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Laurence – Chapitre 2

Laurence - Chapitre 2



Robert nous a laissé, seuls. Face à nous-mêmes.

Durant de longues minutes, ce fut le silence. Puis Laurence est venu près de moi.

? Alors, mon Chéri, on commence par quoi ? ?

? Et si nous nous préparions un copieux petit déjeuner, dis-je ? ?

Ce que nous fîmes, ensemble, Nous avons parlé de la cérémonie, et de choses sans grande importance.

Nous en sommes venus à parler de … Robert et de ses conséquence.

Je ne savais pas trop quoi dire. Bizarrement, malgré sa jeunesse, à 18 ans et quelques mois, Laurence, pris les choses en mains.

? Toute cette histoire n?est sûrement pas arrivée par hasard, il fallait qu?elle arrive. Il est évident que tu es un comme ça. Robert a deviné ta personnalité. Et il a su révéler la mienne.

Que ce serait-il passé, entre nous, si tout cela n?était pas arrivé ? Je ne sais pas et je n?imagine même pas de le savoir. Je suis jeune, c?est vrai, mais mes parents m?ont toujours inculqué une éducation basée sur la responsabilité des actes.

Bien sûr les premiers jours d?après la fameuse soirée, avec Robert, m?ont un peu déstabilisée, mais j?ai analysé la situation immédiatement. J?avais le choix. Soit je partais et c?était fini, soit je restais et je faisais en sorte de trouver le meilleur pour notre avenir. C?est ce que j?ai fait suite aux explications de Robert et à mes recherches personnelles sur le sujet.

J?ai acheté des revues et je me suis documentée, j?ai questionné Robert.

J?ai compris l?homme que tu es. Je t?aime et je me devais, donc, d?évoluer dans ma propre personnalité. C?est pour cela que je suis resté, ? en formation ? chez Robert.

Ce que je sais, maintenant, c?est que tu es un être formidable et ce coté de toi, te rend à mes yeux, que plus émouvant.

Tu es un mari ? complaisant ? un homme qui aime voir sa femme faire l?amour avec d?autres hommes, qui trouve son plaisir dans le fait que sa femme soit ce que l?on appelle une salope. Soumis je ne le pense pas, car tu as ton caractère, enfin on verra.

Moi, grâce à Robert, je sais que j?aime l?amour, me faire prendre et jouir c?est quelque chose de terrible, pour moi. J?adore.

Donc, je crois que nous étions fais pour nous rencontrer.

Mais j?ai une crainte, oh très légère, mais je vais m?appliquer à la régler. Je crains que, toi et moi nous ne puissions pas trouver notre plaisir ? normalement ? ensemble. Les plaisirs que j?ai eu avec Robert, sa puissance sexuelle et la grosseur de son sexe, font que je sais que tu ne pourras pas rivaliser, ni même, sans doute me faire jouir. Ton sexe est trop petit.

Mais je vais trouver la solution idéale pour nous.

Qu?en penses-tu mon amour ? ?

? J?ai pleinement con fiance en toi. Je m?en remets à toi. Et je serais toujours amoureux de toi, je le sais ?

? Si tu me fais confiance, alors, nous pouvons commencer maintenant. La maison est grande et il y a plusieurs chambres. Nous ferons chambre à part. Il ne faut pas que tu sois ? trop ? tenté par moi. Cela déboucherait sur des tristesses et des conflits, si comme j?en suis sûre tu ne peux me satisfaire sexuellement. Je ne t?interdit pas de me toucher, non, mais il faudra que tu te domines. Et les initiatives que je prendrais devront te convenir, je ne t?imposerais jamais rien que tu n?acceptes pleinement. De la même façon, tu pourras, aussi, prendre des initiatives que je serais libre d?accepter ou de refuser, si elles vont à l?encontre de ce que je veux. ?

? Pour ça me paraît logique et cohérent ?

Ainsi fut dit et fait.

Les jours passaient, notre couple s?installait dans la vie. Laurence envisageait de reprendre ses études à Marseille, dès la rentrée prochaine.

Le soir nous nous retrouvions chez nous. Nous faisions chambre à part, mais je la voyais toujours évoluer nue dans la maison. Sa beauté me faisait un plaisir énorme. Je me régalais de voir ses seins et ses fesses. Son corps incroyablement beau et son visage d?ange.

Le bonheur.

N?ayant aucun souci financier, nous partions souvent en week-end, soit en hôtel, soit dans l?une ou l?autre de nos deux maisons que nous avons, à la montagne et à la mer.

Cela dura tous le mois, de juillet ainsi. Nous ne parlions plus de Robert.

Puis un samedi matin, alors que je prenais mon café dans le jardin, elle vint et me dit :

Ce soir, je reçois.

? Ah bon, qui, je connais tes invités ? ?

? Oui, mais il y en a qu?un seul, c?est Robert ?

J?eu un pincement au coeur de jalousie.

? Ah et il vient pour quelques jours ? ?

? Non, il vient pour la nuit et nous repartons ensemble à Paris, j?y resterais quelques jours.

J?en fus fort attristé, mais ne le montrais pas.

Robert arriva à 18 heures.

Dès son entrée, Laurence lui sauta au cou et l?embrassa longtemps. Elle mangeait sa bouche et leurs langues se suçaient.

Enfin, ils s?arrêtèrent et Robert me salua.

? Bonjour, Daniel, Laurence m?a tenu informé de votre évolution. Mais j?avoue que malgré le calme apparent, l?esprit évolue. C?est le plus important, pour le sexe vous avez tout le temps devant vous. Toutefois, il fallait que je vienne compléter ce que j?ai commencé ?

? Et ça consiste en quoi, dis-je … ?

? Ce soir, ce soir, dit-il, calmement ?

Nous avons dîné, Laurence s?affairait à la cuisine ( très bonne cuisinière, au fait )

Au salon l?ambiance était sympathique et fort amicale.

Lui aussi bien qu?elle était très attentifs et attentionné à mon endroit.

Mais ils se comportaient en amoureux devant moi. S?embrassant, se caressant. Elle, blottie contre lui dans un canapé.

