elle va griller un stop, et se voir frôlée par un poids lourd qui va l’éviter de justesse, tout en lui adressant à juste titre un long coup de klaxon rageur !

 Cette frayeur aura eu le mérite de la sortir de sa torpeur. Elle se gare sagement sur le bas-côté herbeux, près d’un petit bois. Seule, elle va marcher plusieurs minutes sur un chemin forestier. Le calme de la nature, les oiseaux qui gazouillent, le soleil filtrant entre les arbres vont lui permettre de retrouver un peu de sérénité. Que faire après la scène dont elle a été le témoin ? Rien ? Impossible. Une action violente ? Elle y a déjà renoncé en reposant le couteau. Petit à petit, une idée germe dans son cerveau, une idée qu’elle va elle-même juger perverse, mais elle veut tout à la fois arriver à ses fins dans le domaine du plaisir, et assouvir sa petite vengeance

 Tandis qu’elle retourne vers sa voiture, elle prépare dans sa tête son « plan de représailles ». Ce soir-là, elle va s’efforcer de ne rien laisser paraître devant Paul et Morgane, mais le dîner en famille sera des plus mornes. A tel point que Morgane finit par s’exclamer :

 –       Qu’est ce que vous avez tous les deux ? Vous n’êtes pas bavards ce soir !

 –       Fatiguée répond seulement Isabelle sur un ton de lassitude.

 Pas un mot ne sortira de la bouche de Paul. Pendant ce temps, ça tourne, ça usine dans le cerveau d’Isabelle, son projet prend forme.

 Lundi soir ;

 Jean est absent, en déplacement pour son travail, voilà qui arrange les affaires d’Isabelle.

 Elle quitte la maison, prétextant qu’elle doit rendre (elle aussi) des DVD à Sophie.

 La voici sonnant chez elle à l’improviste. La jeune femme lui ouvre. Ravissante, troublante, ses longs cheveux châtain clair encadrant son visage épanoui. Elle n’est vêtue que d’un très court kimono de soie, couleur argent. Elle marque son étonnement.

 –       Tiens ! Isa, à cette heure-ci ? Quel bon vent ? Rien de grave j’espère !

 Isabelle crève d’envie de lui hurler « un vent mauvais, quelque chose de très grave ! » mais elle se contrôle. Quatre bises faussement amicales, puis les deux femmes s’asseyent dans le canapé.

 –       Sophie, il faut que je te parles.

 –       Que se passe-t-il ?

 Isabelle teinte d’ironie son entrée en matière.

 –       Eh bien, es-tu satisfaite de ton troisième amant ?

 –       Mon troisième amant ??? Mais je n’en n’ai toujours eu que deux, c’est déjà pas mal !…

 –       Depuis longtemps, ces deux amants ?

 –       Le premier depuis 10 ans, le second depuis 4 ans seulement. Mais pourquoi ces questions ?

 Isabelle réalise soudain que Sophie est donc la maîtresse de Paul depuis au minimum quatre années D’un effort surhumain, elle parvient à conserver une voix ferme et calme.

 –       Donc mon mari Paul est ton amant depuis 4 ans ou 10 ans, c’est bien cela ?…

 –       Paul ? Mais Isa, voyons, tu es folle, le mari de ma meilleure amie, JAMAIS je

 –       Arrête de te foutre de ma gueule ! Je vous ai vus en action dans le jardin, samedi matin !

 Le ciel tombe soudain sur la tête de Sophie. Pâle comme une morte, elle n’articule plus le moindre mot. Puis, après une grande inspiration :

 –       Je je vais t’expliquer.

 –       M’expliquer quoi ? que vous vous envoyez en l’air à mes dépens depuis combien de temps au juste ?

 –       Quatre ans

 –       Ah ! Je dois donc m’estimer heureuse, ce n’est pas lui ton amant de 10 ans !…

 –       Tu tu étais en formation à Paris pour six mois, souviens-toi. Et Morgane était en pension. Il était seul, il déprimait. Alors, ça s’est fait comme ça et puis on a continué. Il m’a assuré que pourtant il t’aimait, mais se plaignait de ton manque d’ardeur au lit

 Isabelle tombe des nues, c’est le monde à l’envers ! ELLE manquait d’ardeur, c’est un comble !

