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Laurence – Chapitre 3

Laurence - Chapitre 3



Nous voici rentrés à Marseille. ( enfin, banlieue résidentielle )

A ceux qui après avoir lu mes deux premières lettres, pourraient penser qu?elles sont le fruit de mes fantasmes, je dis que ma confession, qui comportera je ne sais combien de lettres, est réelle est authentique.

Nous avons retrouvé notre adorable fille, Laure, avec une joie immense.

Laurence est … aussi et en plus, une mère parfaite.

Rentrée sur les chapeaux de roues. Il faut que je restructure mon implication professionnelle pour me permettre d?être plus disponible avec ma femme.

Réunion des cadres. Réunion des conseils d?administration. Recrutements.

15 jours, tambours battants. Tout est arrêté et restructuré.

Laurence, aussi, n?est pas restée inactive. La semaine prochaine elle à 3 rendez vous importants.

1 à Paris où elle doit visiter 2 emplacements de commerces.

1 à Rome, pour la même chose

1 à Paris, mais pas à la même date que le premier, avec une société de communication.

Nous avons donc engagé une nounou pour notre fille.

Sauf, à sa demande expresse, je ne m?occupe pas … directement de ? ses ? affaires.

Bien évidemment, mes juristes, se sont chargés de tout le montage de sa société ( SARL avec son père ) et mes comptables de l?aspect financier.

Pour le reste, elle gère … bon, soit, avec une collaboration étroite avec les commerciaux des mes sociétés, mais c?est à son initiative et selon ses directives.

Et nous voilà le 13 avril 1984.

C?est sa consécration. Demain, c?est l?ouverture de ses 2 magasins de Paris.

La société de communication a fait du bon travail.

Rien à dire, ce fut un franc succès et tous les espoirs sont permis.

Ouverture du magasin de Rome. Succès identique et même mieux.

Son père est vraiment un type bien qui a su devenir, en peu de temps, un manager hors pair.

Tout ce temps, consacré la réussite professionnelle de Laurence, nous a apporté, grâce à ma disponibilité organisée, une complicité formidable.

La sexualité était … en attente …

Laurence aura 20 ans. 20 ans dans 2 jours. Le 28 avril 1984.

J?ai tout organisé.

Ce sera chez mes parents. Ses parents, aussi bien sûr, seront présents. Des amis, des relations.

Une trentaine de personnes.

Ce fût pour Laurence, la revanche sur un moment difficile de sa vie, lorsqu?elle n?avait que 18 ans que depuis quelques jours et qu?elle souffrait de ses difficultés et de celles de ses parents.

J?ai offert à Laurence, une maison à Deauville …. Pour elle, évidemment, mais je sais, je sais qu?elle joie elle aura de la mettre à la disposition de ses parents si et quand ils le souhaitent.

20 ans … ça se fête bien, non ?

Ainsi passèrent les mois. Une année bien remplie.

Et si on préparait nos vacances …

Ces préparatifs nous fournirent biens des soirées de rires et de joie pour choisir, soit le pays, soit la ou les villes, soit la mer, soit la montagne.

Finalement, nous sommes tombés d?accord. Et pourquoi pas en France, chez nous, en partie à Chamonix, en partie à la Grande Motte et pourquoi pas à Deauville.

Nous sommes partis le 3 août pour voyager dès l?aube direction Chamonix.

Laurence avait mit une voiture à disposition de la nounou … avec tout l?attirail de Laure.

Nous voici partis en convois.

1 semaine de balades et de tourisme familial. Super.

Mais Laurence ( la parisienne ) préférait la mer, même habitant Marseille, maintenant.

Arrivés à la Grande Motte. Les premiers jours furent un délice de repos.

Le 4ème jour. Ah ce 4ème jour. Je m?en souviens parfaitement. Il a marqué le retour à notre complicité sexuelle.

Laurence, dès le premier jour était partie se balader, seule, le long du littoral sauvage.

Souvent elle ne revenait que 2 ou 3 heures plus tard.

Quelque chose me chatouillait l?esprit. Ainsi ce 4ème jour, je décidais de la suivre discrètement. Oh, non que je craigne quoi que ce soit, mais par simple curiosité et surtout essayer de savoir ce qu?elle pouvait bien manigancer.

Je la suivais de loin et bien décalé par rapport à son axe.

Elle arriva là ou elle allait et s?installa … Je me dissimulé à la lisière d?un sous bois où commençait les dunes.

Sa serviette sur le sable, elle se enleva son mini maillot et s?allongea pour bronzer nue.

Je me dis que pour cela, nous aurions pu aller au camp de naturistes.

Pourtant, 10 mn plus tard, un homme sortit du sous bois et arriva près d?elle.

Il installa sa serviette, juste contre la sienne. Lui aussi se mit nu, s?allongea et … enlaça Laurence, dans un long baiser.

