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L'audit du changement de statut – Chapitre 1

Elodie, piégée. - Chapitre 3



Je travaille dans une grande société comme responsable dune équipe sur Toulon, jai 36 ans et banal dans mon genre. Notre société a un siège régional qui se trouve à Aix en Provence. Mais loin de tous et avec une équipe sympa la vie y est douce. Je fais beaucoup dheures de travail, ce qui a coûté mon mariage il y a 2 ans, mais je suis mon propre chef dans mon quotidien. Siège, vers qui je dois rendre des comptes de fonctionnement, de gestion, de rentabilité, etc. Je dois my rendre périodiquement en réunion et pour différentes raisons de fonctionnement de mon équipe qui comporte 37 personnes.

Lors dune de mes réunions, mon Directeur régional minforme que je suis lheureux élu de laudit qui sera fait sur mon activité managériale, mes résultats et le respect de règles comptable et administratives. Je vois mes collègues des autres sites de la région sourirent car eux passent au travers de cet audit qui tombe comme linquisition de notre activité.

Le soir, je rentre à Toulon en pensant à cette corvée car, bien sur, quelquun va venir pour auditer mon service et éplucher tous les dossiers. Je vais devoir me rendre disponible et pendant ce temps mon travail navance pas et je vais terminer à des heures impossibles.

Un matin, je reçois un appel téléphonique :

— Bonjour Christian, cest Karine du pôle de contrôle de gestion.

— Bonjour Karine, je ne te demande pas ce qui tamène car je suppose que tu appelles pour laudit.

— Oui, et dailleurs cette année le centre parisien nous demande délargir le secteur de contrôles et dapprofondir certains problèmes.

— Chouette, tu me combles de joie.

— Ne tinquiète pas, je sais que ta gestion doit être irréprochable. Je viendrai lundi prochain à 8H00. Je ne resterai que trois jours et je reviendrai tant que je nai pas fini laudit.

— Daccord Karine, je te laisserai mon bureau, ce sera plus pratique pour toi et tu auras ainsi accès aux dossiers dont tu as besoin.

— Eh bien à Lundi. Au revoir.

— Au revoir Karine.

Karine est une femme denviron 45 ans qui est sympathique et charmante mais un peu pince sans rire. Je lapprécie beaucoup malgré sons air un peu sévère.

Le lundi, Karine arrive comme prévu à 8H00 et me trouve dans mon bureau car je suis tous les jours au travail à 7H30.

— Bonjour Christian.

— Bonjour Karine.

Je me lève pour lui faire la bise comme à laccoutumé.

— Je tai libéré mon bureau pour que tu trouves tout ce que tu as besoin.

— Et toi ?

— Je minstalle dans le bureau dà côté car jai beaucoup de courrier à lire et à signer. Donc, cela ne me gêne pas.

Sur ce, je la laisse sinstaller dans mon bureau. Passe la matinée ainsi dans son quotidien. Quand arrive midi et demie, je me lève et vais frapper à la porte de mon bureau pour proposer à Karine daller déjeuner.

— Karine, je te propose daller déjeuner.

— Je te remercie mais le midi je ne mange pas. Je vais lire un peu pour me changer.

— Très bien, à tout à lheure.

— Bon appétit.

Au retour de mon repas, je retourne dans le bureau afin de régler les affaires courantes. Peu de temps après Karine me demande de venir la voir. Je me lève et la suis vers mon bureau quelle occupe. Tout en fermant la porte, je vois mon ordinateur portable professionnel ouvert sur le bureau. Bien que je trouve çà un peu cavalier de lutiliser sans men avertir, je ne dis rien.

— Dis moi Christian, ce midi je me suis permise douvrir ton portable afin de faire une recherche sur internet et par mégarde je suis tombé sur çà

Et là, elle tourne le portable pour que je vois le site dont elle parle. Et surprise, le site en question est un site dhistoires érotiques de femmes dominatrices.

— Tu me racontes ?

— Tu vois Karine, des fois le soir après le boulot, je me connecte et je fais un peu de lecture pour me détendre.

— Tu sais que le patron voit dun très mauvais il lutilisation du portable professionnel pour surfer sur des sites pornos ?

— Oui je sais mais ça reste entre nous ?

— Je ne sais pas Christian. Nous en reparlons plus tard.