? Bon c?est pas tout, il faut se coucher, nous avons à faire et demain nous partons tôt ?

Ils se levèrent et me souhaitèrent bonne nuit et Robert précisa :

? Daniel, la porte de notre chambre restera ouverte. Tu pourras entendre, ce que je suis venu précisément faire avec Laurence, et voir aussi si tu veux ?

Ils montèrent à l?étage et je restais quelques minutes.

Je rejoins ma chambre, et déjà les bruits de l?amour parvenaient jusqu?à mes oreilles.

Nu, j?allais devant leur porte. Laurence suçait la queue de Robert. Elle l?avalait plus qu?elle ne la suçait. Vorace et affamée, on voyait très bien son manque depuis un mois.

Robert la coucha sur le dos. Il la prit sans autre préparation.

? Tu es toute prête mon amour de ma vie. Je te baise bien, je suis en toi. ?

? oh mon Robert, prends moi, j?ai attendu cet instant. Fais moi l?amour. Je suis ta femme, ton épouse, je t?aime Robert, je t?aime, oohh c?est trop bon, je ne vais pas tenir longtemps ?

Il la besognait de toute son ardeur.

Durant un long moment Laurence jouissait, sans arrêt. Ils s?embrassaient, ne parlaient plus. Ils faisaient l?amour.

? Laurence, Laurence, je vais jouir, ma chérie, je vais jouir en toi pour que tu sois enceinte, tu vas porter mon enfant … je jouis, Laurence, je t?engrosse, c?est merveilleux …. ?

Son plaisir, ses soupirs de jouissance furent couverts par les exclamations de Laurence.

? Mon chéri, mon mari, mon amour, oui je te veux, je veux être enceinte de toi, je suis ta femme, je suis à toi, je t?appartiens, viens en moi, viens, donne moi ton semence ?

Tous ces mots furent dits dans un indescriptible chahut de cris de jouissance qui déclencha la mienne dans un formidable plaisir.

Ils ne bougèrent plus. Ils étaient ainsi, l?un dans l?autre.

3 fois dans la nuit ils recommencèrent. Ils savaient ce qu?ils faisaient et ce qu?ils voulaient.

3 fois il éjacula dans sa chatte.

La troisième fois, il la plia carrément en deux. Les jambes de Laurence, touchaient ses propres épaules. Lui complètement enfoncé, en elle.

? Robert, comme ça, oui, je sens ton gland qui entre dans mon utérus, je te jure je le sens au plus profond de moi. C?est encore plus fort. ?

Elle criait son plaisir à son … homme.

Robert cessa ses mouvements, il plaqua son bassin à celui de Laurence. Il ne bougea plus. Il râla :

? Je jouis, je jouis Laurence, je déverse mon sperme, en toi, il coule, il gicle dans ta matrice. Tu seras enceinte, tu peux me croire. ?

Avant de partir, Laurence me parla :

? Je pars mais je vais revenir. C?est ici ma maison, tu es mon gentil chéri que j?aime. Mais je dois partir avec mon mari, pour que je sois enceinte et que nous ayons un enfant.

Que diraient nos parents si je n?étais pas enceinte, n?est-ce pas ?

Et je ne veux pas un enfant de toi, je veux qu?il soit un homme comme Robert.

Alors, à bientôt, mon chéri. ?

Puis ce fut le tour de Robert :

? Laurence à raison. C?est bien de cela dont il s?agit. J?ajouterais quelques précisions.

Elle a omis de te dire, sûrement pour ne pas te blesser, que j?ai interdis que tu la pénètres. Elle est à moi. Je la garde pour moi. ?

Ils partirent, ensemble, un taxi les emmena à l?aéroport.

Pas un appel téléphonique, pas un courrier, je n?ai pas eu de nouvelle de Laurence de tout le mois d?août, j?ai dit à nos parents qu?elle était partie en vacances dans notre maison de Chamonix.

Je devins complètement fou de jalousie. Les nuits étaient longues à n?en plus finir.

Enfin, le 28 août au matin, je fus réveillé par des bruits dans la maison.

Je descendis et je vis Laurence. Je couru vers elle et lui déposer un baiser sur ses lèvres pulpeuses. La serrant dans mes bras à l?étouffer.

? Mon petit chéri est content de me retrouver ? ?

? Oui, oui ma chérie, oui, tu m?as beaucoup manqué ?

? Parfait, c?est bien, j?apprécie ?

Je la regardai et je notai un changement radical. Ses cheveux étaient coupés.

Elle portait un léger haut moulant sa poitrine, sans soutien gorges.

Sa jupe était en fait une micro jupe, au ras des fesses.

Elle comprit mon étonnement.

? Eh oui, mon cher, j?ai changé de look, sous les insistances de mon mari, Robert. Il veut me transformer, selon ses dires. Il me veut plus sexy, plus salope, plus pute, m?a-t-il dit. Au fait, Daniel, je t?annonce une excellente nouvelle … Je suis enceinte. Le test est confirmé. ?

Mes jambes ne me soutenaient plus et je m?assis dans un fauteuil.

? Et c?est pas tout, c?est pas tout. Nous avons décidé qu?il n?était pas utile que je reprenne mes études. Mieux vaut que je travaille utilement. Que je gagne de l?argent. Je vais ouvrir des boutiques de vêtement … à Marseille et … à Paris. ?

? Tu crois, tu crois que c?est mieux pour toi ? ?

? Oui, j?ai envie de bouger … Comme ça je me partagerais entre Marseille et Paris, je pourrais être souvent avec toi et aussi souvent avec Robert ?

Je craquais, je devenais, intérieurement, fou.

Comment laure pouvait-elle me parlait ainsi, aussi naturellement de Robert.

Fine, elle devinait la tempête qui était en moi.

Je compris, alors, qu?elle n?était plus dans son rôle, qu?elle n?était plus en ? formation ? mais qu?elle était. Simplement elle était ce que nous avions tous voulu qu?elle soit.

Une femme libre.

