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La première année en faculté de médecine du Mâle dominant – Chapitre 4

La première année en faculté de médecine du Mâle dominant - Chapitre 4



La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 4

Si vous êtes un (e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.

Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».

Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.

Des rires hystériques, des sanglots et des hurlements stridents se succèdent, Sandrine jouit sans discontinuer de tout son corps supplicié par elle-même, jusqu’à l’évanouissement qui la laisse pantelante contre le corps de Claude qui ne se préoccupe même pas de ce qui se passe, trop occupé à brouter la chatte d’Elisa, aspirant le clitoris, les doigts fourrageant la splendide toison, arrachant un frémissement à sa victime consentante. La langue se promène dessus, disjoignant les grandes lèvres, s’enfonçant dans l’intimité bouleversée, gobant le bourgeon dans sa cachette de velours pour entreprendre une succion irrésistible.

Suite.

Claude branle le clitoris de plus en plus vite, le besognant d’une succion experte, ne se rendant même pas compte qu’Evelyne a pris la place de Sandrine sur son dard toujours dressé.

Elisa a un brusque sursaut suivi d’une série de secousses successives quand ses vannes s’ouvrent, libérant la liqueur suave, cette sève d’amour que Claude boit à la source, heureux d’avoir su l’arracher de ce corps si beau qui se détend enfin, encore parcouru de frissons qui s’espacent lentement.

Une bienheureuse fatigue détend les traits du visage d’Elisa qui dit dans un souffle :

Merci, je n’ai pas connu encore ta pine en moi, mais tu es drôlement doué avec ta langue.

L’heure tourne et nous nous rhabillons, mais Elisa ne pense qu’à rechercher son plaisir. Elle demande même à Claude de l’enculer, lui disant qu’elle aime ça et ne voit pas pourquoi elle n’en profiterait pas elle aussi. A l’inverse des précédentes sodomies, c’est elle qui la demande et quand son cul aspire le gros morceau de Claude sur toute sa longueur et écrase ses fesses sur les bourses rasées, elle jouit comme une folle.

Aaahhh ! Qu’est-ce que c’est bon !

D’un seul coup, la porte s’ouvre sur Madame CRELOIS, professeure de biologie juste au moment où Claude vide ses couilles dans le cul d’Elisa.

C’était donc vrai… J’aurai tout vu dans mon métier ! Vous deux, je vous veux chez le recteur à 14h00. Et arrêtez au moins de copuler quand je vous parle ! C’est pas Dieu possible !

Oh… excusez-nous Madame, bafouille Elisa, ce n’est pas ce que vous croyez…

Et en plus, vous me prenez pour une demeurée… On verra bien qui sera le plus malin…

Une fois Madame CRELOIS partie, Claude et Elisa se rhabillent, anxieux du sort qui leur sera réservé.

A 14h00, les deux jeunes gens entrent dans le bureau du recteur où la professeure les attend.

Le recteur prend la parole :

Heureusement qu’il y a dans cette faculté des jeunes respectables pour dénoncer de telles pratiques. Je devrais vous renvoyer, mais votre professeure a une proposition à vous soumettre… A vous de voir !

Madame CRELOIS reprend la parole :

Le cours suivant celui sur l’urologie est celui sur la reproduction. D’habitude, nous faisons appel à un laboratoire pour avoir du sperme humain pour étudier les spermatozoïdes. Claude, je sais que vous êtes donneur de sang et c’est tout à votre honneur, on va aller un peu plus loin. Cette année, ce sera Mademoiselle Elisa P. qui s’occupera de récolter la semence de Claude M. devant leurs camarades. Ça vous servira de leçon et vous resterez sur l’estrade pendant les deux heures de cours au vu de tous vos camarades ! Rendez-vous jeudi 12 juin, salle 27, à 14h00…

Une fois les élèves partis, elle se tourne vers le recteur pour lui avouer :

J’espère que ça va leur servir de leçon quand le courage leur manquera pour relever le défi.

Nous nous retrouvons le soir même dans un bistro tous les six. On est remonté contre ces quatre connards qui nous ont dénoncés. Ils ne l’emporteront pas au Paradis, « radio faculté » va fonctionner à fond. Sandrine a une idée qui nous fait bien rire, vivement le 12 juin !

On a fait un savant calcul et quelques dizaines de minutes avant l’heure fatidique, Claude a pris le cinquième d’un cachet de Viagra, la dose sera suffisante pour notre « farce ».

Madame CRELOIS fait venir Elisa et Claude sur l’estrade et s’adresse aux futurs docteurs. Il n’y a pas une place de libre dans l’amphi. Même les escaliers sont pris d’assaut.

Je vois que l’info circule toujours aussi bien dans les couloirs ! Vous savez donc que cette année, ce sera votre camarade qui fournira la matière première et Elisa qui jouera le rôle de l’infirmière ! Et se retournant vers eux d’un air de défi. A vous de jouer !

Elisa s’approche de Claude et s’affaire pour sortir son sexe du pantalon. Un OOOHHH de stupéfaction monte des bouches des spectateurs en voyant le serpent apparaître. Le trac pourrait couper les moyens de Claude, mais le morceau de Viagra fait son office.

Elisa prend la bite en main et commence à le branler avec efficacité. Sous le regard effaré de ses camarades, mais surtout de Madame CRELOIS au premier plan pour voir l’évolution de la verge de Claude.

Son engin se redresse à une vitesse folle et malgré le tissu du pantalon qui cache la base de sa hampe magnifique, la taille exceptionnelle de son sexe ne peut qu’attirer des sifflements admiratifs.

Au bout d’un moment de branle, Elisa ne peut résister à prendre en bouche un tel braquemart et avant que Madame CRELOIS ne réagisse, sa langue s’enroule sur le gland violacé.

On n’est pas dans un cours d’éducation sexuelle, Mademoiselle Elisa… Masturbez-le uniquement que vos petits camarades puissent jouir d’un tel spectacle !

Elisa s’exécute, mais Madame CRELOIS commence à s’impatienter, car Claude résiste à la branlette et ne jouit toujours pas. Elle repousse Elisa pour reprendre « le flambeau », oubliant complètement où elle se trouve tellement elle est fascinée par cette énorme matraque.

Petite sotte, je vais vous montrer comment faire !

Madame CRELOIS prend à deux mains la hampe de Claude, astiquant avec fermeté ce manche de pioche d’une dureté incroyable, excitant du bout de la langue et de ses ongles le frein et le gland.

Claude ne peut plus résister, étonné par la dextérité de la professeure et la prévient dans un grognement :

Aaahhh ! Vous êtes trop « bonne » ! Je vais jouir !

Aussitôt, Madame CRELOIS lâche d’une main la lance pour attraper un récipient de forme conique inversé pour le présenter à environ dix centimètres du méat suintant déjà. Mais elle a beau essayer de diriger la tête de la teub vers le récipient, la puissance des jets est si forte que la plupart du sperme de Claude fuse au-dessus. De longs filaments blanchâtres s’élèvent dans l’air dont une partie finit dans les cheveux de Madame CRELOIS. Le temps qu’elle réalise, il est trop tard, elle arrive à rectifier le tir, mais son « éprouvette » est pratiquement vide.

Elle se relève, hébétée de ce qui vient de se passer, ne se rendant pas compte des filaments qui constellent sa chevelure.

Le cours risque d’être raté faute de matière première, mais quand elle relève la tête de son éprouvette, ses yeux fixent incrédules le gourdin qui n’a pas perdu ne serait-ce qu’un millimètre.

Elle jette un il au public goguenard puis à Elisa.

Ma petite, il faut retourner au charbon !

La jeune et la « vieille » reprennent leur dur labeur ensemble. Cette fois, Madame CRELOIS n’est plus aussi stricte et permet l’usage de la bouche, les deux s’en donnent à cur joie pour refaire monter le plaisir de Claude pour qu’il se vide une nouvelle fois les burnes. Et je sais par expérience qu’il va encore étonner son public.

L’assistance se tait quand il annonce sa deuxième montée de sève. Madame CRELOIS, plus prudente, a pris un récipient de taille supérieure et glisse dedans bien dix centimètres de la formidable pine.

Claude se vide à nouveau en longs jets toujours aussi copieux. Quand elle retire enfin la bite du récipient, plusieurs centimètres cubes de crème blanche n’attendent plus qu’à être examinés par les élèves.

Madame CRELOIS fait la distribution pour chaque paillasse dans une boîte à Pétri avec une pipette et il en reste encore dans l’éprouvette.

Quand elle se retourne enfin pour féliciter Claude d’une telle productivité, elle n’en revient pas de le voir toujours au garde-à-vous.

Mais de quel bois êtes-vous fait ? Ne me dites pas que quand je vous ai surpris, vous aviez déjà honoré les quatre autres filles ?

Ben euhh ! Si Madame CRELOIS, et si vous voulez le savoir, je vous donnerais bien volontiers encore un peu de mes spermatozoïdes si des fois, il en manquait.

Elle se retourne, rouge comme une pivoine, et reprend son cours. Pendant les deux heures qui ont suivi, elle regarde régulièrement le bas-ventre de Claude où le jonc vigoureux ne change pas de forme ni de dureté. Claude lui sourit et ne commence à débander que quelques minutes avant la fin du cours. Nos calculs étaient exacts…

Comme vous le savez, en faculté de médecine, le bizutage est toujours de vigueur. Et en parlant de vigueur, les futurs doctorants doivent passer sous les fourches caudines de Claude. Ou plutôt sous la massue de Claude.

Les nouveaux, hommes et femmes, doivent dans le premier trimestre faire bander son chibre et le vider dans leur bouche sans avaler et montrer à la sortie qu’ils ou elles ont réussi l’épreuve.

Ce n’est pas rétroactif et je ne sais pas pour les garçons, mais pratiquement toutes les filles de la faculté ont voulu elles aussi tenter leur chance.

Et je me demande aussi si certaines de nos professeures ne se sont pas laissées tenter… Il n’y a que Claude qui pourrait répondre à cette question.

C’est quand même drôle que ce jeune homme si chétif que personne ne voudrait dans son équipe soit devenu le MALE DOMINANT de la faculté.

Fin.

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