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Lazarius rencontre Eva Deline – Chapitre 3

Lazarius rencontre Eva Deline - Chapitre 3



(Je rappelle ici que les personnages et les situations de cette histoire sont purement fictifs. Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne serait que pure coïncidence.)

« – Ma chère et douce Evelyne » lui annonçai-je, « je vais vous fesser. »

Elle ne rétorqua rien.

Je continuai :

« – A quand remonte la dernière fois où vous avez été fessée ?

— Oh des années

— Quel âge aviez-vous donc la dernière fois ?

— dix ans peut-être

— Vous navez donc jamais été fessée !

— Vous avez donc bien fait de venir me voir. A 66 ans il est temps de commencer. Vous allez découvrir quelque chose. Je vais vous faire découvrir un plaisir nouveau, vous ne regretterez pas, vous verrez.

Quand une femelle commence, elle na plus envie darrêter ensuite. »

Elle se cabra un peu, se dandinant légèrement sur le chevalet, comme une jeune pouliche qui donne des signes dimpatience.

Ma main descendit sur ses cuisses lisses et apprécia leurs formes allongées, la peau satinée.

Jeffleurai lorée du sexe, les lèvres bien ourlées, mon doigt remontant jusquau fin petit cratère déprimé en son centre de façon si émouvante, le caressant du bout de la pulpe.

Je la vis creuser ses reins nerveusement et tout son corps se couvrir de chair de poule, à la vitesse dun frisson.

Je palpai tout en caressant ses ravissants hémisphères, puis lentement, éloignai la main à une petite distance pour prendre mon élan et mieux la faire sabattre sur sa fesse. Le claquement retentit. Puis un autre, doucement dabord, et très lentement, alternant systématiquement droite et gauche.

Elle ne bronchait pas.

La main sabattait fermement, se refermant comme si elle voulait à chaque fois emprisonner et garder la chair élastique en elle afin de prendre un peu de sa chaleur.

Puis jaccélérai légèrement le rythme, et commençai à élargir la zone dimpact, en claquant plus sèchement la peau tendue et tendre.

Elle ne réagissait quasiment pas. La peau rosissait désormais de plus en plus visiblement. La chaleur montait, sur sa peau pâle comme dans la pièce. Nos deux curs battaient de plus en fort et de plus en vite, comme le rythme de la fessée.

Je faisais des pauses de temps en temps de quelques secondes. Je couvrais désormais tout son fessier, de la partie intime à lintérieur du sillon fessier jusquau bord de la hanche, et du bas des reins jusquau pli séparant la fesse du haut de la cuisse.

Elle respirait de plus en plus fort, mais aucun son ne sortait de sa gorge. Ca me plaisait.

Quand ma main sattaqua à sa cuisse lisse et bombée elle se mit à pousser des petits cris. Jalternais fesses et cuisses. Elle ne protestait pas sur ses fesses, mais criait quand la claque frappait sa cuisse.

Son fessier prenait une teinte bien rouge désormais. Il était brûlant. Elle encaissait bien.

Je cassai le rythme pour distribuer désormais des salves brèves mais rapides sur son beau cul, répartissant la claquée de façon harmonieuse sur le maximum de surface possible.

Elle poussait des petits cris brefs et émouvants, à peine audibles.

Jinterrompis la punition et maccroupis à sa tête. Je pris délicatement son menton et lui redressai jusquà ce que ses yeux clairs se fichent dans les miens. Ils étaient brillants, troubles. Quelque chose lhabitait désormais.

Je lui demandai très doucement :

« – Est-ce jarrête là ou est-ce que je continue ? »

Elle répondit sans hésitation :

« – Vous pouvez continuer.

— Etes-vous sûre que cest ce que vous voulez ?

— Oui Monsieur.

— Etes-vous sûre que vous pourrez le supporter ?

— Oui Monsieur. Jen ai envie.

— Alors vous aimez ça ?

— Oui, jaime. Jen veux encore !

— Alors il va falloir me le demander en y mettant les formes

— Fessez-moi encore, sil vous plait. Fessez-moi, Maître !

— Hummm » dis-je en contemplant son visage, ses beaux yeux de femelle conquise, et je pris sa bouche avec passion, y enfonçai ma langue. Elle me rendit cette galoche avec fougue.

« – Puisque vous le voulez la punition va vraiment commencer » dis-je en retournant vers sa face cachée.

Je me mis alors à lui claquer son adorable et délicieux postérieur avec force, comme si jétais en colère, à un rythme régulier et soutenu.

