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La semaine où ma femme s'est semi-prostituée – Chapitre 1

La semaine où ma femme s'est semi-prostituée - Chapitre 1



Laissez-moi vous raconter une semaine grandiose que nous avons vécue il y a presque trois ans.

Contrairement à son habitude, ma femme avait eu envie d’un jeune homme à peine âgé de 19 ans.

Jamais elle n’avait été attirée par cet âge pour ses partenaires, ce sont plutôt les hommes mûrs et même très très mûrs

qui la font flasher (certainement dû à ses premiers pas avec le sexe).

Donc, elle me parla de ce jeune homme et me demanda si je voyais un inconvénient à ce qu’elle passe une nuit avec lui.

J’en vis deux !

Le premier étant que je ne pourrais pas y assister.

Le second c’est que si les hommes mûrs ne me faisaient pas peur, une expérience avec un jeune pourrait lui donner goût et qu’elle deviendrait accroc à ces âges (et oui, jalousie quand tu nous tiens).

Je lui ai fait part de ma réticence et elle était prête, à contre-coeur, à abandonner.

Le soir, dans le lit, je ne pouvais m’endormir tant je pensais à ça.

Et je me suis dit que, finalement, ce serait peut-être l’occasion de lui révéler un fantasme que j’avais depuis un certain temps et dont je n’osais lui parler car c’était assez hard.

Le lendemain dans la soirée, je me suis armé de courage et lui ai fait ma proposition:

— " Tu sais chérie, pour ce que tu m’as demandé hier, j’ai réfléchi et je suis peut-être d’accord ".

— " Mais en échange je te demanderai une chose très spéciale, vraiment très spéciale ".

— " Tout ce que tu veux, dit-elle, mais excepté la zoophilie ".

— " Voilà ce que je veux. Je veux que trois soirs de suite, tu fasses du tapin et me ramènes chaque fois un homme à la maison ".

— " Tu veux que je me prostitue ? Que je ramène des hommes et que je les fasses payer ? "

— " Oui, tu vas près de la grand-poste à Liège habillée comme une pute et tu proposes au "clients" éventuels de venir chez toi et de baiser dans la chambre, alors que je serais au salon, pour 100 euros ou baiser dans le salon devant moi, pour 30 euros.

Elle répondit que pourquoi pas, que ce serait peut-être une expérience agréable. Mais qu’elle avait peur de monter seule en voiture avec des inconnus.

J’ai alors proposé d’être sur le parking où elle draguerait et de suivre discrètement. Que si je les voyais prendre un autre chemin j’interviendrais dés qu’ils s’arrêteraient.

Marché fut conclu et dés le lendemain soir nous avons commencé ce jeu.

Le premier soir:

Elle mit une robe noire courte et, de plus, fendue sur le coté (il y avait une fente d’origine, mais nous l’avions augmentée pour une fois où nous étions allés dans un salon de l’érotisme). Une paire de bas résilles auto-fixant, ses escarpins rouges, rien dessous. Elle compléta cette tenue par un maquillage très prononcé (ce fut d’ailleurs la même tenue pour les trois soirs). La robe s’arrêtait à la limite de ses bas, le moindre mouvement la faisait remonter et dévoilait sa peau nue.

Je l’ai déposée à 100 mètres de la place et suis vite allé me stationner. Il y avait déjà une prostituée, j’espérais qu’il n’y aurait pas de souci avec elle.

Je vis arriver ma chérie et, dans le même temps, la prostituée présente montait dans le voiture d’un homme.

— " Tant mieux, me suis-je dit, comme ça il n’y aura pas de problème avec elle ".

Ma femme s’arrêta quasi à hauteur de notre voiture, je lui fis signe d’avancer encore un peu.

Moins de une minute plus tard, une voiture s’arrêta et elle alla parler avec le conducteur qui repartit.

Le temps de compter jusque trente et c’est une autre voiture qui s’arrêta également. Et là … BINGO !!

Elle monta dans le véhicule qui démarra et prit le chemin de chez nous.

Je les suivais à distance raisonnable, je ne voulais pas faire peur à l’homme et de plus nous nous étions mis d’accord pour qu’elle et l’homme rentre deux minutes avant moi.

Quand je suis entré, ils étaient déjà sur le canapé et s’embrassaient avec fougue. L’homme était de type méditerranéen (je dirai algérien ou marocain, sans certitude) et paraissait âgé d’une cinquantaine d’année.

