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La Queue du Diable (Our Demon Side CH1) – Chapitre 5

La Queue du Diable (Our Demon Side CH1) - Chapitre 5



Wara : démone ashtarot chercheuse damulettes.

Tempter : démon incube fils de Satan.

Predator : frère de Tempter, démon incube-similicien fils de Satan.

Kind : démon yeou protecteur, frère de Wara.

Undergo : sur de Wara.

Toi, tu vas prendre cher me souffla une petite voix dans mon esprit. Oui, Tempter avait lair presque aussi fou de rage que de désir, et ça nétait pas étonnant pour un homme qui venait de se faire torturer sexuellement. Ses yeux étaient devenus entièrement écarlates, à la fois effrayants et magnifiques.

Predator lui, avait en partie retrouvé son sourire démoniaque car il savait sa vengeance proche maintenant que son frère était libre. Mes yeux se rivèrent au poing de ce dernier, si serré sur mon poignet que ses phalanges en avaient blanchi.

— A mon tour, gronda-t-il entre ses dents serrées.

Ces paroles provoquèrent une fontaine de mouille entre mes jambes, mais elles étaient à la fois si menaçantes que jeu peine à déglutir. Aussi, à la seconde où il libéra mon poignet pour se défaire de ses liens, je me jetai en arrière dans lespoir de lui échapper. Grossière erreur. Rien nexcite plus un prédateur que de voir sa proie le craindre.

Délivré en moins de temps quil ne faut pour le dire, mon incube nu bondit sur moi en feulant comme un fauve, et me plaqua férocement au mur du salon. Mes seins, plus durs et sensibles que jamais, saplatirent sur la paroi avec un bruit mat qui le ravit.

Avec une force rendue surnaturelle par son besoin de sexe, Tempter encercla ma taille de ses bras et mécrasa le dos contre son torse, plaçant sa verge ultra-gonflée directement à lentrée de mon sexe. Et sans ménagement, il sarqua et la fit pénétrer toute entière en moi tandis que je poussai un cri sous son assaut brutal. Il lâcha un grondement sauvage qui eut pour effet de me tordre les entrailles dexcitation, et se mit aussitôt à aller et venir, massenant de violents coups de butoir qui me firent rebondir contre le mur comme si javais été montée sur ressorts. A linstant présent, plus rien ne se mit à compter à part lui, et ce quil me faisait.

Incapable de me retenir, je me mis à pousser des hurlements de plaisir à chaque fois se logeait tout au fond de moi et que ses lourdes bourses sécrasaient sur mes fesses, et mes cris se mêlèrent aux siens. Je plaquai mes mains paumes contre la cloison, la raclai de mes ongles, et fis tout mon possible pour rester debout tandis quil glissait sur mes parois intimes sur-lubrifiées à une vitesse folle. La cyprine me dégoulinait jusquaux chevilles, et ne cessait de couler. Jamais je navais été aussi excitée de ma vie ! Le fait de mêtre masturbée avant et davoir tripoté ces deux incubes mavait ouverte comme jamais, et Tempter glissait en moi comme dans du beurre. Sa grosse queue me remplissait à la perfection, comblait le moindre millimètre de mon vagin étiré et entré en ébullition dès son premier passage. Oui, tout deux étions brûlants, à lintérieur comme à lextérieur. Et son halo rouge irradiant le prouvait.

Je me sentis palpiter follement autour de lui et compris que jétais sur le point de céder à lorgasme. Déjà ? Non ! La verge frémissante de mon incube venait presque de sintroduire dans mon sexe. Diable ! Javais tellement fantasmé sur lui et sa queue était si bonne que jarrivai au bord du précipice plus vite que nimporte quel ado pré-pubert !

Il fallait quil ralentisse le rythme ou jallai jouir tout de suite. Le plaisir brutal quil me procurait mempêchait de penser correctement et javais déjà du mal à tenir debout, mais avec un orgasme jallai carrément mécrouler !