? Mon Daniel, dit-elle, je crois que tu es resté sur la défensive. Nous sommes mariés, je suis Madame …, mais je suis celle que tu voulais. Toi tu seras ce que tu es … Reste près de moi, je t?aime. Mais laisse moi vivre, vivre pour nous, tu ne le regretteras pas. Tu ne t?es pas aperçu que notre vie avait commencé ? ?

? Je ne sais pas ?

? Comment, tu ne sais pas ? Tu vois bien que je suis celle que tu voulais, non ? Je suis une jeune femme salope, qui te trompe depuis que je te connais. Une femme qui préfère Robert à toi. Je suis enceinte de mon vrai mari. Pas de toi. Tu es cocu. Je suis enceinte, je porte l?enfant de Robert. Je suis sa femme et je l?aime, tu entends, je l?aime ?.

Elle avait dit tout ça, sans passion, sans hausser le ton de sa voix. Avec assurance et détermination.

Je resté coi. Elle reprit :

? Tu devrais, pardon, du dois être content, satisfait, d?avoir une jolie et jeune femme près de toi qui te fait souffrir de jalousie. Tu dois te masturber chaque jour en pensant que je suis avec un autre que toi, non ? Tu voulais être cocu, tu l?es. Tu m?as poussé dans les bras de Robert, j?y suis … et j?y reste. A toi, maintenant, comme je te l?ai dit de prendre des initiatives intéressantes qui me motiveront. Comprends bien que je fais tout ça pour nous, car je sais qu?il ne peut en être autrement. Rejoins moi, dans notre vie, et j?en serais heureuse. ?

La journée fut heureuse.

Le soir, Laurence, m?invita dans sa chambre.

Nue elle me dit de me coucher près d?elle.

? Caresse mon ventre, bientôt tu le verras grossir. Il y a déjà notre enfant. L?enfant de Robert, soit, mais c?est aussi le tiens. Tu seras son père. Tu seras toujours un vrai cocu, en étant le père de l?enfant qu?un autre à fait à ta femme.

Maintenant, met deux doigt dans ma chatte, tu vas comprendre. Tu sens comme je suis large de mon Robert. Si tu savais comme il me fait bien l?amour … 2, 3 fois par jour. Il me baise, je le suce, il m?encule. Il me prend de partout, il est infatigable. Tu sais, c?est vrai, à Paris je suis Madame X. Branle toi, pendant que je te raconte ma vie à Paris. Oui comme ça, tu bandes bien mon chéri, continue, ne t?arrête pas, touche mes seins.

Robert a permis que tu me touches. Mais il ne veut pas que tu me pénètres.

Je repars dans 1 semaine. Le temps de te préparer à ta nouvelle vie. Je vais rejoindre mon mari qui m?attend.

Alors, chéri, qu?est que tu penses de ta salope et de son vagin élargi. Elle est douce … pour lui. Je sais que tu vas jouir … viens, viens, jouis dans ta main. Oui, oui, apprécie ta condition. Jouis avec ta petite queue. C?est bien mon chéri … ?

Effectivement j?avais jouis de toutes les choses dont me parlait Laurence.

Les autres jours, je n?eus pas droit aux mêmes faveurs.

Nous avons rendu visite à mes parents et Laurence leur a appris la bonne nouvelle. Nous allions avoir un bébé.

Elle est repartie le lundi suivant. J?avais eu 2 week end avec elle.

J?allais, quelques fois à Paris, mais il m?était interdis de voir Laurence.

Comme promis, elle revint chaque mois, pour une semaine.

Les mois passèrent, son gros ventre la fatiguait. Puis au 7ème mois, elle m?annonça qu?elle ne pouvait plus voyager et qu?elle resterait à Paris.

Je ne voyais plus Laurence. Elle était … absente. Je souffrais l?enfer.

Mes parents ne comprenaient plus rien. Mais je leur dis que ma vie ne les regardait pas et qu?il reste en dehors de ça.

Un jour au bureau, ma secrétaire m?apporta le courrier, et dans ce courrier, une invitation d?un client parisien pour l?ouverture d?un complexe ? Mode et class ?

Je m?y rendis, car j?avais toujours cette capacité de travail qui me permettait malgré ma détresse de gérer mes sociétés. J?en avais même créé, une cinquième, au Maroc et une sixième au Sénégal.

La soirée animée, me rendait euphorique. Quand soudain, je les vis. Robert et Laurence, elle enceinte jusqu?aux yeux, marchait au bras de Robert. Je voulus les éviter et partir, mais une amie me prit par le bras et me dit qu?elle voulait me présenter son oncle et sa femme.

Elle m?emmena devant Laurence et Robert.

? Je vous présente, Daniel, une ami de fraîche date, mais un homme intéressant, plein de dynamisme. Daniel voici mon oncle, Robert et sa femme, Laurence, comme tu peux le voir, ils attendent un heureux évènement. ?

Je restais de marbre, ne sachant quoi faire. Robert me regardait attendant ma réaction.

Ce fût, Laurence qui sauva la situation. Elle me tendit la main et dit :

? Enchantée, Daniel. Très heureuse de vous connaître ?

1 mois plus tard, je rentrais tard chez moi.

Je fus étonné de voir de la lumière. Nous étions en mai 1983.

J?ouvris la porte fébrilement, n?osant espérer que ce fût Laurence.

C?était elle. Ma Laurence était là, dans le salon. Elle me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle me désignait l?étage et me dit que notre fille dormait.

Elle avait donc accouché, sans rien me dire.

J?étais sur un nuage, des larmes coulèrent de mes yeux. Des larmes de joie de revoir Laurence.

Elle me tendit une lettre. La peur au ventre je l?ouvris. Elle était de Robert.

? Salut Daniel, mon cher Daniel. Je te renvoie Laurence. C?est fini, ma mission est accomplie. Vous êtes tous les deux, maintenant, prêts à vivre votre vie. Tu sais ce qu?amour et souffrance, signifie.

Laurence, elle, est une femme accomplie qui saura te ? diriger ?, qui saura diriger votre couple. Vous avez une fille magnifique. Elle s?appelle Laure. Mon 2ème prénom c?est Laurent. Etonnent n?est-ce pas ?

Je vous souhaite longue vie et bonheur.

Adieu

Robert ?

