Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe mobiles Histoires gays

L'amant de ma mère – Chapitre 6

L'amant de ma mère - Chapitre 6



Je mappliquais du mieux que je pouvais pour arriver à faire jouir mon tortionnaire. Plus vite il aura joui plus vite je serais libérée de ces liens.

Du moins cest ce que je croyais.

Je mappliquais à bien faire le tour du gland avec ma langue agile tout en mattardant sur le méat, zone érogène par excellence de lhomme.

« Lèches moi les couilles pétasse ! » Me lâcha til.

Je mexécutais sans rechigner, je pouvais même dire que bien quétant dans la position dun viol, je commençais à prendre goût à mon travail de suceuse.

Tiens au fonds de moi je mexprime au féminin, comme cest étrange !

« Mais dis-moi petite chienne il semblerait que tu aimes de plus en plus me sucer, tu bandes salope ! »

Je sentis mes joues rougir comment cacher mon excitation elle était évidente aux yeux de Paul.

« Ne tinquiètes pas ma Sarah tu vas voir, on va bien soccuper de toi. »

Nous mais de quoi parle til ?

Je neus pas le temps de trop cogiter car je recevais de longs jets de foutre au fonds de ma gorge. Paul mappuya sur la tête pour mobliger à tout avaler.

Je neus dautres choix que de déglutir la semence de mon amant dirigiste.

Je fis une petite grimace qui ne manqua pas déchapper à Paul.

« Nais crainte, tu verras tu finiras par aimer le sperme à force den boire, crois moi cest comme ta sale pute de mère elle en redemande à chaque fois. Telle mère telle fifille non ? » Paul partit à rire à gorge déployée.

« Paul pourrais-tu me libérer maintenant ? »

« Comment ? »

« Pardon maître, pourriez vous avoir lobligeance de me libérer sil vous plait ?

« Pourquoi cela, la soirée ne fait que commencer ma chérie en plus un bon porno dure minimum 1h15 nous nen sommes quaux préliminaires. »

Mal à laise sur mes talons hauts je commençais à avoir des crampes dans les jambes.

« Maître sil vous plait ! »

Sans me répondre Paul, ouvrit la fermeture éclair de mon slip latex et saisis une verge en bois. Sans crier gare, il me fouetta avec force sur les fesses et sur mes petites couilles !

Je criais comme une folle !

« Tu peux toujours gueuler tant que tu voudras ici personne ne tentendra »

Je subis ces outrages pendant près de 5 minutes, mes fesses devaient avoir virées au rouge violet, quelle horreur !

Tout dun coup, jentendis frapper à la porte de la cave. Je ne pouvais rien voir car jétais dos à la porte. Jentendis des pas se rapprochant.

« Regardes Sarah, jamène du renfort. »

Je découvris alors Mamadou et Abdel, deux jeunes racailles du HLM.

Mon dieu quelle horreur, Mamadou est le beau-frère de mon autre voisine de pallier. Je sentis mon cur cogner fort dans ma poitrine. Ma vie sécroulait tout à coups.

Mamadou fut le premier à réagir :

« Eh! Bien qui leu cru ? Ce petit gars bien discret et toujours bien poli est une belle salope on dirait. Hummm jai envi de ton boule de lopsa »

« OK les gars elle est à vous, la caméra tourne faites-vous plaisir et noubliez pas que le titre du film cest La tournante de Sarah dans les caves de la cité.

Mon calvaire ne faisait que débuter.

Le premier à se mettre en action fut Abdel qui en bon queutard avait déjà sorti sa bite de son survêtement pour me la placer direct dans la bouche, en noubliant pas de me traiter comme la dernière des putes de la « casba » en des termes très orduriers.

« Putain, tu avais raison Paul elle est bonne suceuse cette pétasse, tu nous as dégoté un sacré sac à foutre, on va bien la remplir cette chérie ! »

Pendant ce temps mamadou ne perdais pas le sien et me doigtait le cul, avec violence, un doigt puis deux, pour finir avec quatre doigts dans lanus, je me félicitais davoir portée mon plug, pendant plusieurs heures, malgré ça la douleur était importante.

Du coin de lil je voyais Paul qui utilisait au mieux la caméra pour choisir les angles de prises de vues les plus avilissantes et « pornos » possible.

Je perdais la notion du temps et je nentendais plus mes assaillants parler, jétais dans un état second à la merci de ces trois hommes, incapable de réagir, je me laissais violer telle une simple poupée de chiffon, je devrais plutôt dire telle une poupée gonflable. Je nétais dailleurs rien dautre pour mes voisins de HLM en cet instant !

Mais dun coup une douleur violente me fit réagir, jétouffais un cri, du fait que la bite dAbdel me remplissait la bouche, je faillis tomber dans les pommes.

Je compris que Mamadou venait de me pénétrer lanus dun coup jusquà la garde, javais limpression que me sphincter se déchirait sous les coups de butoir de mon baiseur, je pouvais sentir ses grosses couilles battre mon cul en cadence !

« Encore meilleur que ta pute de mère ! Il faut dire que toi tu es étroite du cul tu nas pas déjà été ramonée par tout létage, comme la salope qui te sert de mère »

Je nen revenais pas de cette révélation, bluffait-il ? Ma mère avait-elle vraiment couchée avec tous les mecs de notre étage ? Jétais en état de choc.

Cest ainsi totalement résigné et incapable de réagir que je reçus le sperme dAbdel au fonds la gorge de longs « jets » de sperme, qui débordait de la bouche tellement il éjaculait abondamment.

Quelques minutes plus tard ce fut le tour de Mamadou qui grogna de bonheur tout en me remplissant le cul de sa semence. Je ne mis pas longtemps à sentir un mélange de sperme mêlé à du sang qui coulait sur mes couilles et le long de mes jambes.

« Regardez les gars, elle a ses règles cette pouffiasse » Fit Paul en rigolant.

« Cest dans la boite mais pour bien faire, il me faudrait une autre séquence pour compléter cette cassette, dis moi Abdel cest pas ton frère qui élève des pitbull ? »

« Oui cest vrai, il doit dailleurs passer avec le mâle dominant de la meute quil ne peut pas garder dans son chenil, il attaque tous les autres. Je dois men occuper en attendant le prochain combat de chiens qui aura lieu le mois prochain. »

Cest alors avec une peur viscérale que je vis lil de Paul séclairer dune lueur démoniaque et lubrique à la fois.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire