Histoires gays Histoires tabous

la vie sexuel d'un jeune manipulateur – Chapitre 7

la vie sexuel d'un jeune manipulateur - Chapitre 7



Chapitre 7 : La nuit dans la maison (partie 2)

Nous étions allongés Sophie et moi sur le canapé en face de la télévision, nos lèvres jointes, chacun bouillonnant de désir pour lautre. Jétais étendue au-dessus delle, savourant sa douce bouche et caressant de ma main droite sa peau de pêche tandis que ses jambes me déshabillaient. Jôtais alors mon t-shirt pour lui offrir mon torse, depuis le temps quelle devait en rêver. Nous nous retournâmes sur le canapé : jétais à présent allongé sur le dos, lobservant jouer des épaules, ses longs cheveux blonds encerclant son visage qui sétait animé dune lueur vicieuse qui mexcitait tellement. Elle membrassa follement, une de ses mains descendant caresser à travers mon short ma queue tendue par lexcitation. Elle devait être en manque cette femme, une vraie petite chienne qui avait dû en voir plusieurs des bites devenues raides par sa faute. Ses lèvres rejoignirent sa main en sattardant sur mon torse pour me mordiller les tétons et me lécher le nombril. Elle atteint mon entre jambe et me regarda soudain comme pour me demander la permission de sattaquer à ma bite recouverte par le jean et le tissus. Jaffichais directement un léger sourire en coin tout en enfonçant mon regard dans ses pupilles, je voyais ses yeux se perdre dans les miens, elle semblait défaillir. Jadorais cette sensation qui menvahissait lorsquà travers les yeux dune femme je la voyais soffrir, abandonner toute résistance, devenir une chienne, une esclave sexuelle. Ses pupilles se dilatèrent lentement, elle semblait droguée face à mon regard signifiant « suce-moi si tu loses salope ». Sa mâchoire sentrouvrit lorsque ses mains vinrent défaire mon short en jean dévoilant mon manche raide et dur à men faire mal. Tout en gardant ses yeux dans les miens elle vint se frotter le visage entre mes cuisses, utilisant mes couilles comme oreiller. Elle mastiquait la bite avec ses joues tandis que ses mains venaient me caresser les cuisses. Je lobservais toujours avec ce même regard de défis et ce sourire à la limite dêtre goguenard. La fierté menvahissait : la mère dun ami se frottait à mes couilles à travers mon boxer, le pied total. Ma bite me brûlait tant je voulais quelle me pompe mais je voulais garder le contrôle visuel, la maintenant en esclavage, lui faire comprendre que dorénavant je maîtrisais tout, quelle mappartenait. Au bout de longues et délicieuses minutes elle lâcha mon regard et baissa brusquement mon boxer pour me gober immédiatement la queue. La différence de température et de milieu me fit sursauter tant le changement fut rapide. Je passais de la rugosité de mon caleçon à la douce chaleur humide de sa bouche. Elle prit immédiatement ma bite en gorge profonde, elle était affamée la salope, jallais la gaver. Elle continua de sempaler sur ma bite pendant que jenlevais mon boxer et mon short. Une fois entièrement nu je ne me gênais pas pour lui pilonner la gorge et la faire saliver autour de mes 19 centimètres, trempant mes couilles et mon pubis rasé de sa mouille buccale. De légers bruits détouffements provenant de sa gueule grande ouverte me firent encore plus triquer. Je voyais ses yeux rougis par le manque doxygène me fixer alors que moi dune main je lui tenais la tête en position et de lautre je prenais la bouteille de vodka pour menfiler un bon shot. Je lautorisais enfin à respirer et lâcher mon chibre. Elle avait la bouche recouverte de salive, des larmes coulant sur les joues, les yeux explosés par la violence de mes mouvements. Je pris la bouteille et la lui callais entre les lèvres. Elle but en me regardant toujours avec cette lueur de défis animant ses yeux. De son propre chef elle senfonça sur ma bite. Ma réaction fut sans précédent. Je sursautais tandis que mon périnée se contractait tant la sensation fut unique. Cette chienne navait pas avalé la vodka, elle cétait contentée de la garder en bouche pour me sucer avec. Le froid du liquide combiné à la chaleur de sa langue et son palais provoquait une explosion de sensation oscillant entre plaisir et douleur causée par la différence de température. Elle continua sa fellation ainsi, quelques gouttes de vodka perlant au coin de ses lèvres venant sécraser sur mes couilles. Elle persista dans cette si unique fellation, me faisant trembler de partout et bouillonner le gland. Je sentais que je nallais pas tarder à jouir. Je la prévenais mais cette salope esquissa un sourire, planta son regard dans le mien, et accéléra ses mouvements. Ma bite me faisait mal tant le contraste thermique mexcitait. En quelques secondes jatteignis le point de non-retour, ma bite se tendit brusquement et Sophie vint donner un ultime coup de langue à mon gland au bon moment ce qui eut pour effet de me faire exploser. Je lâchais un cri étouffé et grave alors que je me déversais dans la bouche remplit de vodka de Sophie qui persistait à me regarder vicieusement. Elle continua de me pomper pendant de longues secondes après que jai giclé puis elle finit son dernier mouvement, remontant le long de ma queue qui restait fièrement tendue. Elle lâcha enfin mon gland qui put se reposer et sapprocha de mon visage. Une fois collé au mien elle avala ce quelle avait en bouche. Je ne pus mempêcher de lâcher un petit « ah la pute » en la voyant avaler mon foutre mélangé à lalcool. Elle membrassa alors, le parfum de vodka persistant dans sa bouche. Ma bite perdait lentement de sa superbe alors que nous nous embrassions passionnément.