Je tombais à genoux, la lettre dans les mains, je pleurais.

Laurence se précipita et essuya mes larmes.

? C?est fini, c?est fini, dit-elle, je suis là. Calme toi. ?

Petit à petit, nous retrouvions nos repères. Mes parents étaient contents, pour moi.

Laurence faisait beaucoup de sport pour retrouver sa sveltesse et son beau corps.

Tout y passer, Sport, massage, sauna, crèmes en quantité astronomiques.

Laure me comblait et je l?aimais comme j?aime sa mère.

Pour nos vacances, mes parents, acceptèrent de s?occuper de notre fille.

Nous sommes partis en vacances … professionnelles …. Marrakech, puis Dakar.

Laurence était habillée suivant son nouveau look, jupe extra mini, et seins apparents soit sous chemisier ouverts largement, soit sous tissus fin, toujours sans soutien gorges.

Je rendis grâce à Laurence de cette réussite après son accouchement.

Pas une vergeture, ventre plat et ferme, seins aussi lourd qu?avant, voir plus, mais tenant aussi haut. Presque pas, moins de fermeté.

Elle était plus belle que jamais.

Nous profitions de nos vacances et étions heureux, dans la chambre d?hôtel, nous étions dans le même lit, mais je ne devais pas la toucher. Pas encore, avait-elle précisé.

La journée se passait à la plage, puis dans les souks. Le soir, au restaurant et dans quelques bars ou boites de nuits.

Un soir, dans une boite, alors que Laurence dansait, un jeune arabe d?une vingtaine d?année, est venu me parler :

? C?est votre femme, la blonde, qui danse ? ?

? Oui, pourquoi ? ?

? Elle est belle, elle danse bien ?

Inquiet je demandais :

? Pourquoi voulez-vous savoir, si c?est ma femme ? ?

Gêné, le jeune répondit :

? Bein, souvent les couples européens cherches des jeunes pour … vous comprenez, pour passer de bons moments …. ?

Je comprenais, en effet, et cette idée me fit avoir une érection fabuleuse.

Je réfléchis vite.

? Et tu veux quoi, tu proposes quoi ? ?

Ses yeux illuminés, il dit :

? je veux la niquer. ?

? d?accord, viens à l?hôtel Oasis, dans une heure, chambre 1002. Tu attendras dans le Grand salon et je te ferais demander, tu t?appelles comment ? ?

? Afhid ?

? Ok, à ce soir ?

Lorsque Laurence revint, elle me demanda avec qui je discutais. Je lui expliquer mot pour mot ce qui venait de se passer. Elle me fixa droit dans les yeux avec une sorte de défi.

Lorsque nous sommes arrivés à l?hôtel, nous aperçûmes le jeune homme.

Contre toute attente, Laurence s?arrêta et l?appela.

Il s?approcha.

? Alors, il paraît que tu veux me baiser ? ?

Sans se démonter, l?arabe dit :

? Oui, avec plaisir ?

? Alors, viens avec nous, inutile d?attendre ?

Nous voilà tous les trois, en route vers notre chambre.

A l?intérieur, Laurence, s?est déshabillée, sans plus attendre. Nue, elle a regardé le jeune et lui a demandé de se mettre à poils.

Nu, il nous ai apparu un sexe d?une grosseur exceptionnelle. A demi bandé seulement, il était aussi gros que le mien, bandé. Ses couilles ressemblaient à des balles de tennis, mais presque noires.

? Il s?appelle, Afhid ?

? Dis donc Afihd, tu es bien monté ?

? Pour vous servir, Madame ?

Elle s?assit sur le lit et l?attira devant elle. Elle saisi la queue de l?arabe le branla un peu et aussitôt comme un ressort, il se mit à la verticale, totalement en érection.

Elle le suça. Sa bouche distendue par la grosseur de l?objet, s?appliquait à l?aspirer autant que possible. Elle voulu s?arrêter, mais l?arabe, lui retint et lui enfourna à nouveau sa bite dans la bouche et lui dit :

? Suce, salope ?

Il baisait la bouche de Laurence avec douceur.

Sans prévenir, il jouit. Laurence surprise manqua de s?étrangler et de tout recracher, mais le bougre, avait tout prévu. Il tenait la tête de Laurence à deux mains. Il continua de déverser son sperme dans la bouche de ma femme. Elle fut obligé de tout avaler jusqu?à la dernière goutte.

Il se retira et ne débandait pas d?un millimètre.

Il coucha Laurence sur le lit, la suça juste un instant, la jugeant, immédiatement prête.

Je m?approchais et je m?assis sur le bord du lit.

Il se mit sur elle guida son pieu à l?entrée du vagin et s?y enfonça d?un seul trait.

Laurence jappait, elle soupirait de tout son être. Pleine, sa chatte était pleine de la bite.

Il la baisa alors, avec la fougue de sa jeunesse. Ecartelant ma femme.

C?était grandiose.

Je caressais ses gros seins, en me masturbant de l?autre main.

J?étais au comble de mon excitation.

? Oui, Afhid, baise là cette pute, cette chienne. ?

A ces mots, Laurence cria, cria fort son excitation et alla au devant de la queue qui la pénétrait. Je poursuivis donc :

? Afhid, prends là, je te la donne. Nique la bien cette salope. ?

Afhid ne parlait pas, mais baisait, baisait, comme un taureau.

Il ramonait, mon épouse, qui criait sa jouissance en permanence.

Cette grosse queue dans sa chatte, elle était heureuse.

Afhid annonça son plaisir ma des grognements sourds. Il se répandit en elle.

? ooooohhhhhh, cria Laurence, son foutre est chaud. Il m?inonde la chatte. ?

Encore quelques coup et il se retira.

Sans laisser le temps à Laurence de réagir, je pris la place de l?arabe.

Je la pénétrais, je pénétrais son gouffre béant, devrais-je dire. Mon sexe nageait dans du beurre fondu. Mais peu importe je voulais mon plaisir et elle voulait aussi mon plaisir.

? Putain, salope, tu te fais baiser par ce jeune arabe. ?

