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La tentation d'un quadra – Chapitre 9

La tentation d'un quadra - Chapitre 9



Gilles, fin janvier 86

L’autre jour, en rentrant, j’ai une nouvelle fois croisé Virginie sous le porche. Le gars qui l’accompagnait m’a semblé ne pas être le même que l’autre jour. Eh eh, elle a bien raison. Il faisait noir et quand j’ai allumé, je les ai surpris en pleine action. Ils avaient l’air de bien s’entendre, c’est le moins qu’on puisse dire. Lui était adossé au mur, le jean à mi-cuisses, elle était accroupie face à lui. Elle tenait sa queue à la main, mais je crois bien qu’elle l’avait sucé avec succès. Je ne me suis pas beaucoup attardé évidemment (un petit peu quand même), mais je suis quasiment certain qu’elle avait des filets de sperme sur les joues. Elle s’est rapidement essuyé les lèvres du dos de la main, mais j’en donnerais ma main à couper … enfin peut-être pas, j’y tiens quand même.

Deux semaines plus tard…

Les croisant dans l’entrée de l’immeuble, je demande à mes petites voisines si elles ont aimé les cassettes que j’ai enregistrées pour elles et déposées chez Virginie. Oui, beaucoup. Bêtement, je leur rappelle que si elles le désirent, elles peuvent venir les écouter sur ma chaîne Hi Fi et découvrir les Pink Floyds. Elles se regardent, chuchotent et me demandent si c’est possible ce soir. Me voilà pris au mot, elles passent d’abord chez elles, en attendant, je corrige quelques copies.

Les voici, elles se sont changées, recoiffées et manifestement maquillées. Elles ont dû se donner le mot ma parole ! Toutes deux en jupe, des pulls légers largement décolletés et encore une fois pas de soutien-gorge. Ce n’est pas pour me déplaire et elles peuvent vraiment se le permettre, elles ont la poitrine orgueilleuse, des seins qui pointent le plafond ou presque.

Waouh, vous êtes superbes toutes les deux ! Quelle allure ! Vous devez faire baver d’envie tous vos copains, et vos petits amis ont bien de la chance.

J’en fais un peu (beaucoup) trop, mais c’est vrai qu’elles m’impressionnent et puis ce ne sont que des mots.

Bof dit Virginie tout en rosissant un peu.

Je la taquine.

Le gars avec qui je t’ai vu l’autre jour avait l’air pas mal et tu semblais bien l’apprécier.

Nous aussi, on vous a vus avec cette femme brune. La classe ! Et puis qu’est-ce qu’elle est sexy !

Mais vous aussi, vous êtes très sexy, très désirables même ! En tout cas, moi, je craquerais et je serais bien en peine de choisir entre vous deux.

Il est temps de passer à la musique.

Je les invite à s’asseoir sur le canapé, car c’est là, la meilleure position d’écoute face aux enceintes, je mets "The Wall". Ça a l’air de leur plaire. Je leur sers un coca et je m’assieds à mon tour. Le canapé n’est pas bien grand, juste trois places. J’ai l’accoudoir à ma gauche, Virginie à ma droite. Mon bras droit est coincé entre elle et moi et frôle sa poitrine, j’en sens toute l’élasticité. On dirait que je concentre une quantité de fibres nerveuses dans mon avant-bras. J’a dû insister un peu trop, j’imagine parce que, brusquement, elle tourne la tête vers moi, rougit un peu, me semble-t-il, puis repose à nouveau la tête sur le dossier du canapé et ferme les yeux comme pour se concentrer sur la musique… mais elle ne s’est pas écartée. Au contraire, il me semble que sa cuisse s’appuie un peu plus contre la mienne, mais non, je prends mes désirs pour des réalités ! Et puis non, je ne peux pas désirer ça, ce sont des mômes !

Je finis par poser le bras sur le dossier du canapé, derrière elle donc. Ce n’est pas forcément mieux.

Elle n’est pas très grande et je la domine assez pour avoir un point de vue fort intéressant sur le décolleté de son pull et sur une bonne partie de ses seins. Ce que je ne vois pas directement, je le devine au travers de la laine fine, c’est peut-être encore plus excitant. On dirait deux crayons tentant de percer le lainage. Elle remue un peu et il me semble mieux sentir son contact. Mes terminaisons nerveuses se concentrent sur mon côté droit. Avec une pareille musique et ce contact envahissant, je plane, je rêve, j’imagine une Virginie très entreprenante et un peu perverse, un monde sans tabous et… je bande.

