Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe français

Laurence se déchaine – Chapitre 3

Laurence se déchaine - Chapitre 3



Nous retrouvons notre Laurence, loin d’être épuisée, et demandeuse de plaisirs, seins nus, en jupette et bas, ses bottes en peau, elle est affalée dans le canapé entourée par Jean-Marie à sa droite et Jean-Marc, à sa gauche. Elle écarte ses cuisses, après avoir posé chacune de ses jambes sur les cuisses respectives de chacun, pour rester ouverte à ses deux gros cochons, qui reprennent leurs esprits.

— Et si tu finissais ton histoire, Jean-Marie ??? Demanda Laurence, qui elle, avait attrapé chaque queue, les masturbant.

— Tout à fait, Jean-Marie… J’ai hâte de connaître la suite…

— J’en étais où ???

— Tu venais d’ouvrir la fenêtre, pour que ma petite salope te voie…

— Attends, c’est quoi cette histoire ??? Demande Laurence.

— C’est comment Jean-Marie t’a découvert…

— Oh… Intéressant… Lui dit Laurence… J’ai hâte de savoir…

— Je me souviens que j’ai ouvert ma fenêtre pour que tu me voies à ton tour, et partager ce délicieux moment, que tu m’offrais…

Le couple l’écoutait raconter cet après-midi-là. Laurence, continue à les masturber, le regardant.

Jean-Marie reprit son récit.

— Je me suis placé de façon que tu me voies bien… J’ai retiré mon pantalon, puis mon caleçon, tu continuais à te doigter, et à mon tour, je t’offrais mon membre bandant, que je caressais du bout des doigts, pas trop vite, afin de faire durer le plaisir et que tu puisses en profiter.

Ta réaction ne se fit pas attendre très longuement, tu étais déjà bien excitée. Je t’ai vu te cambrer, la tête en arrière, tu as crié, dans un violent orgasme. Je t’ai suivi, très vite laissant mon foutre tacher le sol.

— C’est vrai tout çà ma petite salope ??? Demande Jean-Marc.

— Oui, mon cur… Je m’en excuse de ne t’avoir rien dit…

— Non, ma chérie, je ne t’en veux pas… Je suis fière de toi… Je m’en doutais, depuis quelque temps… Mais je ne t’en ai pas parlé… T’es ma petite salope, comme nous, sous sommes tes gros cochons… Et quest-ce que tu vas faire, pour nous faire bander ???

— Ce que vous voulez !!

Jean-Marie échange un long regard complice avec Jean-Marc, avant de lui glisser sa main sur son épais duvet, pour venir astiquer son divin clitoris, lui tripotant astucieusement de l’index et du majeur, avec ferveur, lui donnant une raideur jouissive, sous le regard intéressé de Jean-Marc, qui lui s’occupe de ses deux petits mamelons en érections.

— Je pense qu’il serait bien de faire une toilette sur ce duvet… Propose Jean-Marie.

— Je peux dire un mot ??? Demande Laurence.

— Cela va dépendre de ce que tu veux dire… Dit Jean-Marie.

— Je… Je veux bien, partiellement, mais pas la totale…

— Pourquoi ça ???

— Je trouve que totalement rasée, çà fait petite fille… Et que je n’ai plus 20 ans pour ça…

— Et que proposes-tu ???

— Le ticket de métro !!!

— Qu’en dis-tu, Jean-Marc ??? Pour ma part, ça peut le faire…

— Ton idée sera la mienne, répond Jean-Marc.

— Eh bien, allons-y…

— Maintenant ??? Demande Laurence.

— Il y a des choses qui n’attendent pas, et l’entretien de ton duvet s’est 90 % de ta féminité…

— Que proposes-tu, Jean-Marie ?? Demande Laurence, inquiète.

— Enlève ta jupette… Remets ta petite culotte… Et allonge-toi sur la table… Jean-Marc, tu m’amènes une paire de ciseaux, un drap de bain, rasoir et mousse…

Laurence retire sa jupette, restant nue, en bas noire et bottes, debout devant Jean-Marie, qui lui tend sa dentelle blanche, qu’elle avait abandonnée sur le dossier du canapé, après en avoir humé l’entrejambe souillé de glaire encore bien présente, au parfum sucré.

— T’aimes ça, hein, mon cochon ??? Dit-elle à Jean-Marie. J’adore que l’on m’habille… Surtout, ma culotte…

Jean-Marie ne se fait pas prier, lui prenant la dentelle des mains, il s’agenouille à ses pieds, et vient glisser à chaque jambe la dentelle blanche, qu’il fait remonter, pour lui rajuster et couvrir son duvet brun, prenant soin d’en faire ressortir ses grandes lèvres vulvaires, pour qu’elle en avale le maximum de l’entrejambe, et ceci, jusqu’au haut de sa raie fessière, cherchant à lui provoquer une irritation de son pénis clitoridien, faisant coulisser l’entrejambes en y tirant dessus.

