Suite :
— Eh, mon salaud, lui dis-je dégoulinante, tu aurais pu me demander avant !
— Désolé madame
— Cest rien mon grand, il parait que cest bon pour la peau !
Je ne sais pas si cest mon visage recouvert de foutre qui la achevé mais je vois mon JB grimacer et sens alors les allers-retours saccélérer :
— Arrrhhh, jen peux plus ! Je peux venir en vous ?
— avec plaisir, beau Black, remplis-moi.
Il ne faut pas plus de 2 coups supplémentaires à JB dans le fond de mon vagin pour craquer et me décharger son foutre. Je sens ses spasmes secouer son sexe et des flots de sperme minonder. Cest magnifique de se sentir ainsi pleine de jus dhomme et à ce moment là, je ne pense absolument plus à la femme respectable et pudique que jétais il y a 2h.
— Ouah ! Bin toi, quand on te dit de remplir, tu fais pas semblant ! Mais jaurais bien voulu y gouter un peu, dommage, lui dis-je avec un sourire, on peut le dire, de salope.
— Ca peut sarranger
Il se saisi dun gobelet tombé au sol, me prends par les hanches et me fait glisser au pied de la table, à croupie, cuisse écartée. Je pense dabord quil veut me faire nettoyer sa bite mais il place le gobelet sous ma chatte et y recueille le sperme qui se met à sortir de mon trou béant. Il menfile 3 doigts et racle lintérieur de mon vagin pour retirer un maximum de jus puis, fait tomber les gouttes ainsi récupérées dans le gobelet. Il se relève, je demande (je men doutais) de lui nettoyer la bite et, alors que jessaie péniblement de davaler ce sexe encore énorme, il regarde le niveau de foutre et dit :
— moitié dun gobelet, ça vous ira ?
— vous êtes tous plus pervers les unes que les autres, les gars, dis-je en me dégageant de son sexe, un peu dépitée par cette nouvelle expérience imposée, pour le coup carrément dégradante. Et sur ces mots, il me tend le verre et minvite à boire.
Je regarde Hugo qui acquiesce et, lair curieux, attend de voir si je vais tout boire.
— A la votre ! Javale une petite gorgée de ce breuvage, le trouve parfaitement à mon gout bien que très épais, et finis le gobelet dune traite. Et de 3 !
— Voilà, cest vide, dis-je fièrement en retendant le gobelet à JB.
— Attendez, je vais vous faire le plein, Séverine.
Cétait un des 2 gars que je branlais qui avait parlé, sans doute au bord de léjaculation depuis un moment. Il prend le gobelet, le place sous son gland et minvite à la branler. Il nest pas long à venir grâce à ma main experte et lui aussi déverse une belle quantité de sperme dans le verre. Je lui pompe le gland pour récupérer la dernière goutte et je regarde le niveau du gobelet : un bon tiers.
— dautres volontaires avant que ça refroidisse, demandais-je ?
— Oui, moi madame. Mais vous pouvez me sucer pour me faire venir ?
— Bien sûr mon chéri, répondis-je tendrement au garçon, Seb je crois, un pote de lycée dHugo mignon mais timide.
Tenant toujours le gobelet dune main, je saisi son sexe de lautre, le branle puis lavale pour lui faire la meilleur pipe possible, tant ce beau jeune homme me fait craquer. Je suis toujours accroupie, cuisse écartée, et un autre gamin en profite pour me caresser le clito en se masturbant. Cest divin et je mouille encore abondamment, mais je me fais la réflexion quon ne me laisse aucun répit depuis 2h et que jai encore 6 ados à faire jouir.
Seb semble adorer ma fellation, il me saisi un sein, me le palpe comme si il nen navait jamais vu daussi gros et me tire sur le téton, dabord délicatement puis, me sentant réceptive, me le pince franchement. Il me fait mal mais jaime ça. Pour jouer, je lui mords la queue autant quil me pince le téton et referme ma mâchoire au fur et à mesure quil accentue sa pression. La douleur se fait vive mais je nai pas envie darrêter, jai juste envie de le mordre encore plus fort. A posteriori, je me rends compte quen 2H, ces gamins mont transformé en une nymphomane SM avide de foutre ! Nous lâchons prise ensemble et, ne voulant pas que le sperme dans mon gobelet refroidisse trop, jaccélère ma pipe, le finit à la main et recueille sa semence dans le verre. Je mélange les 2 jus avec mon doigt, y goute (jadore et me dit que, décidément, ce doit être le sperme de mon mari qui est mauvais) et commence à boire le breuvage tiède. Je finis le verre en le tenant haut au dessus de ma bouche grande ouverte pour que tout le monde puisse bien me voir avaler cette quantité industrielle de foutre.
Je jette le gobelet vide au sol, sous les applaudissements des garçons et, lespace dun instant pense que nous avons finit. Mais 5 gaillards encore insatisfaits me font face en se branlant et je constate aussi avec surprise que Hugo, Valentin et JB, mes « gros calibre » bandent à nouveau fièrement et sont prêts pour le deuxième round.
Il est 18h, je suis en plein gangbang depuis 2h et seule la moitié de mes amants me sont passés dessus, sans compter que les premiers vont vouloir du rab ! Je commence à me demander quand cela va finir et surtout dans quel état je serrais
2 garçons mattrapent par les bras, me place à quatre patte au milieu du salon et reprennent les hostilités. Jai une bite dans la chatte et une autre dans la bouche. Ils me baisent aussi efficacement que je les suce, sauf quils sont 5 et moi seule. Ils changent donc régulièrement de place, séchangeant mes orifices au grès de leurs envies. A un moment, jai même 2 bites dans la bouche et ne pouvant évidement pas les prendre à fond, je joue habilement avec ma langue. Javoue que sentir 2 glands à la fois dans ma bouche mexcite terriblement. Je sens à nouveau monter la jouissance, dautant que les bites se succèdent également dans mon vagin. Un premier jute dans ma chatte, se retire et est immédiatement remplacé par un autre qui ne sembla pas gêné par la présence du sperme de son copain qui suinte de mon vagin. Celui-ci, Anto, le jeune à la canette, est plus brutal et me défonce sans ménagement en tapant très fort contre mon cul. Il me met également des claques sur les fesses de plus en plus fortes sans que je réagisse vraiment (je vous rappelle que jai actuellement 2 glands dans la bouche). Puis il me crie :
— On dirait que taime ça te faire claquer le cul, salope ! Et sur cette insulte, il me fouette le cul le plus fort quil peut, ce qui marrache un cri de douleur.
— Hé tu te calme mon pote ! Intervint alors Hugo qui surveillait toujours le cours des évènements.
Profitant de cette pause dans ma fellation, lun des garçons que je suçais, Kevin, celui-ci qui ma fister le premier, me jute à la figure une quantité impressionnante de sperme qui me recouvre le visage, men met plein les cheveux et dans les yeux, si bien que je ne peux plus les ouvrir. Le garçon dit alors :
— Attendez, je vais vous arranger, dit-il en nettoyant avec ses doigts le sperme qui recouvrait mes yeux. Puis il les présenta devant ma bouche et ajouta :
— Goutez-y et dites moi si je suis à votre gout !
Je suce donc ses doigts, avale son jus et secoue la tête en disant :
— Pas mal du tout !
Deux éjac faciales en 15 min, pas mal pour quelquun qui la toujours refusé à son mari car « seules des salopes peuvent accepter ça » comme je le pensais à une époque
Ils ne sont plus que trois, 1 dans ma bouche, 1 dans ma chatte et un qui attend à coté. Celui-ci sallonge sur le dos à coté de moi et sans demander à ses copains leur avis mattrape par le ventre et me place à cheval sur lui. Il me fourre sa queue dans la foulée et commence à me matraquer. Anto se place devant moi et, décidément violent, menfonce son sexe le plus loin possible pour avoir droit, lui aussi, à une gorge profonde.
Celui qui je suçais passe alors derrière moi je sens alors un doigt se présenter sur mon anus. Il commence à enfoncer son doigt, dabord une phalange puis 2. Son doigt me semble interminable et chaque centimètre est pour moi une sensation nouvelle, étant vierge de cet orifice. Il a, à présent, son doigt tout entier dans mon cul et ce nest pas si désagréable (mais cest surtout la pression sur mon vagin en train de se faire pénétrer qui me fait de leffet). Je pousse de léger gémissement et il doit prendre cela pour un acquiescement car il retire son doigt et présente son gland à lentrée de mon trou.