Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe mobiles Histoires tabous

La salope de mon beau père – Chapitre 1

La salope de mon beau père - Chapitre 1



J’avais alors 16 ans, ma mère allait rendre visite quelques jours à sa famille en me laissant sous la surveillance d’Hamed son mari depuis que j’ai 7ans.

Je l’ignorais la plupart du temps, et cela mécorchait les lèvres de devoir l’appeler papa pour faire plaisir à ma mère. J’allais profiter de son absence pour lui faire ressentir qu’il n’avait jamais été le bienvenue dans ma vie mais il en avait décidé autrement …

Je m’étais toujours sentie mal en étant seule en sa présence, et même de dos je sentais ses regards malsains, je me souviens que déjà petite à l’heure du bain prétextant de donner un coup de main à ma mère qui était en cuisine c’est lui qui me lavait et insistait chaque jour une minute de plus sur le nettoyage minutieux de mes parties intimes, je me souviens parfois de l’avoir détesté de s’attarder pour me nettoyer en ces endroits, il faisait glisser sa main sur ma petite nenette comme si c’était un nouveau jeu et bien qu’étant très jeune j’avais compris qu’il s’agissait d’un touché sexuel. Il m’avait fait découvrir un nouvel endroit de chatouille et je savais que je devais garder ça pour moi. Il y’a des jours ou les passages lents de sa main mexcitaient un peu et d’autres ou je n’avais pas du tout envie qu’il me touche. Mais heureusement cela se limitait au bain et quelques mois plus tard je me lavais seule.

Il m’enroulait ensuite dans une serviette en me serrant contre lui, une fois sèche je mettais mon pyjama il tenait à rester dans la pièce je m’habillais sous ses yeux et nous descendions manger comme si de rien était. Ensuite nous regardions la télévision jusqu’à l’heure à laquelle je devais monter me coucher.

Le week end j’avais toujours le droit de me coucher plus tard puisque le lendemain je n’avais pas école, ma mère monta se coucher plus tôt que moi, il ne restait que nous deux dans le salon, il me lança " ça te dit qu’on mange des bonbons, on dit rien à maman". J étais hyper contente il alla chercher le paquet de confiseries dans l’armoire, revint s’asseoir sur le canapé et me pris sur ses genoux pour partager ce moment de complicité ou on mangeait des sucreries la nuit dans le dos de ma mère. Il changea de chaîne et tomba sur un film érotique, à ma grande surprise il ne changeait pas de chaîne, il m’a même lancé un "tiens regarde" Comprenant de quoi il s’agissait et plutôt gênée je voulu courir dans ma chambre, mais il me serra la taille très fort pour me retenir sur ses genoux. Le tissu de mon pyjama étant très mince je sentis son sexe gonfler derrière mes fesses et il commençait à mimer le va et vient du film sur moi en poussant des petits soupirs. Je réussis à me glisser hors de son contrôle et me sauvais dans ma chambre en pensant toute la nuit à son sexe qui gonflait sous moi. Cette même nuit les cris de plaisir de ma mère parvenaient jusqu’à ma chambre.

Depuis ce jour je l’évitais et j’avais même réussi à oublier tout ça jusqu’au départ de ma mère …

Première soirée : Je rentrais le plus tard possible, à mon arrivée il m’ordonna d’aller préparer à manger car il crevait de faim, et que la prochaine fois que je rentrerais aussi tard sans prévenir je serais privée de sortie.

En me baissant pour prendre la pizza dans le four, il vit mon string dépasser de mon jean et me mit une claque sur les fesses en me disant " tout le monde n’a pas besoin de voir que tu mets des strings …" en ajoutant avec un regard pervers " même si ça te va bien "

Je décidais de ne pas relever la provocation, mangeais rapidement et allais me coucher.

Il passa la nuit devant l’ordinateur à mater des films porno, il mettait le son très fort exprès et je l’entendais se branler et jouir très bruyamment. Et si il venait dans ma chambre? J’avais si peur que je mis la commode devant ma porte pour bloquer l’entrée, il n’y avait pas de verrou.

La nuit se passa bien,

Deuxième jour : Matin, je suis en retard je cours à la salle de bain pour prendre ma douche rapidement, il entre pendant ma douche pour une "envie pressante" il s’attarde en pissant et bien que cachée derrière le rideau de douche je suis hyper énervée et lui envoi un "mais casse toi putain t’a pas à rentrer quand je me lave"

Il ouvre le rideau de douche violemment, il est à poil et me répond méchamment " parle moi mieux que ça salope" avant de s’en aller.

Le soir venu je rentrais à 22h, en rentrant je ne le voyais pas, cela me rassurait je me disais que peut être il est allé dormir. Je ferma la porte, ce bruit le fit bondir du haut des escalier en bas, il cria " c est à cette heure ci que tu rentres! qu’est ce que je t’ai dit hier" et il me gifla, je tombais sur le canapé. Choquée et terrorisée je ne bougeais plus, il se jeta sur moi pour me relever ma jupe et me mis la fessée, j’étais trop vieille pour recevoir la fessée, je criais me débattais lui disais qu’il n’avait pas le droit de me frapper et encore moins de me donner la fessée que je n’étais plus une gamine!

Il arrêta et me dit "ahh bon t’es plus une gamine hein" il me pinça la chatte en refermant sa main sur ma culotte il dit :

On va voir si t’es devenue une grande fille. ..