Là elle se ne retint plus, et la pièce semplit de ses cris, de cris intenses, poussés avec la toute puissance de sa jolie voix de mezzo-soprano, des cris terribles et désespérés, des cris de femelle qui jouit violemment, qui sabandonne et lâche prise.

Cette vigoureuse et violente claquée ne dura peut-être pas plus dune minute mais elle fut aussi terrible pour elle que pour mes bras qui furent vite courbaturés et pour mes mains qui me brûlaient.

Quand je revins vers sa tête ses larmes coulaient avec son rimmel, elle peinait à reprendre son souffle.

Jattrapai ses seins, les malaxai entre mes doigts, les pressai fortement. Elle ne réagit que lorsquils avaient glissé vers ses pointes fermes et commençaient à les travailler sans douceur.

Elle se remit à pousser des cris stridents.

Je les lâchai mais pour aller quérir une paire de pinces de métal. Je mappliquai à en poser une bien sur la pointe de son mamelon. Elle cria longuement.

« – Chochotte » lui dis-je, ça cest une pince pour débutante.

« – HA ! HA ! Ca fait mal Ooohhh

— Vous allez vous y habituer

— Ouïouïouille ouille ! Ah cest terrible

— Mais non. Vous verrez, ça sera pire quand jaurai placé un petit poids au bout de chaque chaîne.

Et pire encore que vos seins se balanceront parce que jaurais recommencé à vous tanner le cul »

Elle haleta davantage quand les petits poids oscillèrent au bout de ses mamelons.

« – Maintenant, ma belle Eva, il est temps que vous goûtiez à un autre plaisir. »

Je me saisis de mon long martinet en caoutchouc et pris ma position à la meilleure distance de sa croupe. Ses fesses oblongues étaient dun rouge tomate bien mûre.

Dun geste assuré dexpert je me mis à lui cingler lentement son fessier, visant lintérieur de ses fesses, la proximité de son anus. Elle se remit à pousser des cris brefs et aigus.

Je ne me laissai pas attendrir ni apitoyer et continuai à lui flageller de la même façon fessier et cuisses qui se marquèrent bientôt de traits roses vifs.

Je mappliquai à bien doser la force avec laquelle les lamelles giflaient sa tendre peau de femme mûre.

Ses cris étaient espacés régulièrement, au rythme des coups de martinet, me faisant penser que si elle navait plus supporté la punition, si elle avait voulu y mettre fin, elle aurait supplié, imploré.

Mais tout ceci mindiquait quelle nen était pas encore rassasiée.

Je marrêtai un instant et mapprochai du bel objet de convoitise, et caressai délicatement lintérieur des fesses, là où la peau était restée blanche, peu atteinte par lextrémité des lanières. Mes doigts descendirent lentement, effleurant le tégument presque nacré, caressèrent la rosette plus sombre.

Ils sinsinuèrent avec audace dans lentrebâillement de la vulve rose et délicate où je constatai avec satisfaction une bien émouvante douceur humide.

« – Eh bien, Madame, on peut dire que vous ne pouvez guère camoufler le fruit de vos émotions et de votre trouble, nest-ce pas ? »

Elle ne répondit pas. Je fis le tour et trouvai son visage très rouge, ses joues sétaient empourprées.

« – Très chère Eva, je vous ai corrigée et jai pu constater que ça a eu lair de vous plaire. Etes-vous satisfaite de ce début de punition ?

— Oui ! Monsieur !

— Cest bien. Vous men voyez content également. Mais je trouve quune bonne soumise, même débutante, se doit de remercier son maître. Vous allez me montrer votre reconnaissance. »

Là-dessus, alors que javais le ventre à hauteur de son visage, je mapprochai encore, presque à la toucher, et je me débraguettai.

Ce faisant jajoutai :

« – Appliquez-vous sil vous plait. Mettez-y du cur. Ne me décevez pas. »

Je tendis vers sa bouche ma queue déjà dressée et lui soulevai doucement le menton. Sachant dinstinct ce quelle devait faire, elle ouvrit la bouche et engloutit mon vit qui disparut entre ses lèvres.

Je me mis à faire des lents va-et-vient sans grande amplitude, en ondulant du bassin. »

« – Hummm », grognai-je de satisfaction, « une pipe d’Eva Deline, quelle chance jai ! »

Et tout en caressant son joli visage, je me mis à baiser sa bouche de plus en plus fort, tandis quelle mettait beaucoup de zèle et dapplication à me sucer ; je sentais ses jolies lèvres et sa langue faire des merveilles.

