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Le cirque… – Chapitre 1

Le baume de l'âme - Chapitre 3



J’ai toujours aimé le cirque et par chance, il en vient encore dans ma ville, au moins deux par an.

Quand j’étais enfant, aller au cirque était une récompense donc j’attendais de voir les affiches annonçant la date de passage et, par le plus grand des hasard, je devenais le plus ?’gentil’’ garçon du monde !

Habitant une grande ville, les cirques restaient une dizaine de jours, mes parents ne m’emmenaient au spectacle qu’une fois, mais j’avais la possibilité d’aller voir la ménagerie tous les jours, ce dont je ne me privais pas à la sortie de l’école.

J’étais fasciné par ce monde si particulier, adolescent j’avais compris qu’en allant voir la ménagerie, cela me permettait aussi de voir les coulisses du cirque.

La ménagerie proprement dite m’intéressait moins que tout ce qui gravitait autour, je me souviens m’être glissé sous le chapiteau pour voir les artistes répéter, personne ne venant me demander ce que je faisais là.

Les répétitions n’avaient rien à voir avec le spectacle, les artistes se parlaient normalement et pas toujours en Français, les tenues n’étaient pas les mêmes non plus, exit les costumes de scène chatoyants et bigarrés, chacun faisait son travail dans une partie de la piste, du ?’ring’’ comme disent les artistes.

Une année, la plus jeune soeur de ma mère est venue vivre chez nous durant un mois, une série d’examens médicaux l’obligeant à se rendre au CHU tous les trois jours.

Elle avait 18 ans, j’en avais presque 17, nous nous entendions très bien sur tous les plans, habitant la campagne, elle ne rêvait que d’une chose, venir vivre ?’à la ville’’ comme elle disait.

Pendant son séjour, un grand cirque est resté une dizaine de jours, je l’ai bassinée pour qu’elle m’accompagne visiter la ménagerie.

Ne comprenant pas que je veuille y aller tous les jours, j’ai fini par la convaincre qu’il y avait d’autres choses à voir.

Je savais, pour l’avoir déjà vu, que les artistes s’entraînaient ou mettaient au point de nouveaux numéros, s’il n’y avait pas matinée.

Aucune surveillance ne s’exerçant autour du chapiteau, il nous était facile de nous glisser rapidement par une ouverture.

Un après midi, nous avons eus la chance de pouvoir assister à une répétition équestre, une femme menait 6 chevaux blancs splendides.

Cette jeune femme d’une grande beauté, faisait évoluer les chevaux avec une grande cravache et un fouet qu’elle faisait claquer au dessus de leurs têtes, sans les toucher bien sur.

La répétition terminée, un lad s’est occupé de ?’rentrer’’ les chevaux, la ?’dresseuse’’ s’attardant avec une trapéziste qui venait de terminer son entraînement.

Avant de sortir du chapiteau, elle nous repère dans les gradins et nous interpelle en Français avec un accent à couper au couteau et sur un ton pas très amical.

-Le spectacle vous a plu ?

Nous étions scotchés sur nos bancs par la façon dont elle venait de nous parler, en infraction il m’est venu à l’idée qu’on allait nous foutre dehors mais personne n’est venu nous dire de partir.

Certainement émue par notre désarroi, s’avançant vers nous un sourire aux lèvres, elle nous invite à la suivre.

Ma cousine s’est levée la première, j’étais fasciné par cette femme qui me tendait la main pour m’aider à descendre.

Saisissant la main qu’elle me tendait, la dernière marche descendue je me suis retrouvé plaqué contre sa hanche.

Elle officiait en tenue ?’d’écuyère’’, pantalon de cheval, bottes et redingote sur un chemisier à volants et chapeau claque.

Elle me tenait la main, je ne l’ai pas lâchée et nous sommes sortis du chapiteau.

Je sentais son parfum qui se mêlait à l’odeur si caractéristique des chevaux.

Nous avons traversé la zone ?’ménagerie’’, passé entre des camions pour arriver aux caravanes.

La femme ne disait pas un mot, ma cousine m’interrogeait du regard, je lui répondais en haussant les épaules.

Nous entrions dans le monde des gens du cirque, une cité cosmopolite grouillante de vie, les gens s’interpellaient dans toutes les langues, riaient par ci, chantaient par là, quelques jeunes enfants jouaient à imiter leurs parents.

J’étais heureux et inquiet à la fois, je ne comprenais pas ce que nous venions faire en ces lieux, d’autant que notre ?’guide’’ ne disait rien, se contenant de répondre de la main aux saluts qu’on lui adressait.

Ma cousine devait être dans mon cas, je la sentais tendue et nerveuse, regardant sa montre d’un geste saccadé du bras.

En croisant mon regard elle tape sur sa montre pour me faire comprendre qu’il est l’heure que nous partions.

Nous arrivons à la caravane de notre écuyère qui m’invite à entrer, ma cousine restant en bas des marches.

L’extérieur de ce ?’mobile home’’ est austère mais l’intérieur est chaleureux et bien agencé.

Elle me regarde en souriant et prend sur une étagère une photo d’elle avec ses chevaux et la dédicace.

-Comment t’appelles tu petit ?

-Dorian madame…

-Mais c’est un prénom d’artiste de cirque ça ! Tu as aimé mon spectacle ?

-Oh oui madame…

-C’est ta soeur ?

-Non madame, ma cousine…

-Tu aimes les chevaux ?