Je criais pleurais suppliais mais il semblait possédén plus je me débattais et plus il étais excité.

"Regarde, regarde ce que tu m’obliges à faire t’es contente petite salope regarde dans quel état tu me mets et il sortit sa bite tout en me maintenant plaquée sur le canapé pour me montrer comme il bandait.

Mon dernier espoir pour qu’il me lâche fut de lui dire arrête papa s’il te plaît. Mais cette phrase censée lui rappeler ses responsabilités en tant que beau père n’avait pas l’effet escompté.

— Oh oui ma petite chérie, tu vas devenir la petite chienne à ton papa je vais t’apprendre la vie moi.

— Non non fais pas ça arrête.

Il arracha mon string et m’enfonça progressivement un doigt dans la chatte en soupirant Oui Oui Oui au fur et à mesure que son doigt entrait dans ma chatte. Une fois son doigt à l’intérieur il le fit bouger de haut en bas puis fit des ronds comme pour m’élargir.

Je voulais que cela cesse mais retenue contre le canapé j’étais incapable de résister à ses attouchements.

Il sortit enfin son doigt, je pensais que mon calvaire était enfin terminé…

Il me mit à 4 pattes le buste sur le siège du canapé les genoux par terre, sa main serrée contre ma nuque pour me maintenir le visage sur le siège du canapé, cela étoufferait mes cris. Je savais qu’il était derrière moi, il appuya sur mon dos pour me cambrer, j’avais les fesses plus à l’air et je sentis son gland pousser à l’entrée de mon vagin, il poussa poussa, face à la résistance de mon orifice il força l’entrée et réussit à enfoncer son gland avec un peu de difficulté, le reste suivit lentement, une fois entièrement pénétrée il resta à l’intérieur de moi immobile pendant quelques secondes avant de commencer les lents va et vient, les coups lents qu’il me mettait furent bientôt remplacés par des allers retours plus rapides, le bas de son ventre cognait de plus en plus fort contre mes fesses en faisant des bruits de claquement sourds. Il ponctuait ses pénétrations de : " Tu sais que t’es bonne, hein tu le sais petite chienne"

Je subissais ses chaudes pénétrations brûlantes et piquantes en espérant qu’il finisse vite, il me remplissait de son sexe, je le suppliais d’arrêter de douleur et aussi pour me donner bonne conscience mais au fil des va et vient en moi je dois avouer que cela commençait à me faire du bien.

Il le remarqua et me mit des claques sur les fesses en me disant "tu vois c’est bon ça, c’est bon pour toi la levrette, toutes les petites salopes aiment ça, tu vas être la bonne chienne à ton papa hein, tu vas lui faire plaisir à ton papa, fallait obéir si tu voulais pas te faire bien baiser la chatte"

Il accéléra cria: ahhh ahhh ahhh je vais venir petite pute, il me serra par les hanches et m’enfonça son sexe très vite et très fort, il s’enleva juste avant de cracher et se vida sur mes fesses. J’étais couverte de son sperme abondant il me porta jusqu’à la douche alluma l’eau et me rinça de son sperme, la vue de mon corps sous l’eau l’excitait encore, et bien qu’il venait juste de cracher il se remit à bander, j’étais accroupie dans la douche, il m’attrapa par les cheveux et mis mon visage en face de son sexe mi dur. Suce moi maintenant d’un ton sec et sévère qui ne permettait pas d’hésitation. Je m’exécutais sans discuter et sans pleurer.

Comme si cela ne suffisait pas il tenait à ce que je le regarde dans les yeux en lui léchant la bite comme si c’était une glace.

Puis il sortit son sexe de ma bouche et m’ordonna de sortir tout en se branlant. Une fois hors de la douche il me fit avancer jusqu’à ma chambre en me tirant par les cheveux. Il m’attacha les mains avec une paire de collants qui traînait par terre, il m’écarta les cuisses et me pénétra encore et encore dans différentes positions, en missionnaire puis en levrette tout en m’insultant de tout les noms de garce à salope en passant par pute chienne …

A la fin il ne prit même pas la peine de me nettoyer après m’avoir éjaculer dessus, il alla dans sa chambre revint, me jeta 4 billets de 50 euros en me disant " ça t’aidera à fermer ta gueule"

Je ne disais rien, j’étais devenue la pute de mon beau père et je savais que ce n’étais que le début …

C’est à vous de décider si vous voulez la suite …

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

4 Commentaires

  • Cest du viol, meme si ils te payent tu l’écoute? Non mais fille on sen fou si ta besoin de preuve tu met une putain de camera

  • très excitante histoire, j’ai plusieurs petits copains, mais je les trouve trop timide. Mais avec mon beau père qui est un sacré obsédé du cul, je me suis habituée à son autorité, il me paie des tenues sexy et il apprécie quand je me baisse pour faire semblant de ramasser quelquechose. ma mère m’a appris à sucer les hommes, et elle sait que je me fais sauter par son matcho de compagnon, car des fois je lui présente mes petits copains

  • En tant que mari soumis et cocu volontaire, ma femme et moi, on a adoré ton récit !
    Gros bisous et meilleurs souhaits !
    Une suite à ce récit ?

  • J’ai vécu presque la même histoire avec mon beau-père. La différence, c’est que moi, j’étais un garçon. C’est lui qui m’a dépucelé et m’a appris à me travestir afin d’être sa 2ème femme après ma mère.

Laissez un commentaire