Pour une surprise s?en était une. Qu?est-ce que cela signifiait ?

Je paniquais réellement et le monde s?écroulait.

Sans même m?en rendre compte, je suis retourné à notre plage habituelle avec la nounou et ma fille, perdu que j?étais dans mes pensées.

Laurence n?arrivant pas nous sommes rentrés à la maison.

Enfin elle arriva quelques 30 ou 45 mn après, comme si de rien n?était.

Cette situation et ces escapades durèrent encore 3 jours. Je me posais mille questions.

Le soir, Laurence me dit que nous irions en boite. Ok.

La Grande Motte, en boite au mois d?août, vous connaissez ? Non ? C?est le sexe à l?état pur.

Une ambiance brûlante dans la fraîcheur des climatiseurs.

Il nous fût difficile de trouver une table. Nous dansions, lorsque Laurence m?arrêta et me dit :

? Viens, je veux te présenter quelqu?un ?

Je la suivis et près du bar en cercle elle s?approcha d?un homme qu?elle embrassa sur les joues.

? Daniel, je te présente Alain, que j?ai connu sur la plage, Alain, je te présente mon beau frère, le mari de ma soeur, chez lesquels je loge pour l?été ? Elle ne m?avait pas prévenu. Mais je réagi promptement. ( Elle a de l?imagination … Une soeur ! )

Enchanté … Enchanté etc … etc …

C?était donc cet homme … avec lequel je l?avais vu.

Je fus presque choqué. Il devait bien avoir 60 ans. Pas très beau et même un peu gras.

J?en étais à ces pensées, lorsque qu?elle dit :

? Alain … mais où est donc Thierry ? ?

? Juste derrière toi, ma fille … ?

Nous nous sommes retournés ensemble et Laurence fit face à un homme d?une trentaine d?années. Bien.

Il ceintura Laurence par la taille et l?embrassa avec passion sur sa bouche qui s?ouvrit naturellement.

Je regardais Alain, l?interrogeant du regard.

? C?est mon fils …. Ils se connaissent depuis une semaine et c?est … le grand amour, il faut dire qu?elle est belle, la petite ?

? Ah ! Fis-je simplement ?

Lorsque les ? amoureux ? eurent fini, Laurence fit, a nouveau, les présentations.

Je me drapais dans mon rôle du mari … de la soeur …. Essayant de ne pas faire de gaffe.

Ils étaient sympathique et leur compagnie agréable.

Thierry n?arrêtait pas de flirter avec Laurence, la tenant comme s?il avait peur qu?elle fuit.

Tout à coup je me posais la question de savoir comment pouvait bien s?appelait … ma femme, la soeur de … ma femme. Je redoutais la galère.

Laurence vint à mon secours ..

? Nadine est restée à la maison ? Et ma nièce, elle n?a plus mal aux dents ? ?

Oohh oohhh oohhh, un vrai roman ….

? Oui, rassure toi … tout va bien ?

Thierry commande une bouteille de Bourbon ( Laurence préfère le champagne, mais … bon )

Laurence et son amoureux partent danser, reviennent et repartent. Je reste à discuter, plus ou moins, avec Alain.

Tard ( ou tôt ) dans la nuit, nous ne voyons plus nos tourtereaux. Alain et moi décidons d?aller nous coucher.

? Ah … il a de la chance mon fils, elle est belle … la petite, j?espère qu?il va la garder ?

Laurence est revenue vers midi. Les yeux cernés.

Je voulu la questionner mais elle mit un doigt sur mes lèvres.

? Pas de question. J?ai décidé de ne rien te dire, de ne rien partager avec toi. Oublie moi pour les jours qui restent. Je te trompe, tu es cocu. ?

Elle alla à la cuisine voir Laure, qui mangeait.

Nous avons passé l?après midi à la plage, ensemble.

Le soir, elle s?habilla pour sortit.

Les vacances se sont terminées ainsi, Laurence allait et venait, sortait et rentrait. Mais elle passait l?essentiel du temps avec nous …

Nous avons quitté la Grande Motte, elle ne dit rien.

Arrivé à chez nous à Aubagne, elle fit une courte mise au point, qui disait ceci :

? Tu reprends une chambre d?ami, je ne veux plus te voir dans la mienne. Jusqu?à la fin de l?année, tu seras cocu, je ne te dirais plus rien de mes amours. Après, on verra … mais pour le moment je fixe la date à la fin de l?année. Alors ça veut dire :

— Tu dors dans ta chambre.

— Tu ne me poses aucune question.

— Tu utilises ta salle de bain

— Je ne suis plus ta femme

— Je t?interdis de m?appeler chérie, mon amour ou autres, Laurence, point.

Ah j?oubliais, il faut prendre un deuxième nounou pour la nuit et les week-end, parce que je vais voyager, beaucoup, ces mois à venir.

Ah, encore une petite chose, quoi que tu entendes, quoi qu?on te dises sur moi, ce sera la vérité. Je t?ai promis que tu serais le plus grand cocu que la terre ait porté, tu vas l?être. Mais pour qu?un cocu soit cocu, il faut que ça se sache … et ça va se savoir ?

C?était quelque chose qui m?excitait, bien sûr, mais qui tout de même, me faisait peur.

Nous faisions, effectivement, chambre à part, mais nous n?avions rien changé au reste. Laurence à l?intelligence de savoir parfaitement sérier ses idées et ses actes.

Quelques jours plus tard, elle prépara son voyage. Paris, Rome, Paris et … Aubagne.

Son voyage était prévu pour 3 semaines.

Elle embrassa, Laure, avec les yeux humides en nous priant la nounou et moi, de la bien chérir. Elle me regarda dans les yeux et me dit :

? Attend toi au pire, Daniel, il va te falloir gérer des situations autrement complexes que tes affaires ?

Un taxi l?emporta.

2 jours après, seulement 2 jours après, je reçu 3 appels téléphoniques d?amis m?alertant qu?ils avaient vu, ma femme, avec un type et qu?ils ne se cachaient pas pour flirter.

Déjà, ça commençait. Je reçu un coup qui me troubla énormément.

Le lendemain, le père de Laurence m?appela complètement affolé.

? Allo, Daniel, qu?est-ce qui se passe ? ?

? Quoi, que voulez-vous dire ? ?

? Mais, Laurence … ?

? Excusez-moi, je ne comprends pas, expliquez-vous, quoi Laurence ? ?

? Mais, elle, elle, au zut, elle vient au bureau et dans les magasins avec, avec, un homme et ils paraissent très liés, je vous assure. Daniel, c?est ma fille, mais vous êtes mon fils, dites moi, que ce passe-t-il ? Elle n?a rien voulu me dire et m?a dit de m?adresser à vous. Vous allez divorcer ? ?

Là, je reçu une gifle monumentale. Bien qu?au téléphone, j?eu honte. Je ne savais quoi répondre.

? Daniel ? Vous êtes là ? ?

? Oui, oui, je suis là ?

? Eh bien, parlez-moi, dites quelque chose, ce n?est pas possible ? ?

Les paroles de Laurence me vinrent à l?esprit : Gérer la situation.

? Non, non, nous ne divorçons pas, rassurez-vous ?

? Mais, alors ? ?

? Alors, rien. Mais, s?il vous plait, restez en dehors de situation bizarre et garder confiance, gardez confiance en Laurence ?

La conversation dura encore et ? beau papa ? fini par raccrocher, sans être tout à fait rassuré.

Puis ce fût ma secrétaire que essaya, à demi mots de m?informer de rumeurs qui couraient sur … Madame.

Beau Papa rappela, encore 2 fois, en me priant de mettre un terme à cette … folie de sa fille.

Le comble fut la visite, inopinée de mes propres parents qui, gênaient, m?informèrent qu?ils étaient au courant de mon infortune, et tentèrent de me consoler en me disant, eux aussi, que c?était une folie et qu?ils étaient persuadés que ça allait s?arranger.

Pourtant, il étaient inquiets, depuis que le père de Laurence, ( leur informateur ) leur avait annoncé qu?elle habitait chez son, enfin chez le Monsieur.

15 jours s?étaient écoulés et les ? promesses ? de Laurence dévalaient comme un ouragan.

J?étais humilié, mais je savais … moi je savais, mais ne pouvais rien dire.

Je ressentais un sentiment étrange de jalousie, de tristesse, de honte et, à la fois, d?excitation et d?amour immense pour ma femme qui me faisait subir ces humiliations.

C?était donc ça être cocu.

En début d?après midi, je reçu un fax. Un fax de Laurence, avec annoté en travers et en gros, Copie à Daniel, et qui disait :

? A mes Beaux Parents et Parents,

Je sais que ce qui se passe, vous est scandaleux et vous choque.

Mais, par ce fax, je voudrais rétablir la vérité.

En effet, je suis tenue par ma dignité de vous la dévoiler.

Voilà, c?est très simple. En fait, Daniel, que j?aime par-dessus tout, est mon mari.

Ceci est bien posé et ne souffre pas de doute.

Mais, car il y a un mais, Daniel est ce qu?on appelle un cocu content, un mari complaisant qui aime que sa femme le trompe et le cocufie. C?est ainsi.

Personnellement, je n?y vois aucun mal et même je l?aime tel qu?il est.

Oh, je tiens à préciser, ici, qu?il ne m?impose rien, mais que c?est ainsi que nous vivons.

Je vous demande de ne pas nous juger et de nous accepter tels que nous sommes.

Voilà la vérité.

Affectueusement,

Laurence ?

Je lu et relu le fax. Je m?attendis à entendre sonner le téléphone.