-Oui madame, beaucoup…

-Je suis Carla, dans le monde du cirque tout le monde s’appelle par son prénom et se tutoie… Tu peux revenir demain ?

-Oh oui !

-Alors je te montrerai ma troupe, ce sont des Lipizzans fabuleux… Demain c’est Jeudi vient de bonne heure, vers deux heures ça ira ?

-Oui Carla…

J’avais le coeur qui battait la chamade, Cécile, ma cousine s’impatientait devant la caravane, je lui ai montré ma dédicace.

-Tu vois, elle l’a faite pour moi !

Nous sommes rentrés à la maison, je ne lui ai rien dit pour le lendemain mais il allait falloir que je la joue fine pour pouvoir partir si tôt et sans elle.

Je me suis bien débrouillé, ma mère ne s’y est pas opposée, j’ai du battre le record du monde de course à pied pour rejoindre le cirque.

Devant les caisses, je me suis aperçu que je n’avais pas un sou pour payer l’entrée de la ménagerie, j’ai eu beau dire au contrôleur que je venais voir Carla, il ne me croyait pas.

Je trépignais d’impatience, devant mon insistance il est allé voir à la caisse, la femme a passé un coup de fil, en revenant il était tout sucre et m’a laissé entrer en me saluant.

J’ai filé directement à la caravane dont la porte était entrouverte, j’entendais Carla fredonner, j’ai frappé trois petits coups brefs sur un carreau.

-Entrez, c’est ouvert… Ah c’est toi Dorian… Assied toi, je m’habille… Si tu veux boire, il y à du coca dans le frigo, les verres sont sur la table.

Elle était nue, mais je n’ai eu le temps de voir ses fesses que très furtivement avant qu’elle entre dans sa chambre.

Cette vue m’avait émoustillé, je me suis servi un demi verre en l’attendant.

-C’est bien que tu sois venu… Aujourd’hui je ne travaille pas, il faut laisser les chevaux se reposer un peu… Nous irons les voir plus tard…

J’avais une autre personne assise devant moi, habillée en tenue de ville, peu maquillée, elle me regardait en souriant.

-Alors comme ça tu aimes les chevaux ?

-Oui Carla, j’aimerais même faire votre… ton métier…

-Dresseur de chevaux ce n’est pas un métier Dorian, c’est une vocation et une passion. Mon grand père l’était, mon père l’était et je le suis devenu naturellement…

-Que dois-je faire alors ?

-Faire des études d’abord, puis te diriger vers les filières spécialisées, par la suite tu pourras opter pour ce qui te plaira le mieux. Le cirque c’est un autre monde Dorian, nous sommes des artistes…

Je gobais ses paroles, sans pouvoir détacher mon regard de l’opulente poitrine qui gonflait son chemisier tendu à craquer.

J’avais une main sur la table sur laquelle s’est posée une des sienne.

Ce contact m’a fait frissonner en me provoquant la chair de poule.

-Et bien dit donc, tu es sensible !

-C’est que je…

-Je ?’quoi’’ ?

-Je te trouve très belle Carla…

-Dit donc Dorian, c’est pour mes chevaux ou pour moi que tu es venu ?

-Les deux Carla… J’ai rêvé de toi cette nuit…

-Alors toi, tu ne perds pas le nord ! Mais rassures-toi j’aime ta franchise. Je n’ai jamais eu d’enfant et malheureusement je n’en aurais pas, mais j’aurais aimé avoir un fils. Trêve se sensiblerie, allons voir les chevaux…

Elle m’a présenté un à un les chevaux, les six juments devrais-je dire et le seul mâle, nommé septième.

-Tu vois, ce cheval travaille seul, je ne peux pas le faire travailler avec les 6 juments, tu comprends pourquoi…

-Non…

-Dorian, c’est un male entier. Il ne peut pas travailler avec les juments si l’une d’elles ou plusieurs étaient en chaleur…

-?a veut dire quoi ?’entier’’ ?

-Qu’il n’a pas été castré… Qu’il peut se reproduire, septième est un étalon… Castré ce serait un ?’Hongre’’… Tu as déjà entendu ce mot ?

-Oui, dans les commentaires des courses hippiques…

-Tu as tout compris… Un cheval en présence d’une jument en chaleur peut s’exciter et développer son membre, tu vois le tableau dans le ?’ring’’… Tu as déjà vu un cheval en érection ?

-Oh oui, plusieurs fois. Je vais en vacances chez mes grands parents à la campagne. J’ai même assisté à une saillie l’année dernière…

-Ah bon ?

-Un après midi, dans un pré, un cheval est monté sur une jument, je passais juste au bon moment…

-Comment as-tu dit ?

-Je passais juste au bon moment…

-Tu as raison, c’est un moment merveilleux qui dure trop peu de temps malheureusement. Raconte moi, ça t’a fait quelque chose ?

-Pas vraiment… Enfin si, mais j’étais avec ma cousine et j’ai du me contrôler…

-Te contrôler ?

-Oui… ça m’avait excité et j’ai senti mon sexe devenir tout dur…

-Tu as quel âge Dorian ?

-J’aurais 17 ans dans quinze jours…

-Donc tu avais 16 ans… Dorian, est ce que tu as… comment dire… déjà eu des rapports sexuels avec une fille ?

-J’ai une petite copine, mais nous ne faisons rien tous les deux, elle ne veut pas…

-Elle ne veut pas quoi ?

-Elle ne veut rien faire, même pas me toucher !

-Et toi, tu la touches ?

