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La villa des culs brisés : Une téléréalité porno – Chapitre 5

La villa des culs brisés : Une téléréalité porno - Chapitre 5



Johnny se dirigea vers un super marché. Il savait que l’épreuve était très inégale par rapport aux femmes, mais il s’attendait à ce qu’il y ait de telles différences. De plus, il passait sa vie à développer des techniques pour baiser des femmes le plus rapidement possible. Cette épreuve ne lui faisait pas vraiment peur.

Arrivé dans le super marché, il fit discrètement un tour de repérage. Il trouva la cible parfaite. Une jeune et jolie fille qui était probablement une étudiante. Elle n’achetait que des produits pas chers et en quantité. Il fit mine de regarder ailleurs et en passant à côté d’elle, il trébucha sur son caddie.

Non, mais vous pouvez pas faire attention ! sexclama-t-il.

Désolé, je… Faites attention où vous marchez aussi ! Vous avez tout renversé !

Johnny fit un air étonné, puis regarda le caddie renversé.

C’est vrai, pardon, je suis désolé, je suis un peu stressé en ce moment au boulot, je me suis emporté pour rien. Attendez, laissez-moi vous aider.

Non, c’est bon, c’est pas grave, dit-elle en ramassant ses courses.

J’insiste, vraiment, je ne suis pas comme ça d’habitude, je ne voudrais pas vous laisser une mauvaise image de moi. Laissez-moi au moins vous aider à porter vos courses.

L’étudiante resta un moment interloquée, regarda Johnny, puis sembla trancher devant le sourire charismatique de l’acteur.

Écoutez, si vous insistez, d’accord, j’habite juste à côté en plus. Vous êtes sûr que ça ne vous dérange pas ?

Bien sûr que non, ça me fera du bien de penser un peu à autre chose qu’à mon boulot, tu es étudiante ?

—————-

Angela, elle, n’avait encore trouvé personne. Ce n’était pas un enjeu primordial, et elle n’était pas très motivée d’utiliser ses points individuels, mais elle voulait tout de même faire l’épreuve par défi personnel. Elle chercha donc un joli café parisien, dont les tables étaient ornées de nappes blanches quadrillées de rouge, et elle y repéra un homme seul, pas trop moche. Elle s’assit en face de lui, quelques tables plus loin, et commanda un cocktail.

Elle commença alors un jeu de regard avec l’homme d’une quarantaine d’années, en costard et plutôt propre sur lui, une dégaine d’intello. Elle sourit quand elle vit qu’il la regardait aussi et ils finirent par se fixer plus longtemps. Elle vint alors à sa table :

Bonjour, je ne vous dérange pas ?

Pas du tout, que me vaut le plaisir de votre présence ?

Vous venez souvent ici, non ? lança Angela, au hasard.

En effet, mais je ne vous ai jamais vue ici, je me trompe ?

Vous ne m’avez jamais remarquée, mais moi, je vous ai remarqué.

Que voulez-vous dire ?

Angela se pencha alors sur la table et l’embrassa tendrement. Il ne réagit pas dans un premier temps, et puis finit par lui rendre son baiser.

Eh bien, on peut dire que vous êtes directe.

Tu n’as encore rien vu ! répondit-elle dans un sourire lubrique.

Elle fit alors mine de faire tomber l’élastique qui retenait ses cheveux, et se glissa sous la table. L’homme fronçait encore les sourcils quand il sentit les mains de la jeune femme glisser le long de ses jambes. Il ne put s’empêcher de laisser échapper un petit cri de surprise, mais ne dit rien. Angela avait maintenant la main posée sur son entrejambe. Celle-ci avait choisi ce café spécialement pour ses longues nappes qui lui permettaient de se donner à cur joie sous la table.

Elle commença donc à ouvrir sa braguette, et sortit le sexe de l’inconnu. Elle sentit celui-ci frissonner. La situation l’excitait au plus haut point, et elle commença à faire des va-et-vient avec sa main pour le faire bander, ce qui ne dura pas longtemps. Soudain, elle entendit la voix de la serveuse au-dessus d’elle.

Tout va bien, Monsieur ? Vous n’avez pas l’air dans votre assiette, demanda-t-elle.

Tout va bien. Hmmm.

Il fait très chaud dans votre bar. Hmmmm. Très très chaud.

Angela se saisit alors de sa bite et l’enfonça dans sa gorge, pour le rendre plus mal à l’aise encore. Il lâcha un petit cri qui fit sursauter la serveuse.

Monsieur, est-ce que c’est votre café qui vous fait cet effet ? Vous désirez peut-être un verre d’eau ?

Oh oui, un verre d’eau froide, ce serait parfait ! dit-il d’un ton beaucoup trop empressé.