Je baignais dans le sperme de Afhid et dans la mouille de Laurence. Mais je voulais durer, encore et encore, jouir de ma femme. Car il y avait si longtemps.

Je me retirais et je vins, à mon tour, dans sa bouche. Elle m?avala et je jouis immédiatement en criant. Elle avala mon sperme à moi aussi.

J?étais fou de désir et d?excitation.

Je remerciais Afhid, et le priais de revenir demain vers 20 heures.

Je me blottis contre Laurence, et elle me serra fort contre elle.

? Notre complicité vient de trouver son chemin, dit-elle ?

? Oui, je crois, que nous sommes heureux ?

Laurence était joyeuse, elle me comblait. J?étais plein de fantasme a vivre.

Déjà, moi, un homme de 31 ans, j?avais une jeune épouse de 19 ans.

Sa beauté était largement au-dessus de la beauté.

Une splendide femelle au corps de déesse.

Ma femme, si jeune avait appartenu durant 1 an à un homme de 56 ans, dont elle a eu 1 enfant. J?ai vu cet homme prendre son pucelage, j?ai vu cet homme la baisait.

J?ai vu mon épouse avalait son sperme avec avidité et se faire enculer avec bonheur.

J?ai souffert d?amour et de jalousie.

J?ai connu se que je voulais connaître.

Je vis mon couple.

Sur ces pensées je m?endormis.

La journée se passa en insinuations, en petits mots, en complicité.

Les hommes du souks lorgnaient Laurence, bien que sagement vêtue.

Je disais :

? Ils doivent tous avoir des pensées salaces sur toi ?

Elle disait :

? S?ils ont des bites comme Afhid, je les veux bien tous ?

On riait et on riait encore.

? Ce soir je vais te prêter à Afhid … ?

? Me prêter, oui je veux bien que tu me prêtes ?

Lorsque qu?Afhid arriva, nous étions à l?attendre dans le hall de l?hôtel.

Devant Laurence je lui dis ce que j?attendais de lui.

? Afhid, tu vas emmener, Laurence avec toi. Cette nuit elle t?appartient. Elle dira oui à tout ce que tu lui diras. Mais tu peux aussi la garder, autant des jours que tu veux. ?

? Merci, merci je vais la traiter comme une chienne ?

? Bon alors allez-y ?

Afhid, marchait devant et Laure derrière lui.

Il revint 3 jours plus tard.

? Bonjour, Daniel, ne t?inquiète pas. Elle va bien. Je m?en occupe. Elle aura beaucoup de chose à te raconter. C?est vraiment une bonne pute. T?as de la chance. Tu me permets de la garder, encore ? ?

? Encore 2 jours, car on part, lundi ?

? Viens voir, viens tu veux la voir ? Elle est sur la plage ?

Nous nous sommes approchés. Elle était bien là. Un homme était à coté d?elle.

? C?est mon oncle Mohamed, c?est lui qui la manage. Il a une bite de cheval. Bon je te laisse, à dimanche ?

Laurence est rentrée à l?hôtel à dans la nuit à 4 heures du matin.

Elle était épuisée.

Elle m?embrassa avec passion. Elle se lova contre moi.

? Je crois que j?ai touché le fond, dit-elle ?

? Raconte moi ?

? J?ai été baisée et enculée par Afhid toute la nuit du premier soir. Le lendemain, il m?a présentée à son oncle. Un homme de 40 ans. J?ai couché avec lui. Il a une queue énorme. Quand il m?a enculée j?ai eu mal.

Lui il m?a gardé jusqu?à maintenant. Au moins 6 fois par jours, il avait besoin de vider ses couilles. Dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon cul. Touche, j?ai encore son sperme qui coule de ma chatte ?

Mes doigts pénétrèrent son vagin englué de foutre.

Je ne pouvais pas la laisser ainsi, nous devions tout partager.

J?écartais ses cuisses et je la suçais. L?odeur du sperme était très forte.

? Suce mon mari, avale, toi aussi, le sperme des arabes qui baisent ta femme. Le cul aussi, lèche mon cul, lui aussi il est plein sperme, oui, enfonce ta langue. ?a fait du bien. ?

Laure rentrait de 5 jours de ? liberté ?, 5 jours durant lesquels elle avait offert son jeune corps à un marocain de 40 ans. Elle lui avait tout offert d?elle. Tout ce qu?en principe une jeune femme réserve à son mari.

Et moi, son mari, je l?attendais, j?attendais qu?elle revienne pour nettoyer les traces de son infidélité.

J?avais envie d jouir, bien sûr, mais l?abstinence dans la jalousie est un merveilleux plaisir.

Je préfère, souvent, attendre, attendre et savoir que je suis cocu.

Après un passage, en mes bureaux, le lendemain, nous avons pris un léger retard, mais nous avons pu, nous envoler pour Dakar.

Ah les plages de sable fin, les palmiers, les cocotiers.

Notre hôtel est génial. La suite est spacieuse et, comment dire, tropicale, mais climatisée …

Laurence est en ravissement. Elle s?habitue au luxe. Ses angoisses et ses soucis, envolés. Ses parents ne sont plus en difficultés … ( Nous avons pu trouver un travail à son père et quelques petites aides de Laurence ont fait le reste )

Ses 19 ans passés, la rendent … pleine de dents pour croquer mille pommes.

Sa beauté ( sincèrement réelle ) la rend objet de toutes les tentations.

Ici, elle peut, sans problème bronzer les seins nues, dans son mini slip de bain.

L?accouchement a, légèrement, élargi son bassin et ses hanches, son fessier n?en est, encore que plus attirant.

Ses seins, eux, comme je le dit plus haut, n?ont pratiquement pas changés. Ni en grosseur, ni en lourdeur. Son 95C, je le sais à présent, est toujours aussi magnifique. Les auréoles ont légèrement, très légèrement, bruni. Comme elle n?a pas allaité, ses bouts n?ont pas grandi.

Ni en poire, ni en pomme, mais larges et rapprochés, ils sont à croquer.

Sa peau, très blanche ( vraie blonde ) est a peine hâlée. Ses yeux bleu-vert, sont encore plus voyants. Elle est belle.

Depuis 4 jours, nous sommes sur un nuage … de bien être.