-Oh non ! On se promène main dans la main, quelques petits bisous et c’est tout !

-De ton côté, tu as déjà eu des relations sexuelles avec une fille ?

-Deux fois… Avec une amie de ma mère…

-Avec une amie de ta mère ? Mais c’est incroyable ça…

-Tu sais, je n’ai jamais été dupe…

-Comment cela ?’pas dupe’’ ?

-Parce que je sais que tout a été manigancé par ma mère…

-Ta mère aurait commandité ton dépucelage par une de ses amies ?

-Je les ai entendu en parler, à leur insu, quelques jours après, son amie faisait même des commentaires sur ma prestation !

-Et alors, ces commentaires ?

-Carla, ça me gêne…

-Dorian, nous ne faisons que parler…

-Elle disait avoir passée des moments merveilleux, et qu’elle n’avait jamais joui comme ça !

-Et bien mon cochon, tu dois être fier de toi, non ?

-Oh oui…

-Et vous avez recommencé si j’ai bien compris…

-La semaine d’après. Cette fois, c’est moi qui l’ai provoqué, mais ça tombait mal…

-Pourquoi ?

-Elle avait ses règles…

-Et alors ?

-Alors nous avons fait comme la première fois sauf que je ne l’ai pas prise par devant…

-?videment, il y avait un bouchon !

-Je ne savais pas qu’on pouvait faire ça…

-Et bien maintenant tu le sais…

Tout en parlant, elle passe sa main sur la croupe de septième qui balaye ses fesses avec sa queue, à chaque caresse la peau frissonne.

Légèrement sur le côté, je peux voir la fabuleuse paire de couilles noires lorsque la queue s’écarte.

Carla ne me regarde plus, ses yeux sont posés sur la croupe et sa main comme attirée par le dessous de la queue, il m’a même semblé la voir toucher furtivement la paire de couilles.

Se ressaisissant elle me prend par le bras et nous quittons le box de septième.

J’ai le temps de me retourner pour voir le sexe se développer sans devenir raide, un grand bout noir et flasque pend sous son ventre.

Carla se retourne aussi et nous voyons septième se mettre à pisser une urine trouble et odorante.

La main de Carla cherche la mienne et la serre très fort, sa poitrine se soulève plus vite, sa lèvre supérieure se retrousse un peu, deux gouttes de sueur perlent sous son nez.

Elle se retourne vers moi en me fixant dans les yeux, sa main libre se pose sur mon sexe raide et le masse un peu.

-Toi aussi ça t’excite de voir la pine d’un cheval, hein ?

-Oui Carla…

-Tu aimerais le voir bander vraiment ?

-Oh oui…

-Alors fais le guet, s’il vient quelqu’un tu tousses…

Elle s’avance vers septième dont le sexe et rentré, sa main va directement sous la queue et descend sur les bourses qu’elle empoigne à pleine main.

Après un petit malaxage, la pine se déploie lentement d’abord puis devient raide et remonte pour taper sur le ventre.

Carla se recule pour mieux voir, je suis juste derrière elle.

De ses mains elle fait remonter sa jupe à mi cuisses, puis sa main droite se glisse entre ses cuisses, l’autre tenant la jupe relevée.

Elle se masturbe jusqu’à ce que le sexe du cheval débande et regagne son fourreau, je me suis touché aussi mais en m’arrêtant avant de jouir.

La séance n’a pas durée trois minutes, Carla reste immobile un instant puis en rabaissant sa jupe, elle se tourne vers moi.

-Tu as aimé ? Quelle pine n’est ce pas ? Partons Dorian on pourrait venir…

Nous regagnons la caravane comme s’il ne s’était rien passé, je suis étonné par le signe que lui fait une femme qui se contorsionne sur une sorte de tatami le long de sa caravane.

-Carla, la femme dehors, elle t’a fait un signe, ça veut dire quoi ?

-?a ne veut rien dire de spécial, juste un signe d’amitié. Dorian, tu as vu, je me suis touchée et maintenant, je suis excitée… Et toi, tu bandes ?

Je me lève pour lui montrer la bosse qui gonfle mon pantalon.

-Si tu veux te masturber, fais le devant moi j’adore ça…

-Carla, je n’ai pas envie de faire ça…

-Tu veux me baiser ?

-Non Carla, te faire l’amour…

-Que tu es mignon ! Dorian, on ne me fait pas l’amour, on me baise ! J’en ai rien à foutre des sentiments, je baise pour jouir et accessoirement pour donner du plaisir. Mais avec toi je veux bien faire une exception, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de te sucer… Sors ta queue…

Je baisse à la fois slip et pantalon, je me déchausse et envoie le tout promener.

-Dorian !

-Oui Carla…

-Ce n’est pas possible… Tu es un monstre !

-Pourquoi ?

-Ta queue… Tu es sur de n’avoir que 17 ans ?

-Oui, j’en suis sur !

-Je crois que je n’en ai jamais vue d’aussi grosse ni d’aussi longue. Je comprends pourquoi l’amie de ta mère faisait des éloges sur toi, et tu l’as prise par derrière, elle à du déguster !

-Non… J’étais aussi bien que devant…

-Et bien, elle doit s’en prendre un max ! Elle fait quoi dans la vie ?

-Infirmière…

-Dorian… Je ne vais pas tourner autour du pot, j’ai envie de baiser avec toi, mais nous allons devoir faire vite, j’ai une réunion importante dans trois quarts d’heure. Essaie de ne pas jouir trop vite quand même, tu vas d’abord me prendre par devant et après tu pourras jouir dans mon cul…

-Carla, je jouis quand je veux…

-Comment ça quand tu veux ?

