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Le défi – Chapitre 1

Le défi - Chapitre 1



Bonjour, je m’appelle Quentin et je vis dans la famille la plus sexuellement dépravée. Laissez moi vous la présenter.

Il y a d’abord mon père, Pierre, 45 ans, il est-ce qu’on peut appeler un homme, un vrai. Il travaille en tant que chef de chantier. Il n’est pas gros, mais plutôt massif. Assez grand, environ 1m85, cheveux courts noirs. Et il est au grand dam de ma mère, un misogyne invétéré.

Puis, il y a ma mère, 40 ans, une superbe brune qui ferait bander n’importe quel homme normalement construit. Elle est plus petite que moi. Ce qui me donne un super avantage lorsque celle-ci met des décolletés très ouverts. J’adore ses seins ! Ils sont plutôt gros, mais pas trop. Disons d’une taille où la branlette espagnole ne pose aucun problème.

S’en vient ma sur, Marie, brune elle aussi, âgée de 2 ans de moins que moi. Elle a beau avoir 20 ans, on dirait qu’elle en a encore 14 dans sa tête. Elle sort en boîte chaque week-end, se rebelle contre mes parents, et par-dessus, et c’est-ce qui me fait adorer sa personnalité juvénile : elle s’habille comme (pardonnez moi l’expression) la dernière des putes. Cela ne m’étonnerait pas qu’elle se fasse baiser chaque semaine par un type différent. D’ailleurs, si j’en avais l’occasion, je serais ce type chaque week-end.

L’inceste n’est pas vraiment un tabou pour moi. Car il est clair que chez l’humain, de nos jours, le sexe n’est plus seulement un comportement de reproduction. C’est avant tout un comportement afin de donner et de recevoir du plaisir. Alors pourquoi ne pas avoir du plaisir avec un membre de sa famille ? Et c’est là que je suis le plus heureux des hommes : ma famille a exactement le même avis que moi sur la question !

Mais il faut que je vous explique d’abord comment tout cela a commencé.

Un dimanche soir, il devait être 23h, je pouvais entendre mes parents en train de faire l’amour. Il faut dire que je les entends souvent et depuis longtemps. Ca ne me déplait pas, au contraire ! J’imagine les sublimes courbes de ma mère, le mouvement de ses hanches sur mon sexe ou encore ses fesses bien rondes qui rebondissent tout en se frottant sur mes testicules. Je dois avouer que je me masturbe régulièrement en pensant à elle.

Je n’entendais que des cris et ne voyais absolument rien de la scène, mais j’appris plus tard ce qui se passait dans la chambre de mes parents.

Mon père était en train de prendre maman par derrière, en levrette. Ses couilles frappaient à chaque mouvement contre la peau douce de maman, qui elle n’en pouvait plus. Elle devait sûrement penser que les murs étaient épais, c’est sans doute pourquoi elle se laissait aller et crier vivement. Mon père prit un des mamelons de ma mère et le titilla tout en continuant ses mouvements. Puis il se sentit venir, il s’allongea et ma mère prit le relais : elle le masturba frénétiquement, en passant des coups de langue sur son gland.

— Oh oui, exactement comme ça. Ah ! Ca y est je jouis !

Les contractions de l’anus de mon père, ainsi que de son muscle PC étaient puissantes. Cela eut pour effet d’envoyer vite et fort plusieurs jets de sperme très épais et bien blanc en plein dans le visage de maman. Elle se léchait les babines et suça mon père comme pour le vider jusqu’à la dernière goutte. Le drap était rempli de gouttelettes que ce soit de sperme, de salive ou de cyprine. Ils avaient encore une fois bien baisé comme des bêtes. Ma mère se blottit contre mon père, ils regardèrent tous les deux au plafond, profitant de ce moment d’intense orgasme.

— Tu as aimé ? Demanda ma mère, même si il était évident que la question était pure rhétorique.

— Et comment ! Tu es vraiment une formidable baiseuse.

Ma mère répondit en lui souriant.

— Et tu sais ce que j’aime surtout chez toi, continua mon père, c’est ton affection pour le sperme. Tu pourrais en boire des litres.

— C’est vrai, je te l’accorde Le fait de savoir que je tiens en bouche la jouissance de mon homme me rend dingue. J’aime tant que tu me remplisses de partout et tu le sais.

— Oh oui, je le sais très bien.

Il y eut un blanc puis ma mère enchaîna :

— Mais

— Oui ?

— J’ai envie de pimenter la chose.

— C’est-à-dire ? Demanda mon père, légèrement surpris, car il avait essayé avec ma mère à peu près tout ce qu’il était possible d’essayer.

— Ne le prends pas mal, mais j’aimerais essayé avec Quentin.

— Quoi ? Il t’attire ?

— Oui Dit-elle gênée, il faut avouer que c’est un apollon et s’il est aussi bien membré que tu l’es, ça doit être un de ces pieds !

Mon père ne répondit rien, il avait l’air de réfléchir.

— Tu es fâché ?

— Non mais puisque c’est l’heure des révélations, moi je suis fort attiré par notre fille

— Je vois. Qu’est-ce qui t’attire chez elle ?

— Ne sois pas choquée non plus, mais ça a l’air d’être une réelle salope. Quand je la vois le matin habillée pour aller en cours en minijupe ou minishort serré le tout avec sa poitrine qui ressort de son t-shirt, je peux pas m’empêcher de bander. La garce a déjà frotté son cul contre moi ! Il y a deux semaines, prétextant qu’elle voulait passer. D’ailleurs c’est le jour où je t’ai baisé comme jamais tellement j’étais excité.

— Oh oui, c’était mémorable ! J’avais jamais autant joui Alors tu imagines notre excitation si nos enfants nous rejoignaient ?