— Non, je lâchai dune voix faiblarde et rauque. Arrête, je vais venir Arrête, je ten supplie

En réponse, Tempter planta les dents dans mon épaule et lâcha ma taille, sans pour autant se détacher dun centimètre de moi. Ses mains ne frayèrent un chemin sur le mur et saisirent mes mamelles sans douceur. Il se mit à les presser à les faire éclater.

— Arrête

Javais franchi le point de non-retour. Et il le voulait.

Il massena un coup de rein si puissant quil me décolla du sol et lorgasme le plus puissant de mon existence me submergea. Ce ne furent plus des palpitations qui contractèrent mon vagin, mais des contractions. On aurait dit quil voulait avaler sa bite, ne plus jamais la laisser partir, et jétais totalement daccord. Je fus agitée de spasmes aussi violents que le furent les éclairs de plaisir qui me grillèrent littéralement le cerveau. Je me sentis me tordre entre Tempter et le mur, les frapper tour à tour, tandis que lair se bloquait dans mes poumons. Mes membres devinrent tout mous et je meffondrai, quand des mains puissantes me forcèrent à rester debout.

Je me rendis compte que ma vue était devenue floue, je planais, jétais profondément repue, et lintensité de lorgasme commença juste à sestomper quand les vas-et-viens reprirent. Aussitôt, la sensation dapaisement disparue et le désir se mit de nouveau à me brûler, plus intense quauparavant car le plaisir navait pas eu le temps de redescendre.

Je gémis, paradoxalement exténuée et avide dune insatiable volonté dêtre remplie. Ah cétait la manière dont mon incube chaud comme les pires flammes dInfra se vengeait. Impressionnant et très efficace.

Ses mains remontèrent de ma poitrine -endolorie par son toucher sauvage- jusquà ma gorge, et il la serra. Hum Le toucher de ses doigts sur mon cou me donna un instant limpression de porter un collier, une sorte laisse qui me liait directement à lui, à jamais.

Puis je le sentis, ce nouvel orgasme qui allait poindre, et qui allait vraiment machever. Aussi, je tentai de passer les bras dans mon dos, pour poser les mains sur les cuisses de mon démon et le faire ralentir. Mais à peine mes doigts avaient-ils effleuré sa hanche quil comprit ce que je voulais faire, et quil sévertua à faire exactement le contraire. Dune main, il emprisonna mes poignets dans mon dos, et de lautre il prit possession de mon clitoris et le frotta au rythme de ses coups de rein daliéné. Je serrai les poings, luttant de toutes mes forces pour contenir ce nouvel orgasme dévastateur. Malheureusement pour moi, Tempter su exactement quoi faire pour que je craque instantanément :

— Jouis pour moi, ordonna-t-il dune voix aussi grave et profonde que celle dun ténor à mon oreille.

Il ne men fallu pas plus : jexplosai comme la première fois et hurlai à men casser la voix. Epuisée, vidée, je me maffaissai contre lui et Tempter se retira. Ah Enfin, il avait saisi que je nen pouvais plus.

Mais je compris que javais pensé trop vite lorsquil me renversa dans ses bras et me lança dans les airs avec puissance, me projetant sur le canapé de mon salon, qui crissa sur le sol en reculant de trente bons centimètres sous limpact. Jeu à peine le temps de me remettre de ma surprise ou de me redresser que lincube my rejoint à la vitesse de léclair. Il se plaça à califourchon sur moi et assit son long corps musclé sur mon visage de façon à ce que ses testicules se retrouvent directement dans ma bouche. Instinctivement, je me mis à les sucer, les prenant une à une entièrement. Elles étaient si dures, si gonflées ! Et jadorais leur goût. Mon incube saisit sa queue et se mit à se branler énergiquement juste devant les yeux, en soufflant comme un buf. Manifestement, il aimait ça bien autant que moi, mais il fallait quil revienne se loger là où je laimais le plus au monde : en moi !

Il recula un peu sur ses genoux pour se mettre au même niveau que mon sexe trempé, et écartant les jambes sur les coussins pour me mettre en position « grenouille », jaccueillis avec avidité lénorme membre turgescent qui mempala sur toute la longueur. Je contractai les abdos, serrant de mes muscles vaginaux son pénis profondément enfoncé. Tempter rejeta la tête en arrière, plus beau et fou que jamais, son corps parfait brillant dun film de sueur dont je fus absolument ravie dêtre la cause.

Sans pouvoir ou même vouloir men empêcher, je me redressai vivement et lattrapai par la nuque pour lamener contre moi sur les coussins. Profitant de son bref désarçonnement, je saisis ses lèvres des miennes et me mit à les labourer des baisers et de coups de langues affamés. Sa réponse ne se fit pas attendre : la sienne sinfiltra entre mes dents et mexplora la bouche avec la même passion, le même empressement dément. A présent, je me fichai de savoir à quel point notre échange était intime, peut-être parce que ça ne me dérangeait pas quil le soit.

Mes mains glissèrent de sa nuque puissante à ses épaules larges, puis à son dos, dont je sentis chaque muscle rouler sous la peau nue. Je me mis à griffer cette peau, à la malaxer comme si je voulais fusionner avec elle, et mon incube sétouffa de plaisir contre mes lèvres.

Et tout à coup, je plantai mes talons dans ses fesses, lincitant à me pilonner, ce quil fit avec force tout en continuant de membrasser à pleine bouche. Mes seins remuaient comme des flans entre nos deux corps, et il ne put résister à la tentation de les dévorer.

Cétait divin, trop divin, car je me sentis frémir, et je le sentis trembler. Jallai avoir mon troisième orgasme et lui donner le sien. Mon cur se serra lorsque je me souvins que cétait pour lui quil était là, et pas spécialement pour moi.

Etrangement, même sil devait attendre plus que tout de se déverser en moi, Tempter ralentit le rythme. Je ne pus mempêcher de penser que cétait parce quil attendait mon autorisation. Mais ce qui me surprit encore plus, cest que je me rendis compte que jétais tout à fait disposée à la lui donner. Si quelquun devait pouvoir se voir accorder une faveur par le Diable en me baisant, je voulais que ce soit lui. Alors, je rivai mes yeux à ceux redevenus émeraude- de mon incube, et prononçai son nom :

— Tempter, je haletai et murmurai comme sil sagissait dune prière. Décharge-toi en moi. Fais-le, sil-te-plaît

Je glissai mes doigts dans ses cheveux dorés et tirai légèrement dessus. Il gronda, je gémis, et il ne put se retenir davantage. Dans un râle animal qui me fit jouir en même temps que lui dune intensité insupportable, il se répandit en giclées brûlantes interminables dans mon vagin, qui fut bientôt si plein que sa semence sen échappa et se répandit sur le canapé.

Une fois ses spasmes terminés, mon incube sécroula sur moi comme une masse, et jaccueillis avec bonheur ce lourd poids chaud sur mon corps. Sa tête vint se nicher dans mon cou, et je ne pus mempêcher de frotter mon menton dans sa tignasse or. Il sentait si bon Nos deux torses se soulevaient rapidement, nous étions à bout de souffle à lunisson.

Après quelques secondes à demeurer ainsi à tenter de reprendre un rythme cardiaque normal et un tant soit peu raisonnable, jallai rompre le silence lorsque Tempter me devança :

— Cest moi qui lai eue, encore une fois.

Mon cur se serra. Ce nest pas à moi quil sadressait, mais à Predator, qui avait totalement cessé dexister pour moi quand son frère avait commencé à me prendre.

Je le sentis sourire quand mon cou.

— On dirait que tu ne fais pas le poids, frérot. Considère ça comme ma vengeance davoir essayé de me doubler.

Pas de réponse. Etrange étant donné lénergie surhumaine que Predator avait au départ donné pour que ce soit de lui que je moccupe.

— Predator ?

Tempter se redressa vivement sur ses avant-bras et tourna la tête de lautre côté du salon, là où son frère était censé toujours être accroché à sa croix.

— Merde ! laissa-t-il tomber en sautant sur ses pieds à la vitesse de léclair.

Lespace dun instant, je me sentis blessée quil séloigne si vite, mais ce sentiment désagréable fut vite remplacé par de lappréhension. A mon tour, je descendis du canapé -mais enfilai néanmoins en vitesse un débardeur et un short qui traînait sur un fauteuil dans un coin de la pièce- avant de le rejoindre.