-Si je veux jouir vite, ça peut se faire en trente secondes mais si j’ai le temps, il m’arrive de ma masturber pendant une heure sans jouir…

-Si en plus d’avoir une grosse pine tu ne jouis pas, ce n’est pas autour des chevaux que tu dois faire carrière, mais dans le porno ! Et tu n’as baisé que deux fois ?

-Oui Carla…

-Alors ne perdons pas de temps…

A peine termine t-elle sa phrase que quelqu’un frappe à la porte.

-Réunion dans dix minutes Carla !

-Merde je me suis trompée… Dorian, s’il te plait, tu vas me prendre vite, je dois jouir sinon je vais être exécrable durant la réunion…

Elle m’entraîne sur son lit et s’agenouille en relevant sa jupe.

-Vas y Dorian… bourre moi…

J’entre d’un coup dans sa chatte inondée et je la pistonne vite, les yeux baissés, je mate son petit trou dans lequel j’enfonce mon pouce.

-Tu veux m’enculer salaud… Essaie mais je ne sais pas si je vais pouvoir te supporter…

Mon gland posé sur la rosette, je pousse doucement, ma pine est comme avalée et j’entame un pistonnage rapide.

-Oui Dorian, encule moi… Oh quelle queue ! Je vais jouir… Ne t’arrête pas…

Son orgasme la prend si brutalement qu’elle se laisse tomber sur le ventre, je reste debout la pine raide, mon gland est un peu maculé.

-Excuse moi… La salle de bain est derrière toi, je vais devoir y aller mon chou. C’était merveilleux, j’en ai au moins pour deux heures, tu claques la porte en partant…

Elle s’essuie dans les toilettes, rabaisse sa jupe et part en courant sans même me donner un baiser.

Décontenancé, je n’ai même pas envie de me finir, je lave ma bite et me rhabille, avant de partir j’avale un grand verre de coca et je sors.

La contorsionniste est toujours sur son tatami, debout, un pied par terre et l’autre posé sur la caravane en grand écart.

En me voyant sortir, elle me fait signe d’approcher sans changer de position.

J’avance au bord tu tapis et je me retrouve ?’nez à nez’’ si je puis dire, avec son entrejambes écartelée dont le slip tendu à rompre, épouse la fente, je pourrais presque compter les poils tant le tissu est plaqué sur son pubis

-Je parie que tu viens de baiser cette salope de Carla… Mais tu bandes encore dis donc… Tu n’aurais pas cinq minutes à m’accorder ?

-Si…

Elle se remet sur ses deux pieds et roule son tatami qu’elle fourre sous la caravane.

-Suis moi, j’ai quelque chose à te montrer…

Nous entrons dans sa caravane, copie conforme de celle de Carla, en me prenant par la main elle m’entraîne dans sa chambre.

-J’ai vu que tu regardais ma chatte écartée, ça t’a plu ?

-Oh oui…

En me regardant dans les yeux elle enlève son slip qui cache un string, devant mon étonnement elle m’explique le pourquoi de la chose.

-Tu sais, en faisant des mouvements comme ceux que tu m’as vu faire, quelques fois l’entrejambe se décale un peu, il n’est pas question que je montre ma chatte au public ! Moi, ça ne me gênerait pas au contraire, mais je ne suis pas sure que tout le monde apprécierait ! Dis moi, si tu bandes encore c’est que tu n’as pas joui, je me trompe ?

-Non, je n’ai pas eu le temps…

-Moi, j’ai le temps… Quelle est ta position préférée ?

-Comme tu veux…

-Alors je m’agenouille sur le lit, reste debout derrière moi… Aller, déshabille toi !

Deuxième déshabillage, je ne me presse pas en observant sa réaction.

-Oh mon dieu, ce n’est pas vrai ! Mais tu es monté comme un cheval ma parole !

-Quand même pas…

-Comment le sais-tu, tu as déjà vu un cheval en érection ?

-Une fois, à la campagne…

Je ne vais pas lui dire que je viens de vois septième bander.

-Tu veux que je te suce ou tu me baises tout de suite ? Oh la vache, je ne pourrais même pas te sucer, dit elle en prenant ma pine à pleine main, ses doigts ne se joignent pas…

Sa chatte n’a rien à voir avec celle de Carla, les lèvres sont serrées son clitoris n’est pas visible.

Je crache dans ma main pour humecter mon gland puis je le pose au milieu de la fente et je pousse doucement, les lèvres s’écartent, mon gland pénètre un peu.

-Vas y pousse, baise moi…

Je pousse doucement, ma queue entre sans problème puis je fais quelques mouvements en m’enfonçant de plus en plus loin.

-Ouah, quelle pine ! Je la sens jusque dans mon utérus… Bourre moi et fais moi jouir…

En la cramponnant aux hanches je la baise vite et fort, sa chatte serrée me provoque de bonnes sensations.

-Je vais jouir ne t’arrête pas…

Ce n’est pas mon intention, moi aussi j’ai envie de jouir mais avant, je pose mon pouce sur son cul et je l’enfonce.

-Oui, c’est bon, mais tu ne m’encules pas… ça, je le réserve à mon ami…

J’ai envie de passer outre, je sors ma bite pour la poser sur la rosette.