Je ne sais plus où me mettre, mais ça ne s’arrange pas. Virginie a ouvert les yeux, pile au mauvais moment. Là où pose son regard, la bosse de mon pantalon doit être clairement visible. Je dois être rouge jusqu’aux oreilles. D’autant qu’elle se penche vers son amie et lui chuchote à l’oreille et la voilà qui me regarde à son tour. Je voudrais disparaître dans le canapé. C’est au tour de Lucie de se pencher vers son amie. Dans cette position, le décolleté de son pull bâille et m’offre une vue imprenable sur ses seins découverts jusqu’aux mamelons.

Elle reste ainsi je ne sais pas combien de temps, beaucoup trop en tout cas. Elles s’amusent de mon désir. Je finis par me décider à me lever et à gagner la salle de bains.

Je ne suis pas plus avancé, mais au moins, j’ai pu donner un peu d’aise à ma queue qui était méchamment comprimée. J’essaie de me calmer, je bois un peu d’eau. Rien n’y fait. Il y aurait bien la solution de me masturber, mais je suis resté absent bien assez longtemps déjà.

Je reviens pour les trouver en plein conciliabule, je l’aurais parié. Je ressers du coca et m’assois dans le fauteuil qui fait face. Je bois un coup pour me donner une contenance. Heureusement, le disque se termine, elles me quittent en me faisant la bise, une bise un petit peu trop appuyée: Lucie a réussi à frôler ma queue de son ventre et Virginie s’est débrouillée pour que nos lèvres se frôlent. C’est ça, ou bien j’ai rêvé?

Gilles, fin janvier 86

Hier, j’ai croisé ma jeune voisine Virginie. Comme je lui demandais si tout allait bien pour elle, elle m’a confié qu’elle ne comprenait strictement rien à ces "horribles trucs" (je la cite) de développements limités. Puis elle m’a regardé comme si elle hésitait avant de se lancer. Après tout, je dois être très calé dans ces machins-là, peut-être pourrais-je lui expliquer ?

Je ne pouvais pas refuser, je l’attends donc d’un instant à l’autre en cette fin d’après-midi. J’ai fait un peu de rangement sur la table du séjour et disposé deux chaises côte à côte. La voici. J’ouvre. Elle a l’air bigrement intimidée. Elle est en jupe et baskets, des collants noirs opaques et un blouson en polaire rose. La jupe est rouge, ça choque un peu !

Ça s’arrange quand même rapidement puisque la température de la pièce ne justifie pas du tout sa polaire. Dessous, elle porte un chemisier blanc genre chemise d’homme en fait. Sa jupe est très courte. L’ensemble est plutôt joli, pas forcément nécessaire pour une leçon de Maths, mais j’apprécie et je le lui dis très simplement tout en nous installant.

Je commence donc à lui expliquer les mystères des développements limités. Elle m’écoute très attentivement et essaie de faire l’exercice que je lui propose. Ça n’a pas l’air d’avancer beaucoup, je la détaille un peu plus tandis qu’elle réfléchit. Les boutons du haut de son chemisier sont ouverts, je n’avais pas noté ça tout à l’heure. Les deux pans de sa chemise sont assez écartés pour me donner un joli point de vue sur le haut d’un sein bien rond. Je ne vois pas trace de soutien-gorge, mais j’ai déjà pu noter qu’elle n’en portait pas toujours… et que ses tétons pointent fort sous les T shirts. J’ai de la peine à détourner mon regard. L’envie de toucher est presque irrésistible, ça a l’air si doux, si ferme, si élastique. Les seins d’une ado, je n’en ai pas touché depuis… ma propre adolescence, mais les souvenirs sont très présents. J’ai presque encore dans la main la sensation que m’ont procurée ceux de ma première petite amie.

Sa cuisse effleure la mienne, contact délicieusement troublant. Je m’écarte bien vite, mais je dois bien reconnaître que c’était fort agréable.

Je recommence mes explications, elle m’écoute religieusement, la tête penchée sur le côté en appui sur la main droite, ses yeux dans les miens. Tiens, elle s’est maquillée, un peu trop peut-être, mais c’est pas mal. Sa jupe courte, ses bas noirs, son chemisier un peu trop entrouvert et son maquillage, ça lui donne un peu un air de Lolita en chasse. Sa cuisse s’appuie à nouveau contre la mienne. Cette fois, l’appui est plus franc, je ne suis plus très sûr qu’il s’agisse d’un simple contact involontaire, je commence à me demander ce qu’il en est. Je m’écarte à nouveau, je dérive vers la gauche (à l’opposé de mon "élève"). Elle me regarde toujours droit dans les yeux.

Vous êtes beau.

Rien à voir avec les Maths. Evidemment, j’aime bien entendre ça, même si ça me surprend toujours un peu, mais d’une gamine… !