Mince Lincube brun était inconscient sur la croix. Son corps à présent dépourvu de toute tension, pendait mollement, et sa tête ballotait de gauche à droite tandis que son frère soccupait de ses liens. Peut-être était-ce de savoir quil avait perdu connaissance par ma faute, ou de voir Tempter salarmer autant, mais je me sentis incapable de lempêcher de libérer mon dernier prisonnier. Quoi quil en soit, lorsque mon incube se baissa pour détacher la cheville droite de son frère, je pus avoir une vue densemble de son corps immobile et mes yeux sécarquillèrent deux-mêmes. Sa bite, normalement aussi exagérément massive que celle de Tempter, semblait toujours aussi raide mais avait perdu au moins la moitié de son volume ! Je me souvins soudain que lorsquon privait de sexe un incube suffisamment longtemps, sa queue, liée à son cur, se rabougrissaient encore et encore, jusquà ce quil meure.

Non ! Si javais tué son fils, jamais Satan ne me rendrait ma sur Undergo en un seul morceau !

— Tempter, dis-moi quil nest pas mort, tremblai-je.

Pour toute réponse, il transporta le corps inanimé jusquau canapé, où il lallongea. Je le suivis, les yeux rivés à la poitrine de lincube brun dans lespoir de surprendre le moindre petit mouvement. Est-ce quil respirait encore ? Putain de bordel de diable, jétais vraiment allée trop loin à lexciter et le titiller à mort ainsi

Tempter fit volte-face et, me saisissant par le bras sans douceur, il me fit tomber à genoux pour que je me retrouve au même niveau que son frère.

— Tu vas devoir toccuper de lui.

— Quoi ?

Comment ça moccuper de lui ? Est-ce que ça voulait dire quil nétait pas mort ? Je me tournai vers Tempter, désorientée. Le muscle qui tressauta dans sa mâchoire me fit comprendre quil nétait pas vraiment ravi de devoir me demander ça. Il planta son regard émeraude dans le mien dun air sévère.

— Il faut quil retrouve sa taille normale ou il mourra. Sers-toi de ta bouche et de tes mains pour le faire éjaculer, ça suffira, mais je tinterdis de le laisser te pénétrer.

— Ah Je ne, je bafouillai. Tu as Enfin, il ne peut pas avoir de faveur de Satan de toute façon puisque tu las déjà.

— Je sais. Pas question quil te baise quand même.

— Daccord, mais pourqu

Il me fit soudainement taire dune main dans le short. Wahou, il y était entré en une fraction de seconde… et comme je navais pas mis de culotte, il mit encore moins de temps à pincer mes lèvres intimes et à insérer deux doigts chauds en moi. Mon traître de corps lui répondit immédiatement en se cambrant, et Tempter se pencha pour pouvoir insérer un troisième doigt dans mon intimité.

— Comprends-moi bien, susurra-t-il à mon oreille. Tout ça

Il fit remuer ses doigts et caressa langoureusement lintérieur de mon vagin pour illustrer son propos. Je lâchai aussitôt malgré moi un gémissement sonore et tremblai sur mes genoux.

— cest à moi.

Pantelante de désir, jacquiesçai en lui lançant mon regard le plus fiévreux, et je sus quil dût se faire violence pour retirer sa main de mon entre-jambe et se redresser. Je me forçai à ignorer le brûlement qui naquit dans mon ventre à la vue de sa verge à nouveau dressée.

— Occupe-toi de lui, ordonna-t-il.

Mexécutant à contrecur, je saisis le sexe rapetissé mais pourtant dur comme la pierre de Predator, et me mis à le malaxer.

Tout à coup, la porte dentrée de mon appartement fut secouée dun violent tremblement, accompagné dun grognement sonore qui navait rien dhumain. Je lâchai le sexe de Predator, tandis que Tempter se précipitait vers la porte et en replaçait les gonds avant de fermer les verrous tout en jetant un coup dil par le judas.

— Merde ! jura-t-il. Ils ont mis le temps, mais ces putains de démons tont retrouvée.

Quoi ?! Kind mavait appris que tout Infra me poursuivrait dans lespoir dobtenir en me violant les bonnes grâces de Satan, mais le monde humain était vaste ! Et jespérais quils mettraient plus de temps à retrouver ma trace. Il était vrai quils arrivaient bien après les fils de Satan, mais ils avaient tout de même été bien trop rapides à mon goût !

Langoisse qui me saisit soudain me donna la nausée, et je me redressai quand Tempter marrêta :

— Pas question, fais ce que je tai dit, ordonna-t-il dune voix beaucoup trop flegmatique pour la situation. Heureusement pour nous, ce démon asmodée est seul.

Démon asmodée, soit cruel et débauché à trois têtes : une dhomme, de taureau et de bélier. Beurk !

Aussitôt Tempter avait-il prononcé ces mots, que la rue sembla sanimer. Des gargouillis, des râles, des cliquetis, des bourdonnements nous parvinrent depuis lautre côté de la fenêtre. Jy jetai un il et aperçus un bout de chaussée bondée de créatures toutes plus monstrueuses les unes que les autres. Même si javais lhabitude de fréquenter les démons et en étais un moi-même, un frisson dhorreur me parcouru à leur vue dans les rues parisiennes. Des cris deffroi commencèrent à sélever ici et là à lextérieur, et je compris quils ne faisaient aucun effort pour masquer leur apparence aux humains, comme ils le faisaient dordinaire. Diable ! Ils avaient certainement trouvé une brèche à Infra qui les menaient directement à moi.

On sagita aussi derrière ma porte, qui trembla à nouveau avec un craquement sonore. Merde ! Je doutais que savoir que javais été déjà prise par un autre démon allait les empêcher de me sauter dessus. On allait se battre pour me posséder et savoir qui serait le prochain.

— Non ! je criai tout haut.

Tempter séloigna de la porte et me prit par les épaules pour me secouer. Mon air horrifié ne devait rien avoir de rassurant pour lui.

— Je ne les laisserai pas te toucher, ashtarot, déclara-t-il dune voix pressante. Tu es à moi.

— Mais comment

— Je vais nous transporter à Infra, mais Predator ne pourra pas faire le voyage dans cet état. Occupe-toi de lui et à la seconde où il retrouve ses esprits, on quitte cet endroit. Ils ne pourront pas nous suivre sans autorisation là où on va.

Je lobservai un instant hébétée, puis acquiesçai. Oui, cétait la meilleure chose à faire. De toute façon, javais lesprit tellement embrumé par la peur, que je navais pas la capacité de réfléchir à une meilleure solution, ni de me demander si je pouvais faire confiance à mon incube.

Rendue vorace par la volonté déchapper à cette situation cauchemardesque, je me jetai sur la bite de Predator, et entamai la fellation la plus vigoureuse de ma vie.

— Cest bien, ma belle, chuchota Tempter dans mon dos avant de sactiver pour fermer les stores de la fenêtre derrière laquelle venait dapparaître la tête hideuse de minotaure dun démon moloch.

Et tandis quon essayait de défoncer ma porte, je me hâtai sur le petit sexe de lincube brun. Le prenant aisément en entier dans ma bouche, je me mis à faire tourner ma langue autour comme sil sagissait dune grosse sucette que jétais avide de lécher jusquau bâton. Et un tour, puis deux, puis trois et dans lautre sens et plus vite Je saisis les bourses du beau spécimen inconscient sur mon canapé, et les fit rouler entre mes doigts. Je les pressai, les palpai, leur envoyai de petites tapes stimulantes. Ne pouvant résister à la tentation, je lâchai un instant sa bite et en prenait une dans ma bouche à sa place. Je laspirai, la mordillai avec des bruits de succion et des « pop » sonores qui auraient fait devenir fou nimporte quel homme éveillé.

Ma main entama delle-même un va-et-vient sur son membre, découvrant et couvrant de peau à intervalles régulier son gland rose. Je lâchai ses burnes -que je sentis plus dures entre mes lèvres- et partait de la base de son pénis avec ma langue pour remonter jusquà sa partie la plus sensible. Là, jeffleurai de mes dents son bout, et enfin son propriétaire tressaillit.

Tempter le vit, et il mencouragea depuis la porte quil essayait de bloquer avec des meubles :

— Avale-le, ma belle ! Rend-le fou, je ty autorise !

Hum Je laurai fait même sil me lavait interdit, jen avais trop envie à présent. Surtout que la queue de Predator avait commencé à grossir, même si ce dernier demeurait inconscient.

A deux reprises, je crachai sur son sexe pour le lubrifier. Je glissai même les mains dans ma culotte pour récolter un peu de cyprine qui sétait mise à couler, et en étaler sur ses parties génitales en espérant que lodeur le pousse à se réveiller.

Oh ! Ça avait lair de le stimuler car son membre rigide gagna en épaisseur et en longueur, et que le gland sortit totalement de sa couverture de peau. Sans attendre et encouragée par la vue de cette chose, qui avait déjà atteint une taille plus que satisfaisante sans pour autant être à son volume maximum, je lengloutis avec un soupir de désir. Je me mis à coulisser dessus avec une vitesse folle, avalant au passage ma propre mouille. Au bout de quelques secondes saisissait le membre qui avait encore grossit à sa base, et le faisait frotter à lintérieur de ma joue, puis tout au fond de ma gorge, métranglant à moitié avec. Elle était si dure à présent

Je la retirai de ma gorge et la secouai de gauche à droite, puis approchai mon visage avec avidité pour men frapper les joues. Me biffler moi-même avec la grosse queue dun homme inconscient mexcita follement, je dus le reconnaître.

Ce ne fut que lorsque quelle matteignit loreille au lieu de la joue que je me rendis compte quelle avait retrouvé sa taille normale. Ce gabarit me rendait complètement folle ! De même que les veines gonflées qui pulsaient à sa surface, et que son teint écarlate de bite sur le point de tout cracher. A ce moment, tout ce dont je rêvais même entourée de tant de démons répugnants- était dune belle une fontaine de sperme, puissante et intarissable. Je navais jamais autant eu envie de tout avaler.

Aussi, je le pris à nouveau jusquau bout et le pénis mécartela le fond de la gorge, mais je me fis violence pour ignorer les spasmes qui magitaient et mon corps qui me criait que cétait trop gros pour rentrer en entier. Les larmes me brouillaient la vue et je nétais plus quà deux centimètres davoir tout enfilé, que des mains me saisirent les cheveux avec force et firent parcourir à ma bouche la distance manquante.

Un râle de satisfaction me parvint, et je compris que javais réussi : Predator avait repris connaissance et il voulait que je le termine. A tâtons, je saisis son poignet et le fis me lâcher les cheveux. Je me débrouillais mieux toute seule et le lui prouvai : comme si je navais pas mangé depuis des jours, je me mis à lui dévorer littéralement le sexe, à macharner sur ses testicules, impatientes de sentir au fond de ma gorge ses giclées de semence, encouragée par ses gémissements et ses coups de rein.

Son plaisir fut à un moment si intense quil décolla les hanches du canapé. Je savais quil était au bout. Un dernier coup de langue et il se répandit à grands jets dans ma bouche, et javalai tout immédiatement avec extase. Sa bite trembla tellement sous lintensité de lorgasme si longtemps contenu quil séchappa dentre mes lèvres et éclaboussa aussi mon visage. Aussi, lorsquil retomba, vidé, jen avais de partout.

Jeus juste le temps de messuyer que Tempter se précipita vers nous. Il se jeta à genoux et me prit dans ses bras, et posa la main de son frère sur son épaule.

— On rentre au bercail, lui dit-il, visiblement soulagé quil soit rétabli.

Moi, je tiquai contre son torse.

— Quoi ! On va chez Satan, le Diable en personne ?

Sans me laisser le temps de protester, il croisa les bras et je me sentis aussitôt aspirée vers le bas. En un éclair, nous nous volatilisions. En même temps, ma porte volait en éclats.

A suivre…

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