-Non ! Je t’ai dit que je ne voulais pas…

Heureusement qu’elle ne voulait pas, c’est elle qui s’est emmanchée en reculant et je me suis enfoncé jusqu’aux couilles d’un seul coup !

-Bon, puisque tu es dedans, bourre moi le cul… Je voudrais que tu jouisses en même temps que moi…

Je sentais monter mon orgasme, je ne me suis pas arrêté avant qu’elle jouisse et j’ai déchargé.

J’avais l’impression de lui pisser dans le cul tellement je déchargeais, ça n’arrêtait plus !

Je me suis retiré doucement, son cul ne se refermait pas, mon gland était net de souillures, sauf un filet de sperme que j’ai coupé d’un doigt.

Allongée sur le ventre, elle ne bougeait plus, je me suis allongé sur le dos à côté d’elle.

-Et bien mon vieux, tu fais un sacré baiseur ! Cette salope de Carla a le chic pour trouver des gens comme toi… C’est quoi ton prénom ?

-Dorian…

-Moi c’est Olga… Oh, mais tu bandes encore !

-Je n’ai joui qu’une fois…

-Ah bon, parce qu’en plus tu dois jouir plusieurs fois pour débander ?

-Oui…

-Si elle n’était pas à la réunion, je t’aurais présentée une copine… Elle est mariée mais son mari est d’accord pour qu’elle se fasse baiser devant lui…

-Olga, je ne vais pas baiser tout le personnel du cirque quand même !

-Je connais même deux ou trois hommes qui aimeraient bien s’en prendre un bon coup, de ta superbe pine ! Tu as déjà baisé un homme ?

-Non, jamais…

-Carla, tu l’as connue comment ?

-Hier en venant voir la ménagerie, j’étais avec ma cousine et nous avons vu sa répétition avec les chevaux…

-Et tu l’as dragué, comme ça ?

-Non, j’aime les chevaux, nous avons parlé et elle m’a invité à venir voir les siens…

-Donc elle t’a montré septième…

-Oui…

-Et elle l’a fait bander, je parie ?

-Heu… Non…

-Mon oeil, je connais Carla ! Rassures toi, j’y vais aussi voir septième, de temps en temps, j’aime bien voir cette grande et grosse pine qui lui claque sur le ventre, je fantasme là-dessus de puis longtemps…

-Tu l’as déjà touché ?

-Oui, une fois, mais tu sais, avec septième il faut se méfier, c’est un cheval entier et pas dressé pour ça. Ses réactions peuvent être brutales et dangereuses. Tu es attiré par ce genre de chose ?

-Oui… J’ai déjà eu une érection en voyant une saillie dans un champ…

-Dorian, il va falloir que tu partes mon ami va arriver…

-Il est jaloux ?

-Pas du tout… Mais je n’ai pas envie qu’il voie ta queue, ça le ferait mourir de honte !

-Il en à une petite ?

-Non, une belle pine dont il est très fier d’ailleurs, mais bien moins grosse que la tienne ! Habille toi et sauve toi… Dorian, tu revois Carla ?

-Nous n’avons pas eu le temps d’en parler…

-Nous repartons après demain, et demain il y a matinée…

-Alors ce sera une autre fois… Merci Olga…

-C’est à moi de te dire merci. Dorian, tu m’as démoli le cul mais j’aime ça…

Je sors de l’enceinte du cirque, le contrôleur me salue encore.

    ——————

Cinq ans ont passés ans avant que je puisse revoir Carla, les premières années, mes études m’éloignaient de chez moi, je ne pouvais pas revenir au moment où le cirque venait et rien ne prouvait qu’elle y soit encore.

Par la suite, commercial dans une société d’informatique, je ?’tournais’’ sur trois départements.

Un matin, me rendant à une rendez vous, je croise une camionnette d’un cirque qui n’était pas celui que je connaissais.

Deux hommes collaient des affiches, dans la liste des artiste, ?’Carla et sa troupe de Lipizzans’’.

Mon coeur s’est mis à battre d’un seul coup et, sans réfléchir, j’ai cherché le champ de foire où devait s’installer le cirque, mais il était vide bien sur, les affiches annonçaient sa venue dans trois semaines, pour quatre jours !

J’ai noté la date d’arrivée du cirque, pensant pouvoir faire coïncider ma tournée quitte à provoquer une rendez vous, mais je n’aurais que peu de temps à consacrer à Carla, si la chance me permettait de la voir, la seule solution étant de prendre des congés, j’ai posé la semaine.

Le jour de l’arrivée du cirque j’étais sur le champ de foire de bonne heure, les caravanes des artistes sont arrivées en milieu de matinée.

Guettant leur arrivée, j’ai vu passer un gros 4X4 avec une femme au volant, j’ai tout de suite reconnu Carla.

Je l’ai laissée se ranger puis je me suis avancé pour qu’elle me reconnaisse, mais son regard ne s’est pas arrêté sur moi, elle ne m’avait pas reconnue.

Mon physique n’était plus le même et il était normal qu’elle ne pense plus à moi.

Pendant qu’elle prenait ses bagages dans le coffre, je me suis encore approché d’elle.

-Bonjour Carla…

Elle s’est retournée d’un coup en me regardant dans les yeux.

-Bonjour monsieur… On se connaît ?

-Oh oui… Je suis Dorian…

-Dorian… Oh oui Dorian ! Que fais tu ici ?

-Je passais dans le coin, j’ai vu les affiches du cirque alors je suis venu…

-Quel plaisir de te revoir Dorian, tu as changé, en bien rassure-toi, tu es libre ?