— C’est une véritable drogue, pour moi…

Le temps que Jean-Marc les rejoigne.

— Voilà… Les ciseaux, le drap de bain… Où veux-tu te mettre ???

— Sur la terrasse… Pour faire profiter les regards indiscrets… Attends… Aides moi, Jean-Marc, On va mettre la table de jardin un peu plus en vue…

Les deux hommes prirent la table en teck, qu’ils placèrent le plus au centre du jardin, les voisins de droite comme la petite voisine, d’en face, peuvent s’en mettre plein les yeux.

Jean-Marc étale le drap de bain rose, avant d’y faire allonger Laurence, sur le dos. Jean-Marie se place sa droite, Jean-Marc retire les bottes de sa cochonne.

— Replie tes jambes… Passe tes bras à l’intérieur de tes cuisses… Voilà… Prends tes chevilles… Parfait… Comme ça, je vais pouvoir travailler sans te gêner… Euh !!! Jean-Marc, tiens écarté le tissu de dentelle, que je fasse un désépaississement du duvet…

Jean-Marc prit le tissu qu’il étire vers lui, libérant totalement le duvet pubien de Laurence, pour que Jean-Marie commence la taille.

Minutieusement faite, et il entreprend un rasage, comme initialement prévu, pour un ticket de métro,

Pour cela, avec l’aide de Jean-Marc, qui positionne l’entrejambe du vêtement de dentelle, entre ses grandes lèvres, prenant soin de les protéger, lors du rasage, n’en laissant qu’une largeur infime de duvet.

— Qu’en penses-tu ??? Lui demande Jean-Marie.

— Super… Dit Jean-Marc

Laurence impatiente de voire le travail fait, relève la tête en avant, apercevant son pubis rasé.

— Tu m’en as laissé un peu, quand même ???

— Oui, ma chérie, Jean-Marie a fait çà bien… Un travail de pro Ça mérite un salaire, tu vas lui payer à ta façon…

— Regarde, Jean-Marc, ses grandes lèvres ressortent beaucoup mieux, et je ne te parle pas de son clitoris, un véritable pénis… J’en ai la queue toute frétillante…

Laurence, toujours allongée sur la table, glisse sa main droite dans l’entrejambe de Jean-Marie, pour agripper son membre, qu’il est vrai, est en érection, l’attirant jusqu’à sa bouche, afin de le sucer, goulûment.

Avant de commencer sa fellation, Jean-Marie vient se placer à la tête de Laurence, qui se trouve dans le vide, en dehors de la table, où elle est allongée, basculant sa nuque en arrière et ainsi lui glisser son membre bandant, allant jusqu’au fond de gorge, lui donnant un haut de cur.

Les mains de Jean-Marie, agrippent les mamelons, déjà bien durs, pour en jouer, à les pincer, étirer, vriller.

C’est ce qu’elle aime, qu’on lui fasse mal. Jean-Marc, lui, excité par la situation, bande à son tour.

— Vas-y, Jean-Marc, enfile-la… Hum… Elle est chaude… Ah… Je vais… Je me soulage… Hum…

Jean-Marie, qui ne peut se contenir plus, vient de soulager sa vessie, l’obligeant à garder son sexe, toujours en érection, au fond de sa gorge.

Laurence, ne pouvant s’en dégager, but son liquide tiède et iodé, se faisant surprendre, par ce nouveau goût, qu’elle n’avait, jusque-là, jamais connu.

Ne pouvant tout boire, elle en recrache une grande partie, arrêtant sa fellation, avant de se réactiver sur cette queue, qui n’en finit pas de bander, arrivant tout juste à reprendre son souffle.

La main de Jean-Marie reprit sa caresse mammaire, alors que Jean-Marc, lui enfile son membre dans ce qui est un véritable gouffre.

À cet instant, Laurence est aux anges, cris étouffés par la fellation, les jambes à l’équerre, ouvertes, ne cherchant même pas à se dégager. Jean-Marc, oscille dans ce volcan béant, pouvant accueillir plus large.

Ce dernier, se retire, ouvre ses joues fessières, à la recherche de son orifice anal, déjà bien dilaté, et d’un coup de reins brusque, vient se glisser dans ce fondant anal.

Laurence, par la surprise, grogne, se faisant sodomiser activement.

Jean-Marie et Jean-Marc, échangèrent un regard complice, Laurence, toujours entreprenante dans sa fellation, ne peut voir ce que trament les deux mâles.

Jean-Marie lui fit signe d’entamer un début de fisting, en lui montrant son bras, puis il attrape les chevilles de Laurence, pour lui tirer ses jambes vers lui, pour les recroqueviller sur son ventre, laissant libre passage aux mains de Jean-Marc, qui, commence un doigter avec son index et son majeur, coulissant entre les parois glaireuses de sa vulve, mais très vite, il y ajoute son annulaire, puis, il y a la place pour l’auriculaire, se faisant un peu plus entreprenant, pour son pouce. La dilatation est totale, Laurence accueille la main, avec un effort de sa part, mais envieuse de se faire défoncer par la main de celui qui vit à ses côtés.