Je l?attends, elle se prépare, je suis au bord de la piscine, je sirote mon jus de fruits, glacé.

Elle se plante devant moi :

? Alors, bel homme, comment suis-je ? ?

Même si vous ne me croyez pas, je vais quand même vous la décrire, dans le désordre, en gardant le meilleur pour la fin.

Chaussures noires, talons moyens, laissant voir ses pieds.

Haut, simplement fait d?un soutien gorge, noir, garni de dizaines de minuscules traits blancs. Le bas du soutien gorges est complété d?un tissu collant, noir, transparent. Un peu trop petit, sans doute, car sa poitrine semble vouloir en sortir.

Sur ses épaules, un voile transparent, gris foncé, couvre l?ensemble.

Une minijupe, noire, évasée, lui arrive un peu plus haut que mi-cuisses.

? Vénus et Aphrodite, réunies, dis-je, subjugué. ?

? Et tu n?a pas tout vu … ?

Joignant le geste à la parole, elle se tourne, se penche en avant et je vois, ébahi, ses fesses nues, sans slip, ni string.

J?imagine donc, qu?elle est chaude pour la soirée.

Il est 21 heures, nous dînons chez notre restaurateur favori où les crustacés sont la spécialité.

Bien qu?habitué aux regards, appuyés des gens qui la croisent, je suis toujours fier.

Et le regard des sénégalais, m?amuse.

J?ai loué une voiture avec chauffeur, dès notre arrivée. Je dis donc au chauffeur de nous emmené dans une boite, afro européenne, comme il en existe quelques unes.

Nous entrons, il est proche de minuit. Il y a de la musique africaine …

On nous propose une table que nous refusons, préférant, une table moins près de la piste, mais plus intime.

Le serveur nous guide, alors, vers un box, légèrement surélevé, clos par des vitres fumées à mi hauteur. L?endroit est agréable et confortable, avec table basse et fauteuil en demi cercle.

Il nous dit :

? C?est un box V.I.P, les consommations y sont majorées de 30%, et uniquement servies en bouteille, ça vous convient ? ?

? Parfait, jeune homme, dis-je, c?est parfait, apporte nous ton meilleur champagne. ?

Je lui glisse 10.000 fcfa, et le garçon me remercie avec un grand sourire.

Nous buvons notre champagne, bien glacé, Laurence est tout contre moi. Nous regardons les danseurs et les danseuses. La musique est érotique, sensuelle. Le noir et le blanc se mélange.

Le serveur, vient nous visiter de temps en temps.

Laurence décide enfin d?aller danser. Elle ne me demande pas de la suivre. Elle me connaît bien. Elle sait que j?adore, l?observer.

Elle danse sur une musique européenne, puis sur une musique africaine ensuite.

C?est plus compliqué … mais elle essai de s?y adapter. Et plusieurs noirs, tente en se bousculant de danser avec elle, de capter son attention.

Un y parvient, plus que les autres, qui continuent leur approche.

Pantalon blanc, chemise jaune. Il paraît, la trentaine, mais avec les noirs, il est souvent difficile de donner un âge précis.

Je crois comprendre, qu?il tente de lui expliquer les pas de danse et les mouvements.

Laurence rie aux éclats

Je sais que le noir ne lui est pas indifférent. Il est musclé. Svelte, toutefois.

Puis, contre toute attente, elle s?arrête et plante là, son cavalier.

Elle vient s?asseoir et boit d?un seul trait sa coupe de champagne.

Je la sens un peu tendue. J?essai de comprendre, sans lui poser de questions.

Le serveur vient nous remettre une bouteille.

En coin, je l?observe. Elle regarde la piste et son ex-cavalier. Elle le suit du regard.

Alors je comprends tout.

Elle a envie, elle crève même d?envie, je suis même sûr que sa chatte doit être inondée, mais voilà, il est noir. Il est noir et Laurence qui n?a que 19 ans, n?a jamais eu de rapports sexuels avec un noir. Son esprit doit bouillonner, tout comme son corps, d?ailleurs.

Je lui prends la main, comme pour la rassurer, mais ne dit rien d?autre que :

? Sur un piano, les touches sont blanches et noires, elle donnent une merveilleuse musique ?

Elle me regarde, sans comprendre, mais je sais qu?elle va y penser … j?ai mon plan.

Je m?excuse et lui dit que je vais aux toilettes.

L?obscurité me favorise. Je trouve notre serveur et lui remets un autre billet, dans la main.

? Tu vois le type qui danse, avec un pantalon blanc et un chemise jaune ? ?

? oui, patron ?

? Discrètement, dis lui qu?il est invité dans le box, par sa cavalière de tout à l?heure ?

Il comprend et me sourit de ses dents blanches.

Je reste dans l?obscurité et regarde le manège.

Le serveur a fait la commission. L?homme regarde vers le box et s?y rend, suivi du serveur.

L?homme entre et le serveur, zélé, ferme la porte et retourne le panneau ? do not disturb ?

Le serveur revient et me dit :

? C?est ok, patron ?

? Merci, c?est parfait ?

Je reste là un bon quart d?heure et je retourne au box, j?ouvre doucement la porte.

Spectacle garanti.

Le noir et Laurence sont dans les bras l?un de l?autre et s?embrasse goulûment.

Le noir me voit et cesse immédiatement en se dégageant de Laurence.

Je tente de la rassurer, mais il n?a pas l?air de l?être.

Je lui dis que je suis le mari de Laurence mais que je peux me retirer sans problème, s?il le souhaite.

Il devient calme tout à coup. Laurence qui a comprit me sourit et confirme la chose.

L?amitié est scellée. Nous buvons et ils vont danser.

Laurence revient et me dit :

? Chéri, tu as bien retournée la situation ?

? Oui, mais, toi, tu es comment ? ?

? J?avais une appréhension mais c?est passé, tu as bien manigancé, mon cher mari ?

? Le vice et la complicité, c?est ma spécialité ?

? Oui, mais maintenant, il ne veut plus lâcher. Il m?a demandé de me débarrasser de toi, qu?est-ce que je fais ? ?

? Fais comme tu veux, si tu veux … le garder, dis lui que tu t?en débarrasses … moi je prends un taxi et je rentre à l?hôtel, je me cacherais dans le bureau et toi tu rentres avec le chauffeur, qu?en dis tu. ?

? C?est génial, génial … mais non, et la clé ? ?

? Merde, c?est vrai … ( réflexion ) J?ai trouvé. Je vais expliquer au groom que je suis rentré avant toi et que je suis fatigué, je vais lui demander de fermer la porte et de la remettre à la réception pour que tu puisses enter sans me réveiller, voilà tout. ?

? Parfait, ok ?

Un énorme bisous scella notre plan … Je pensais que la langue du noir avait fouillé la bouche de ma femme. C?était bon.

Je suis parti et j?ai fais comme prévu, sans problème.

Une heure plus tard, caché dans le bureau, j?ai entendu la porte s?ouvrir.

Laurence allume l?abat jour. SURPRISE.

Le noir est là, il regarde la pièce et siffle d?admiration. Mais il n?est pas seul. Un autre noir est avec lui. Il paraît plus âgé et il est plus corpulent et plus grand.

Je ne comprends pas et je pense que tout est fichu.

J?observe par la porte entrebâillée.

Et les deux noirs, comme un ensemble bien synchronisé, se collent à Laurence, un derrière et un devant.

Je n?en reviens pas, c?est la première fois que Laurence fait ça avec deux hommes.

Les noirs la tournent, la retournent, la palpent de partout. Elle change de bouche, sans arrêt.

Se faisant, ils la déshabillent, elle est nue.

Le grand siffle d?admiration.

? Une blanche neige, sans culotte, ça doit être une belle salope, ont va bien s?amuser ?

Ils la soulèvent et l?allonge sur le lit.

Ils se déshabillent aussi, rapidement.

Laurence se redresse. Sa tête va de gauche à droite. Ses yeux grands ouverts.

? C?est pas possible, j?ai jamais vu ça … ils sont énormes … ?

Les noirs éclatent de rire.

Le plus petit, dit : ? 27 par 5 pour vous servir, Madame ?

Et le plus grand : ? 28 par 6 pour vous farcir, salope ?

Chacun d?eux est agenouillé de part et d?autre de Laurence.

Elle saisi une queue, puis l?autre. Sa petite main n?arrive pas à se refermer sur les colonnes de chair, bien dure. Elle branle les deux en même temps.

Les noirs caressent ses seins et se laissent masturber. Je vois leurs couilles aussi grosses en proportion.

Ils fouillent sa chatte ouverte avec chacun 5 doigts.

? Elle mouille comme la fontaine de mon village, dit le plus grand ?

? Comment vous vous appelez demande Laurence ? ?

Le plus grand dit : Fouda. Le second dit : Bouba.

Moi c?est Laurence, mais vous le savez déjà.

Alors, Bouba, dit : Je vais jouir de ta main salope de blanche, tu m?excites trop

Et il décide qu?il y a mieux … il saisi Laurence par les cheveux et lui fourre le gland dans la bouche. ( elle ne pourrait pas en prendre d?avantage )

Il éjacule, il grogne en lui maintenant son sexe dans la bouche. Il jute son sperme qui à voir les efforts de déglutition de Laurence, doit être en quantité industrielle. Au moins 30 secondes qu?il éjacule ainsi et il reste la bite dans sa bouche.

? Oh la pute … elle a tout avalé … qu?est-ce que je lui ai mis dans le gosier, tout le jus de mes couilles ?

Fouda, le plus grand, veux aussi sa part.

Il se couche sur Laurence. Relève ses jambes et pointe son engin à l?entrée de la vulve bien mouillée.

? Tu vas connaître le bangala dit-il. Tu vas crier pute de blanche ?

Il pousse doucement, lentement mais sans s?arrêter jusqu?au couilles. La pénétration a bien duré 10 secondes. Il s?arrête.

Laurence souffle, souffle, comme pour un accouchement … Elle ouvre les yeux, regarde le noir qui est entre ses cuisses, sa bite dans sa chatte.

Elle se redresse sur ses coudes et demande :

? Sors ta queue, mais laisse le bout l?intérieur ?

Le noir s?exécute.

Laurence regarde le gros sexe qui la possède et dit : Maintenant baise moi.

Elle s?allonge et ferme les yeux.

La baise commence. Le noir s?active, il rentre et sort, doucement, vite, doucement et ainsi de suite. Il soulève Laurence par les hanches, l?allonge à nouveau, il se couche sur elle, ils s?embrassent, bouches ouvertes, langues sorties. Les jambes de Laurence enserrent la taille du noir, qui la besogne si bien.

Il se met sur ses genoux, lève les jambes de Laurence et la baise, la baise en s?enfonçant à fond.

Laurence est au bord de la syncope. Son souffle est saccadé et ses soupirs sont roques.

Elle parle :

? boub … boub … bouba, baise moi, baise moi … ouvre moi, c?est dément, je ne jouis plus, je suis la jouissance en permanence, jamais je n?ai connu ça … c?est trop, je ne fais que jouir, je coule … ?

? C?est ton pied, salope, tu as connu le noir, le noir tu connaîtras. Tu ne voudras plus ton mari, après moi. Tu feras la pute pour venir me voir, pour que je te baise ?

Il tapait fort et à chaque fois il entrait à fond, je ne savais pas comment Laurence pouvait accepter ça dans sa chatte, mais je compris aussitôt qu?elle dit :

? J?en prends plein la chatte, tu m?écartes, tu m?ouvres, tu m?ouvres l?utérus, je te sens dans mon utérus. C?est fou, je suis transpercée ?

Elle se mit à crier et parla en râlant :

? Tu jouis, salop, tu jouis … je te sens, tu coule ton sperme … c?est chaud, c?est trop, tu inondes mon ventre … j?en peux plus …. ?

Elle s?arrêta net et ne bougea plus.

Lui continuait, doucement de la baiser pour se vider complètement. Puis se retira satisfait.

Fouda qui bandait à nouveau fermement, pris Laurence, la retourna, la fit mettre à quatre pattes et lui suça l?anus.