Jai compris que je suis dans la merde si Karine décide den parler au patron. Laprès midi se passe ainsi. Karine et moi, chacun dans son côté. Arrive 19H00, Karine entre dans mon bureau et ferme la porte.

— Christian, jai bien réfléchi cet après midi et malgré que tes lectures de domination féminines soient interdites par le patron, je ne vais rien lui dire.

— Merci Karine, cest sympa de ta part.

— Ne me dis pas merci, il y a une condition.

—  ?????

— Puisque tu aimes la domination, je veux que tu viennes demain au bureau sans sous-vêtement sous ton costume.

—  ?????

— Si tu ne fais pas ce que je te demande, tu vois ce quil me restera à faire.

Sur ce, elle tourne les talons et part à son hôtel. Pendant ce temps là, moi de reste complètement scotché sans quoi penser. Bien sur la domination féminine est pour moi un fantasme inassouvi mais cest un fantasme avant tout. Je nai jamais passé le pas et là je me trouve sur un ordre dune femme sans que je ne lai vu venir.

Toute la nuit je tourne et vire dans mon lit sans pouvoir mendormir tant cette exigence mobnubile. Le Mardi matin, je me lève tout embrumé et mactive comme dhabitude en faisant mon café puis allant prendre ma douche. Je retourne dans ma chambre et je sors une cravate, une chemise, un caleçon et mon costume.

Au moment de mettre mon caleçon, je reste suspendu dans mon geste. Je massois sur mon lit en tenant ce caleçon dans mes mains. Que faire ? Après un long moment et comme un zombi, je le jette dans mon tiroir et mhabille. Après tout, cela ne mengage à rien et personne ne peut sen douter. En partant au travail je sens mon cur battre comme un adolescent qui va à son premier rendez-vous.

Jarrive au bureau comme dhabitude à 7H30 et, la bouche sèche. Karine est déjà là. Elle lève la tête et me sourit en me disant bonjour.

— Bonjour Christian, as-tu besoin de ton ordinateur aujourdhui ?

— Bonjour Karine. Oui, jen ai besoin. Il faut que je consulte mes messages et que je valide les commandes et les factures.

Elle me tend mon portable avec un sourire coin et me laisse partir.

Plus tard dans la matinée, elle passe me voir pour me demander des explications sur un dossier.

— Dis-moi Christian je peux te déranger un quart dheure ?

— Bien sur Karine, entre.

Elle entre et ferme la porte afin que nous soyons tranquilles. Se met à côté de moi et ouvre le dossier sur le bureau.

— As-tu fait ce que je tais demandé hier ?

— Heu

— Alors ?

— Oui Karine. Dis-je dans un murmure.

— Baisse ton pantalon et rassies-toi.

Je reste comme un couillon sans avoir si cest du lard ou du cochon et regarde Karine les yeux et la bouche grands ouverts.

— Dépêche-toi sinon jenvoi au patron les vidages décrans ainsi que lhistorique de tes prestations sur internet.

Après un moment de suspend, je me lève le rouge au joues. Défait ma ceinture et ouvre mon pantalon. Je reste comme un enfant en faute et je nose pas baisser mon pantalon.

— Alors !

Je le baisse tout doucement jusquaux genoux.

— Assied-toi !

Je massois.

— Reste comme ça jusquà mon retour.

Elle part et me laisse ainsi la porte ouverte. Les gens passent dans le couloir, malgré que le fond de mon bureau soit aveugle, jai limpression que tout le monde le voit. Dans la matinée un collègue entre, sassied dans le fauteuil en face de moi et commence à discuter. Après un petit moment.

— Quest ce quil y a Christian ? Tu as un problème ?

— Je ne sais pas mais je pense que je couve quelque chose.

— Fait gaffe car il y a des angines dans lair. Alain de la compta est couché avec une forte fièvre.

— Je vais prendre quelque chose ce soir pour anticiper et dodo ce soir.

Il quitte mon bureau. Immédiatement après, Karine arrive et ferme une nouvelle fois ma porte.

— Cest vrai que tu devrais te couvrir. Ce serait bête dattraper froid. Le patron penserait que tu évites laudit.

Elle me tend une culotte de femme.

— Tient, met çà tu auras plus chaud.

— .

— Tout de suite !

Je prends le sous-vêtement féminin, et comme un automate, je tombe mon pantalon pour enfiler la culotte. Jenfile vite mon pantalon pour que personne ne voit cela si la porte souvrait.

— Très bien.