Rien pas un appel. Je jubilais, j?étais dans un émoi inconnu. Elle avait frappé fort.

D?un coup, elle disait à mes parents que j?étais un cocu consentant. Mais bizarrement, c?est à mes Beaux parents que je pensais le plus.

Suite à ce fax, je n?eu plus de nouvelle …

Laurence arriva. Elle entra majestueuse, vêtue d?un tailleur gris plus sexy qu?une minijupe.

? Alors, mon loup, je t?ai manqué ? ?

? Physiquement, oui, assurément, mais autrement, non. Je n?ai jamais entendu autant parler de toi, je trouve que tu es allé très loin ?

? Je t?avais prévenu, Daniel, que tu ne peux être cocu que si tout le monde sait. Maintenant tu es un cocu ?

Que répondre à cette logique ?

Elle ajouta :

A présent, je n?aurais plus de problème et nous serons tranquille et tu seras bien cocu jusqu?à la date prévue ?.

Nous rire franchement de tout cela durant plusieurs minutes.

Heureusement, Laurence passa beaucoup de temps avec notre fille … Sans quoi, nous aurions plaisanté sans cesse.

Nous nous aimions vraiment et notre complicité n?avait pas de limite.

Elle me connaissait si bien qu?elle devançait mes désirs et fantasmes les plus fous.

Elle voyagea et revint, et encore voyagea et revint. Entre temps, nos relations parentales étaient redevenues normales et personne ne parla du fax. Comme si de rien n?était.

Laurence et moi, étions heureux. Quoi de plus important pour nos parents respectifs.

Nous avons d?ailleurs passé Noël, tous ensemble, à Deauville, dans un climat familial digne de ce nom.

Mes parents sont repartis à Marseille, avec Laure et la nounou. Les Parents de Laurence, sont restés à Deauville pour les fêtes de fin d?années.

Et nous, nous nous sommes allés nous ? retrouver ? Paris, en train.

Nous étions le 27 décembre.

? On m?attend, viens avec moi, je veux que tu saches, maintenant, tout ce que tu as ignoré durant 4 mois. ?

Notre taxi nous déposa au tout début du boulevard Lafayette.

Nous entrâmes dans un immeuble de bonne tenue. Laurence avait le code d?accès.

Un ascenseur, ancien, nous emmena au 4ème étage.

Elle sonna, la porte s?ouvrit. ? Robert ?

Robert, que je croyais oublié, était là devant nous.

? Entre Chérie, entre Daniel, soit le bien venu ?

? Bonjour, mais tu habitais … ?

Il coupa.

? Je n?habite pas ici, ici, c?est mon appartement disons où j?organise certaines réceptions, il est à ta disposition, installe toi, tu vas comprendre ?

Il me désigna un fauteuil, alors qu?ils s?assirent dans un canapé.

? Tu comprends, maintenant, que Laurence était avec moi, durant tout ce temps quelle était à Paris. Nous sommes même allés, ensemble, à Rome et c?est moi que tes Beaux parents ont vu avec elle. Pourquoi ? Laurence est venu me voir, un jour, et elle m?a dit qu?elle voulait que je sois son manager pour que tu deviennes le plus grand cocu que la terre ait porté. J?ai accepté ce challenge, mais en y mettant deux conditions :

La première c?est qu?elle ne refuse rien et accepte tout ce que je déciderais pour vous.

La seconde c?est que tu ne sois informé que le moment venu, et c?est le moment.

Elle m?a raconté ses ? aventures ? et vos escapades au Maroc et au Sénégal. Parfait. Et aussi votre année sabbatique sans sexualité. Normal, c?était important pour elle. Mais il fallait rattraper le temps perdu.

J?ai organisé, pour elle, une succession de baiseurs. Je te pris de croire, que ça n?a pas été facile, mais j?y suis arrivé.

La journée elle était libre pour ses affaire et tous les soirs elle venait, ici, se faire baiser.

Tous les soirs il m?en fallait 3. Tu imagines trouver 3 mecs, chaque soir, 3 semaines par mois.

Bref, j?ai fais les comptes. En tous il y avait 9 semaines. Donc 9 semaines à raison de 6 jours par semaines, ça fait 54 jours. Et ainsi il m?a fallu recruter 162 mecs. Bon je te dis tout de suite, que je n?ai pas pu choisir que des apollons. Jeunes, vieux, gros, minces, grands, petits, toutes races confondues. Là, dans la chambre que tu vois devant toi. Laurence était sur ce lit tous les soirs pour recevoir les mecs.

J?étais là pour surveiller.

Donc, ta femme, t?a fait cocu avec 162 mecs.

54 ont joui dans sa bouche et elle a avalé le sperme des 54 mecs, sans exception.

54 l?ont baisée et ont éjaculé dans sa chatte

54 l?on enculée et lui ont déchargé dans le cul.

Je ne sais pas dans quel état elle se trouve, mais elle semble n?avoir pas de problème. Enfin c?est sa volonté.

Si mes comptes sont bons, nous en sommes à 169 amants pour Madame, moi compris.

Pas mal, en 2 ans et demi, ça fait une moyenne de plus d?un par semaine.

Elle s?est reposée durant les fêtes de Noël et je vais l?entraîner, encore quelques jours.

Voilà les clés de l?appartement avec le code. Il faut que tu sois ici, le 31 à 21 heures. C?est très important.

Voilà Daniel, tu sais tout. ?

? Bon mon amour, allons, laissons le cocu à ces pensées ?

? Je te suis mon amour ?

Ils me laissèrent en plan.

Je visitais l?appartement et surtout la chambre où Laurence avait été prise de si nombreuse fois.

Je quittais l?appartement, préférant m?installer au Royal Monceau.

Le 31 à 21 heures je retournais à l?appartement de Robert.

J?ouvris la porte et l?appartement était plein d?invités. Tous masqués. J?étais donc le seul sans masque.

Tout le monde me regardait. Je pensais que certains devaient me connaître.

Au bout d?un moment, je reconnu sans peine Laurence. Elle était au milieu de gens que je tentais d?identifier. Je l?observais.

Je ne manifestais pas ma présence, mais certainement, elle m?avait vu, ou me savait présent.

Robert la rejoint, reconnaissable aussi. Il prit Laurence par le bras et l?attira vers un autre groupe.

La fête s?animait. Le champagne, les apéritifs …

La musique était forte et les convives dansaient.

Je suivais Laurence du regard et m?avançais lorsqu?elle s?éloignait trop.

Bizarrement personne ne faisait attention à moi qui étais pourtant le seul à ne pas être masqué.

Beaucoup plus tard, Robert invita tout le monde à se restaurer au buffet qu?il déclara ouvert.

Tout ce petit monde s?amusait … Moi non, j?attendais.

Enfin, à 11 heures précises, Robert, pria l?assistance de l?écouter.

? C?est l?heure, que chacun prenne sa chacune et transportons nous au club ?

Club, quel club ? La foule se mue vers la sortie. Je m?apprêtais à interpellais une personne, quand on me saisi par le bras. Je me retournais.

C?était une femme. Vieille, apparemment, le dos voûté.

? Venez, me dit-elle, je suis votre guide ?

Nous descendîmes par l?escalier et une voiture, avec chauffeur, nous attendait.

Nous roulions en direction de Saint Germain en Laye. Nous prîmes une petite route en campagne et finirent par rouler sur un chemin gravillonné.

Des lumières de fête étaient devant nous. La voiture s?immobilisa.

Je regardais ma montre. 11 h 45 mn.

Nous sommes tous entrés selon notre arrivée.

La salle immense contenait déjà plus d?une cinquantaine de personnes.

C?était la fête. Je cherchais Laurence mais je ne la trouvais pas.

La vieille dame trouva deux chaises et me dit :

? Assoyez-vous ?

? Merci, mais … ?

Elle me coupa.

? Vous êtes, Daniel et je suis chargée de vous tenir compagnie. Ne restez pas débout à chercher votre femme, il y a trop de monde. Détendez-vous ?

? Comment savez-vous ? ?

? Je suis la femme de Robert. J?ai été à bonne école et vous êtes, vous et Laurence, à bonne école ?

? Je vous propose de nous amusez, maintenant. Mais promettez moi de vous détendre et de ne pas chercher votre épouse. Vous la verrez le moment venu. Maintenant dans quelques minutes ce sera minuit et nous fêterons la nouvelle année. Promettez. ?

Cette dame m?était sympathique.

? Je vous le promets ?

Elle prit mon bras et nous emmena vers le bar. Nous prîmes deux coupes de champagne.

Nous trinquâmes à notre santé.

Et l?orchestre s?arrêta. Le silence fût.

Le batteur entama les 12 coups de minuit sur sa batterie.

Au 12ème coup les cris de joie, les bisous, tous nous fêtions la nouvelle année. Y compris moi.

Tout le monde ôta son masque. Plus tard, en déambulant au milieu des la foule, une cinquantaine de personnes, au moins, je reconnu plusieurs de mes connaissances, mais ne les approchais pas.

La fête continua longtemps jusqu?à 4 heures du matin.

La vieille dame me dit alors. Elle était là comme mon ombre.

? Vous êtes prêt, ça va commencer ?

? Quoi ? ?

? Taisez-vous, donc, vous allez voir, je vous demande simplement si vous êtes prêt ? ?

? Oui, alors, je suis prêt … mais je me demande toujours à quoi ? ?

? Jeune idiot … à quoi ? A quoi ? Peut importe à quoi, vous êtes ici, pour votre femme, non ? ?

? Oui, c?est vrai ?

? Alors, pourquoi chercher loin. Bon maintenant nous partons. ?

? Où ? ?

? A l?appartement ?

La vieille dame somnolait et le trajet fût bref. Nous arrivâmes. Elle me dit d?attendre dans la voiture. Des gens arrivaient, je les voyais entrer dans l?immeuble. Enfin, elle dit de sortir et nous montâmes à l?appartement.

Elle ouvrit la porte et nous entrâmes. La lumière était tamisée. Le grand salon avait été aménagé. Des fauteuils étaient alignés tout autour des murs et des personnes s?y trouvaient assises, mais je distinguais mal.

Au milieu un espèce de sofa circulaire. Une lumière, la seule, suspendue juste au dessus, éclairait ce mobilier.

La vieille dame me prit par le bras et m?attira jusque devant la première personne assise dans le premier fauteuil.

Elle dit :

? C?est le mari, Daniel ?

Un homme me tendit la main, sans un mot.

Ainsi, elle me présenta, à une succession de personnes … toutes des hommes.

Malgré la demi obscurité, je les devinais, tous nus.

Puis, la dame me dit :

? Prenez place dans le fauteuil qui se trouve là devant le lit, mais avant déshabillez-vous, tout nu, et attendez ?

Un petit moment passa, dans le silence.

La porte de la chambre s?ouvrit.

Robert en sortit, suivit de Laurence.

Lui était habillé, mais elle était nue.

Il lui tenait la main et la fit s?allongeait au milieu du lit.

Il se plaça face à moi, entre Laurence et moi et d?une voix grave, dit :

? Daniel, cette nuit sera une grande nuit pour toi et ta femme. Tu vas être intronisé Homme le plus cocu de la terre, passé, présent et à venir. Au fur et à mesure de la cérémonie, tu seras appelé à parler. Tu devras répondre aux questions qui te seront posées et aussi dire certaines phrases. As-tu bien compris ? ?

? Oui ?

? Es-tu présent de ton plein gré ? ?

? Oui ?

? A part moi et la personne qui se trouve sur le lit, connais-tu quelqu?un d?autre présent ??

? Non ?

? Connais-tu la personne qui se trouve sur le lit ??

? Oui ?

? Comment s?appelle-t-elle ? ?

? Laurence ?

? Qui est-elle ? ?

? Ma femme ?

? Acceptes-tu sa présence, ici, ce soir, sur ce lit, et nue ? ?

? Oui ?

? Pourquoi ? ?

? Parce que vous et elle me l?avez demandé ?

? Parfait ?

Robert de tourna, alors vers Laurence et dit :

? Laurence, es-tu, ici, avec nous sur ce lit et dans cette situation de ton plein gré ? ?

? Oui ?

Il lui posa les mêmes question concernant les personnes présentes et :

? Connais-tu la personne qui se trouve derrière moi, sur le fauteuil ? ?

? Oui ?

? Quel est son prénom ? ?

? Daniel ?

? Qui est-il ? ?

? Mon mari ?

? Acceptes-tu sa présence, ici, ce soir, sur ce fauteuil, et nu ? ?

? Oui ?

? Pourquoi ? ?

? Parce que mon mari, ne me satisfait pas sexuellement, mais je l?aime. Parce qu?il est un voyeur et qu?il se complaît à m?offrir à d?autres hommes, à des inconnus. Enfin, parce que je veux aller, au-delà des ses propres fantasmes et désir, et lui offrir ce qu?il souhaite au fond de lui-même, être cocu, sans cesse et en permanence. ?

? Parfait, toute chose étant dite, sur le sujet nous pouvons commencer. Que le premier homme se lève et vienne. Je précise qu?il y a 30 hommes, 12 européens, 8 arabes et 10 africains, leur sexe sont compris entre 22 et 28 cm de long et d?en moyenne 5 à 6 cm de diamètre. Le sexe du Mari est de 14 cm X 3,5 cm ?

Le premier homme s?avança devant le lit.

? Daniel, à chaque homme qui se présentera devant Laurence tu diras :

Inconnu, prends ma femme, fais moi cocu ?

? Laurence, a chaque homme qui se présentera devant toi, tu diras :

Inconnu, prends moi comme tu veux.

Je dis ma phrase et Laurence la sienne.

L?homme monta sur le lit. Il enfouit son visage au creux des cuisses de Laurence. Sa bouche prit possession de la vulve qui n?attendait que ça. Il s?appliqua à sucer ce sexe offert. Durant plusieurs minutes, il fit en sorte que Laurence se délivre … se livre. Il y parvint.

Les jambes de ma femme, s?écartaient imperceptiblement, pour en arriver à être totalement ouvertes. Son bassin commençait à onduler, sa poitrine se soulevait, son souffle devenait fort.

Maintenant elle pressait la bouche de l?homme contre son sexe et la maintenait au contact qu?elle voulait.

Tout à coup, un léger soupir, elle rejeta, l?homme.

Ce dernier prit sa queue dans une main, guida le bout à s?appuyer au contact de la vulve. Juste à l?entrée du vagin. Il marqua un arrêt.

A cet instant Robert intervint.

? Laurence répète après moi : Daniel, mon corps appartient à tous les hommes qui veulent me prendre, pas à toi …. // …. Cet inconnu va me prendre devant toi. Je vais lui appartenir, à lui et à tous ceux qui vont le suivre, en moi ?

? Daniel répète après moi : Laurence, ma femme, tu es une salope et une pute et c?est ainsi que je t?aime ….//…. Les kilomètres de bites et les litres de sperme qui seront en toi, seront pour marquer le cocu que je suis ?

? Maintenant n? 1, choisissez votre trou et officiez ?

A cette seconde, l?homme enfonça sa queue dans le ventre de Laurence qui feula comme une chienne en chaleur.

L?homme n?était pas là pour se poser des questions, mais pour baiser. Et pour baiser, il la baiser bien. A grands coups, il défonçait le vagin ouvert à sa disposition.

Sans se soucier du plaisir de sa partenaire, mais pour Laurence, ce n?était pas aussi un souci. Elle était autonome dans son plaisir. Elle s?offrait et se donnait sans se soucier de son environnement … bizarre.

Une bite dans sa chatte … voilà tout.

L?homme déchargea son sperme dans le vagin … voilà tout.

Elle eut son plaisir et lui le sien.

Il se retira et retourna à sa place.

La femme de Robert lui donna un mouchoir en papier.

? N? 2 ?

Lui baisa ma femme en bouche et éjacula. Elle avala, tout, bien sûr.

? N? 3 ?

Comme prévus, sans doute, il prit tout son temps pour faire mettre mon épouse à quatre pattes et lui lécher l?anus.

Ensuite, l?encula sans plus de précaution et déchargea en moins d?une minute. Laurence n?eut pas le temps d?y trouver son compte de plaisir. Mais qu?à cela ne tienne, elle le prendrait au suivant ou avec un autre.

Je regardais ma femme. A genoux, sur le lit. Offerte, impudique. De ma place, à moins de 2 mètres je voyais sa chatte et son cul bien ouverts rejeter le liquide blanc.

Ainsi les 12 premiers hommes la prirent là où ils voulaient.

Elle avait pris son pied plus de 6 fois.

? 1er groupe des Européens, passé avec succès, mention bien. Un repos de 15 mn est accordé à la pute de service. Qu?on lui porte à boire. ?

Les 15 mn passèrent, en silence, sans que Laurence fût autorisée à se laver.

? N? 13, on reprend ?

Donc, un arabe, se présenta à Laurence.

Il lui fit comprendre qu?il voulait utiliser sa bouche. Il s?allongea sur le lit et Laurence vint le sucer. Les couilles de l?homme étaient d?un volume considérable. Sa bite, large avait quelque difficulté à être absorbée par mon épouse.

Elle suçait le bout en aspirant fort, la chair dans sa bouche, tout en caressant les belles couilles de l?individu.

Elle fit si bien qu?elle fit rendre la bite en seulement 2 ou 3 minutes.

L?homme lui bloqua la tête pour qu?elle arrête sa succion et le gland dans la bouche de Laurence, il éjaculat sa quantité de sperme, qu?elle avala.

Le 2ème arabe, choisit également la bouche. Mais lui fit allonger, Laurence sur le dos, lui cala un oreiller sous la tête et s?installa sur elle à califourchon.

Il fit pénétrer son sexe dans la bouche convoitée et la baisa doucement. Il fit ainsi sans s?arrêter jusqu?à l?éjaculation de son sperme.

Les six autres arabes baisèrent la bouche de ma femme de la même façon, aucun ne la pénétra dans sa chatte ou son cul.

Les 8 arabes avaient ainsi baisé la bouche de Laurence qui avait ingurgité les spermes éjaculés.

? 2ème groupe des arabes, passés avec grand succès, mention suceuse très bien. Pas de repos, juste qu?on lui donne à boire ?

? N? 21 ?

Un colosse noir, vint devant Laurence, la queue ballante entre ses jambes. Il se mit à genoux sur le lit.

Laurence rampa jusqu?à la queue prometteuse. Elle lécha et suça les couilles noires, puis remonta sur la belle colonne de chair qui était devenue ferme. Elle la prit dans sa bouche et la suça avec avidité. ( Sans doute se souvenait-elle de ses amants sénégalais )

Le noir la repoussa et la prit en levrette, la queue pénétra sans problème. Il baisa ma femme un long moment se qui permit à Laurence d?exploser sa jouissance avant que le noir n?explose son sperme au fond de sa chatte.

? N? 22 ?

