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Le calvaire d'une jeune fille – Chapitre 3

Le calvaire d'une jeune fille - Chapitre 3



Préface. Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.

Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.

Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.

Je lui laisse la parole.

Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).

Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.

J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.

C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. OK, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut-être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.

On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.

Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant…

Suite.

La crédulité d’une femme aimante. Je ne voulus pas le voir les deux jours qui suivirent pour lui donner une « punition ». Je profitai de mes deux journées libres pour passer du temps avec ma maman et quelques amis.

Trois jours après les événements de la salle de bain, on se vit chez lui pour dîner avec toute sa famille.

Axel ne laissait rien transparaître de ce qui s’était passé, tout comme moi. On faisait mine comme s’il n’était rien arrivé, seul mon bleu était le stigmate de sa violence.

Ce jour-là, Axel voulut me faire une surprise : Il voulait avoir son indépendance et que je déménage avec lui. Pas loin de la maison de son père (là où on était en ce moment même), il y avait un studio inoccupé. C’est son père et sa belle-mère qui avaient eu l’idée d’aménager le studio car on arrivait à un âge ou c’était l’heure de prendre notre envol.

Je dois avouer que du haut de mes 19 ans, l’idée m’emballait. OK, j’allais emménager avec mon mec avec ses problèmes d’alcool mais mon amour pour lui était plus fort.

Heureux, nous acceptâmes cette offre. Après de brèves discussions sur le jour où on déménagerait, on se faufila dans sa chambre.

Excitée par cette bonne nouvelle et aussi après une bonne séance d’abstinence, j’avais une folle envie de faire l’amour.

Je me jetai sur lui et on s’embrassa comme un couple passionné. On se déshabilla au fur et à mesure. Doucement, je descendis tout en continuant à embrasser son corps et me retrouvai en toute logique devant sa queue.

Il l’avait semi-molle et je la gobai avec plaisir, je savais comment mon homme aimait se faire sucer. Je jouais avec ses testicules, léchais le gland, faisant de longs va-et-vient au ralenti, crachant sur sa bite. Mon petit fun, c’était de sentir sa bite gonfler et durcir dans ma bouche, c’était ma petite victoire, un côté électrisant.

Apres la fellation ou je me suis régalée autant que lui, je m’attendais à ce que ce soit à son tour de me faire plaisir en me bouffant la chatte.

J’écartai les jambes, comme une putain de nympho et attendis un cunni digne de ce nom.

Il me regarda, puis ma fente luisante, me fixant dans les yeux de nouveau et me jeta :

— Désolé, j’ai pas envie !

— Pardon ? Mais pourquoi ?

— T’as des poils, je trouve ça dégueulasse… on dirait une vieille schnek.

(Quand j’étais allé chez l’esthéticienne, j’avais voulu garder une petite partie de poils car à mes yeux, j’en avais marre d’avoir la vulve d’une fillette et je trouvais que ça changeait un peu).

Abasourdie par ce genre de connerie, je lui rétorquai:

— J’ai voulu te faire plaisir en laissant quelques poils, c’est pas ça qui me dérangeait quand je t’ai sucé la bite !

— Je préfère les chattes bien lisses, c’est comme ça. Mon ex, elle, l’avait toujours !

— Je m’en fous de ton ex, toutes les femmes ne sont pas comme ça… Pff, tu comprends vraiment rien.

— La prochaine fois rase tout, ça fait plus propre.

Frustrée, je voulais plus trop coucher avec lui alors que c’était moi qui avais commencé mais ce n’était pas l’avis de Monsieur. J’acceptai quand même.

Il commença à s’introduire en moi, s’étala sur mon corps et il me pilonna violemment.

Surprise, je prenais du plaisir au début malgré cette entrée fracassante. Heureusement que je mouillais un peu car j’aurais eu mal si c’était à sec.

Ce plaisir fut de courte durée, Axel était trop brutal et il commençait à me faire mal. Je lui demandai de ralentir la cadence mais il n’écoutait plus que lui.

On ne faisait pas lamour, on baisait !!!

Axel changeait de position toutes les deux minutes : Cette nuit-là, il m’a prise en missionnaire, en cuillère, en levrette, en amazone…

Quand on était en position amazone, il jouait avec mes seins et il mordait mes tétons. Je n’avais pas de plaisir, la douleur était horrible et mon vagin m’irritait mais il s’en foutait. Seul son plaisir comptait pour lui.

Pour finir, en position levrette, il me mettait des petites tapes aux fesses, tout en me baisant sauvagement. Après dix bonnes minutes de baise brutale, il sortit de mon vagin et présenta sa bite devant moi.

— Allez, suce-moi !

— C’est mort, Axel. Tu m’as fait trop mal et après tu ne veux pas me faire de cunni donc c’est non !

— Tu l’auras voulu !

Il se repositionna et s’introduisit de nouveau en moi. Après deux minutes, il s’enfonça jusqu’à la garde et un râle de plaisir sortit de sa bouche.

Je sentis plusieurs jets chauds s’écraser dans mon vagin. Ce connard venait d’éjaculer en moi… C’était la première fois qu’il éjaculait en moi.

— Axel, putain, t’as fait quoi là ? T’es con ou quoi ?

— Fallait me sucer, t’as refusé. Du coup, je me venge.

— T’es vraiment qu’un abruti, tu sais très bien que j’aime pas ça. Imagine que je tombe enceinte ou si on attrape des maladies…

— T’auras encore de plus gros seins si tu es enceinte, ça sera bon ! Dit-il en ricanant.

Toujours à quatre pattes sur le lit, je voulais m’écarter et aller me laver pour effacer les souillures mais il ne s’était toujours pas retiré. Il fit encore quelques va-et-vient et se retira.

Il prit son téléphone portable sur la table de nuit, écarta mes lèvres et prit une photo de mon vagin souillé de sperme et de mouille.

— Axel, tu fais quoi là ? Tu déconnes, t’as pas pris une photo j’espère ?

— Bah si, c’est pas tous les jours que j’éjacule dans ta chatte. Il fallait que j’immortalise ce moment, tout en rigolant.

— S’il te plaît, efface, j’ai pas envie que ça se sache.

— T’inquiète pas, c’est pour mon petit plaisir personnel. Je vais pas le montrer à mes potes.

— Même ! J’ai pas envie que ça traîne dans ton téléphone portable.

— Calme-toi, et regarde comme ta chatte est belle après tout ce que je t’ai mis.

Il me tendit le téléphone portable et je vis mon vagin, lèvres écartées, luisant de sperme.

On voyait bien l’abondance de sa crème épaisse et blanche.

Après une semaine sans sexe, il m’avait inondé le vagin de cinq jets puissants.

Avec le portable en main, je voulus effacer la photo mais pris au dépourvu, il arracha le téléphone de ma main, m’attrapa par le cou et me menaça :

— Maintenant, va te laver, tu pues la bite et le sperme, j’ai pas envie de dormir avec une meuf sale !

Toujours sans réponse, je me dirigeai vers la salle de bain et me lavai au maximum du mieux que je pus.

Des bruits ont commencé à courir à mon sujet. Je me retrouvais seule, sans ami, personne vers qui me tourner. A partir de cette période, il pouvait me faire subir ce qu’il voulait, si je disais non, il était violent.

Axel stipulait que j’avais de la chance de l’avoir malgré ses atrocités à mon égard, que je devais le remercier, dire oui à tout ce qu’il voulait…

Comme pour remplacer sa mère décédée, je devais être 100 % disponible.

Il pouvait combler ses désirs sexuels. En premier lieu, il m’insultait de plus en plus au lit, me pistonnait violemment.

Ensuite, il a obtenu ce qu’il voulait depuis un moment, la sodomie. Il était heureux comme tout de pouvoir me la mettre dans mes entrailles, c’était son petit bonus mais pas pour moi.

Ensuite sont venues les gorges profondes suivies des éjaculations buccales, je détestais ça car je m’étouffais à moitié.

Chaque matin, avant de partir au taf, il me baisait. Il me prenait par l’un des trois trous et finissait par cracher la sauce à l’intérieur de celui-ci.

Je n’avais plus du tout de plaisir à avoir des rapports sexuels mais c’était ça ou me faire frapper.

Quand je lui demandai pourquoi il me faisait subir tout ça, sa réponse fut sans appel :

— Il faut que je me détende avant de partir au boulot, baiser me rend moins anxieux et je pars pas les couilles pleines. Mais bon, tu peux pas comprendre Kriss, t’es une ratée, t’as pas de job.

A suivre…

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