— Je savais que tu suivrais mon conseil vestimentaire.

— Cet après-midi je vais à Aix, tu restes ainsi toute la journée…Ce soir tu la laveras à la main et tu reviendras avec demain Je serais ici. Tu passes me voir en arrivant.

Je passe ma journée ainsi sans oser sortir du bureau car je pense que tout le monde voit la situation vestimentaire dans laquelle je me trouve.

Le soir, je fais ma petite lessive. Et le lendemain matin je mhabille avec ce sous-vêtement.

Jarrive au bureau et je retrouve Karine tout souriante.

— Bonjour Christian.

— Bonjour Karine. Dis-je dans un souffle.

— Entre et ferme la porte.

Je fais ce quelle me demande, bien que le ton soit plutôt autoritaire.

— Baisse ton pantalon et penche-toi sur le bureau.

Je fais ce quelle mordonne sans un mot. Elle me caresse les fesses par-dessus la culotte puis écarte un côté. Je sens son doigt inquisiteur suivre ma raie culière. Puis se stabiliser sur ma rondelle.

— Christian, je vois que tu as compris mon message Je vais moccuper de toi comme dans tes lectures. Puisque cest ton fantasme. Tu mappelleras Maîtresse Karine et tu me vouvoies quand nous sommes seuls. Sinon cest Madame quand il y a du monde que nous connaissons Bien sur, tu ne me fais plus la bise.

— Oui, répondis-je.

— Pardon !!!! Tout en infiltrant son doigt dans mon anus dun coup sec.

— Aie, Oui Maîtresse Karine.

— Je vais te mettre un petit plug puisque tu es vierge. Tu le garderas toute la journée.

— Tu dis ?

— Oui, Maîtresse Karine.

— Ce soir, tu me rejoindras ici avant de partir pour que je ten mette un plus gros pour la nuit.

— Oui Maîtresse Karine.

Elle me fait sucer le plug qui pourtant est fin mais dont jai limpression que cela ne rentrera pas dans mon anus qui na jamais été pénétré. Je suce tant que je peux pour cela glisse. Tout du moins daprès mes lectures je lavais intégré comme ça. Elle le présente à mon anus après avoir enlevé son doigt puis lavança tout doucement en faisant un mouvement de va et viens. Lobjet entre petit à petit puis je sens quil est entré complètement par le contact de ses doigts.

— Voilà esclave, tu va garder ça et penser à moi qui suis ta nouvelle maîtresse. Es-tu content ?

— Oui, Maîtresse Karine

— Rhabille-toi, puis embrasse mes chaussures pour me remercier.

Je renfile mon pantalon puis je me mets à 4 pattes pour embrasser ses chaussures. Contrairement aux lectures, je suis loin de bander avec ce truc dans le fondement.

La journée se passe comme un enfer. Jai sans cesse limpression que tout le monde sait que je porte une culotte et que jai un gode dans le cul. La position assise mest insupportable, je ne pense quà lui pendant que je travaille et quand jai voulu aller aux toilettes jai eu limpression de ne pas y arriver et de le perdre.

Le soir venant, je fais le tour de bureaux pour massurer que tout le monde est parti avant daller dans le bureau de Maîtresse Karine.

— Ah, te voila mon petit esclave. Déculotte-toi et mets-toi en position comme ce matin.

Je mexécute.

Elle menlève délicatement le plug en le faisant tourner sur lui-même.

— Ferme les yeux et prend-le en bouche.

Je ferme les yeux et elle me le présente dans ma bouche. Le plug est chaud et le goût est âcre. Je nose penser au pourquoi de ce goût.

Je lentends farfouiller dans un sac. Je sens un liquide froid sur mes fesses puis quelle présente le nouveau plug. Son introduction est plus difficile encore que celui du matin. Je sens que mon anus sélargit de plus en plus puis il aspire le nouveau plug dun coup. Cest certainement le point étroit qui est passé.

— Très bien mon petit soumis. Tu vas le garder cette nuit. Tu laveras la culotte pour demain et tu te présenteras comme ce matin.

— Oui, Maîtresse Karine

— Tous les après-midis tu le remettras jusquà lundi prochain comme ça tout anus sera assoupli.

— Oui, Maîtresse Karine

— Maintenant, enlève ton pantalon et tu vas me déchausser pour lécher mes pieds.