Il voulait l?enculer.

Il la suça et lui dilata le cul avec ses doigts.

Laurence se laissait faire, mais remuait du cul. Ses ballottaient.

Fouda approcha et présenta sa bite au cul de Laurence.

Elle réagit, leva la tête et cambra les reins. Prête à la sodomie dantesque.

Il poussa, la pression ouvrit l?anneau culier. Le gland passa. Laure poussa un cri étouffé.

? Doucement, doucement, Fouda, tu es gros, doucement ?

Fouda s?arrêta, l?autre riait. Fouda poussa et s?arrêta. Il recommença encore. Encore. Enfin il fut calé à fond. Toute la longueur de sa queue noire dans le cul de ma femme.

Les couilles devaient toucher la vulve.

Les 2 partenaires, homme noir et femme blanche, s?activèrent ensemble. Lui voulant la prendre et elle désirant être prise.

La bite dans le cul de la femme sortit et y rentra de nouveau. Cette femme, ma femme.

? Fouda, ooohhh Fouda, tu me défonces le cul. Tu me donnes du plaisir. Je suis à toi. Tu me fais trop de bien, si tu savais … ooohhh comme c?est bon ton gros sexe dans mon cul, je me sens prise, embrochée. ?

C?est Bouba qui répondit : ( Il était, en effet, plus vicieux que fouda )

? Oui, c?est ça chienne de blanche, tu es bien prise par un gros sexe de noir. Tu n?es qu?une pute qui aime les grosses queues noires et tu vas en avoir. Tout de suite d?ailleurs. ?

Il se leva de son fauteuil la bite à la main.

Il se glissa sous le couple, entre leurs jambes.

Se soulevant du bassin, il présenta sa queue à la vulve de Laurence, qui l?accepta en écartent les jambes. Elle le voulait, elle voulait connaître ça. C?est elle qui s?enfonça, à son rythme, la queue de Bouba dans la chatte.

Les deux énormes sexes des noirs étaient en elle.

Le trio bougea. Fouda l?enculait et Bouba la baisait.

Ma femme, mon amour d?épouse blanche était prise par les deux bites noires.

Le contraste était merveilleux. Je bandais mais je ne me touchais pas.

Mes yeux prenaient des photos.

Je regardais, j?écoutais.

Laurence n?était plus qu?un râle permanent, un soupir continu, la jouissance perpétuelle.

Les 2 noirs s?activaient chacun dans son trou.

Ils la baisaient, maintenant, sans ménagement, aussi fort qu?ils pouvaient.

Ils parlèrent en patois et changèrent de place.

Fouda dans la chatte et Bouba dans le cul.

Laurence n?était qu?un pantin désarticulé, entre leurs mains.

Ils n?arrêtaient pas. Cette cavalcade a duré au moins 10 mn.

Ils parlaient ensemble, à tour de rôle.

Laurence disait sans cesse, en se trompant de nom :

? Fouda je t?aime, je suis à toi pour la vie … Tu encules ta femme blanche, ou Bouba, je suis ta pute, je t?appartiens, je veux être enceinte de toi … Je ne veux plus partir, je suis à vous ? Elle délirait de jouissance.

Et Fouda et Bouba :

? Ordure de blanche, tu es pleine de partout, ton cocu de mari, il es où, ( s?ils savaient ) chienne, 2 queues noires dans ton ventre et ton cul, on va te remplir de notre sperme. ?

Voilà comment ils jouirent tous les trois dans un concert bien organisé.

Les noirs se retirèrent de ma femme et elle s?écroula sur le lit.

Ils s?habillèrent et partirent.

Je sortis de ma cache, nu, le sexe bandé à mort.

Je me mis à genoux sur le lit entre ses jambes écartées. Je ne voyais pas très bien.

Doucement, je l?ai retournée, bien écarté ses cuisses et là, j?ai vu. J?ai vu le sperme coulait du vagin de ma femme.

Je me lovais sur Laurence. Elle ne bougeait pas. Je m?introduisis en elle. C?était brûlant, le sperme du noir était chaud.

Je la baisais, sans aucune réaction de sa part. Elle ne me sentait même pas, mais moi, je me régalais. Je la baisais en revoyant les images. Les deux noirs la possédant.

Je me traitais moi-même de cocu qui donne sa femme à d?autres. De cocu qui aime que sa femme fasse la pute.

J?ai jouis, en pensant :

Voilà que je jouis de ma femme qui vient de se faire enculer par un noir et dans le sperme de celui qui la baisait.

Je me suis allongé à coté d?elle et j?ai entendu faiblement :

? C?est bon d?être cocu par des noirs … ?

Je n?ai pas répondu.

Laurence n?a émergé qu?à 18 heures.

Elle était cassée, c?est le cas de le dire. Elle n?en revenait pas. Elle me dit :

? Daniel, j?ai connu ce qu?une femme ? normale ? ne peut pas connaître. J?ai connu le soleil en pleine nuit, LA jouissance ?

Durant 2 jours, elle est restée à l?hôtel, à la piscine.

Le 3ème jour, elle est allée seule en boite … Elle a retrouvé Fouda.

Elle n?est revenue qu?au petit matin.

Les 6 derniers jours, elle est sortie tous les soirs, ( à mon grand plaisir )

Elle a aussi retrouvé Bouba.

Un jour, ils ont invités deux copains et Laurence n?est revenue que l?après midi.

Ils étaient 4 sur elle. A tour de rôle ils l?ont baisée et enculée, ils ont jouis dans sa bouche.

Elle était pleine de sperme.

Je l?ai embrassée et sa bouche était encore pâteuse.

J?ai léché sa chatte remplie de sperme de ses amants noirs.

Je suis, moi, aussi entré dans sa cul dilaté et encore huileux de foutre.

Ma femme dépassait en tout, tous mes fantasmes les plus vicieux. Elle est une véritable jouisseuse, elle aime les bites et le sperme.

Dans l?avion du retour, elle m?a dit :

? Daniel, tu sera toujours le plus grand cocu que la terre ait porté ?

? J?espère bien ?

? Tu seras comblé ?

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