Au moment où la serveuse partait, l’homme poussa un nouveau cri, cette fois de relâchement. Il venait d’éjaculer dans la bouche d’Angela. La serveuse se retourna juste à temps pour voir la voir sortir de dessous la table en déglutissant. Elle sourit :

Vous mettrez mon verre sur la note de Monsieur, dit-elle.

Et elle sortit du bar qui était plongé dans un silence terriblement gênant.

————-

Pendant ce temps, Johnny était arrivé à l’entrée de l’appartement. Il déposa les courses, lui sourit et dit :

Bon, je vais pas te déranger plus longtemps. Merci d’avoir égayé ma journée !

Il se retourna, descendit quelques marches en comptant jusqu’à dix, et il entendit :

Attends, tu veux pas venir prendre un verre ? C’est que j’ai rien de prévu là tout de suite.

Bingo ! C’était gagné. Il rentra dans le minuscule appartement, et, à peine avait-elle fermé la porte qu’il se mit devant elle et la regarda dans les yeux, sortant son regard le plus sexy possible. L’étudiante ouvrit la bouche en termes d’acceptation, et Johnny l’embrassa, lui attrapant les fesses à pleine main.

Elle ne chercha pas à résister et Johnny l’embrassa alors sur l’oreille et dans le cou, en lui caressant la tête. Il la fit alors tourner vers l’intérieur de l’appartement et lui dit :

Pourquoi tu ne me ferais pas un tour du propriétaire ?

Bah, écoute, c’est simple, le lit, la cuisinière, la douche, et… J’ai déjà dit le lit ? dit-elle en riant.

Va pour le lit alors !

Et il la poussa doucement vers son lit. Elle s’allongea pendant que Johnny passait ses mains sous son t-shirt et l’embrassait dans le cou. Elle sourit de plaisir et Johnny lui détacha son soutien-gorge. Il vint ensuite lui embrasser le ventre, montant doucement jusqu’à ses seins. Il la regarda alors, cherchant son assentiment et elle lui sourit, se mordant la lèvre. Il lui embrassa donc délicatement les tétons, puis les seins.

Il serait temps d’enlever ça, tu ne penses pas ? dit-il en montrant le t-shirt.

D’accord, mais alors, je t’enlève ça aussi !

Elle se releva, retira son t-shirt d’un geste, puis commença à ouvrir la chemise de Johnny. Elle lui caressa le torse.

Mmmh Monsieur va à la salle on dirait.

Toi aussi, tu entretiens bien ton corps, répondit-il, caressant son ventre plat, et de l’autre côté, c’est comment ?

Il la prit par la taille et la retourna délicatement. Il embrassa alors son dos et sa nuque en glissant ses mains devant elle pour ouvrir sa ceinture. Elle se releva et baissa son pantalon, lui montrant ses fesses.

Comment tu trouves ?

Ça sera mieux sans la culotte !

Il s’approcha d’elle, l’enlaçant de ses bras, et il descendit progressivement, prenant la culotte au passage. Il l’attrapa des deux côtés et la descendit avec une grande douceur, tout en continuant de l’embrasser partout. Une fois complètement nue, il la poussa à nouveau sur le lit.

Une fois couchée, il continua de l’embrasser autour de l’entrejambe, approchant sa main de son clitoris. Voyant qu’elle ne disait rien, il vint la caresser doucement, embrassa l’intérieur de ses jambes, et finit par poser sa langue sur son sexe. La jeune fille posa sa main sur la tête de Johnny en guise d’encouragement. Celui-ci commença donc à embrasser doucement ses lèvres, passant sa langue sur son clitoris.

Mmmmh, tu sais t’y prendre toi ! Rien à voir avec les copains que j’ai eus !

Tu n’as encore rien vu.

Il commença alors à la lécher avec délicatesse montant progressivement dans le rythme. Johnny connaissait par cur l’anatomie féminine, il savait exactement comment s’y prendre pour amener une femme au plaisir. Il vit que celle-ci n’avait jamais connu de tel plaisir. Elle fermait les yeux et se mordait les lèvres, voulant éviter d’être entendue par ses nombreux voisins.

La démarche était louable, mais vaine. Johnny commença à la lécher plus abondamment, pénétrant légèrement dans son vagin par moments. Il l’a caressa en même temps sur tout le corps appréciant de ses mains les formes de la belle. Elle lâcha échapper un premier gémissement, et puis se laissa complètement aller.

Ooooh c’est trop booooon !

Il était temps de passer aux choses sérieuses. Tout en continuant de la lécher, il retira son pantalon. Le voyant faire, elle s’exclama :

Oh oui, pénètre-moi maintenant, ma chatte en prête pour toi, mmmmmh.

Il se redressa alors et vint mettre sa bite à l’entrée du vagin de l’étudiante. Il la frotta d’abord un peu contre ses lèvres et son clitoris, la faisant gémir à nouveau. Il commença ensuite à enfoncer son gland entre ses lèvres.