— Bien, Maîtresse Karine

Je fais ce quelle dit et prend son pied dans mes mains pour le lécher. Son pied est chaussé dans un bas et sens la transpiration de la journée. La situation est tout à fait bizarre, hier je fantasmais de soumission et aujourdhui je suis en train de lécher les pieds dune collègue avec un gode dans le cul, habillé dune culotte de femme. La situation, même si elle sort de lordinaire, me plait.

Après avoir bien léché le pied, je passe au second. De longues minutes passent et je prends plaisir à cette situation.

— Enlève mon collant en continuant à regarder mes pieds et enfile-le.

— Oui, Maîtresse Karine

Je monte mes mains sous sa jupe et attrape le bord pour lui ôter son collant. Je le descends délicatement puis je lui ôte. Il est en boule entre mes mains.

— Enfile-le

— Oui, Maîtresse Karine

Je me mets en charge de le remettre à lendroit pour lenfiler. La situation est pitoyable car un homme est empoté pour mettre un collant. Elle rigole.

Une fois que cest fait.

— Passe ta tête sous ma jupe et lèche lentrejambe de ma culotte.

— Oui, Maîtresse Karine

Je passe ma tête et monte pour me trouver au contact de la culotte. Je me mets en charge de lécher celle-ci. Il fait noir et chaud sous la jupe et la place manque pour me mettre dans une position idéale même si celle-ci est assez ample.

Quoi quil en soit, je la lèche et, daprès ce que jentends, elle aime mes caresses buccales. Un long moment passe et je prends moi aussi plaisir à cette situation.

Puis arrive le moment où elle semble défaillir sur ses jambes et semble jouir. Elle me maintient la tête en contact et mouille sa culotte. Un jus chaud commence à mouiller lentrejambe.

— Bois tout esclave !

Jaspire le jus. Est-ce de la cyprine ou de lurine, je ne sais rien mais jaspire. Après un moment :

— enlève ma culotte avec ta bouche puis enlève ta tête de sous ma jupe esclave.

Je cherche à saisir sa culotte avec ma bouche en passant ma langue dans lentrejambe et lattrape avec mes lèvres, puis enlève ma tête délicatement. Lopération est moins facile quil ny parait mais à force de patience jy arrive.

Je me présente à genoux avec la culotte qui pendouille à ma bouche.

— Aspire bien le jus de la culotte puis viens me laver le sexe avec ta langue.

Je prends lentrejambe dans ma bouche et jaspire très fort lhumidité de ma Maîtresse. Puis je me mets encore une fois sous la jupe pour lécher son sexe et lui enlever toute trace de son intermède jouissif.

— Cest tout.

Je menlève et me présente face à elle.

— Tu vas garder ma culotte ce soir pour la laver. Tu la fais tremper dans un bol deau claire puis tu bois leau, tu auras comme ça le goût de ta Maîtresse dans la bouche.

— Oui, Maîtresse Karine.

— Tu me la ramènes demain propre.

— Oui, Maîtresse Karine.

— Part maintenant esclave et lave ton plug avant de venir me voir.

— Au revoir Maîtresse Karine.

Il est 20H00, jenfile mon pantalon par-dessus le collant, je ferme la porte et je rentre chez moi afin de faire mes tâches du soir.

La nuit se passe dune façon très difficile avec mon plug dans le cul qui méchauffe et semble mirriter. Je suis tenté de lenlever mais je prends donc un somnifère pour arriver à dormir.

Le mercredi matin jarrive comme toujours à 7H30 pour me présenter dans le bureau de Maîtresse Karine dans un ensemble tailleur pantalon bleu foncé très strict. Jentre et je referme la porte.

— Bonjour Maîtresse Karine

— Tu as fais ce que je tai demandé ?

— Oui Maîtresse Karine.

— En position

Jouvre ma sacoche pour lui donner sa culotte et ses collants propres. Je baisse mon pantalon et me penche sur le bureau.

— Cest bien tu prends des initiatives de laver mes collants. Voyons ton cul.

Elle enlève mon plug qui est propre et sort un gant en latex de son sac quelle enfile. Elle le lubrifie puis introduit deux doigts dans mon anus. Cela semble rentrer facilement après le traitement. Elle minforme quelle ne mets trois. Si au début cela rentre facilement très rapidement mes limites sont atteintes.

— Très bien dici peu je te rentrerais ma main dans le culTu as aimé mon goût en lavant ma culotte hier ?