Ma pine durcissait encore, le plaisir montait. Je mis fin au mouvement pour ne pas risquer de jouir déjà, et de partir dans sa bouche.

Je la détachai enfin et laidai à descendre du cheval darçons. Elle commençait à se plaindre de courbatures.

Je lui pris la main et lentraînai devant la table basse sur laquelle je linvitai à monter, et à sy installer à quatre pattes.

« – Voulez-vous des coussins pour mettre sous vos genoux, chère Evelyne ?

— Je ne suis pas une chochotte » répondit-elle en souriant.

Les poids continuaient à se balancer au bout de ses mamelons, mordus par les pinces, lobligeant à effectuer des mouvements lents et prudents.

« – Je vous trouve très belle, ainsi, à quatre pattes, avec vos jolis tétons tiraillés.

— Merci », souffla-t-elle.

« – Ecartez un peu les jambes, néanmoins. Et cambrez-vous bien. »

Je ne pus mempêcher de caresser encore sa nuque, de descendre sur son dos magnifique, ses reins, la naissance de ses fesses en feu.

« – On dirait que vous êtes un de mes grands admirateurs » me dit-elle ironiquement.

« – Sans être un de vos grands fans, javoue que jai toujours été un inconditionnel de votre beauté remarquable qui na fait quaugmenter avec les années.

— Quel flatteur vous faites Ca ne vous empêche pas de me fouetter

chose que vous faites très bien, et avec beaucoup dapplication, je dois reconnaître.

— Vous méritez toutes mes attentions, que ce soit dans la tendresse comme dans la sévérité. Et je tiens à vous offrir le meilleur

— Merci Monsieur. Je dois dire que vous avez bien réveillé en moi des sensations de plaisir que je croyais enfouies très loin et jespère que jaurai droit à ce que vous me soulagiez

— Ne vous en faites pas, chère Evelyne. Il me tient à cur que vous repartiez dici pleinement satisfaite et sexuellement comblée. Je suis au service de votre plaisir et non linverse.

— Merci » soupira-t-elle. « Je vous fais confiance. Je suis dans de bonnes mains avec vous. »

Puis après un silence :

« Je suis votre femelle. Faites-moi découvrir des plaisirs inédits, interdits du moment que je prenne du plaisir ; laissez libre cours à votre imagination. Faites-moi découvrir lAmérique !

— Mais à votre service, Madame. »

Là-dessus, jallai prendre dans larmoire un élégant rosebud dont la tête est ornée dun cristal aux facettes étincelantes.

« – Je vais compléter votre beauté, chère Eva » dis-je en lui montrant lobjet.

Elle ne posa aucune question, ayant bien compris à quel endroit je le destinais.

Je pris un tube de gel et en versai une dose entre ses fesses, et lubrifiai également le rosebud sur toute la longueur.

Je posai la pointe de lobjet sur son orifice borgne, et le caressai quelques secondes avec.

Eva avait adopté une attitude dattente patiente.

Je forçai légèrement sur le rosebud. Le petit anneau résista une seconde puis se relâcha sans aucun doute sous leffet de la bonne volonté docile de son propriétaire et lextrémité de lobjet entra lentement en elle, élargissant progressivement le sphincter.

Je fis quelques mouvements daller-retour afin dassouplir le muscle anal de la belle, qui se laissa faire sans émettre un son.

Je forçai un peu plus, je vis son visage dans le grand miroir en face grimacer, mais elle engloutit lobjet jusque dans sa partie rétrécie, qui buta contre la tête du rosebud.

Je caressai et flattai ses fesses écarlates :

« – Vous savez, ma chère, que vous êtes très sexy ainsi, et que vous le seriez davantage avec des boucles doreille assorties, ainsi quavec les mêmes cristaux au bout des chaînes de vos tétons ? »

Je me mis à ce moment à faire balancer les dites chaînes, avec des amplitudes de plus en plus grandes.

Elle cria :

« AH !!! Je vous en prie, enlevez-les celles-là, je ne les supporte plus !

« – Hum » dis-je, « admettons. Surtout que jai envie de vous prendre Et jimagine les sensations que cela va provoquer sur vos mamelons, quand je vais vous saillir comme une chienne

— Oh noooon!

— Cest moi qui décide. Cest moi le maître, ne loubliez pas.