Merci, c’est sympa, t’es pas mal non plus, mais si on en revenait à ces exercices ?

Elle replonge quelques minutes sur sa feuille de brouillon et moi, je la détaille sans vergogne. Il me semble qu’elle a encore ouvert un bouton de son corsage. Je vois son sein droit en quasi-totalité, le gauche m’est évidemment caché par le tissu. Effectivement, elle ne porte pas de soutien-gorge, je vois nettement un téton qui pointe et me semble bien gros et le mamelon qui l’entoure. J’adorerais le faire rouler sous ma paume ou sous ma langue. Je sens que je commence à bander, ma queue est comprimée par le jean. La sensation est à la fois agréable et frustrante. J’essaie de me ressaisir et je me penche sur la feuille de brouillon qui reste désespérément vide de toute nouvelle tentative. Je reprends mes explications.

Cette fois, sa cuisse s’appuie contre la mienne sans aucune ambiguïté possible. Je la regarde, interloqué. Je ne peux plus, décemment, faire mine de rien.

Je repousse un peu ma chaise et je la regarde. Sa courte jupe est relevée jusqu’en haut des cuisses. Ce ne sont pas des collants qu’elle porte, mais des bas retenus par des jarretelles ! Ça, ça me la coupe ! Le contraste des bas noirs et de la peau blanche coupée par le trait vertical des jarretelles a quelque chose de très érotique, je réagis au quart de tour et, sur ma queue, la compression du jean est presque insupportable. Je ne peux pourtant pas y faire grand-chose sans qu’elle s’en aperçoive immédiatement. Elle repousse aussi sa chaise et écarte les jambes un instant, ce qui me permet d’entrevoir tout en haut, un petit triangle noir.

Ses yeux sont fixés sur mon ventre, je bande, je suis sûr qu’elle le voit. Je croise les jambes pour essayer de masquer ça et je prends mon air le plus sérieux.

Ecoute, je suis désolé de dire ça, tu n’y prends sans doute pas garde, mais je ne suis pas de bois, tu sais, et tu n’es plus une enfant alors essayons de garder nos distances.

Elle rougit un peu, tire sur sa jupe… et se penche assez pour entrebâiller plus encore le col de sa chemise. Ses seins m’apparaissent presque en totalité. Ils sont ronds, fermes, les tétons dardés. Je n’ai qu’une envie bien sûr, introduire la main dans ce col ouvert, caresser du bout des doigts ces deux globes magnifiques, les prendre en mains. Je suis au supplice, elle m’excite la petite garce et je commence à penser que ce n’est pas si innocent.

Fais attention s’il te plaît ou il faudra nous arrêter là.

Elle rougit plus encore, jusqu’aux oreilles. Elle semble prendre son souffle pour se lancer à nouveau.

Je ne vous plais pas ?

Si, bien sûr. Tu es très jolie et même très sexy, mais tu n’as pas 18 ans, je pourrais être ton père. Je comprends que tu aimes séduire, j’adore ça moi aussi, mais séduis les garçons de ton âge. D’ailleurs, tu as un petit ami, je crois bien. Profites-en.

Je vous ai vus, vous savez, avec votre amie, l’autre soir.

Je ne me souviens pas t’avoir croisée, mais, oui, OK, et alors ?

Je vous ai vu tous les deux quand vous étiez ici, dans votre appartement.

Pardon, que veux-tu dire ?

Je vous ai vu tous les deux quand vous faisiez l’amour.

Excuse-moi, je ne voulais pas te choquer. Décidément, il faudra que je mette des rideaux au plus vite.

Oh non, pas de rideaux ! J’ai adoré vous voir tous les deux, vous étiez si beaux.

Tu as ton petit ami… tu as l’air de bien l’aimer. Découvre donc tout ça avec lui, tu as le temps.

Il est… il sait pas s’y prendre comme vous !

Il apprendra vite sans doute.

Elle est maintenant redevenue toute timide, les cuisses serrées, elle tire sur sa jupe sans arrêt. Elle est attendrissante et peut être encore plus sexy comme ça.

Tu sais, tu me plais beaucoup, si tu étais un peu plus vieille, je ne pourrais pas résister. Pour aujourd’hui, je crois qu’il vaut mieux arrêter la leçon de maths, mais je serai toujours très heureux de t’aider ou de discuter avec toi et tu me ferais très plaisir si tu revenais écouter de la musique comme l’autre jour par exemple.

Je naurais pas dû dire ça, ce nest pas malin. Autant lui dire que j’ai envie qu’elle revienne me provoquer comme aujourd’hui. Bah, dans le fond, c’est bien ça que je voudrais en fait.

Elle enfile sa polaire, je la raccompagne et l’embrasse sur les deux joues.

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