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La progression d'Amélie – Chapitre 12

La progression d'Amélie - Chapitre 12



Chez Bérangère 2 (La préparation)

Aurélie tirait sur la laisse et je la suivais sans mot dire, tête baissée. L’homme signifia à Aurélie de s’arrêter quand nous sommes passé à côté de lui, ce qu’elle fit immédiatement…Puis il me caressa, me tritura les seins, fouilla mon ventre, tira et porta ses doigts à ma bouche. Par peur, je les suçais un par un, sans qu’on ne me demande rien…

— Ce soir, tu auras mon sexe dans ta bouche…Et ailleurs !!! Puis il se mit à rire, j’en frissonnais de peur. J’allais être prise par un autre homme que mon Maître, devant lui. En serais-je capable ? A cet instant je n’en savais rien, mais quand j’y repense, je crois que ça m’excitait. Car je savais en mon for intérieur que ces humiliations et dépravations étaient voulues par lui.

Aurélie tira sur ma laisse et je la suivais, tout en sanglotant. Nous passâmes dans une autre pièce, où du bout des doigts elle me releva le menton, et je pus à nouveau la regarder. Ses grands yeux bleus étaient illuminés par son sourire. Elle était très belle, et son visage juvénile à croquer.

— Ne pleure pas, tu es ici pour satisfaire ton maître, ce qui doit être ton unique bonheur, comme moi. Puis elle posa ses lèvres sur les miennes. Puis sa langue força ma bouche et elle me prit dans ses bras pour m’embrasser goulûment. Je ne savais que faire. Mes poignets ligotés dans le dos, je ne pouvais pas passer sa main entre les pans de sa robe, sous ses jupons pour caresser son ventre ? En tout cas, ma langue réagit à ses baisers et vint s’enrouler autour de la sienne…

— Voilà qui est mieux. Tu as entendu, j’ai le droit de me servir de toi, et je le ferais. Avant, je vais te préparer un peu…La douche d’abord ! Pour nous autres esclaves, elles sont un peu spéciales…

Je relevais la tête et découvris la pièce dans laquelle Aurélie m’avait emmenée : sans fenêtre, il y avais une cabine de douche aux parois transparentes, munies de 2 crochets situés à 2 m de haut et reliés au plafond par des chaînes. Je découvris également un siège de gynécologie, un chevalet et sur les murs, des gods de toutes tailles, montés ou non sur des ceintures, des baillons, des spéculums, des poires…mais aussi des fouets, des chaînes, des corsets visiblement en cuir ou en latex, des cravaches…Une véritable salle de punition et d’examens intimes. Et j’allais y avoir droit…

Aurélie tira sur la laisse et m’emmena vers la douche. Je voyais ses fesses au fur et à mesure de ses pas, belles, fermes, rondes, traversées par les jarretelles qui tiraient sur des bas remontant très haut, juste sous la naissance des ses globes, zébrés de rouge par une punition récente.

Elle ôta mes ballerines et détacha mes poignets. Elle baissa les anneaux pour me les fixer aux poignets, puis tira dessus en me demandant de me mettre sur la pointe des pieds. Puis elle ferma des bracelets reliés à des chaînes un peu plus hautes que le niveau du sol sur mes chevilles, une fois mes cuisses bien ouvertes. Une fois dans cette position, elle bloqua les chaînes des poignets et des chevilles. Ma docilité était totale. Elle passa sans ménagement sa main entre mes cuisses et s’inséra dans mon ventre. Puis elle porta ses doigts sa bouche et se mit à les sucer avec une moue enfantine…Mmmmmhhh !!! Tu mérites effectivement une bonne toilette !

Elle ferma les portes de la douche et ouvrit un robinet. L’eau s’échappa du pommeau fixé au dessus de ma tête, tiède si ce n’est froide…

Instantanément, je frissonnais car j’avais froid…Je sentais une chair de poule comme jamais, et j’avais mal aux tétons tellement ils se durcirent. Au travers de l’eau et des vitres, je voyais Aurélie qui me regardait de ses yeux d’ange, une main passée entre les pans de sa robe, elle était en train de se caresser en me regardant. J’étais frigorifié et effrayée par cette jeune femme qui se caressait devant une inconnue sans aucune gêne. Mais moi aussi, j’étais devenue un peu comme ça, exhibitionniste…

Elle ôta sa robe, coupa l’eau et entra dans la cabine de douche. Elle portait la même guêpière qui m’avait torturée pendant les jours précédents, la différence qu’elle me semblait plus serrée. Ses seins étaient plus gros que les miens et soulevés par le corset. Malgré l’eau qui dégoulinait dans mes yeux, je distinguais très nettement qu’elle aussi était complètement épilée et les zébrures sur ses cuisses étaient bien rouges. Elle devait être fouettée régulièrement, malgré sa jeunesse. Elle avança vers moi, toujours en me souriant, avec un gros savon de Marseille la main. Harnachée de la sorte, elle en était encore plus belle. Toujours fixée aux chaînes, je fus nettoyée sans ménagement, et Aurélie n’oublia pas mon ventre et l’entrée de mes fesses. Elle s’attarda d’ailleurs longtemps dans mes orifices, m’excitant malgré ma position humiliante. Je me rendais compte à quel point j’aimais être immobilisée de la sorte, complètement offerte, sans possibilité de bouger, et être caressée par une femme.