— Tu as raison Ca doit être le pied total. La jouissance au maximum. Là tu aurais ta bonne dose de foutre !

— Hmmm, m’en parle pas. Dit maman en se mordant les lèvres. Tu sais quoi ? Je nous lance un défi !

— Comment ça ?

— Le défi est d’arriver à coucher avec notre progéniture d’ici la fin de cette semaine. T’es partant ?

— Je relève le défi !

Le lendemain, ma sur était partie en cours, mon père au travail et je me retrouvais donc seul avec maman, puisque je n’avais pas cours. Je n’avais aucune idée de ce qui allait se passer. D’ailleurs, la nuit précédente, je m’étais encore une fois masturbé. J’avais tellement éjaculé que le mouchoir n’avait pas suffit et il y en eut plein le lit.

Ma mère, étant mère au foyer, avait pour habitude de changer les draps des lits tous les lundis, vit les traces conséquentes de sperme séché. Elle l’approcha de son nez, huma le drap et touche la tache du bout de la langue, elle eut un sourire aux lèvres et m’appela :

— Quentin ! Tu peux venir, s’il te plait !

Je m’approchais donc sans le moindre soupçon.

— Oui ?

— Tu peux m’expliquer qu’est-ce que c’est que ça ?

Lorsqu’elle montra mon drap souillé de ma semence, je rougis comme un gamin de 15 ans qui venait de se faire surprendre.

— Euh Bredouillais-je.

— Alors ?

— C’est mon sperme

— Ca j’ai vu ! T’es obligé de salir tes draps quand tu fais ça ?

Ma mère était une excellente comédienne. Chaque réplique était préparée, elle avait l’air vraiment en colère.

— Je n’ai pas fais exprès ! D’habitude, je Je ne fini pas ma phrase, je ne voulais pas vraiment détailler mes activités nocturnes.

— Et je peux savoir à qui tu penses pour salir autant ?

Je ne répondis rien. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux.

— Alors ? Quentin, je t’ai posé une question. Insista-t-elle

— A toi !

J’avais lâché ça comme ça, si c’était pour m’engueuler autant le faire jusqu’au bout. Ma mère prit un air surpris :

— Co Comment ça ?

— T’as bien compris ! C’est à toi que je pense quand je me branle, maman !

Je me foutais de l’impact de mes propos. Je m’attendais à recevoir une baffe magistrale et une belle série de galère, mais il n’en fut rien.

— Pourquoi moi ?

— Mais regarde toi, maman ! Tu es magnifique ! Tu es la femme parfaite, ça me tue de t’avoir pour mère ! Tous mes potes se branlent en pensant à toi, moi aussi j’ai envie de toi !

Ma mère était surprise, mais cette fois, elle ne jouait pas la comédie. En réalité, son plan était de me punir en me faisant jouir par elle-même, tout en faisant semblant d’être fâchée. Mais elle ne s’attendait pas à ce que mon désir pour elle soit si grand. Elle s’approcha tout doucement de moi. Bizarrement, mon cur accéléra.

— Alors comme ça j’te fais de l’effet ?

Je ne murmurai qu’un petit oui timide.

— Est-ce que c’est plutôt mon cul qui t’intéresse ?

Tout en parlant ma mère s’était retourné, s’était penché et commençait à frotter ses fesses sur moi au niveau de mon engin. Puis elle se redressa et me fixa dans les yeux.

— Ou peut être mes seins ?

Elle prit alors mes mains et les posa dessus que je puisse les palper. Un début d’érection se fit sentir.

— Hum, continua-t-elle d’un ton très coquin, ce n’est pas encore ça apparemment, peut-être alors que c’est mes lèvres pulpeuses que tu imagines s’enrouler autour de ta bite ?

Elle s’approcha et m’embrassa, je pouvais sentir sa langue s’enrouler autour de la sienne. Je ne comprenais rien à ce qui se passait, mais je savais une chose : c’est que je ne voulais pas que ça s’arrête maintenant. Je bandais haut et fort. Le baiser dura quelques secondes, ma mère retira sa langue de ma bouche mais son visage restait à quelques centimètres du mien. Son sourire de salope en disait gros sur les évènements à venir. Elle passa une main dans mon pantalon. Je sentais ses doigts s’enrouler sur ma verge et la serrer de plus en plus fort.

— Si tu la serres comme ça, je vais Aaaah !

Il était trop tard, l’excitation était trop forte, j’avais éjaculé dans la main de maman. Elle retira sa main, et toujours en me fixant dans les yeux, elle lécha les quelques gouttes de sperme que j’avais joui. Quand sa main fut propre elle me dit :

— Vu la quantité que tu as éjaculé dans tes draps, je suppose qu’il y en a encore plein là-dedans. Dit-elle tout dirigeant le doigt vers mes couilles.

Et elle avait raison. Elles étaient encore bien remplies. Ma mère baissa mon pantalon, puis mon caleçon, laissant apparaître mon chibre bandé. Elle caressa mon pénis de ses mains douces, son pouce en particulier frottait contre mon gland. Elle soupesa mes testicules.

— Rolala, c’est mieux que ton père. Mais ne lui dis pas, il serait jaloux !

Je ne savais pas quoi répondre, mon excitation avait prit le dessus sur ma raison. Puis maman se mit à genoux et sa tête se retrouva vite au niveau de mon sexe. Elle approcha son nez et le sentit. L’odeur du sperme que j’avais éjaculé précédemment l’excitait terriblement. Elle déposa un baiser sur mon gland, juste à l’entrée de mon urètre, puis à la base de celui-ci et enfin sur mes testicules.

A suivre…

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