-Oui…

-Nous ne jouons que demain, tu restes avec moi ?

-Si tu veux…

-Bien sur que je veux… Aide moi s’il te plait, je ne sais pas où est ma caravane…

Elle s’enquiert auprès des monteurs, on lui indique l’emplacement.

-Si je m’attendais à te voir… Quelle bonne surprise !

Dans sa caravane, elle pose tout son barda dans un coin et s’assoie.

-Je suis crevée, cette journée de repos me fera du bien. Sers nous à boire s’il te plait… Il y à de la bière dans le frigo… Tu es magnifique Dorian, quelle musculature ! Tu fais du sport ?

-Un peu de gonflette en salle, mais rien de plus…

-Avant tout, je voudrais aller voir mes chevaux, tu m’accompagnes ?

-Bien sur… Septième est toujours aussi fringant ?

-Plus que jamais, tu verras…

La visite ne s’éternise pas, les hommes de piste s’affairent dans les remorques et sous les tentes, tout est en ordre, de retour à la caravane, Carla se met à l’aise.

-Je me change mon chou, je serais plus à l’aise…

Elle se déshabille devant moi et fouille dans un sac pour prendre un kimono court.

-Voilà… Ne me regarde pas comme ça, on dirait que tu ne m’as jamais vue…

-Il y à plus de cinq ans Carla…

-C’est vrai, comme le temps passe ! Tu trouves que j’ai changée ?

-Non, à part la couleur de tes cheveux…

-Tu aimes ?

-Oui, ça te donne un genre…

-Toi aussi tu trouves… Décidément… Olga me dit que ça fait pute !

-Olga est là aussi ?

-Elle arrivera plus tard, son mec s’est blessé, pas grave mais c’est chiant… Au fait, comment connais-tu Olga ?

-Vous étiez voisine, tu ne te souviens pas ?

-Si mais… Dorian, tu as baisée Olga ?

-Oui… Elle m’a accrochée quand je suis sorti de ta caravane, tu venais de lui dire ce que nous avions fait…

-La salope, celle là il ne faut rien lui dire ! Son mec n’était pas là ?

-Non, il était à la réunion…

-Ah oui, je me souviens, il y avait une réunion syndicale, dommage pour lui, tu aurais pu le baiser aussi…

-Ah bon ?

-Passons à autre chose. Parle moi un peu de toi, tu as toujours envie de travailler avec les chevaux ?

-Oui et Non Carla, je suis dans l’informatique…

-Rien à voir ! Et tes idées, tu as pu les concrétiser ?

-Quelles idées ?

-Dorian, j’ai une très bonne mémoire, et je comprends vite. Septième t’avait excité si je me souviens bien…

-Oh oui, pardon… Bien sur que j’ai toujours les mêmes idées, et j’ai réussi quelques bons plans, Internet est parfait pour ça…

-Tu as fait quoi sans indiscrétion ?

-J’ai rencontré des gens qui pensent comme nous, mais ce n’est pas facile de passer à l’acte, ils parlent plus qu’ils n’agissent. Et puis la chance m’a souri, j’ai rencontré, toujours par Internet, une femme dont le mari est directeur d’un haras, ça aide pour concrétiser…

-Et alors ?

-Je suis allé assister à plusieurs saillies, ça je connais. Ce sont les gens qui assistent aux saillies qui m’intéressaient. Certains m’ont permis de passer à l’acte. La femme du directeur du haras est zoo pure et dure, elle connaît beaucoup de monde dans ce milieu, je l’ai suivie…

-Et alors ?

-J’ai pu concrétiser plusieurs fois…

-Qu’entends tu par ?’concrétiser’’ ?

-D’abord, je voulais toucher, mais ça c’est facile, puis j’ai sucé plusieurs fois, mais je voulais aller plus loin…

-Dorian, tu t’es fait prendre ?

-Oui Carla… J’ai essayé de me faire prendre par un petit cheval très bien dressé, malheureusement, la première fois ça n’a pas marché, je n’étais pas assez préparé…

-Petit cheval, mais grosse pine quand même Dorian, tu aurais dû te douter, puisque tu avais vu des saillies, qu’un cheval s’enfonce direct !

-Je savais tout ça, mais j’avais tellement envie ce jour là que j’étais persuadé que ça se passerait bien…

-Qu’est ce qui n’a pas marché ?

-Moi Carla, mon cul n’était pas assez dilaté et j’ai eu très mal…

-Tu pensais pouvoir te faire enculer comme ça, sans préparation ?

-La veille, j’avais vu un type se faire prendre avec tant de facilité…

-Par le même cheval ?

-Oui… Carla, la femme du haras me disait qu’il y avait plus d’hommes que de femmes qui venait se faire prendre par le cheval…

-Cela ne m’étonne pas, et alors, tu as recommencé ?

-Oui, et la deuxième fois, j’étais sur de mon coup. Je m’étais bien préparé et bien lubrifié, c’est passé comme une lettre à la poste !

-Il t’a joui dans le cul ?

-Oui Carla…

-Mon dieu quel bonheur ! J’en ai envie tu sais. Dis moi, qu’est ce qu’on ressent en se faisant prendre par une pine de cette taille ?

-Tu ne l’as jamais fait ?

-Si, mais il y à longtemps et, comme pour toi, ça s’est mal passé, je n’étais pas assez préparée non plus mais moi, je n’ai jamais recommencé. Les gens chez qui tu vas, habitent loin ?

