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Le calice – Chapitre 1

Le calice - Chapitre 1



Donnes moi ton calice, celui plein de miel que j’aime lécher. Tu es douce à ma langue. J’aime ta friandise, le sel de nos amours. Oui, laisse moi te lécher doucement,profondément. J’aime quand ma langue écarte des chairs, quand elle entre presque au fond de ton ventre.

J’adore quand mes seins sont sur ton ventre, que je sens le tient contre mon corps.

Je suis passionnée de ta chair pleine de vie, d’odeurs si particulières, si sensuelles.

Dis moi pourquoi tu m’ensorcelle autant.

Je t’ai enlevé de ces mains d’hommes qui te salissaient. Lui qui voulait de toi uniquement pour son plaisir personnel exclusivement, le tien comptais si peu. Il était sur toi, sa grosse bite dans ta fragile chatte. Il grognait comme un porc devant sa mangeoire. Il voulait te bouffer totalement : tu te refusais comme tu pouvais.

Tu as pu d’extraire de sous lui, tu es venue vers moi, une petite femmelette de rien du tout. Mes bras ouverts t’ont accueillie. Il n’a rien osé faire devant les gens de la plage. Il restait comme un imbécile avec sa bite tendue vers rien.

Je t’ai désiré à cet instant. Mes lèvres t’ont accueillies comme l’amante que tu devenais sans le savoir encore.

Je me fichais de regards des autres, surtout de ceux des hommes qui ne comprennent jamais quand une fille leur enlève un jouet.

Tu te souviens de nos premiers moments de notre intimité. Après ta bouche mes lèvres ont glissé doucement sur des épaules douces, tendre, adorablement coquines.

Tes grands yeux bleus sombres m’ont transpercée. Tu les a fermé, j’ai pu baisoter tes paupières : tu pleurais un peu. Un coup de langue a tout séché.

Tu t’es accrochée à moi comme un navire à son amarre. Tu avais peur que je te lâche que je te rende à de cochon dégouttant de graisse.

Je t’ai vais venir avec moi à l’hôtel. Tu t’es étendue sur le lit, par dessus la couverture. Je t’ai aimé à cet instant : tu te donnais à moi. Je ne te prenais pas pour ne pas perdre ce qui m’arrivais : l’amour véritable, le premier, le dernier.

Exténuée par cette scène tu t’es endormie comme un enfant, comme un bébé qui retrouve le calme près de ses parents. Je devenais ta mère, ton père sans doute. Je t’ai veillé jusqu’au petit jour. Ton sourire a tout payé.

Ce n’est qu’à cet instant que j’ai eu envie de toi comme je n’avais jamais eu envie d’une fille. Je suis venue contre toi, mon corps contre le tien totalement. Tu était chaude après le sommeil, chaude aussi dedans. C’est même toi qu a fait le premier pas. Tu t’es levée un peu pour poser un tout petit bisou sur mes lèvres. Petit bisou, grande émotion.

Tu voulais bien de moi. Tu m’as obligé à enlever ce que je portais. Je me mettais nue devant ma future compagne (je l’ignorais à ce moment). Timidement du as demandé » :

Fais moi l’amour !.

Toi aussi.

Ma réponse est venue simplement. Pourquoi j’allais refuser cette chose naturelle ?

Je t’ai embrassée doucement, nos langues ont joué un bon moment avant que je prenne la décision de te toucher les seins. Oh, à peine, un soupçon de caresse. Je n’osais pas t’en faire plus. Tu en voulais plus, tu t’es collée à moi. Je te sentais bien contre mon corps qui avait pas eu de caresse de filles depuis longtemps.

Je ne te l’ai jamais dit, je fondais à cet instant. J’avais mal au ventre, je te voulais, je voulais tes doigts, ta main, ta langue ton sexe.

J’ai voulu te faire plaisir, j’ai caressé tes seins. Ils étaient tellement doux. Je les ai sucé l’un après l’autre. J’ai eu besoin, j’étais obligée, de te montrer une suite. Ma langue est descendu vers ton ventre : tu frissonnais. En levant complètement le drap tu étais nue, trop nue. Je ne pouvais résister à cette tentation, même une sainte n’aurait pas pu refuser ce que tu voulais. J’ai suivi la voie de Sappho, ma prêtresse. J’ai plongé ma langue dans ton intimité : tu y était douce, agréable à goûter. Je me suis abreuvée à ta source de tous les plaisirs.

Tu te tendais vers ma bouche. Je t’ai senti juste au moment où tu ne tenais plus : tu était crispée, tes mains sur ma tête. Ta jouissance m’a donné aussi du plaisir : je savais encore faire jouir une fille.

Tu m’a demande de venir sur toi, de te donner ma fourche sur ta bouche. Je t’ai donné ma chatte : c’était agréable sans plus : tu ne savais pas encore bien lécher une femme. Tu t’en ai appercu quand tu a mis un doigt sur l’anus. Tu m’a fait plaisir en le faisant : je naccepte pas de toutes ce genre de familiarité. Avec toi c’était excitant. Je tenais la bonne personne.

Les jours suivants nos nous somme beaucoup caressées : tu a commencé à oser des petites manières. J’adorais et j’adore toujours quand tu met un doigts dans le vagin et un autre dans l’anus que tu les fait aller et venir ensemble.J’en jouis toujours, comme quand me loge dans ton admirable cul.

Mais ce que nous préférons reste la gymnastique la plus fatigante, la plus sensuelle,la plus érotique si quelquun nous voit. C’est moi qui un soir t’ai montré comment faire. Nous étions étendues, bien serrées. Tu as levé une jambes. Ma main est venue sur ta fourche. Je l’ai mise en entier dans le vagin Je l’ai presque mise en entier : tu criais ton orgasme. J’ai arrêteé. Tu as voulu me donner un autre plaisir. Tes jambes sont venue prendre les miennes. Je sentais ton pubis venir sur le mien. Nos sexes se sont soudés. En remuant à peine nous avons atteint des sommet.

Nous finissons toujours nos amours par cette prise du sexe de l’une par le sexe de l’autre. J’ai ainsi appris que j’étais une femme fontaine quand je jouis.

Nous sommes ensemble depuis une vingtaine d’années, nous vieillissons sans doute. Nous faisons l’amour toujours moins autant qu’au début peut être.

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