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La tentation d'un quadra – Chapitre 2

Un père admirable - Chapitre 6



Bonjour,

Je me décide à poursuivre ma petite histoire; si elle vous plaît, faites-moi signe.

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Quelques jours plus tard

Nous sommes à la mi-novembre, le vendredi 15 très précisément, et ce soir, je reçois les voisins de l’immeuble pour l’apéro, histoire de faire connaissance. J’ai mis les petits plats dans les grands, c’est-à-dire les chips, les cacahuètes et les olives dans des assiettes en carton et j’ai entassé des tas de verres et de gobelets plus évidemment quelques bouteilles. Ils arrivent par paquets, un couple à la fois, peu d’enfants. Le temps de me présenter, servir à boire et leur dire de se resservir quand ils le désireront; quelques mots, et je m’éclipse pour accueillir les suivants. Au total, j’ai huit voisins. Je veux dire huit familles, non sept, en fait, je me comptais dans le tas. Tous ne sont pas encore là, mais l’ambiance est déjà sympa et décontractée. Tout le monde connaît tout le monde sauf moi bien entendu, les conversations vont bon train et le brouhaha monte doucement.

Les derniers arrivés sont quatre, un couple et deux adolescentes et ceux-là, je sais tout de suite quel appartement ils occupent. L’une des deux est blonde, pas très grande, les cheveux plutôt longs, moins qu’il ne m’avait semblé vu de ma fenêtre. Une ado qui se pointe avec ses parents à un apéro de voisinage, c’est un peu surprenant quoiqu’avec sa copine (elle ne semble pas être sa sur en tout cas), c’est sans doute moins barbant.

Les présentations faites, elle s’appelle donc Virginie et sa copine Lucie ou Lucy, je n’ai pas eu l’orthographe. Virginie aura bientôt 18 ans, je l’aurais crue plus jeune que cela, mais c’est dit en présence de ses parents, son amie approche les 19 ans. Elles me serrent la main toutes les deux et je ne sais pas si c’est seulement un effet de mon imagination, mais il me semble que Virginie me la serre un peu plus longuement, tout en me regardant dans les yeux; ou alors, est-ce que cela aussi, je l’ai imaginé ? Il est vrai que je la vois encore les cuisses grandes ouvertes, les genoux ramenés sur la poitrine, le sexe offert et la main qui s’agite sur sa vulve.

Si je laisse encore aller mon imagination, je vais être bien embêté. Je sens déjà que ma queue se réveiller, heureusement mon jean est étroit, cela me gêne et cela tombe bien : je ne bande pas aussi aisément que dans un vêtement plus ample.

Elle s’éloigne avec son amie et toutes deux se réfugient dans un coin, un verre de coca à la main, une assiette de cacahuètes et de mini- pizzas entre elles, et elles se lancent dans d’interminables confidences… enfin, je suppose.

Le temps passe, je discute un peu avec tout le monde, on parle de nos boulots. Tout le monde sait ainsi que je suis prof de physique et le seul mot de physique semble, comme d’habitude, les effrayer. Peut-être sont-ils prêts à fuir. De temps en temps, je regarde ma petite voisine et sa copine. Comme je m’y attendais, elles se chuchotent à l’oreille tout en pouffant de rire de temps à autre, mais presque à chaque fois, l’une d’elles me regarde et quand elle me voit les regarder, elle le signale à l’autre et elles repartent dans de nouvelles confidences, dont je me demande si elles me concernent.

Je n’ai pas encore parlé de leurs tenues ni même de Lucie ou Lucy. Celle-ci est assez grande, élancée, brune, les cheveux longs. Elle porte un jean qui semble la mouler comme une seconde peau et un pull au col en V qui s’ouvre sur deux petits seins arrogants. Tout à l’heure, elle me les a presque mis sous le nez, la vache ! Elle a les ongles peints et elle est maquillée, un peu trop peut-être. Cela lui fait de grands yeux noirs, elle a des lèvres assez minces et son rouge à lèvres semble en déborder, ce qui choque un peu, dans un ensemble fort attirant au demeurant.

Virginie est aussi en jean, mais ce n’est pas la même coupe ou il lui va moins bien. En haut, elle porte un T-shirt blanc, orné d’une inscription "fruit of the loom" en lettres dorées. Pas de soutien-gorge, si j’en juge par ces deux pointes qui percent le T-shirt. Elle a les seins d’une ado. Cela défie les lois de la pesanteur à cet âge-là ! Quand elles sont allées s’asseoir, je n’ai pas manqué de les regarder. Deux jolis petits culs ! Malgré son jean moins serré, celui de Virginie rivalise sans peine avec celui de sa copine, on en mangerait ! Elles se sont retournées toutes les deux et je ne pense pas qu’elles aient raté mon regard ; je crois bien que j’en ai rougi.

Finalement, tout le monde ne viendra pas. Entre autres choses, les parents de Virginie m’informent que Lucy (e) est la fille du couple qui occupe l’appartement du troisième étage, mais que ses parents sont en déplacement, elle est donc quasi constamment fourrée chez eux. Apparemment, c’est la meilleure amie de Virginie et elles ne se quittent guère, dormant, mangeant aussi bien chez l’une que chez l’autre. Je crois comprendre que la chambre de Lucy (e) se situe exactement au-dessus de celle de Virginie ce qui fait donc qu’elle surplombe mon séjour de la même manière que je surplombe la chambre de Virginie… il faudra peut-être penser à mettre des rideaux, mais à ce moment, je n’y pense pas trop, trop occupé à passer des uns aux autres… et à lorgner au passage mes deux petites voisines qui ne manquent toujours pas un seul de mes coups d’il.

Il faut dire que les adultes ont l’air bien sympas, mais pas très sexy, et pour moi, les femmes n’attirent mon attention que si je me sens un minimum attiré. Autrement, elles sont comme les mecs ni plus ni moins et ne m’intéressent pas particulièrement.

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