 Elle se lève, marche de long en large dans le salon. Tout se bouscule dans son esprit. Un malentendu serait donc à l’origine de tout ce gâchis ? Chacun se plaignant du manque d’empressement de l’autre dans leurs activités sexuelles ! Il est malgré tout exact que depuis sa fréquentation de l’association paroissiale et de l’austère Père Tommier, elle se faisait plus prude, beaucoup trop sans doute. Il n’en demeure pas moins que Paul et Sophie la font cocue depuis 4 ans. Cette dernière reste prostrée sur le canapé, tête basse, le visage mangé par ses longs cheveux.

 Mettant de l’ordre dans ses idées, Isabelle retrouve le fil conducteur de son « plan ».

 –       Sophie ! On ne va pas se battre comme des chiffonnières. J’ai aussi ma part de responsabilité, que j’assume. Alors, j’ai un marché à te proposer, il tient en deux points.

 –       Lesquels ? fait-elle en redressant enfin la tête.

 –       D’abord, tu vas mettre un terme à ta relation avec Paul.

 Au tour d’Isabelle de prendre une grande inspiration.

 –       Deuxième point : voilà depuis quelques temps, j’ai envie de tenter l’expérience de faire l’amour avec une femme. Et physiquement, tu m’attires. Alors, on va coucher ensemble !

 –       Mais J’ai toujours eu de gros besoins sexuels, oui, mais je n’ai jamais rien fait avec une femme, et si c’était le cas, ce ne serait pas avec toi, ma plus vieille amie !…

 –       Une « amie » que tu trompes depuis 4 ans Je ne te laisse pas le choix. Ou alors je fais un scandale, je détruis ta réputation partout en ville, et ça fera du bruit !

 –       Salope !

 –       J’en ai autant à ton service ! C’est à prendre ou à laisser. Je ne bosse pas demain, j’ai pris un jour RTT, Paul travaillera, Morgane va faire un pique-nique avec ses copines. Sois chez moi à 14 heures ! 

 Sophie, encore sous le choc, ne réagit pas. Satisfaite de son petit effet, Isabelle se lève, adresse un signe de la main à son amie (?) et quitte l’appartement.

 Durant son trajet retour, Isabelle ne pense plus, cela s’avère inutile. Elle entend désormais vivre au présent absolu, sans ressasser les évènements passés.

 Mardi après-midi ;

 Isabelle a revêtu une très courte minijupe en jean, achetée récemment mais qu’elle n’avait pas encore osé porter. Pas de bas, il faut trop chaud, mais elle s’est juchée sur ses escarpins noirs. Débardeur blanc à fines bretelles, lui dénudant en totalité bras et épaules. Petit string noir, et toujours pas de soutien-gorge sous le haut Avant l’arrivée de Sophie si toutefois celle-ci ne déclare pas forfait, elle sort quelques minutes pour poster une lettre. La boîte aux lettres ne se situe qu’à environ 200 mètres de la maison, mais il lui faut parcourir ce bout de trottoir. Perchée sur ses talons aiguille, elle marche lentement, en ondulant légèrement du bassin. Elle souhaite croiser du monde, pour vérifier l’effet produit. Dans cette rue assez passante mais en début d’après-midi, elle ne rencontrera quasiment personne. En revanche, des voitures circulent. Par deux fois, elle va se faire klaxonner. Le rouge lui monte aux joues, son cur bat la chamade, mais rien ne l’arrête.

 Elle poste sa lettre, puis fait chemin inverse. Une voiture la croise. C’est alors qu’elle reconnaît le Père Tommier, au volant de son véhicule. Par sa vitre baissée, celui-ci n’en croit pas ses yeux ! Isabelle rie sous cape. C’est alors qu’elle entend un crissement de pneus, suivi d’un BANG ! Obnubilé par l’incroyable vision de sa paroissienne si peu vêtue, Monsieur le curé vient de percuter la voiture le précédant !… Rien de grave heureusement, juste un peu de tôle froissée. Bien peu compatissante, Isabelle est alors prise d’un fou-rire qui ne s’éteindra qu’une fois rentrée chez elle. Sa réputation va en prendre un rude coup, mais elle s’écrie toute seule dans son salon :

 –       Eh puis je m’en FOUS ! Je veux vivre, libre, m’habiller comme je veux, m’amuser selon mes envies, j’en ai plus que ras le bol de la bienséance ! Sophie, grouille-toi d’arriver, j’ai envie de baiser !!

 A cet instant, retentit la sonnette. Isabelle s’immobilise au milieu de la pièce, soudain inquiète de sa propre audace. Elle n’est plus si sûre de vouloir passer à l’acte. Second coup de sonnette. Elle ne peut plus reculer. Elle sort et va ouvrir le portail à Sophie. Etrangement, les tenues des deux femmes se sont inversées. L’ensemble de la tenue d’Isabelle est très sexy, alors que Sophie porte un t-shirt ample ras du cou, un jean des plus banals, et ses pieds sont garnis de tongs de plage Toutes deux se bisent sans chaleur, puis contournent la maison et gagnent le jardin. On devine Sophie présente contrainte et forcée. Isabelle est prise à son propre piège, il lui s’agit d’allumer une amie fort réticente. Elle se jette à l’eau, il le faut bien. En quelques secondes, elle quitte débardeur, minijupe, string, ne conservant que ses escarpins. Les voici toutes deux face à face, à genoux sur le gazon. Le jardin, situé derrière la maison, est naturellement invisible depuis la rue. Doucement, Isabelle couvre le visage de Sophie de baisers.

Sur les joues, le front, le bout du nez. Puis ses lèvres se rapprochent insensiblement de celles de Sophie. Un bisou sur le coin de la bouche. Puis un second. Finalement, Isabelle embrasse la belle jeune femme en plein sur les lèvres. Celles de Sophie demeurent obstinément fermées.

 Loin de se décourager, Isabelle passe maintenant ses mains sur le corps de sa « presque partenaire ». Elle devine les petits seins libres de toute entrave sous le t-shirt. Elle déboucle le jean, baisse la fermeture, et insère une main à l’intérieur. Pas de culotte non plus ! Est-ce une habitude chez Sophie ? Ou bien s’agit-il d’une invite ? Trop tôt pour le savoir. Les doigts d’Isabelle atteignent les lèvres sexuelles, pour l’instant sèches et fermées. Elle commence à les masser délicatement. Pour le moins, Sophie ne proteste pas, se laissant manipuler. Isabelle contourne son amie, et se colle contre son dos, replaçant sa main au plus profond du jean. Ainsi, elle caresse Sophie dans une position plus commode.

 Le signal tant espéré lui est enfin donné. Isabelle sent ses doigts s’humidifier. Sophie a fermé les yeux, et, la tête en arrière, la pose dans le creux de l’épaule d’Isabelle. La partie est presque gagnée ! La jolie brune écarte les lèvres, et ses doigts commencent à vadrouiller à l’orée du vagin. Du bout de l’index, elle décapuchonne le petit clito, qu’elle se met à titiller, faisant sursauter Sophie sous ce touché.

 Brusquement, Isabelle redoute l’échec. Sophie se lève d’un bond, se retourne vers elle, la considère quelques secondes avec gravité. Instant fatidique. Sa décision enfin prise, elle fait passer son t-shirt par-dessus sa tête, envoie balader ses tongs, et quitte son jean, se retrouvant nue à son tour. Véritablement nue, sa petite cramouille totalement épilée permet de voir distinctement son sexe légèrement entrouvert. Elle s’agenouille, entoure Isabelle de ses bras, et admet, avec un petit sourire :

 –       C’est toi qui as raison. Il faut tout connaître dans la vie !…

 –       Essayer ne signifie pas forcément l’adopter, complète Isabelle.

 –       C’est vrai. Alors essayons ! Je te laisse l’initiative.

 Les deux bouches se joignent à nouveau, mais cette fois, les lèvres de Sophie s’ouvrent. La langue d’Isabelle s’engouffre. Fermement enlacées, les deux jeunes femmes vont prolonger longuement leur baiser, leur VRAI premier baiser. Puis elles se séparent, se regardent, presque amoureusement. Sophie se met à rire.

 –       Pourquoi ries-tu ?

 –       Tu te souviens ? On s’était deux ou trois fois embrassées sur la bouche, quand nous étions étudiantes !

 –       Mon dieu, c’est vrai ! Je ne m’en rappelais plus. Mais c’était juste pour voir quel effet ça faisait !… Et on ne recommence que de nombreuses années plus tard !

 –       Oui, mais avec une nuance de taille : cette fois on sait ce que c’est, et ce ne sont plus d’innocents bisous. Isa roule-moi une pelle, une vraie pelle, un patin !

 Et les deux bouches de se retrouver avec fièvre, se dévorer, les langues se mêler, ainsi que les salives. Cette fois, la machine est lancée, les dernières réticences des deux femmes s’évanouissent : celle de Sophie pour s’ébattre avec une femme, et celle d’Isabelle pour prendre du plaisir avec quelqu’un dont elle rêvait de se venger 

 Voici Sophie allongée sur le dos, sur cette couverture qui en a déjà vu des vertes et des pas mûres Isabelle va poser ses mains tremblantes sur les douces et longues jambes qui lui sont désormais offertes. Elle remonte les cuisses fermes. Des cuisses que Sophie va spontanément écarter, preuve de son assentiment. Isabelle couvre les jolies cuisses de baisers mouillés, puis atteint enfin le centre de gravité : la petite minette glabre. Comme s’il s’agissait d’une bouche, elle embrasse les lèvres du con, puis les ouvre de sa langue. Un rien ironique, Isabelle lance :

 –       Tu ne voulais parait-il rien faire avec une femme, et tu mouilles, cochonne !…

 –       Ben oui, je mouille Vas-y Isa, bouffe-moi la chatte !

 Il s’agit d’une première pour la belle brune, mais, se souvenant comment Romain la léchait, lui procurant un immense plaisir, elle va appliquer le même traitement à celle qu’on peut maintenant appeler sa maîtresse.

 Isabelle va mordiller les grandes lèvres, tirer dessus, puis engouffrer sa langue dans la cavité féminine, boire le jus qui en sort, léchouiller le clito. Tout en soupirant d’aise, c’est au tour de Sophie d’ironiser :

 –       T’es vraiment certaine que tu lèches une chatte pour la première fois ?! Tu t’y prends trop bien, continue de me bouffer comme çà !!

 Impossible pour Isabelle d’avouer à son amie qu’elle suit l’exemple de Romain.

 Le vagin de Sophie suffisamment trempé lui permet d’y introduire son index et son majeur serrés l’un contre l’autre. Elle entame des allées et venues, tout en continuant de lui lécher le clito.

 –       Tu aimes ?

 –       Oh ouiiii, putain ! 

 Isabelle serait tentée d’ajouter « bon, ça ne vaut pas la bite de Paul, mais c’est tout de même pas mal deux doigts, non ? », mais elle va s’abstenir, jugeant inutile de raviver la querelle.

 Lâchant un retentissant « ouiiiiiii !! », Sophie va bien vite orgasmer sous l’action de la langue et des doigts d’Isabelle. Un puissant jet de mouille va couvrir la main et une partie de l’avant-bras de celle-ci, qui s’esclaffe :

 –       Hé ! Tu jutes comme un homme !…

 –       Cela m’arrive de temps en temps, lorsque ma jouissance est très forte.

 Remarque flatteuse pour Isabelle !

 Celle-ci se remonte sur le corps de sa copine. Les seins se pressent les uns contre les autres, les bouches se joignent encore, les jambes de Sophie se nouent autour de celles de sa compagne. Totalement libérées à présent, les deux chipies rient aux éclats, roulent sur le sol, se retrouvant sur l’herbe, où elles vont finalement rester, plus proches de la nature que sur la vieille couverture. 

 Changeant encore de position, Sophie, à genoux devant Isabelle, se saisit de ses chevilles, puis la déchausse de ses escarpins, qu’elle avait conservés jusque là. Elle dépose d’abord des bisous sur ses orteils, avant de les sucer délicatement un à un. Et ce, pour chaque pied. Amusée, Isabelle lui sourit, appréciant cette coquinerie inattendue.

 Enjouée, Sophie demande ensuite :

 –       Un petit 69, ma chérie ?

 –       Avec plaisir, ma belle !

 Au tour d’Isabelle de se retrouver couchée sur le dos, Sophie au-dessus d’elle.  

 Sans plus aucune hésitation, Isabelle va lécher le con de Sophie, et continuer de s’abreuver de sa cyprine. Sa belle amie a plongé sa tête entre ses cuisses ouvertes, et lui administre le même traitement. A ceci près que Sophie se montre moins experte que Romain dans cette tâche. Mais elle apprécie tout de même les efforts de la belle femme. De ses deux mains, Isabelle lui écarte les fesses, dévoilant le petit anneau fripé. Fripé, mais d’un diamètre certain, la vilaine fille doit fréquemment se le faire « visiter », pense-t-elle Isabelle est tentée, mais elle hésite encore. Elle fut longtemps une femme si pudique, si sage, qu’honorer quelqu’un « là » tourmente encore son esprit, d’autant plus qu’il s’agit d’une autre femme. Mais elle se souvient que la léchouille de Romain lui avait procuré une agréable sensation, alors son ultime barrière va céder. Elle approche son visage, et d’un seul coup, plonge la pointe de sa langue en plein milieu du petit trou ! Sophie lâche alors crûment :

 –       Oooooh, salope !… Vas-y, bouffe-moi le cul !

 –       Oui, je suis ta salope, demande-moi ce que tu veux !

 Isabelle va alors s’appliquer à bien lécher le petit cratère, y enfoncer sa langue, l’embrasser, et aussi le titiller de l’extrémité de son majeur.

 –       Mets le moi ! supplie Sophie.

 Une à une, les phalanges disparaissent dans l’orifice chaud et serré. Sophie va spasmodiquement contracter son anus autour du doigt qui la fouille.

 Puis, si Isabelle va cesser son action manuelle, c’est pour mieux se concentrer sur le léchage en règle que lui administre sa partenaire. Et coucou ! Qui revoilà ? L’orgasme, qui à son tour ravage Isabelle. Elle emprisonne presque brutalement la tête de Sophie entre ses cuisses.

 Ce fut fort, si fort, si bon, au-delà de ses espérances

 Sophie va pivoter sur Isabelle, afin de se retrouver dans ses bras. Isabelle lui rend la pareille en l’enfermant entre ses cuisses, croisant ses chevilles dans son dos, et les deux femmes, repues d’amour, vont longuement s’embrasser à pleine bouche. Tendrement, Sophie propose :

 –       Alors ? On fait la paix ?

 Et Isabelle d’ajouter en riant :

 –       Oui, on fera la paix mais seulement après le cessez-le-feu.

 –       Comment ça ? Il y a toujours le feu ?

 –       En moi, oui

 Et de repousser Sophie, la faire retomber en arrière, lui ouvrir les jambes, pour la brouter de nouveau

 Après une nouvelle jouissance sous la langue insatiable de son amie, Sophie lui dit :

 –       J’ai une idée, un truc que j’ai vu dans un film X !

 –       Ah, parce qu’en plus, tu regardes des films pornos !…

 –       Bien sûr, mais tu ne vas pas t’en plaindre. Allonge-toi face à moi, et écarte les jambes !

 Isabelle obtempère, face à elle, Sophie vient entrecroiser les siennes, et les deux minettes vont entrer en contact.

 –       Allez, bouge, frotte-toi contre moi !

 Une houle, un tangage, un roulis, vont alors animer les deux ravissants corps féminins. Chatte contre chatte, Isabelle et Sophie vont se frotter, onduler, mélangeant leurs cyprines.

 Eperdue, Isabelle s’écrie :

 –       C’est trop bon ! J’ai l’impression de te baiser, ou que tu me baises, je ne sais plus !…

 –       Alors disons qu’on se baise ! conclut Sophie.

 Plusieurs minutes durant, les deux femmes vont ainsi se déhancher lascivement l’une contre l’autre. Elles se regardent droit dans les yeux. Plus de haine, plus de rancur, le plaisir et lui seul ! Oubliés, les mots crus. Ce ne sont plus que des :

 –       Oh comme c’est bon ma chérie ! Je te sens couler contre moi

 –       Moi aussi je te sens mouiller, continue de bien me faire l’amour !

 Isabelle va jouir la première, entraînant Sophie à sa suite.

 Pantelantes, les deux femmes mettront plusieurs minutes à récupérer.

 Puis, toujours nue, Isabelle rentre brièvement dans la maison pour en ressortir avec une bouteille de champagne et deux flûtes.

 –       Il faut arroser çà ma chérie. Notre réconciliation, et cette grande première !

 –       Dommage, on aurait pu le faire plus tôt soupire-t-elle, du regret dans la voix.

 Le bouchon va sauter, les flûtes se remplir pour se vider très vite dans le gosier des deux femmes déshydratées par leur partie effrénée. Sophie confirme :

 –       Je vais arrêter ma relation avec Paul, je te le jure, sur la tête de Morgane. Mais il reste un problème.

 –       Lequel ?

 –       Es-tu certaine de le reconquérir ? Sentimentalement et aussi sexuellement ?

 –       Je je ne sais pas. Il est si distant !

 –       Alors, j’ai peut-être un plan. Mais il est possible qu’il ne te convienne pas.

 –       Dis toujours, je t’écoute !…

 A suivre.

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