-Basse Normandie. J’en connais d’autre plus près de chez moi, mais leur pottock est vieux et ne bande presque plus. Ils ont un jeune en cours de dressage, je crois qu’il sera meilleur que l’autre…

-Tu l’as testé ?

-Je l’ai fait bander, il est encore un peu fougueux mais il se calme dès qu’on le touche, on peut même le sucer…

-Je vais te donner mon numéro de portable, nous devons absolument rester en relation. Nous arrêtons de tourner dans un mois et demie pour trois mois. Mon numéro est au point, je n’ai que de l’entretient à faire avec mes juments, deux fois par semaine suffisent. Dorian, j’ai réussi à toucher septième, j’ai voulu le sucer, mais il m’a pissé sur la figure !

-Carla, il n’est pas dressé pour ça, tu risques gros…

-Je sais… Un chien, ça t’intéresse ?

-Pour voir ?

-Oui… Nous avons une troupe de lilliputiens, quatre couples et une femme célibataire. Elle baise avec son labrador, tu verrais ça, une merveille !

-Les autres le savent ?

-Non, je crois qu’il n’y à que moi qui le sache…

-Tu l’as vue faire ?

-Un soir, elle est venue dans ma caravane avec son chien. Elle fait partie de mon spectacle sur une jument, nous devions élaborer de nouvelles figures. Le chien n’arrêtait pas de lui lécher les cuisses, elle était en jupe et le laissait faire, tu penses bien que j’ai sautée sur l’occasion. Moi aussi j’étais en jupe, je suis allé pisser sans m’essuyer, le chien l’a senti et il est venu me lécher la chatte sous la table. Après du devines la suite !

-Elle fait quelle taille cette naine ?

-Dorian, ce n’est pas une naine, les nains sont souvent difformes elle est superbe, petite, un mètre vingt deux, mais un corps de rêve, c’est la plus belle de la troupe. Agenouillée, le chien lui passe juste au dessus. Je me suis faite enculer Dorian et il est resté lié. Je ne me suis pas ennuyée, elle m’a bouffé la chatte tout le temps !

-Elle aussi se fait enculer ?

-Je ne sais pas si elle pourrait te supporter, mais elle aime ça !

-Elle ne baise pas avec ses congénères ?

-Pas que je sache. De toute façon, ils sont tous mariés…

-Et avec le chien ?

-Elle ne reste liée que quand il la prend dans la chatte, dans le cul elle ne le supporte pas… Tu aimerais la voir faire ?

-Bien sur…

-Ce soir cela ne sera pas possible, c’est dommage, mais demain après le spectacle…

-Pourquoi pas ce soir ?

-C’est l’anniversaire de mariage d’un couple, ils font une petite fête entre eux puisque nous ne travaillons pas. Au fait, tu peux rester avec moi ce soir ?

-Oui…

-Dorian, j’ai souvent pensée à toi, tu sais. Nous nous sommes quittés sans même nous dire au revoir…

-Carla, tu n’es jamais sortie de ma mémoire…

-C’est vrai que tu étais presque puceau. Et avec les femmes, comment ça se passe ?

-Très bien…

-Tu as une petite amie ?

-Oui… Nous ne vivons pas ensemble pour le moment, mais cela va se faire…

-Une fille qui pense comme toi ?

-Oui…

-?a ne doit pas être facile à trouver !

-Disons que le hasard fait bien les choses. J’avais des contacts par Internet avec ses parents, des gens qui aimeraient pratiquer mais qui ne le font pas, qui sont prêts mais ne savent pas comment passer à l’acte etc., tu vois le genre ! C’est le lot de presque tous les gens avec lesquels j’ai eu des contacts. Nous ne nous étions jamais rencontrés, c’est la femme qui poussait au rendez vous, d’ailleurs je la sentais bien plus ?’avancée’’ que son mari. Nous convenons d’une heure et d’un lieu, que je confirme le matin du rendez vous…

-Je vois le topo il ne sont pas venus !

-Si mais pas seuls, avec leur fille ! Je ne comprenais plus rien, nous nous étions mis d’accord sur un endroit où nous pourrions parler sans être dérangés car ils avaient beaucoup de questions à me poser. ?videment nous n’avons parlé de rien de ce qui était prévu, par contre, la fille ne s’est pas gênée pour me faire un peu de rentre dedans…

-Quel âge la fille ?

-23, comme moi… Belle nana et pas bégueule, documentaliste à la Fac. Plus intéressé par elle que par ses parents, je lui glisse discrètement ma carte de visite et nous prenons congé. Il était 19 heures 30, elle m’a passé un coup de fil à 20 heures ! Nous avons soupé au restaurant, ça a tout de suite collé nous deux, je la sentais ?’sexe’’, et comme j’étais sevré ça tombait bien !

-Tu dis qu’elle pense comme toi…

-C’est le plus drôle de l’histoire. Elle est attirée par la Zoo et ses parents aussi mais ils ne le savent ni les uns ni les autres, n’en ayant jamais parlés ensemble bien sur !

-Alors ça c’est hilarant ! Elle savait pourquoi tu rencontrais ses parents ?

-Non, ils avaient monté un bateau, crédible d’ailleurs. En venant au rendez vous, ils se sont rencontrés tout à fait par hasard dans la rue et ils n’ont pu faire autrement que de venir avec elle…

-Avec ses parents, tu en avais parlé, mais avec elle comment c’est venu ?