— Mais cela va mempêcher davoir du plaisir. Vous avez dit que vous étiez au service de mon plaisir, ne loubliez pas

— Bon. Disons que je pourrais vous proposer un deal

— Quel deal ?

— Je vais vous proposer un marché : je vous enlève ces pinces tout de suite, mais par contre je vous fais "goûter" à la strappe

— La strappe ? Cest quoi la strappe ? »

Jallai dun pas lent à larmoire ancienne et parmi les divers instruments pendus je choisis une de mes strappes, mi-longue.

Je revins vers elle et lui mit sous les yeux quelle écarquilla, plus de crainte que de surprise. Ils parcouraient lobjet, belle lanière de cuir souple, de 6 cm de large sur 45 cm de long.

Je lui fis humer lodeur enivrante, lui caressai le visage avec, la fit passer sous son menton et la naissance de son cou.

« – Celle-ci est ma préférée : elle est plus large et plus souple quune ceinture, se déploie à grande vitesse comme un serpent sur les fesses des insolentes et des rebelles avec un sifflement et un claquement émouvants.

Il a tanné le cul de femmes de tout âge ; je lai trouvé chez une antiquaire, une grosse femme blonde qui a tenu à ce que je lessaie sur elle.

Elle a, paraît-il, plus de 100 ans et a été parfaitement entretenue.

Sentez son cuir, imaginez le nombre de fessiers volages et pervertis quelle a marqué, probablement des femmes du monde à qui on aurait donné, en les croisant dans la rue, le bon dieu sans confession.

Alors, ma chère Eva, quen dites-vous ?

— Euh bien, cest troublant, en effet Mais Jai peur que ça fasse très mal

— Rassurez-vous ma chère : oui, cest vrai que vous le sentirez passer mais il ny a rien de meilleur quun bon tannage de cul. Et je sens que vos cris et hurlements vont mexciter grandement et augmenter mon appétit

Et puis vous venez de me dire que vous nêtes pas une chochotte » ironisai-je.

"- Oui, mais bon, ça doit être terrible quand même

— A vous de voir, cest vous qui décidez. Vous acceptez le deal ou vous gardez les pinces qui vous meurtrissent et vous torturent vos bouts de sein

— Et si jaccepte combien de temps durera le enfin le « tannage » de cul ?

— Pas de « temps réglementaire », mais 12 coups de strappe que vous compterez naturellement !

— 12 ? Et si cest trop douloureux ?

— Vous vous engagez, pour tout ou rien. Si vous acceptez mais jinsiste sur le fait que vous pouvez librement refuser vous les prendrez, et jusquau bout. Quels que soient vos cris, vos pleurs, vos supplications, vos adjurations, vos larmes, vous prendrez la strappe jusquau terme, jusqu’au 12ème coup de minuit sonnant sur votre lune »

Elle semblait hésiter, plutôt apeurée.

« – Cest un défi, Eva, je le reconnais. A vous de voir si vous êtes assez courageuse et assez fière pour le relever

— La prochaine fois, alors, peut-être

— Oui, peut-être alors Si nous en avons loccasion

— Jespère que je ne vous déçois pas ?

— Un peu, chère Evelyne. Mais je comprends Vous avez peur.

— Oui, un peu. Et après la fessée que je viens de prendre

— Oh vous manquez seulement dhabitude : elle nétait pas bien terrible. Mais autant que vous receviez une fustigation en rapport avec votre sensibilité (même si à votre âge, en général, les femmes sont moins douillettes) »

« – Bon, allons » dis-je, en me remettant à faire balancer les jolies chaînettes, entraînant ses mamelons distendus, et les seins étirés, comme essorés par la pesanteur.

Elle poussa des cris stridents. Je men amusai.

Puis je vins me placer à sa croupe et présentai lextrémité de mon vit à lentrebâillement de sa vulve, devant son joli petit orifice rose et luisant.

Je lengouffrai lentement et elle poussa un soupir de contentement.

Je sentais à lintérieur la tuméfaction du rosebud qui saillait dans le vagin ; je me sentais à létroit dans sa grotte chaude et accueillante.

Mes mains se refermèrent sur sa taille, enserrant bien fort le haut de son bassin, assurant bien leur prise, et je commençai à la besogner à longs coups de reins, qui devinrent rapidement des coups de boutoir. Elle était bonne, chaude, délicieuse.

Mais les sous les secousses les chaînettes se balancèrent de plus en plus, allant de plus en plus loin et lui arrachèrent des cris aigus, qui étaient des cris de douleur.

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