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L'amour au bureau, je n'y croyais plus. Merci Karine. – Chapitre 1

L'amour au bureau, je n'y croyais plus. Merci Karine. - Chapitre 1



Je vis des dimanches, et parfois des week-ends merveilleux avec Joëlle et nos complices. Mais comme l’appétit vient en mangeant, l’envie de baiser vient en baisant, et je trouve les semaines de plus en plus longues. Il faut que je me trouve quelqu’un. Je travaille dans des bureaux où on est une vingtaine, femmes et mecs. Ils sont toutes et tous mariés, fidèles, sans histoires. On n’est que deux célibataires, moi et Karine qui a laissé tomber son mec il y a deux ans. Je l’ai connue à son embauche. Elle avait alors une vingtaine d’année, mignonette, plantureuse avec une forte poitrine. C’était une collègue sympa, mais rien de plus.

Depuis deux ans je crois qu’elle est seule, et a souvent des tenues légères, sexy, comme si elle cherchait à allumer les mecs. C’est peut-être le démon de midi, mais je la vois différemment. Elle approche la quarantaine, a minci juste ce qu’il faut, reste une très belle femme avec une poitrine généreuse et de belles hanches. Je lui fais régulièrement des blagues et allusions légèrement déplacées sur ses tenues, mini-jupes et décolletés, et elle les prend avec le sourire comme pour m’encourager.

Je suis régulièrement le dernier à partir, et j’ai remarqué qu’elle reste tard elle aussi depuis quelques temps.

Ce vendredi il ne reste plus que nous, et je craque. Je vais dans son bureau:

— Je peux te parler deux minutes?

— Oui bien sûr, je t’écoute.

— Tout d’abord promets-moi de ne pas te fâcher, et d’oublier si je dis des conneries.

— Je vais essayer, mais sans savoir c’est difficile.

— S’il te plait, promets-moi.

— Ok, promis. Et maintenant dis moi tout.

— Tu as quelqu’un dans ta vie?

— C’est indiscret comme question, mais admettons. Non, je suis libre comme l’air.

Je lui avoue alors que je suis mordu d’elle, que je la trouve de plus en plus belle, au sommet de son épanouissement, qu’elle me rend fou avec ses tenues craquantes, bref que j’ai envie d’elle.

— En résumé tu veux me sauter?

— En résumé, oui.

— Eh bien tu en as mis du temps à te décider, mais mieux vaut tard que jamais.

— Tu veux dire que tu es d’accord ?

Elle me demande de fermer la porte à clé, se plante devant moi, ouvre son chemisier, défait l’attache entre ses seins et ouvre son soutien gorge trop petit pour libérer ses mamelles. J’ai chaud aux oreilles, je dois être cramoisi, et reste quelques secondes pétrifié:

— Eh bien ils ne te plaisent pas mes nichons ? Tu les mâtes à longueur de journée avec tes yeux cochons, alors maintenant que je te les offre, sers t’en.

Je me ressaisis, et les prends à pleines mains. Ils sont magnifiques, doux, chauds, fermes, lourds, avec des tétons dressés et hyper sensibles. Je les caresse, les pelote, puis approche ma bouche pour les embrasser, les lécher, les sucer, les téter. Ma main glisse sur son flan, sa hanche, sa cuisse, puis remonte sous sa jupe le long de sa chair nue. J’effleure ses dessous, elle me repousse gentiment, et enlève sa culotte:

— J’ai envie de faire l’amour, baise moi.

Elle se retourne et se penche sur son bureau. Je déballe mon paquet et me plaque contre elle pour la prendre en levrette. Je me frotte à une masse de chair et ne trouve pas l’ouverture. Elle vient à mon secours en passant sa main entre les cuisses pour se saisir de mon manche pas encore très dur, parvient à introduire juste le gland et je jouis comme un con dans sa chatte et sa main. Je suis catastrophé, ne sais comment m’excuser. Elle me rassure me disant que ce n’est rien, et me demande de la laisser faire.

Elle me fait face, s’accroupit et gobe mon chibre mou. J’ai honte et me concentre pour me rattraper. Elle me fait vite bander, lâche le morceau pour voir l’évolution, puis me reprend avec un regard encourageant et des hummm gourmands. Elle est très efficace et je trique dur. Elle me décalotte le gland, et retire sa main d’entre ses cuisses. Elle est remplie de mon sperme, et en plusieurs fois elle l’étale sur mon bourgeon et me suce pour tout bouffer. Elle se relève et me chuchote à l’oreille:

— Elle est belle ta queue, j’en ai envie. Baise-moi, baise-moi.

Elle se retourne à nouveau, et m’aide encore à la pénétrer pour la prendre en levrette. Je viens de jouir, elle m’a remis en forme, et je vais me faire pardonner de mon échec. J’ai relevé sa jupe sur ses reins, et je la lime longuement tel un métronome, en matant sa croupe de rêve. Elle enchaîne les orgasmes, et se déchaîne. Elle me dit que je suis bon, que je la baise à merveille, qu’il y a deux ans qu’elle ne s’était pas faite tringler, qu’elle ne se rappelait plus que c’était aussi bien, elle veut que je la possède comme une salope, que je l’insulte……………..

On est à fonds dans notre baise lorsqu’on frappe à la porte. On stoppe et on frappe une deuxième fois. On s’est attardé plus que prévu, et c’est la femme de ménage qui est là. Je lui dis à travers la porte qu’on en a pour dix minutes à finir un travail, et elle va dans les autres bureaux. J’offre à Karine quelques vigoureux coups de reins qui la font jouir encore une fois, et elle me finit dans une pipe goulue. Elle me suce, me masturbe énergiquement, et me fait décharger dans sa bouche. Elle avale tout, me nettoie, on se rhabille, on sort.

On croise la femme de ménage, une jolie femelle de quarante ans, et on s’excuse pour ce travail urgent à finir. Elle nous souhaite une bonne soirée, avec un petit sourire prouvant qu’elle a tout compris et ne croit pas à nos salades.

Je propose à ma collègue de continuer la soirée et le week-end ensemble, mais elle refuse. Elle me dit encore que c’était super, mais tient à une vie privé et ne veux pas de collègues en dehors du boulot. Mais que je ne m’inquiète pas, elle espère de nombreuses baises au bureau.

On se retrouve le lundi, on ne veut pas se parler en cachette pour ne pas éveiller de soupçons, et on utilise la messagerie interne. On se dit que l’on a beaucoup pensé l’un à l’autre, que l’on a bandé ou mouillé, que l’on s’est masturbé, et que l’on a hâte d’être à ce soir. Enfin le dernier collègue est parti, et je la rejoins. Elle enlève sa culotte, je défais mon pantalon et on est face à face. Je glisse ma main sous sa jupe, la sienne explore mon slip, et nos bouches se soudent dans une pelle passionnée. Il n’est pas question de sentiment entre nous, que de sexe, mais comme moi elle affectionne les plaisirs buccaux.

Ma main est entre ses cuisses et je marque un petit temps d’arrêt dont elle s’aperçoit.

— C’est ma chatte qui te fait peur ?

— Disons qu’elle surprend. Déjà vendredi j’ai eu du mal à trouver l’entrée, et là j’en ai plein la main.

Elle m’explique alors qu’elle a des petites lèvres trop développées, énormes, pendantes. Elle ne veut pas se faire opérer et elle fait avec. J’insiste pour voir sa chatte et elle enlève sa jupe.

Je m’agenouille pour être à hauteur et je reste scotché. Elle a les jambes écartées et je peux voir ses chairs tombantes de plusieurs centimètres. Je suis interloqué, abasourdi, subjugué, admiratif, ça va vite dans ma tête et je ne peux rester sans la rassurer sur mon opinion. Je relève ma tête pour la regarder dans les yeux et lui affirme qu’elle a la plus belle chatte que je n’ai jamais vu, la plus appétissante, la plus désirable. J’accompagne mes paroles de gestes, je tripote ses pampilles, je glisse mes doigts dans leur intérieur, j’approche ma bouche pour les embrasser. Je lui demande de se coucher sur le bureau pour la brouter. Elle s’offre à moi, et je la bouffe, la broute, l’engloutis, la dévore, la déguste, avec un plaisir inconnu. Je gobe ses lèvres démesurées, les aspire, m’en empiffre, les mâchouille tendrement, j’en ai plein la bouche et je m’éclate. Elle s’astique le clito sans retenue, me balance des encouragements à la lécher encore et encore, et me régale de ses orgasmes successifs.

On frappe à la porte et on prétexte la même réponse. On n’a pas vu le temps passer, je lui ai fait un cunnilingus de plus d’une heure, et j’aurais pu la bouffer des heures encore.

Quelques minutes, le temps de lui donner des coups de queue et de me faire pomper à fonds. On s’en va et on croise notre femme de ménage, Fatima, avec un sourire entendu.

Les quelques jours qui suivent on renouvelle nos baises, elle se félicite de connaître ma queue, et moi de connaître son huître exceptionnelle. Je ne connais que sa bouche et sa chatte, n’ai pas encore osé lui parler de son petit trou, et c’est elle qui prend l’initiative. Elle est indisposée, ne peux m’offrir sa vulve, ne s’est jamais faite sodomisée, et pense que c’est l’occasion, si je veux bien, de tenter l’expérience. Si je veux! Tu penses que je veux! Je ne pense qu’à ça depuis le premier jour.

Elle est penchée sur le bureau, comme très souvent, mais cette fois ci je ne vais pas la baiser en levrette, mais la sodomiser, l’enculer, lui casser le cul. Je lui lèche la pastille, la doigte, fourre ma langue. Elle n’a jamais connu ces sensations, mais ses gémissements m’encouragent à continuer. Elle est maintenant bien ouverte et lubrifiée pour que je la dépucelle. Je salive abondamment sur sa chute de reins et m’introduis en elle en même temps que mes sécrétions buccales. Ca passe sans problème et je me mets en mouvement, motivé par ses paroles:

— Oh oui! Ouiiihh! Oh putain que c’est bon! Encule moi, défonce moi le cul, monte moi comme une chienne, je suis ta pute, ta salope, ton enculée,……………………

Elle n’en finit pas de crier des obscénités, entrecoupées de ses râles de plaisirs et de ses bruyants orgasmes. Je vais jouir, et elle veux que je reste en elle, connaître le jus de mâle s’écouler entre ses reins. J’éjacule en abondance, et la remplis de mon sperme chaud. Je me retire, elle fouille dans son sac et en ressort un tampax qu’elle s’enfile dans le petit trou pour conserver ma liqueur en elle, jusque chez elle.

On se rhabille, on part, et on croise Fatima. On ne l’a pas entendu frapper, elle par contre a entendu Karine crier et lui demande avec malice si tout va bien. Elle répond que oui, même très bien, puis s’inquiète quand elle est seule avec moi de la discrétion de cette femme de ménage. Je la rassure, lui dit que je vais lui parler, et elle rentre chez elle, mon foutre dans le cul. Je me demande ce qu’elle va en faire cette salope.

Je remonte dans les bureaux pour parler à cette coquine de Fatima.

A suivre…………………………….

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