-Après le repas, nous sommes allé chez moi. Une furie m’est tombée dessus, elle ne m’a même pas laissée le temps de mettre une capote ! Une fois calmée, nous avons parlé, de tout d’abord puis de sexe bien sur. Je posais des questions, elle répondait sans détour, j’ai vite compris qu’elle était très ?’ouverte’’ sexuellement parlant, ayant même eue des aventures avec des filles aussi. L’été dernier, j’ai fait quelques photos sur une plage naturiste avec un couple d’amis…

-J’aimerais aller à la mer Dorian, je n’y vais jamais…

-?a peut s’arranger, mais il faudrait que tu soies libre trois ou quatre jours…

-C’est ça mon problème, il y à mes chevaux…

-Tu n’as pas quelqu’un qui peut s’en occuper ?

-Si, mais pas les faire travailler. Un cheval dressé doit travailler presque tous les jours sinon, au bout d’une semaine il a déjà oublié les ordres et il faut tout reprendre à zéro !

-Je comprends…

-Alors ces photos ?

-Je lui montrais les photos avec une idée précise, le couple d’amis ayant un chien, un Danois magnifique qui les suit partout, et en plus il adore l’eau. Nous n’avons rien fait avec lui sur la plage, rien de visible en tout cas. Il était allongé à l’ombre du parasol, sa maîtresse le caressait et il s’est mis à bander. Je ne sais pas si tu as déjà vu la pine d’un danois en érection, c’est assez spectaculaire !

-J’ai eu cette occasion, mais je n’ai jamais pu le toucher…

-Allongée sur sa serviette, la tête près du sexe en érection, elle le suçait sans que personne d’autre que nous puisse la voir faire, j’ai pris trois photos en gros plan dont une sur laquelle le sexe du chien disparaît dans sa bouche. J’attendais sa réaction, je n’ai pas été déçu !

-Elle t’a encore sautée dessus ?

-Non… Elle est passée par toutes les couleurs de l’arc en ciel, sa poitrine se soulevait rapidement et elle s’est mise à bégayer. Je lui ai demandé si c’était de voir le chien en érection qui la mettait dans cet état, elle m’a répondu en clignant des yeux, j’avais compris. J’ai attendu qu’elle reprenne un peu de sérénité, et je lui ai montré une petite vidéo d’un peu plus de deux minutes faite juste après les photos, elle s’est effondrée !

-Dorian, ce que je trouve bizarre, c’est que des gens attirés par la Zoo, n’aient pas de chien…

-Clara, je n’ai pas de chien non plus. Je leur avais posé la question avant de les rencontrer, tu vas rire, ils m’ont donné comme excuse qu’ils avaient une fille et qu’elle pourrait peut être voir ?’des choses’’ si le chien se tenait mal…

-Tu as raison, c’est très drôle ! Le manque de communication dans les familles peut engendrer des situations cocasses ! Et alors, sa réaction ?

-Comme j’avais compris, j’ai abondé dans son sens en la faisant parler, et elle m’a racontée toute l’histoire, tu parlais d’un manque de communication, c’est le cas avec ses parents, ?’soldeurs’’, ils font les foires et marchés. Durant son adolescence, la fille passait ses vacances chez sa tante, la soeur de sa mère qui possédait un chien ?’très câlin’’ m’a-t-elle dit, tellement câlin qu’un jour elle à surpris sa tante en train de se faire brouter le minou par le chien. ?a l’avait intriguée et elle s’est mise à épier sa tante jusqu’à ce qu’elle la surprenne se faisant prendre par le berger allemand. Tout est parti de là, la fille s’est laissée lécher par le chien, tant et si bien qu’elle ne prenait plus de précautions et la tante lui est tombée dessus, en plein orgasme ! La tante s’est mise en colère, et la nièce l’a vite calmée en lui disant l’avoir vue se faire baiser par le chien. Elles se sont réconciliées et la tante a initiée sa nièce, elles se faisaient baiser en alternance par le chien…

-Dorian, c’est la soeur de sa mère…

-Tu as tout compris. La tante est la plus vieille des deux soeurs, elle aussi avait été initiée durant son adolescence, par une voisine. Partie de chez ses parents, elle s’est achetée un chien qu’elle a dressé bien comme il faut, le problème c’est que le chien se comportait avec toutes les femmes comme avec sa maîtresse, toujours en train de fourrer son museau sous les jupes ! Il est arrivé ce qui devait arriver, la petite soeur venant rendre visite à la grande s’est retrouvée avec la truffe du chien entre les cuisses…

-Donc elle savait que sa mère avait déjà eue des contacts avec un chien…

-Bien sur, mais la mère ne sait toujours pas que sa soeur a vendue la mèche…

-Tu me parles des femmes, mais le père dans tout ça, il fait quoi ?

-Voyeur et peut être participant suivant affinité. Je n’ai, avec eux, que des contacts épisodiques, ils ne savent toujours pas ce qu’ils veulent, n’ont toujours rien fait et à mon avis, ne ferons jamais rien, c’est ce que j’appelle du ?’branlage de cerveau’’ ! Mais si ça les excite d’en parler et que ça fouette leur libido, pourquoi pas !

-Tu vas vivre avec la fille alors ?

-Elle va s’installer chez moi à la rentée…

-Vous aurez un chien ?

-Non Clara, je ne crois pas, ça deviendrait trop systématique…

-Tu sais que je n’ai que très peu pratiqué en fin de compte, et pourtant…

-Clara, c’est la situation qui est ?’bandante’’, peut être plus que l’acte par lui-m&ecirc

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