Jean-Marc a la main et une partie de son poignet qui la fistent. Elle râle de plaisirs, Jean-Marie, lui n’en peut plus, il vient jouir au fond de sa gorge, Laurence, avale sa semence, épaisse et abondante, gémissante, Jean-Marc, tout en la fistant, la sodomise activement, un moment.

Jean-Marie se retira de la bouche gourmande de Laurence et vient aux côtés de Jean-Marc, lui glisse à l’oreille :

— Je vais prendre ta suite… Je voudrai la fister…

— Pas de soucis… Au contraire… Comme ça, je peux la sodomiser totalement…

Jean-Marc retire sa main de ce gouffre en pleine éruption, Jean-Marie, lui, se place à la gauche de celui qui sodomise la petite Laurence, toujours haletante, offerte à ses deux gros pervers, soumise à leurs envies, pour une parfaite éducation en tant que chienne qu’elle va devenir, car Jean-Marc n’a qu’une seule idée.

Faire de Laurence la plus belle et plus appétissante chienne de notre région. Mais pour cela, il lui faut passer par une minutieuse éducation.

Jean-Marie glisse à son tour, deux doigts, qu’il fit coulisser un moment, pour lui redonner une nouvelle dilatation, encore active, pendant que Jean-Marc, s’affaire sur sa sodomisation, alors que de la main libre, gauche, il lui agrippe son pénis clitoridien, entre l’index et le majeur, qu’il lui masturbe, pince, étire, maltraite, tout en progressant dans son fisting, venant y ajouter un troisième doigt, pour faire place à un quatrième, jouant un temps dans cette position.

Avant de joindre le cinquième, le pouce, et progresser dans sa pénétration, jusqu’à lui faire avaler en totalité sa main, au plus profond de son utérus, continuant à lui masturber son clitoris ardent et envieux de son plaisir, sans oublier la sodomisation de Jean-Marc, qui vient de se retirer, pour venir jusqu’à la bouche de sa chienne de Laurence, pour venir jouir quelques gouttes de sa semence tiède, qu’elle avale, tout en râlant ce plaisir que lui donne Jean-Marie, durant son fisting.

Se cambrant d’un coup de rein, dans un cri strident, tout en éjaculant un profond jet de sa tiédeur vulvaire, qui en tapisse la main de son amant.

Jean-Marie, lui laisse reprendre son souffle, dégageant sa main masturbeuse, et vint jusqu’à elle, lui présentant cette dernière, pour la lécher et boire sa glaire.

— Allez, suces… Hum !!! Tu aimes… Nettoie ma main, et ne laisse rien perdre… Lui dit Jean-Marie

en regardant sa montre et se tournant vers Jean-Marc. Nous pourrions terminer notre belle soirée en club ??? ?

— Très bonne idée… Laurence, va laver tes fesses…

— Remets ta jupette, une culotte en lycra blanc, car, pour cette épreuve, tu dois nous faire la pucelle… Tu vas découvrir un nouveau monde, que tu vas rapidement en être adepte… Pour cela, il te faut être attirante… Aux détails près… Tes bas noirs… Escarpins…. En haut, nu… Blouson de cuir ou en peau…

— Mais, vous m’avez vidé… J’en peux plus….

Laurence, avec l’aide de ses deux mâles, se relève, et file à la salle de bain, alors que Jean-Marie et Jean-Marc discutent sur la suite de cette longue nuit.

— Je te propose un passage dans le sex-shop, qui se trouve à l’entrée du club, pour lui acheter son collier, et sa chaîne… Et ainsi l’offrir aux envies des uns et des autres… Je vais traverser mettre un pantalon, et je reviens…

— OK, pour moi… Je vais me laver la queue… Et dis-moi, qu’allons-nous faire, pendant que notre chienne se fait défoncer ???

— Oh !!! Tu n’inquiètes pas, il y a des hôtesses qui vont s’occuper de nous… À tout de suite…

Jean-Marie rentra chez lui, le temps de passer un jean, et retirer son tee-shirt pour mettre un blouson en cuir, chaussures en cuirs. Lorsqu’il retourne chez ses voisins, ils sont là, tous les deux, Jean-Marc en jean et tee-shirt, sandales.

Laurence, comme lui avait demandé Jean-Marie, blouson court, en cuir, ouvert jusqu’au nombril, laissant une large vue sur son ventre nu, et sa poitrine d’où pointent ses mamelons, encore ou déjà, bien raides, sa micro jupette, à carreaux noirs et gris, bas noirs, escarpins noirs.

— La petite culotte blanche en lycra est à sortie… Comme tu me l’as demandé… Levant le court pan de sa jupette. Lui dit-elle.

— Parfait…

— Allez, c’est parti… Dit Jean-Marc, nous prenons, notre voiture, vous montez tous les deux derrière…

— OK…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire