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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle – Chapitre 7

Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle - Chapitre 7



Maîtresse et chienne, à la nuit tombée, avaient pris à présent l’habitude de se promener le week-end à l’extérieur de la maison.

Odile avait trouvée un petit parc en dehors de la ville. L’endroit était charmant, le coin était peuplés de toute une faune hétéroclite d’homosexuels des deux sexes, de couples échangistes, de quelques travesties.

Roxane était devenue bien vite la mascotte des lieux, et chacun, semaines après semaines pouvait juger de son évolution, de la déformation de ses tétines, de sa vulve.

Odile et Roxane adorait y déambuler, l’ambiance était détendue, sans chichis, bon enfant même, et personne ne portait de jugement sur qui que ce soit.

Un soir au détour d’une allée, Odile vit approcher un drôle de couple.

Un homme tenait en laisse un autre garçon tout habillé en latex noir.

Il portait des bracelets cloutés au poignets et aux chevilles, ainsi qu’un énorme collier où une laisse de gros cuir tressé était solidement attachée. Tout le haut de son visage était dissimulée par une cagoule ou les orbites étaient fermés par une paire de lunette de soudeur.

Son cul était laissé à l’air libre, et entre ses jambes, on distinguait sous la lumière de la lune, une bite énorme qui pendouillait, longue et grosse comme celle d’un poney.

C’était un couple d’anglais John et Dave son soumis, ils étaient pour quelques heures encore, en villégiature dans la région.

Les deux maîtres discutèrent un moment, d’abord quelques banalités, puis la discussion vint sur leurs animaux réciproques, les difficultés du dressage, mais aussi sur la beauté de Roxane que John trouvait magnifique.

Il proposa à Odile que son mâle la prenne en saillie.

Odile un peu réticente se laissa peu à peu convaincre, ce qui lembêtait c’est que sa femelle fut engrossée, l’homme la rassura, son clebs comme il l’appelait, était bougre, et n’aimait que la sodomie.

Il faudrait assurément le motiver pour qu’il encule la chienne, mais cela ne semblait pas lui poser de problème, il connaissait sa bête.

Odile au bout d’une longue réflexion accepta, et le groupe se dirigea vers le camping car du couple.

Une fois à l’intérieur, le dominateur attrapa immédiatement son soumis et le plaça sur Roxane, puis il agrippa la verge à peine tendue et la rentra sans ménagement dans le cul de la chienne.

Le clébard ne voulait pas coopérer, les femelles n’étant pas sa préférence, mais cela était prévu, alors pour le motiver, l’homme commença à le cravacher.

Dave se raidit d’un coup et se mit frénétiquement à bourriquer Roxane, il lui défonçait le cul sans délicatesse, motivé par la raclée qu’il recevait.

La chienne était aux anges, ravit d’être enfin possédée par un mâle, et qu’importe qu’il faille susciter sa libido à grand renfort de trique.

Il éjacula longuement dans l’anus dilaté de la femelle, mais déjà son despote qui connaissait bien les travers de son animal, reprit les choses en main.

Il les plaça tout deux cul à cul, et enfourna la bite dans le colon de Roxane, mais sans aucune prévenance, il poussa également les testicules de Dave au fond de la cavité anale de Roxane.

" – Tenez les bien pour quelles ne sortent pas ! ", adressa -il à Odile.

" – La voilà "knoted" ", rajouta t-il.

Puis il enjamba le soumis et saccroupit dessus.

Il sortit de sa braguette son braquemart, le chien était bien monté certes, mais le maître l’était d’avantage.

" – Ce sale clébard est pédé comme un phoque, et quand on le sodomise, il n’arrête pas de cracher sa purée… il va bien vous la remplir votre chienne ! ",

et sans vergogne, il encula son soumis.

Odile maintenait toute la virilité au fond du cul de sa chienne.

Les roustons lui bloquait l’anus.

Elle introduisit sa main valide dans la chatte de Roxane, et à travers la membrane qui séparait le vagin de son colon, elle sentait les soubresauts ininterrompus des éjaculations.

John n’avait pas mentit, Dave crachait sa semence sans discontinuer.

Alors elle serra fort la fine parois, emprisonna sa main sur la virilité du soumis et par un long mouvement de coulissage commença à le traire.

John était insatiable et sa bestiole l’était également, leur ébats dura une bonne partie de la nuit…. le clebs n’avait pas cessé de juter durant tout les rapports, Roxane maintenant devait être bien pleine.

Lorsqu’il eut longuement jouit une dernière fois dans le cul de son esclave, il se dégagea.

Il attrapa la tête de l’infortuné Dave et la plaqua sur l’anus dégoulinant de Roxane.

" – Lèche ! ", et le clebs lécha toute sa semence qui s’échappait des sphincters de la femelle.

Odile remit sa chienne en laisse, et prit congé des deux hommes.

La nuit pour eux ne faisait que commencer, car déjà Dave s’empressait de nettoyer de sa bouche, les traces de merde sur la bite de son bourreau.

Au retour à la maison, Odile restait silencieuse.

Elle était stupéfaite par l’attitude de sa chienne, offerte sans retenue à la copulation animale avec Dave.

Acoquinée, lubrique avec cette petite tapette anglaise.

Odile ne décolérait pas et quand Roxane grimpa sur le lit, la maîtresse furibonde la jeta à terre en l’insultant.

La chienne était répugnante, elle puait le mâle, ses trous étaient encore tout poisseux de sperme et de salive.

" – Sale chienne, dégoûtante, et tu veux venir dans mon lit avec ton cul tout dégueulasse !?! ", et comme la chienne insistait, Odile la punit sauvagement à grand coups de martinet;

" – Tu dors par terre, traînée ! ".

Roxane se lova piteuse dans son grand panier en osier, et Odile se coucha seule.

Au matin Roxane fit allégeance en léchant la main de sa dominatrice.

Il fallait qu’elle retrouve l’affection de sa souveraine, qu’elle lui pardonne.

Odile resta un instant face à elle, songeuse.

" – Jessica, j’aimerais que tu annules tout tes rendez-vous de la semaine ! trouve un prétexte s’il te plaît…".

"Jessica", Odile l’avait nommée par son prénom de femme.

Était-elle encore fâchée ?

Comment retrouver grâce à ses yeux ?

La jeune fille était perdue…

Alors la coiffeuse appela toutes ses clientes, et prétextant une grosse grippe, elle libéra tout son planning.

Odile prépara le grand baquet, le rempli d’eau chaude savonneuse et la lava silencieuse, puis elle la parfuma et lui enfila une nouvelle tenue de chienne, au pelage noir et feu.

" – Je la gardais pour une grande occasion… ", confia t-elle mystérieuse.

Elle se remit à l’ouvrage, attacha ses oreilles et lui enfila son collier… réajusta sa médaille…

Elle renonça aux ganses de cuir et laissa à l’air libre les mamelles de l’animal, sans aucun poids, ne gardant juste que les clochettes attachées aux tétons, de toute façon, ses tétines avaient quasiment atteint leurs physionomies définitives.

Elles pendouillaient pitoyablement dès que la chienne se mettait à quatre-pattes, comme de longues poches vides et flasque, avec au bout ses longs tétons avachies.

Roxane se plaça devant le miroir de la chambre, le costume élevait son élégance.

Elle regardait son arrière train, ses lèvres pendantes comme des babines, son cul à demi ouvert sous la petite queue du costume.

Elle se trouva belle, bestiale, sa propriétaire avait choisi pour elle la plus merveilleuse des parures…

Alors assurément c’était le signe qu’elle l’aimait… qu’elle lui avait pardonné, si aujourd’hui elle pouvait enfin s’en vêtir.

Au salon, Odile lui intima l’ordre de s’asseoir.

La chienne à genou plia ses jambes et posa ses fesses sur ses mollets, elle redressa son dos, et tendit bien ses bras, pour se mettre en position du sphinx assit.

Elle en avait de l’allure dans cette position, et pour réjouir encore plus le regard d’Odile qui ne la quittait plus, elle rectifia sa prestance en redressant sa tête.

" – Tu es une bonne bête, et même si je suis parfois en colère et dure avec toi, je suis très fier de ton évolution, ma belle.

Il est grand temps pour toi de franchir un nouveau cap ! ".

Odile resta énigmatique, elle ne rajouta rien de plus et partit se changer, laissant la chienne seule au milieu du salon.

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