-Pas très endurant le petit Guigui, me lança-t-elle avec un petit sourire au coin des lèvres.

-Lendurance ? Laisse-moi 5 minutes et je remets ça, ta chatte va sen souvenir

Elle me dévisagea longuement, avant de me répondre.

-on va voir ça

Je la retournais alors pour la mettre sur le dos contre le canapé et moi au-dessus delle.

-Eh ben alors ? on a aimé se faire déboiter la mâchoire ? fis-je en découvrant son short inondé de mouille.

-La ferme !

Elle me colla le visage entre ses cuisses me forçant à goûter sa mouille. Cela me rendit fou. Jentrepris de lécher le moindre centimètre carré de tissus imbibé de ce liquide féminin si délectable. Lentement jarrêtais mon entreprise et la fixais des yeux avec le même regard vicieux que celui quelle mavait adressé auparavant. Doucement je lui ôtais son short et sa culotte. Elle avait une chatte toute épilée, comme une actrice porno.

-On va voir qui tient le plus longtemps chuchotais-je en enfonçant ma langue entre ses lèvres. Elle fut saisit dun frisson mais ne lâcha pas mon regard. Je continuais à lui lécher la chatte de haut en bas, de droite à gauche en décrivant de petits cercles autour de la délicate entrée de son vagin. Je mordillais son clitoris, la forçant à se contrôler pour garder le contact visuel. Je salivais autour de son sexe inondé de sa propre cyprine et ma salive. Pour la faire défaillir jentrepris de souffler sur sa chatte trempée pour provoquer en elle un terrible frisson puis davaler son sexe en entier pour le réchauffer rapidement créant un effroyable contraste au niveau de son entre jambe. Leffet escompté fut réaliste. Lorsque je lui infligeais ce traitement, elle fut saisie de petits tremblements suivis dun petit cri aiguë des plus excitants. Elle souffla doucement pour se remettre de ses émotions, mais elle avait lâché mes yeux. Je ne pus mempêcher de hausser les sourcils pour exprimer mon contentement.

-Ta gueule et continue ! Cest trop bon ! me fit-elle en mappuyant le visage entre ses cuisses.

Je continuais de la lécher pendant au moins 45 min. Je ressortis ma tête dentre ses lèvres le visage entièrement trempé par sa jute féminine. Mes cheveux me collaient au front et aux tempes tant sa mouille mavait coulé de partout. Je me relevais et me mettais fièrement debout, à côté delle, les mains sur les hanches, messuyant du bras la bouche et le front, la bite tendue au possible exhibée à sa vue.

-Tu vois ? fis-je en prenant ma queue à pleine main et en lagitant pour montrer sa vigueur. Je suis ferme de partout ! Je secouais mon sexe ainsi que mes couilles.

-Tu es un grand garçon, cest bien, me lança-t-elle avec un sourire, se caressant la chatte.

Japprochais mes lèvres de son oreille pour lui chuchoter quelque chose.

-Pas de moqueries ma salope, je vais te faire jouir comme jamais personne ne ta fait jouir. Je sais que tu rêves dêtre soumise, dêtre une chose sexuelle, un trou à bite. Je sais aussi que tu fantasmes sur moi depuis longtemps, jai le pouvoir, je fais ce que je veux de toi. Si je veux je peux te faire hurler de plaisir, là, maintenant, presque devant ton fils, jen ai rien à foutre, alors sache que tu me dois obéissance et soumission.

Je la pris par le menton, elle semblait en transe.

-Comprit ma pute ?

