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La panne de courant – Chapitre 2

La panne de courant - Chapitre 2



La panne de courant (2/2) :

Une fois en bas, je me suis redirigée vers le fauteuil de mon père. Javais joui à létage mais je nétais pour autant pas rassasiée et je voulais poursuivre ce que javais commencé plus tôt avec mon supposé oncle. Cest donc tout naturellement que je me suis installée tout comme avant sur ses genoux. Jai pris ses mains et les ai menées sur mes cuisses que jouvrais pour lui faciliter la tâche. Javais vraiment hâte quil me reprenne en main. Mais ces dernières se sont faites plus hésitantes que précédemment. Prise dimpatience je me suis dodinée sur son sexe pour le stimuler. Jai repris ses mains et les ai faites remonter encore plus haut sur mes cuisses en les passant sous ma robe pour bien lui faire comprendre ce que je voulais.

Enfin, elles ont commencé à sagiter et à me caresser délicatement. Tandis que je savourais ses nouvelles caresses, je me suis aperçue quun détail clochait. Ses paumes nétaient pas aussi douces quauparavant. Elles étaient bien plus rugueuses, et plus grosses aussi, un peu comme celles de mon père. Serait-ce possible que je me sois assis sur les cuisses de mon père ? Peut-être bien. Après tout, nous étions sur son fauteuil. Il aurait très bien pu le récupérer après que mon oncle lait abandonné.

Quoi quil en soit, le mal était déjà fait. De nouvelles mains sagitaient sur mes cuisses et je sentais une bosse se former sous mon cul. Cette dernière semblait plus impressionnante que celle de tout à lheure. La pensée que jaurais pu invité mon père à me caresser me fit frémir. Javais déjà plusieurs fois fantasmé sur lui mais navait jamais osé franchir le pas. Jétais tétanisée par lexcitation qui avait fait un nouveau bon dans mon bas-ventre et la peur quil finisse par me repousser. Mais il nen fit rien.

Sa main atteignit mon sexe bouillant. Il a dû être surpris de voir que je navais plus de culotte. Ses doigts se sont promenés doucement sur mes lèvres et sont venus plusieurs fois titiller mon clitoris. Jai senti son souffle de plus en plus marqué dans mon cou. Ses lèvres sont venues y déposer de fins et silencieux baisers. Le contact ma fait frissonner. Ses mains sont remontées et mont empoigné les seins quils ont palpés adroitement. Ses lèvres sont descendues plus bas et ont commencées à embrasser le haut de ma poitrine. Jai même finalement senti une langue gouter ma peau.

Je me faisais encore peloté au milieu de toute ma famille et ce coup ci, probablement par mon père. Daprès le peu de conversations que jarrivais à percevoir. Il semblait que déjà plusieurs personnes avaient quittés notre maison pour rentrer chez eux. Dautres avaient dû aller dormir dans nos chambres damis. Si bien que nous ne devions être maintenant plus que la moitié.

La maison était encore plongée dans le noir et je crois que ça a endormi nos inhibitions. Cétait comme si on navait plus besoin de se cacher, de cacher nos envies. On pouvait se laisser enfin aller à nos désirs les plus inavouables.

Merde, cétait encore mieux que précédemment et à lidée que cétait très probablement mon géniteur qui me faisait ça, je fondais littéralement. Il aurait pu me demander nimporte quoi à ce moment là, je laurais fait sans hésiter. Il maurait demandé par exemple de lui sucer la bite là, parmi tout ces gens et je me serais à linstant attelée à la tâche.

— Bon cette fois cest bon pour moi, annonça ma mère. Jai eu mon compte pour la soirée. Je vais aller me coucher. A demain tout le monde.

— A demain ! firent plusieurs voix en chur.

Le temps avait passé et la pièce sétait vidée de plus en plus. Nous nétions désormais plus très nombreux et mon père avait continué tout le long à me caresser jusquà me faire jouir une nouvelle fois. Il avait fallu que je fasse tous les efforts du monde pour me retenir dhurler mon bonheur mais malgré tout, javais quand même laissé échapper un son. Mais fort heureusement, les gens encore présents avaient pris ça comme une sorte de hoquet. Lune de ses mains caressait maintenant doucement mon sexe tandis que lautre me caressait mes longs cheveux châtains. Javais ma tête posée sur son torse et jentendais son cur battre. Les battements me berçaient quand soudain, je me suis aperçu que jétais le seul bruit qui parvenait à mes oreilles. Le silence accompagnait maintenant lobscurité de la pièce. Etions-nous seuls ? Non, il me semblait quil restait deux ou trois personnes. Au moins mon frère, et puis peut-être une de mes cousines et un de mes cousins.

— Je vais y aller aussi, déclara la voix de mon frère. Je suis en train de mendormir sur place.

— Euh moi aussi, fit une voix somnolente.

— Idem, fit enfin une troisième.

— Bonne nuit ppa, bonne nuit Amélie, reprit mon frère.

— Bonne nuit les enfants, répondit la voix envoutante de mon père.

Cette voix jen étais sûre et certaine, jétais bien assisse sur les genoux de mon père. Cétait bien lui qui venait de me caresser à men faire jouir. La voix le confirmait. Il ny avait plus aucun doute. Cette révélation me fit bondir intérieurement et me redonna un regain dénergie.

Les bruits de pas disparurent enfin dans les escaliers indiquant que mon frère et les deux autres venaient datteindre létage.

— Cette fois nous sommes seuls ma puce, déclara dune voix suave mon père.

Je lai alors embrassé. Ma langue a pénétré sa bouche et est venue se frotter à la sienne. Le baiser dura plus longues secondes.

— Je taime ma chérie, me fit-il.

— Moi aussi papa.

Je me tournai alors pour me mettre à califourchon sur lui et lembrasser une nouvelle fois. Ma main vint agripper la grosse bosse de son pantalon et tenter de me faire une meilleure idée de la grosseur de lengin. Elle avait vraiment lair impressionnante.

— Papa, jai très envie, lui murmurais-je à loreille implorante.

— Tu es sûre de toi ?

— Oh oui papa ! Absolument.

Et pour bien illustrer mon envie, je commençais à déboutonner son pantalon et y sortis son sexe. Je tenais enfin la bite de mon père dans mes mains et je commençais à le branler doucement. Jamais dans mes plus ardents fantasmes je navais imaginé quelle était si énorme. Jétais heureuse davoir un père avec un si gros mandrin.

— Ma chérie, reprit mon père, pourrais-tu

— Oh oui papa, le coupais-je en devinant la fin de sa phrase.

Je me mis alors à genoux devant le fauteuil et vint approcher mon visage de son engin. Il sentait fort son excitation et ça me rendait encore plus folle. Jai commencé à déposer quelques baisers puis quelques coups de langues avant de tenter de le prendre en bouche. Je navais jamais rien eu daussi gros en bouche et je dois avouer que cétait loin dêtre pratique. Quoi quil en soit, je me suis soignée à le pomper du mieux que je pouvais.

— Oh oui, lâcha-t-il dans un râle de bonheur.

Sa main est venue caresser mes cheveux tandis que je dégustais sa bite et il a fini par me pousser la tête pour me forcer à en prendre plus en bouche. Il a donné aussi quelques coups de reins. Javais très envie de lui offrir tout ce quil voulait alors je lai laissé faire mais je dois avouer que ça commençait à être inconfortable pour moi et jai commencé à manquer dair. Fort heureusement il ma lâché la tête et jai pu reprendre mon souffle.

— Si tu savais combien de temps ça fait que je rêve de te faire ça ! me déclara-t-il.

Jétais heureuse de cette confidence. Lui aussi avait fantasmé sur moi. Je voulais vraiment quil prenne son pied avec moi. Il mavait fait jouir tout à lheure, cétait donc un juste retour des choses de lui offrir ce quil voulait. Prête à regober son gland, il marrêta dun geste de main. Il se leva du fauteuil et minstalla à plat ventre sur le fauteuil, les genoux toujours au sol et me fit écarter les cuisses. Cette fois ça allait être bon, jallais enfin me faire baiser, et par mon père encore en plus. Il frotta son gland sur mes lèvres et me pénétra dun coup sec. Malgré la taille de lengin, jétais tellement mouillée qui sengouffra facilement. Ainsi il commença à me baiser sans ménagement. Il me pilonnait avec une fureur presque animal. Mon dieu que cétait bon ! Sa grosse bite me remplissait allègrement la chatte. Autant jai réussi à rester silencieuse quand il ma masturbée, autant là cétait impossible. Il fallait que je morde le coussin du fauteuil pour mempêcher de gémir trop fort. Jamais je navais imaginé que me faire baiser en levrette par mon père pouvait être aussi divin.

Il fit une pause, prit la place sur le fauteuil et il me demanda de venir mempaler sur sa bite. Je ne me fis pas prier car ma chatte était déjà en manque. Tandis que je coulissais sur sa bite il sorti mes deux seins de ma robe que je navais pas pris la peine de quitter et me les malaxa. Sa bouche vint les lécher et mordiller les tétons.

— Tu as vraiment des seins magnifiques ma chérie.

— Merci mon papa adoré. Caresse autant que tu le veux. Ils sont à toi maintenant.

— Tu aimes te faire baiser par ton père ?

— Oh oui, jadore ! Ta bite est si grosse, elle me fait vraiment du bien.

— Tant mieux ma chérie, parce que je compte bien ne pas me contenter que de cette soirée.

— Oh oui papa, je ferais tout ce que tu veux. Baise moi la bouche, déchire moi la chatte ou défonce moi le cul si tu préfères, je ferais tout ce que tu veux. Tout, tout, tout ! Je te le promets. Je veux être ta petite pute chérie, encore et encore.

— Oh oui, ma petite pute chérie.

Nous étions maintenant tous les deux au bord de la jouissance. Jétais toujours embrochée sur sa bite à bouger frénétiquement quand jai senti lorgasme venir. Il a été fulgurant, fracassant et éblouissant. Mon père a joui en même temps que moi. Jai alors senti son sperme se répandre en moi.

Nous sommes restés enlacés lun dans lautre de longues minutes avant que mon père affirme quil fallait quon aille se coucher mais quil avait hâte de reprendre cela. Jétais triste de devoir le lâcher mais jai dû me résignée. Je suis partie dans la salle de bain faire un brin de toilette avant de me coucher. Jen avais bien besoin. Mes jambes poissaient à cause de la cyprine et du sperme de mon père qui avaient coulé.

Je me pus mempêcher à repenser à cette soirée de dingue que javais passé. Entre me faire caresser par un oncle, sucer deux de mes cousins et finir par coucher avec mon père javais eu mon compte. Pourtant, lexcitation revient très vite. Mes pensées sarrêtèrent sur la grosse bite de mon père. Je repensais à comment elle mavait défoncé la chatte. Mon sexe shumidifia donc de nouveau. Javais encore envie. Je voulais retourner dans la chambre de mes parents pour que mon père me baise de nouveau mais cétait impossible. Il fallait que je me montre patiente.

Résignée jai alors décidé de rejoindre ma chambre tout en me promettant de me masturber une toute dernière fois pour me calmer. Je passai la porte pour entrer dans la pièce toujours plongée dans un noir intense quand mon pied trébucha sur quelque chose. Je maperçu alors quun matelas avait été posé là. Je ne fus pas longue à comprendre pourquoi. Plus de monde que prévu étaient restés dormir à la maison et ma mère avait dû installer un matelas où il restait de la place. Ce nétait pas la première fois que quelque chose de similaire se passait. Mais alors, qui dormaient là ? Je fis le tour du lit et palpai la poitrine des deux dormeurs. Il sagissait de deux individus de sexe masculin : encore des cousins.

Mon cur fit un bon tandis quune idée perverse semait le trouble dans ma tête. Cela devait être un signe du destin. Je tirai le drap pour les dégager, retirai ma robe et minstallai à genoux entre les deux cousins. Mes mains se posèrent sur leur cuisse et se dirigèrent au niveau de leur caleçon avant dempoigner leur bite à travers le tissu. Je les palpais sans discrétion.

Ils se réveillèrent tout deux presque en même temps.

— Que fit le premier dune voix éberluée et mal réveillée.

— Chut, lâchai-je. Cest Amélie. Ne dîtes surtout pas un mot si vous tenez à ce que je continue. Si lun de vous parle alors jarrêterais tout.

Visiblement aucun deux ne tenaient à ce que jarrête et ils mobéirent sans poser de question. Leurs bites grossissaient dans mes mains.

Jétais dingue, je voulais me taper deux de mes cousins sans savoir lesquels cétaient. Mais après la soirée que javais passée, je nétais plus à ça près. Et puis il fallait que je calme le feu qui sétait de nouveau réveillé en moi. Maintenant il était encore une fois trop tard pour faire marche arrière.

— Enlevez vos caleçons et rallongez-vous dans la même position. Vous nen avez plus besoin maintenant.

Ils mobéirent rapidement. Je repris alors les deux bites en mains et les branlèrent lentement. Je fus presque déçue de voir quelles nétaient pas aussi grosses que celle de mon père mais cela allez être plus que suffisant en attendant de me retrouver de nouveau seule avec lui.

Il fallait que je goutte à ces nouveaux sexes. Ma bouche plongea alors sur la première et commença à la sucer. Rapidement je passai à la seconde et alterna un certain moment entre les deux. Sauf erreur de ma part, il ne sagissait pas des mêmes cousins que javais sucés plus tôt dans la soirée car les goûts étaient différents. Visiblement daprès les gémissements quils poussaient, ils avaient lair tous deux dapprécier.

Je les léchais, les suçais, les dégustais et je prenais un réelle plaisir à le faire. Je me sentais vraiment dhumeur salope. Jen voulais toujours plus. Le premier jouis rapidement et minonda la bouche. Javalais tout sans hésiter. En une soirée javais vraiment pris goût au sperme. En deux ou trois coups de langue, sa queue fut complètement nettoyée. Je nen laissai pas une goutte. Je passai rapidement à lautre bite pour lui réserver le même sort. Il ne mit pas, non plus, très longtemps à jouir et je le terminai comme je venais de le faire pour lautre.

— Hum, cétait délicieux, déclarai-je toute souriante.

Et je mallongeai entre les deux, pris leurs mains et les posèrent sur mon corps.

— Jen ai pas fini avec vous les gars. Caressez-moi maintenant.

Ils ne se firent pas prier et je sentis leurs mains parcourir tout mon corps. Mon dos, ma nuque, mon ventre, mes cuisses, mes seins, mes fesses et ma chatte, rien ny échappa. Sentir quatre mains se promener le long de ses courbes était vraiment sublime. Je me dandinais en même temps comme une folle, me frottais contre eux et contre leurs mains. Ils joignirent leurs lèvres à leurs mains et déposèrent plusieurs baisers sur mes seins et sur ma nuque. Des doigts vinrent sengouffrer dans mon sexe et dautre explorèrent mon anus. Jétais encore trempée et mon cousin se servit de ma cyprine pour venir sengouffrer plus profondément dans ce dernier.

Peu de temps après, je sentis deux nouvelles érections.

— Baisez-moi maintenant. Je veux vos queues en moi !

Le premier, celui qui me faisait face, pénétra dun coup mon sexe et commença à me ramoner. Après mêtre faite sauter par mon père, voilà que je me faisais sauter par un cousin pendant que lautre attendait son tour.

Justement lautre sembla simpatienter et je lâchai le premier pour lui faire face et lui offrir ma chatte. Il me pilonna à son tour mais plus maladroitement que son prédécesseur. Il devait être plus inexpérimenté. Ça faisait quand même laffaire, jétais trop excitée pour faire la fine bouche. Je me faisais baiser et cétait le principal. Mais lautre navait pas lair davoir la patience dattendre de nouveau son tour. Je le sentis frotter son gland sur ma rondelle et tenter de sy frayer un chemin. Et ce salop finit par réussir son coup mais en même temps je nai rien fait pour len empêcher. Il sengouffra dans mon cul de quelques centimètres et commença à me marteler tandis que la bite de mon autre cousin continuait toujours à sagiter dans les tréfonds de mon sexe.

Cétait la première fois pour moi que jétais ainsi prise en sandwich et cétait vraiment jouissif malgré la douleur que me procurait la sodomie toujours plus profonde. A ce moment là, jétais leur chose, jétais à leur merci, je naurais résisté à aucune de leur demande.

Mais la position était assez inconfortable alors nous lavons changé. Le plus inexpérimenté des deux sallongea sur le dos et je vins mempaler sur lui tandis que lautre cousin sagenouilla derrière moi pour reprendre la sodomie. Cétait bon de se faire défoncer ainsi par deux bites en même temps. La queue dans mon cul sagitait de plus en plus et son propriétaire devenait de plus en plus sauvage. Je faisais tout les efforts pour ne pas hurler de plaisir mais cétait vraiment difficile. Je ne pus mempêcher de lâcher des gémissements frénétiques. Jespérais que tout le monde soient trop profondément endormis pour mentendre geindre mon bonheur.

Et cest ainsi que jai joui une dernière fois pendant que le premier se vidait à lintérieur de ma chatte et que le second continuait à me limer le derrière. Ce dernier ne mit pas longtemps à se libérer. Son sexe fut pris de spasmes et jai senti des flots de sperme se répandre dans mon cul.

Nous nous sommes tout les trois écroulés comme des masses sur le lit et jai finalement réussi à mendormir après cette épuisante partie de baise enlacée par les bras de mes deux cousins.

Cette terrible soirée venait enfin de prendre fin. Je my étais complètement lâchée pour mon plus grand bonheur. Après cette soirée, lors des repas de famille suivant on me complimentait encore plus sur mes charmes et mes cousins nhésitaient plus à me peloter quand on chahutait. Quand à mon père, nous avons recommencé plusieurs fois à baiser mais ça na pas duré puisque moins dun an après, il mourrait dune crise cardiaque. Sa mort brutale a été un véritable choc et a laissé un vide énorme en moi. Elle ma vraiment désespéré. Aujourdhui je suis heureuse de tous les magnifiques souvenirs quil a eu le temps de moffrir avant de mourir.

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