— " Monsieur est d’accord pour trente euros dans le salon " dit-elle, " et je l’ai prévenu que la fellation serait nature mais les rapports protégés ".

Nous n’avions pas évoqué le sujet, mais ça ne me dérangeait pas.

Le gars n’était pas timide, il la pelotait comme un affamé !

Elle se leva et se déshabilla sans qu’il cesse de la caresser, juste il a pris quelques secondes pour se mettre nu.

Ma coquine a pris sa queue en main, l’a décalotté et l’a lavée avec une lingette parfumée. Ensuite elle l’a un peu masturbé puis a gobé son sexe pour une fellation dont elle a le secret.

Je les regardais s’amuser et mes yeux se sont aperçus que les trente euros trônaient sur la table de salon.

Honnêtement, ça m’a encore plus excité.

Ce n’est pas dans le canapé qu’il l’a baisée, mais à terre. Il a voulu la sodomiser mais, à mon grand étonnement, elle a refusé.

Cela a duré tout au plus un quart d’heure, le gars n’était pas un foudre de guerre ou il y a longtemps qu’il n’avait plus baiser, je ne sais pas.

Le deuxième soir:

Vêtue de la même manière, nous sommes retourné au même endroit. Juste qu’elle s’est mise tout au début de la place car il y avait du monde plus loin.

Il faisait plus calme ce soir-là, facilement dix minutes avant le premier "client" potentiel.

Après une demi heure, toujours rien de concluant et je pensais lui faire signe qu’elle vienne et qu’on rentre.

Lorsqu’une voiture se mit à sa hauteur et que l’homme l’appela. Elle voulu se présenter à la vitre coté convoyeur, mais je le vis faire un geste et elle fit le tour de la voiture. Ils parlèrent un peu puis je la vis qui se redressa et se colla quasi contre la portière.

L’homme sortit une main et la glissa sous la robe de ma femme.

— " Je m’apprêtais à sortir de ma voiture lorsque je m’aperçus qu’elle refaisait le tour de l’auto et montait dedans ".

(elle m’a expliqué par la suite que l’homme était méfiant et voulait s’assurer)

Même façon que le jour précédent, sauf que celui-ci trouvait que cent euros était un peu cher et qu’il n’avait pas envie de faire ça devant moi. Je râlais car il savait dés le départ ce qu’il en était.

Alors je lui ai proposé un compromis: Ils jouaient un peu ensemble devant moi, puis je les laisserais aller dans la chambre seuls pour 50 euros. Ce fut ok.

Celui-là fut meilleur partenaire et j’ai entendu ma femme jouir à plusieurs reprises. Cela ne m’étonna pas car je savais qu’il était plus dans ses goûts. Etrangement, ses partenaires préférés répondre à certains critères: assez âgés, pas trop beaux et même laids, et surtout gros.

Encore une fois cela est dû à ses débuts avec le sexe.

Elle m’a raconté qu’il n’avait pas voulu une trop longue fellation, mais qu’après l’avoir baisée il avait voulu terminer en se vidant dans son petit cul.

Le troisième soir:

Même heure, même tenue, même endroit et …. même client qui s’arrête.

Directement je la vois monter dans la voiture, mais le type ne démarre pas ???

Elle ressort de l’auto et vient près de moi pour me dire:

— " Le gars aimerait qu’on aille chez lui et nous propose deux cents si j’accepte d’être attachée et bâillonnée. Et il aimerait également me promener en laisse dans son jardin ".

— " C’est toi qui vois ", ai-je répondu, " Mais comme c’est assez spécial, et si tu es d’accord de le faire, dis-lui que ce sera 250 ".

Elle est retournée près de lui puis est montée à ses cotés. Le chemin dura presque vingt minutes, il n’habitait pas tout près.

Elle m’a expliqué que durant le chemin il n’avait presque pas cessé de jouer avec sa petite chatte et de lui pincer le clitoris.

Arrivé chez lui il nous offrit un verre puis alla chercher son matériel. Celui-ci se composait de menottes (des vraies !), un bâillon-boule, un collier clouté et une laisse.

Il lui demanda de se mettre totalement nue, lui passa les menottes les bras dans le dos, la fit mettre à quatre pattes et termina en lui passant le collier.

Ensuite il l’attacha à la laisse et la promena un peu dans la pièce en lui expliquant comment elle devrait se comporter au jardin.

J’ai alors demandé au bonhomme de bien vouloir mettre l’argent sur la table et j’ai exigé de pouvoir me rendre au jardin avec eux.

Chose faite, il a ouvert la porte et ma femme, telle une caniche, est sortie la première en tirant (comme il lui avait indiqué) sur la laisse.

Quelques tours de jardin pendant lesquels il la faisait s’asseoir un peu à la manière canine. Je suivais leurs parcours, mais quelque chose m’intriguait.

Discrètement j’ai levé le regard et ai eu confirmation de ce que je pensais: le type de la maison d’à-coté zyeutait le manège.

A ce moment, je n’ai rien dit.

L’autre continuait à promener ma femme, lui intimant également d’uriner.

Quand il lui a dit " Allez ma petite chienne, on rentre à la maison " je lui ai montré son voisin en lui faisant remarquer que j’avais compris le pourquoi du jardin, il voulait que son voisin en profite !!

Il s’est excusé et m’a répondu que c’était une promesse qu’il lui avait faite car le gars vivait seul et n’avait pas les moyens de se payer une prostituée.

J’ai alors proposé que si ma femme était d’accord, il pouvait venir et la caresser pendant qu’il lui ferait l’amour. En précisant bien que cela se limiterait aux caresses. Ma femme a accepté (elle était dans un état d’excitation énorme, et d’ailleurs nous pratiquons maintenant ce jeu de "maître-chienne" souvent entre nous) et il a fait signe à son voisin de venir.

Nous sommes rentrés et le voisin est arrivé.

Tout de suite j’ai compris pourquoi le type avait difficile de rencontrer une femme, prostituée ou non. Il avait 74 ans et un physique pas très avenant !!

Mais bon, nous avions dit oui et il était là.

Tous les cinq nous sommes allés dans la chambre, ma femme toujours menottée mais sans bâillon.

Directement, notre hôte l’a fait mettre à quatre pattes sur le lit et s’est fait sucé. Pendant ce temps le pépé baladait ses mains sur toute la surface du corps de ma femme. Tout en la caressant il l’a traitait de petite pute, de salope. Notre hôte s’est retiré et est venu prendre ma chérie en levrette. Pépé, quand à lui, avait sorti son sexe de son slip et le promenait sur le visage de ma femme.

C’est là qu’elle a ouvert la bouche et s’est emparée du sexe mi-rigide de pépé. Le gars ne s’y attendait pas, moi non plus.

Tandis qu’elle le suçait pépé, notre hôte s’est désaccouplé de ma femme et lui a craché entre les fesses avant de s’introduire d’un coup sec dans son cul. Je crois qu’elle a manqué de cisailler la queue de pépé, tellement le coup fut rude.

Il faut dire que notre hôte ne faisait pas dans la dentelle, il lui assénait de véritables coups de boutoir !

Il éjacula en elle puis demanda à pépé de se bouger.

Pendant quelques minutes c’est tous les deux qui caressèrent ma chérie. Puis quand la forme lui est revenue il s’est placé devant elle pour qu’elle le suce. Et re-éjaculation de sa part, cette fois ma chérie y eu droit au fond de sa gorge.

Quand tout fut terminé, ma femme est allée se relaver quelque peu et le pépé est retourné chez lui.

Nous l’avons attendue en buvant un verre de vin.

Quand elle est venue nous rejoindre, notre hôte l’a félicitée pour son initiative d’avoir sucé pépé, que c’était vraiment gentil de sa part.

— " Oui, dit-elle, sauf que à défaut de sperme, il m’a pissé dans la bouche ".

Effectivement, elle m’a expliqué, au retour, que ce ne fut pas un jet énorme mais une petite quantité d’urine dont il l’avait gratifiée. Et que le goût n’avait pas été terrible.

Suite à ça elle a pu passer une nuit complète avec son jeunot de dix-neuf ans. Pour ce je l’avais laissée seule et m’étais rendu chez ma soeur à qui j’avais demandé de me loger une nuit sous prétexte que je venais de me disputer avec ma femme.

La nuit avec le jeunot fut relativement décevante pour ma chérie, elle était restée sur sa faim car il n’eut aucune imagination et, malgré les directives de ma femme, se révéla un piètre amant.

Comme quoi jeunesse et qualités physiques d’un amant ne sont pas gage de plaisir pour une femme.

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