Une fois complètement savonnée, Aurélie ressorti de la cabine, toujours en souriant, et rouvrit le robinet pour que je sois rincée. A nouveau le froid de l’eau me saisit, à peine réchauffée que j’étais par les frictions d’Aurélie. L’eau s’arrêta, Aurélie libéra mes chevilles et mes poignets. Fatiguée de cet étirement, je tombais à genoux sous la douche, le visage à proximité de ses souliers talons. J’vais envie de lui lécher les chaussures et de remonter, pour lécher ses bas jusqu’à l’entrée de son ventre. J’étais dans un état second, prête à n’importe quoi pour donner du plaisir et par ailleurs en prendre. Aurélie me releva en tirant très fort sur la laisse. Elle me frictionna avec une serviette très rêche, ? pour faire circuler le sang ? me dit-elle, toujours avec ce sourire d’ange. Je me laissais complètement faire. Une fois sèche, elle passa une main entre mes cuisses et constata que je n’étais pas parfaitement lisse et douce, ? comme nous devons l’être ?.

— Je vais faire en sorte que tu sois lisse, douce et propre. Puis je me servirais de toi comme j’en ai reçu l’autorisation.

Elle passa une main entre ses cuisses encadrées des larges jarretelles et m’approcha chaque doigt de la bouche que je me mis à sucer sans hésitation, avec une attitude obscène. Tenue en laisse d’une main, elle fit succéder chaque doigt imprégné de sa cyprine dans ma bouche. Elle avait un goût très différente de celui de Virginie, plus doux, l’image peut-être de son visage si juvénile.

Puis elle me guida au fauteuil de gynéco et m’y installa sans ménagement. Je ne devais pas être la première qu’elle apprêtait de la sorte. Allongé sur un étroit matelas, les bras écartés en croix fixés par des bracelets à des tubes en métal, les jambes relevées, bien ouvertes et attachées au niveau des chevilles dans des étriers. Elle me montra un petit tuyau relié à une poire : ? on va déjà procéder à un lavement. Ici, les hommes aiment se servir de fesses propres aussi à l’intérieur ?. Elle inséra le tuyau dans mon anus et procéda à l’injection d’un volume de liquide qui me semblait impressionnant. ? Tu le gardes jusqu’à ce que je te dise de relâcher ! ?. Je sentais le liquide tiède envahir mon ventre, sensation pas spécialement désagréable.

Puis elle appliqua de la cire chaude sur le bas de mon ventre et entre mes cuisses. Je ne pus réprimer un cri de douleur. ? Tu ferais mieux de ne pas crier à chaque fois que tu vas souffrir. Ici, on n’a pas l’habitude de ménager les esclaves comme nous ! Alors si tu cries encore une fois, je serais obligé de te bâillonner et de le dire à Mademoiselle Bérangère. Et elle, elle saura te donner de bonnes raisons de crier ! ?. La douceur enfantine de sa voix contrastait avec la dureté et l’obscénité de ses propos. Elle vivait très ouvertement sa condition d’esclave, malgré son jeune âge. Pendant que je sentais la cire durcir sur ces parties très sensibles, elle en déposa sur les jambes, puis elle s’approcha avec un rasoir pour bien me raser les aisselles. J’entendais le rasoir passer sur ma peau,e t me plongeait dans ces si beaux yeux. Une fois lisse sous les bras, elle arracha les langues de cire de mes jambes puis celles entre mes cuisses. Je contenais ma douleur, mais sentis une larme perler au coin de mes yeux. Aurélie contrôla son travail, puis, satisfaite, m’autorisa me libérer du liquide prisonnier de mes reins. Je me vidais alors, et une fois libérée, elle me lava et m’essuya avec application. Enfin, elle m’enduisit de crème parfumée de la tête aux pieds, déclenchant chez moi des cascades de frissons.

— Alors ici les consignes sont simples. Nous somme ici plusieurs esclaves qui appartenons chacune à de s Maîtres ou Maîtresses, mais nous sommes à la disposition de tout le monde. On peut disposer de nous comme il ou elle le souhaite. Nous sommes là pour donner du plaisir et souffrir pour eux ? Au timbre de sa voix, je sentais que de réciter un tel discours l’excitait au plus haut point. Moi aussi d’ailleurs… ? Nous n’avons aucun autre droit que celui d’obéir. Christine est la responsable des esclaves et à les mêmes droits sur nous autres que les Maîtres. C’est elle qui nous attache et détache la nuit, qui peut décider de nous punir, nous utiliser, qui serre et desserre nos corsets. Elle est très dure et tu as de la chance, elle l’est encore plus avec les nouvelles… ?. Elle s’arrêta, je vis disparaître sa tête entre mes cuisses ouvertes et immobilisées. Puis sa langue s’inséra dans mon ventre chaud et trempé. C’est la première fois que j’eu un orgasme instantané d’une telle intensité.

Une fois qu’elle m’avait fait jouir, elle se saisit d’une pince à épiler et se mit à fignoler son épilation, puis me raconta son histoire.

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