Même colosse à la peau noir foncé. Laurence était allongée. Il lui leva les jambes très haut et passa son gland sur la vulve ouverte.

Mais se ravisant, il le pointa sur l?anus et encula Laurence doucement mais progressivement, sans arrêter sa pénétration anale.

Laurence eu le souffle coupé, mais encaissa bien la bite dans son cul.

Le noir s?appliquait à enculer la pute blanche à sa disposition.

Il fit si bien au moment de sa jouissance que Laurence eut un orgasme qui la fit crier, en ressentant dans son cul, les jets de sperme chaud.

Sur les 5 noirs suivants, 3 l?enculèrent et 2 la prirent dans le vagin.

Laurence était vraiment dans un état de grande lassitude, ses traits étaient tirés et elle bougeait, maintenant lentement, signe de fatigue.

Robert annonça.

? N? 28, 29 et 30 ?

C?était le final ( enfin je croyais)

Les 3 noirs, bien bâtis, comme dans un numéro bien préparé, se positionnèrent et positionnèrent leur objet de plaisir, soulevant Laurence comme une plume.

Ils la firent s?empaler sur celui allongé, celui derrière elle, après quelques tâtonnements réussit à l?enculer bien au fond et resta ainsi.

Quand au troisième, sans problème, il enfonça une partie de sa queue dans la bouche distendue de ma femme. Il la poussa sa queue par très légères pressions et ainsi il pu en enfoncer la moitié. Ce qui signifiait que le gosier de Laurence devait être mit à contribution.

Elle respirait fort par le nez.

Et dans un ensemble parfait les noirs la baisèrent chacun dans leur trou.

Laurence, pantelante, au milieu des 3 noirs, jouissait comme une folle. Elle donnait son corps, elle participait activement à sa possession.

Le premier à jouir, fut celui qui l?enculait. Mais il ne sortit pas la queue du cul de Laurence.

Le second, celui qui la baisait et lui aussi resta en elle.

Le troisième, était donc celui dans la bouche.

Les 3 noirs la quittèrent comme ils l?avaient prise.

Ecroulée sur le lit, sur le ventre, Laurence devait somnoler.

? Parfait, parfait, dit Robert, 3ème groupe des africains passé avec mention très bien ?

Bien sur, moi sur ma chaise, ma queue ( même petite ) était tendue à la verticale.

? Que l?on donne à boire à cette pute et qu?on la laisse se reposer 30 mn. Les hommes peuvent aussi boire ?

La vieille apporta des boissons ….

? Qu?on enlève le lit et que la pute soit déposée à même le parquet. ?

Quelques hommes s?occupèrent de la disposition.

Laurence fut allongée.

? Et maintenant que chaque groupe, l?un après l?autre, entoure la femme et se masturbe et l?arrose de leur sperme. ?

Le 1er groupe des européens se plaça, tant bien que mal, et officia.

Ils se branlèrent en coeur et jouirent en désordre. Le corps de Laurence fut arrosé de la tête aux pieds.

Le 2ème groupe des arabes fit de même.

Le 3ème groupe des africain, aussi.

Je regardais ma femme, maculée, recouverte de sperme.

La vision était irréelle.

? Voila, Daniel, voila ton épouse, ta femme, je te la rends dans son état naturel. C’est-à-dire les trous béants de trop de bites. Pleine de sperme dans son corps, qui en ai recouvert.

Voila ta femme, telle qu?elle est et telle que tu la voulais.

Pute, femme publique ne refusant rien aux hommes.

Mais il faut, pour que tout soit complet, que tu partages avec elle.

Lève toi et toi vas l?embrasser. Caresse là, lèche tout le sperme qui est en elle et sur elle.

Car il faut que tu adores ta pute de femme et qu?ainsi tu lui démontres que tu es son cocu. ?

Je me levais ( avec envie et plaisir ) je me suis allongé sur elle. J?ai senti les spermes glissés entre nous. J?ai mis mes lèvres sur les siennes, et avec ma langue j?ai ouvert sa bouche pleine de sperme, nous nous sommes embrassés, dans un baiser où se mêlaient les spermes des hommes et notre salive.

Ensuite je suis descendu en léchant et en avalant tout le sperme que je trouvais sur mon passage.

J?ai écarté ses jambes et j?ai enfouis ma bouche au creux de sa vulve, léchant et aspirant. Allant de son cul à sa vulve. Mon visage était barbouillé de sperme.

Je me suis frotté contre son ventre et j?ai jouis moi aussi sur son corps.

Et sans que personne ne me dise rien, sans ordre de Robert, je me suis approché de l?oreille de Laurence et lui ai murmuré :

? Chérie, je t?aime ?

Laurence m?a alors regardé dans les yeux et m?a répondu :

? Moi aussi je t?aime, mon cocu, je t?aime mais tu vas souffrir d?amour ?

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