Elle hocha la tête. Je baissais alors mes yeux vers sa chatte. La salope, elle sétait doigté pendant que je lui parlais et sous leffet de mes mots elle avait trempé le canapé de sa chaude mouille.

-Putain tas pas honte, tas niqué le canap avec ta mouille ! lui annonçais-je en mappuyant sur mes genoux entre ses cuisses. Lâche ta chatte.

Ses mains tombèrent de chaque côté de ses hanches transpirantes, mais je sentis que ça les démangeait dy retourner.

-Tiens regarde un peu ce que tu vas prendre.

Je pris ma queue dans ma main et frappais ses lèvres avec. Les chocs produisirent de petits bruits de clapotis tant elle mouillait de désir.

-Tes vraiment une salope toi hein ? Tu te fais baiser par un gosse de 17 ans ! Je mapprochais de son visage, laissant ma main traîner entre ses cuisses, un doigt se faufilant dans son con. Regarde-toi, tas les cuisses écartés devant moi alors que jai pas fait grand-chose pour Taime vraiment ça la bite bâtarde. Depuis combien de temps tu tes pas fait baisé ?

Jenfonçais un deuxième doigt dans sa chatte huileuse ce qui produisit en elle un bon petit sursaut accompagné dun cri de jouissance.

— Ça Elle émit un second cri. Ça fait 3 mois

-Ah oui, quand même

Je sortais mes doigts de son con et les léchais devant son regard médusé. Je savourais cet instant, elle était à ma merci, je pouvais lui imposer nimporte quoi, elle se laisserait faire. Elle devenait lentement ma salope. La mère de mon pote devenait ma chienne, mon objet

-Et depuis combien de temps tu fantasmes sur moi ?

Je lui remis mes doigts.

-Environ 1 semaine Sil te plait, arrête. Huuuummmmmm Je Je vais réveiller Antoine

-Cest pas mon problème ça, tas quà te contrôler Hein ?

Je lui enfonçais un troisième doigt, je sentis sa mouille couler entre ses cuisses.

-Huuummmmm.

-Et quest-ce que tu as le plus maté chez moi ? mes épaules ?

Un quatrième doigt vint sinsinuer dans son sexe dégoulinant de cyprine.

– Non

-Mes pecs ?

-Non

-Mes bras, mes cuisses ?

-Non Ton V

-Ah Je vois Mes doigts senfoncèrent encore plus en elle, je sentis la chaleur de son intérieur de femme qui avait dû se faire culbuter plus dune fois.

Je ladmirais longuement, sentant ses cheveux, respirant sa sueur dexcitation, humant son odeur de chaudasse.

-Sale chienne lui soufflais-je à loreille en faisant bouger mes doigts en son intérieur. Ses jambes tremblaient et devenaient incontrôlables.

Je pris mon téléphone portable et prit une photo delle allongée sur le canapé, la chatte suintante de mouille, mes doigts plongés en elle.

-Maintenant on passe aux choses sérieuses, affirmais-je en sortant mes doigts de son con et en les lui faisant lécher devant mes yeux ébahis par une telle perversité.

Je pris ma queue dans ma main et vins la frotter contre ses lèvres brillantes et rougies par le désir. Je la voyais sagiter devant ma bite de 17 ans comme une droguée sevrée depuis plusieurs jours. Dun coup, après lavoir fait saliver durant de longues secondes, je lui enfonçais mon manche au plus profond de sa chatte, lui arrachant un cri suraigu de plaisir. Mes larges couilles vinrent frapper son entre jambe en produisant un clapotis marqué mexcitant encore plus que je ne létais déjà. Son visage sillumina de plaisir au moment où mes bourses rencontrèrent sa chatte rasée. Jentrepris alors de légers mouvements de bassin au fond de son vagin pour bien lhabituer à lépaisseur de mon membre. Une de ses mains vint se loger sur son bouton pour le triturer avec vigueur tandis que ma queue commençait à la ramoner de plus en plus vite sans prendre la peine découter son plaisir. Jaccélérais encore la cadence, je sentais ma queue qui séchauffer sous le rythme effréné de ma bourre. Je nentendais plus que mes grosses couilles frappant sa chatte, ses gémissements de bonheur et mes râles bestiaux de soulagement. Je navais dyeux que pour ses seins généreux qui ballotaient sous mes coups de rein énergétiques et ses yeux qui se révulsaient deuphorie sexuelle. Ses mains sétaient accrochées au bord du canapé et serraient le tissus avec fermeté alors que je la bourinais avec passion. Une de ses mains glissa sous son dos et vint explorer sa chatte explosée par mon calibre. Ses doigts entouraient mon manche qui rentrait et sortait à une vitesse folle de sa fente, ils caressaient mes couilles qui vibraient au rythme des chocs avec sa chatte. Avec mon pouce je vins titiller son clitoris, la rendant encore plus folle. A la voir se comporter ainsi, offerte à moi, on aurait pu croire que chaque organe de son corps sétait désuni des autres, agissant selon ses désirs tant ses mouvements étaient saccadés et incontrôlables. A ce moment précis je savais que nous nen avions plus rien à faire dAntoine, ce con pourrait se réveiller que ni moi ni Sophie ne tenterions de nous cacher, au contraire nous nous exhiberions tellement notre excitation atteignait son paroxysme. Elle gémissait en continu, sa mouille coulant le long de ses fesses rebondies et de mes cuisses. Sophie était entièrement désarticulée, elle subissait mes attaques sexuelles envers sa chatte sans broncher, elle mappartenait véritablement, jétais en elle, je la possédais, je lavais mérité, elle était mienne.