Oooh, elle est plutôt grosse.

Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer, dit-il en embrassant son cou.

Elle ferma les yeux et se concentra sur chaque centimètre que Johnny lui enfonçait, petit à petit. Lorsque sa bite fut entièrement à l’intérieur, il dit :

Tu vois, c’est pas si terrible hein ?

Alleeeez défonce-moi maintenant !

Il n’en fallait pas plus pour Johnny Deep, qui se lança dans une pénétration rapide et endiablée, faisant hurler de plaisir la jeunette. Il la pilonna ainsi pendant 5 minutes avant de ralentir un peu l’allure. Juste assez pour qu’elle puisse dire :

Prends-moi en levrette, j’adore ça.

Johnny se retira et la laissa se mettre à quatre pattes. Il adorait voir une femme présenter son cul de cette manière, se préparant à accueillir sa bite dans son intimité.

Mmmmh ces belles fesses, dit-il.

Il leur donna une fessée et enfonça sa tête dedans, embrassant son anus et sa chatte. Celle-ci tremblait et secoua son derrière.

Allez, ta bite, baise-moi !

Johnny la fit attendre encore quelques secondes puis vint la surprendre avec un coup sec dans la chatte.

Ooooooooooh.

Il recommença à lui envoyer un coup bien profond à la fois.

On… M’appelle… Johnny… Deep… lâcha-t-il au rythme de ses coups.

Des qu’il eut prononcé Deep, il lui attrapa fermement les poignées d’amour et commencer à la pilonner avec toute l’énergie donc il était capable. Elle hurlait à présent sans aucune retenue. Il lui claqua plusieurs fois les fesses en continuant un rythme effréné. Lorsqu’il sentit qu’elle n’en pouvait plus de plaisir, il la laissa s’effondrer sur le lit.

Il regarda l’heure. Il lui restait 20 minutes pour rejoindre le point de rendez-vous.

C’était trop bon, j’ai jamais ressenti un truc pareil, dit l’étudiante, dont Johnny ne connaissait pas le nom.

C’était intense, tu es sacrément bonne, tu sais. Maintenant désolé, mais je vais être en retard, je dois y aller.

Il sa rhabilla en quelques secondes, reprit le sac avec la caméra qui avait filmer la scène, et puis fonça vers l’entrée. Il eut tout juste le temps d’entendre :

Eh attends, donne-moi ton numéro au moins.

Il était déjà dehors.

Il arriva juste à temps au lieu de rendez-vous. Il dut remettre sa caméra et reprit son téléphone. On lui expliqua que les points seraient calculés le lendemain, mais que seuls les téléspectateurs y auraient accès lors de la diffusion de l’émission. Eux-mêmes ne les connaîtraient jamais. Johnny suspecta une manière pour la production de manipuler le cours de l’émission, mais il ne releva pas.

Quelques heures après, il retrouvait Anna Conda dans son lit pour faire un topo de la journée.

Alors ça a été ton épreuve ? lui demanda-t-il ?

Eeeeh, on est pas censé se dire ça, c’est secret ! répondit-elle en lui tapotant la tête.

Oh ça va, de toute façon, te connaissant, je suis sûr que tu as joué la timide et que tu n’as rien osé faire comme approche.

Quoi ? Moi j’ose rien faire ? N’importe quoi ! Moi je vais réussir toutes les épreuves, tu vas voir !

De toute façon, le seul moyen de connaître nos points, c’est de se trahir. Alors, tu vas me trahir ?

Tu dis n’importe quoi, pourquoi je te trahirais, on sera beaucoup plus fort à deux non ?

Johnny lui sourit et l’embrassa.

Au fait, pour notre Joker, j’ai fait le tour des candidates, je pense que je peux toutes les baiser, sauf une.

Oh voilà, le petit prétentieux est là. Qui donc pourrait donc résister à tes charmes mon mignon ?

La petite là, Eva, elle a l’air bien accrochée à ses convictions. Mais tu pourrais m’aider à la faire craquer. Si tu dragues son copain, Florent File, elle voudra se venger, et là, j’interviendrai pour sauver la situation.

Ah et tu penses que son copain va tomber dans le panneau ? Il a l’air encore plus prude qu’elle !

Arrête de faire comme si de rien était. J’ai déjà remarqué qu’il t’avait jeté un regard hier soir. C’est ça qui m’a donné l’idée.

Anna rougit au souvenir de ce regard qu’ils avaient échangé. Elle avait bien senti qu’il la désirait, mais d’une manière très différente des autres hommes. Il ne voulait pas juste la posséder, mais il avait l’air plein de compassion et de tendresse. Elle se sentait mal à l’aise de le manipuler ainsi, et en même temps, une part d’elle était attirée par Florent.

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