— Oui beaucoup Maîtresse Karine.

— Je tai pissé dans la bouche et tu aimes ? Cest bien.

— Merci Maîtresse Karine

— Dans la journée je te ferai un cadeau puisque tu as aimé.

— Merci Maîtresse Karine

— Va travailler esclave. Ton anus sera libre ce matin.

— Merci Maîtresse Karine

Je rentre dans mon bureau et travaille lesprit quelque peu occupé. Mon anus me semble vide mais soulagé. Ma Maîtresse ne mappelle pas et arrivé lheure du déjeuner je me présente à elle.

— Vous désirez déjeuner Maîtresse Karine ?

— Non esclave et ne bois pas trop à table nous prendrons un verre ensemble après ton repas.

— Bien Maîtresse Karine

De retour de mon déjeuner je me présente dans le bureau et ferme la porte.

— Enlève ton pantalon et assied toi sur le plug que tu vas lubrifier avec ta salive.

— Oui Maîtresse Karine

Je fais tomber mon pantalon et prends le plug. Je le lèche du mieux possible pour mettre un maximum de salive. Je le pose sur le fauteuil et je présente mon anus après avoir écarté ma culotte. Je descends petit à petit. Je sens quil rentre mais mon conduit est sensible. Ma Maîtresse me regarde avec un petit sourire aux lèvres. A force il entre complètement.

— Ca y est Maîtresse Karine il est entré.

— Remets ton pantalon.

De là, elle sort dun tiroir deux verres remplis dune boisson. Elle me tend un verre et bois à lautre. Je trempe mes lèvres et je nose reconnaitre le goût.

— Puisque tu as aimé mon urine je ten ai préparé un verre. Tu es content esclave ?

— Oui Maîtresse Karine

— Et bien bois-le, mon petit esclave.

Je le porte à ma bouche et bois par petites gorgées. Le liquide est froid et le goût pas trop fort.

— Tu as de la chance, jai bu de la tisane toute la matinée.

— Merci Maîtresse Karine

— Quand tu seras plus avancé dans ta soumission, je mangerai des asperges pour que tu apprécies mieux le goût.

— Merci Maîtresse Karine

Mais lintonation de ma réponse ni est pas car lasperge fait très fortement augmenter lodeur de lurine dont je suppose le goût aussi.

— Quand tu auras fini ton verre tu retournes dans ton bureau.

— Merci Maîtresse Karine

— Quand tu auras soif dans laprès-midi, nhésite pas à me demander un verre. Je tinterdis de boire autre chose que le champagne de ta Maîtresse.

— Bien Maitre Karine,

Je retourne donc travailler avec le goût dans la bouche de son urine qui avait bon goût. Certainement les tisanes.

En fin daprès-midi, je mapprête à partir. Je passe dans le bureau de ma Maîtresse. Jentre et referme la porte.

— Je vais partir Maîtresse Karine. Si vous my autorisez.

— Je rentre à Aix ce soir. Tu vas continuer jusquà lundi matin ton travaille dassouplissementTu te mets le plug dans lanus tous les après-midi et tu lenlèves pour diner puis tu le remets pour dormir.

— Oui Maîtresse Karine

— Tu vas tacheter des culottes de couleurs différentes pour toute la semaine. Ainsi quun porte-jarretelles avec des bas.

— Oui Maîtresse Karine

— Tous les jours tu laves tes culottes et ton plug délicatement à la main Je tinterdis de toucher ton sexe et encore moins de te masturber.

— Très bien Maîtresse Karine

— Si je maperçois dun manquement, nimporte lequel, je fais un rapport au patron sur tes manques de professionnalisme.

— Oui Maîtresse Karine

— Tu peux partir et réserve tes soirées de la semaine prochaine.

— Oui Maîtresse Karine

Sur ce, je pars du bureau et rentre chez moi. Jôte ma culotte et mon plug pour les laver dans le lavabo.

Trop honteux daller dans un commerce pour acheter des culottes, je me connecte à Internet. Après tout, elle ma demandé dacheter des culottes et elle ne ma pas imposé la méthode donc je vais sur un site de vente en ligne et commande le tout. Livraison 48H00, comme ça je ne prends pas de risque de ne pas les avoir pour lundi.

Cest ainsi que la semaine se termina avec un tel changement en peu de temps. Dune petite vie bien rangée je suis devenu lesclave de Maîtresse Karine.

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