Enfin elle sembla émergée de sa transe et repris un peu ses esprits. Moi, je nen navais rien à foutre de son état, je la pilonnais sans pitié ma salope !

Sophie arriva à se défaire de mon emprise et descendit, les jambes tremblantes, du canapé. Elle seffondra au sol, se mit à quatre pattes et sappuya sur ses épaules pour se cambrer encore plus. Javais sa chatte et son cul grand ouverts, offerts à ma vue de jeune mec. Cétait une incitation à la débauche que de sexhiber de la sorte ! Dune main elle sécarta les fesses et me regarda avec ce même sourire vicieux que celui quelle mavait adressé avant de me sucer, ce sourire de défis.

Je descendis à mon tour du canapé, le gland brûlant. Je me branlais un peu avant de me planter en elle lui insufflant un gémissement de soulagement. Je lui écartais encore plus ses cuisses de chiennasse pour lui creuser un peu plus le dos et lui ouvrir davantage sa chatte. Je voyais ma queue entrer et sortir de son corps dans des bruits de succion, ses lèvres moulant à la perfection mon épais calibre. De la mouille suintait de partout, dégoulinant le long de mes couilles. Jadmirais son trou sécarter et se refermer selon mes envies. Cest à ce moment-là que ma salope lécha son index et vint se le carrer dans le cul. Je cru défaillir tant je ne my attendais pas. Cette petite MILF aimait se faire défoncer le cul ? Ça ne pouvait quêtre une invitation à lui démolir le fondement. Je continuais mes vas et viens à travers sa moule huileuse tandis que je jhumidifiais mon pouce de sa mouille. Je vins ensuite le placer entre ses fesses et masser ses anneaux anaux. Je vis son cul se détendre et souvrir lentement, révélant un trou béant, signe dune pénétration quelle appréciait particulièrement. En plantant mon regard dans le sien, jenfonçais mon pouce dans son cul grand ouvert. La mère dAntoine émit un léger cri contenu et se mordilla la lèvre. Je fis de grand aller-retour avec mon pouce à un rythme différent de celui maintenu par ma queue pour quelle nait jamais de repos. De temps en temps je crachais sur son trou pour bien le lubrifier et faciliter linsertion dun doigt supplémentaire. Ma pute avait rechuté, elle tremblait à nouveaux sous mes assauts. Dun coup, sans prévenir, je sortis ma queue de sa chatte pour la planter dans son cul. Ses yeux sagrandirent soudain, sous le coup de la surprise. Ses mains se crispèrent et son cul se serra dun coup, enfermant ma bite dans ses profondeurs intimes rendant mes coups de reins encore plus délicieux. Je la voyais haleter, javais le contrôle sur sa douleur et son plaisir, à moi de choisir quelle sensation jallais lui infliger. Par pitié pour elle, je ralentis la cadence pour laisser le temps à son cul de shabituer. Lentement mais sûrement son trou se détendit à nouveau me facilitant mes aller retours. Au bout de 5 minutes elle appréciait pleinement ma sodomie et gémissait de plaisir. La salope en bavait presque sur le plancher.

Je me relevais, prenais appui sur mes pieds et mappuyais sur son dos pour la bourriner comme elle en rêvait. Ma bite coulissait à merveille dans ce gouffre. Javais les cuisses à moitié pliées, le torse plaqué contre son dos, et la queue planté dans son cul bien rond de femme désespérée. Le pied total. Je pouvais entendre ses halètements. Une de ses mains vint saisir la mienne et la serra fortement tandis que mes assauts se faisaient plus violents quauparavant. Ma bite me brulait tant jadorais lui affliger ce traitement. Je sentais ses cuisses trembler alors que les miennes commençaient à émettre des signes de faiblesse. Au bout dune dizaine de minutes dans cette position je nen pu plus, javais du mal à respirer et mes jambes criaient au repos. Je me laissais alors tomber sur le dos aux côtés de Sophie dans un bruit mat. Cette dernière se retourna et vint avaler ma bite tout en me donnant sa chatte luisante de sa délicieuse mouille à bouffer. Je ne me fis pas prier. La sensation de chaleur englobant mon manche dans la gorge de Sophie conjuguée à lexcitante odeur de sécrétion féminine qui me coulait sur le visage me rendait fou. Je voulais que ce moment ne cesse jamais. Cette salope sempalait véritablement sur mon chibre, sétouffant sans doute alors quelle appuyait son bassin contre mon visage, me forçant à lui avaler le clito sans ménagement. Jentendais ses bruits de gargarisme dus à la profondeur à laquelle ma queue senfonçait dans sa fine gorge. Elle devait ruisseler de salive puisque je sentais un liquide couler sur la base de ma queue. Cette salope se donnait à fond pour me faire jouir. De mon côté je nétais pas en reste de bonnes activités. Sa délicieuse chatte métourdissait, javais les oreilles qui sifflaient, la tête brûlante, les yeux sans doute explosés tant jy mettais dardeur pour lui dévorer la moule. Ses cuisses me serraient le visage alors que je donnais de grand coups de bassin enfonçant encore plus mon calibre dans sa gueule grande ouverte. Elle avait pris mes cuisses de ses mains pour se plaquer encore plus à moi, je sentais à présent son nez frôlant mes couilles. Ce 69 passionné dura sans doute longtemps mais javais perdu toute notion du temps, il pouvait être 1h du matin tout comme 4h Nous étions dans un univers parallèle dans lequel la fatigue navait pas demprise sur nous.

Je la retournais, lobligeant à lâcher ma queue et la prenais par les aisselles pour la déposer sur une chaise haute de bar. Dinstinct elle écarta les cuisses pour me laisser la défoncer. Jétais debout, la bite à hauteur de sa chatte, sa tête au niveau de mes pecs. Je lenfilais brusquement, elle était si ouverte quelle ne cria même pas, elle se contenta de souffler de bonheur en me regardant avec ses yeux de femme soumise. Je reprenais mes coups de reins avec encore plus de violence quavant, la chaise était collée contre un mur et faisait trembler les cloisons tout comme lavait fait la musique le soir de notre rencontre. Je pris le dossier de la chaise pour atténuer les chocs et ladmirais en train de se faire limer la chatte. Elle me prit par le cou et membrassa fougueusement en passant ses mains dans mes cheveux, en les serrant, mempêchant de me relever. Je sentis alors son bas ventre vibrer, entrer en ébullition. Je plaçais rapidement une de mes mains sur son clitoris pour lastiquer de toutes mes forces. Elle se mit à trembler, être agitée de spasmes désordonnés, ses yeux convulsaient, ses mains se crispèrent derrière ma tête. Elle cessa de membrasser et commença à jouir. Jenfonçais ma langue dans sa bouche pour lempêcher de hurler tout en maintenant mes coups de queue et mes mouvements circulaires sur son clito. Rapidement il était devenu évident quelle était victime dun orgasme des plus violents. La voir dans cet état second de bien être sexuel, et savoir que je ly avais plongé me fit défaillir et ma queue se tendit et se déversa dans sa chatte frétillante dans une explosion de plaisir, vice et jouissance à un niveau quasi criminel. Je giclais tant que sa chatte était pleine au point de ne pouvoir contenir tant de foutre. Mon sperme coula sur mes couilles, mes cuisses et ses fesses. Nous en avions partout mais nous ne cessions de jouir et de nous agiter pour faire durer ce moment dextase, produisant ainsi de fort clapotis dus au sperme dégoulinant sur toute notre anatomie, nous éclaboussant de partout au fur et à mesure que nos corps sentrechoquaient. Le vice et la luxure nous habitaient, nous nen navions plus rien à faire de tout, le risque de nous faire griller par son fils, celui dune grossesse On emmerdait tout ça, on jouissait à lunisson. Au fur et à mesure nos mouvements se firent moins rapides, plus amples, moins violents, pour finir par se stopper. Nous nous arrêtâmes au bout de plusieurs minutes après avoir joui. Ma queue resta coincée entre ses douces lèvres vaginales lubrifiées par mon foutre et sa propre mouille. Je plantais mon regard dans le sien et elle membrassa doucement avec un sourire attendrissant. Je lavais baisé, javais eu ce que je voulais, comme dhabitude.

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire