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Le divorce – Chapitre 3

Le divorce - Chapitre 3



En une minute je me retrouvais entièrement nu, à deux mètres de lui, debout, figé, ne bougeant plus, ne regardant que le niveau de son sexe pour ne pas croiser son regard. Là il mobservait en poussant un petit "humm" alors il est resté à sa place, debout dans lentrée, il a défait sa braguette, ôté les boutons du jean et sorti sa queue, pour commencer à se lastiquer, elle était déjà dure.

Ce fut un choc, sa queue était énorme, il mavait promis vingt et un cm et il les avait, pour une épaisseur de cinq cm à peu prés, bref, javais les yeux grands ouverts, la bouche bée pour mieux respirer, le voir juste se masturber. Je ne disais rien, au bout de quelques secondes une deuxième phrase vint percer le silence : "ben viens ici la sucer tu verras cest bon !"

Je me suis vite approché, je me suis mis à genoux, ma main gauche sur sa cuisse, je lai vite pris dans la bouche en fermant les yeux, je lai entendu "oh" et jai commencé à men occuper. Je faisais des efforts pour faire bien, jessayais daspirer en même temps que je remontais et redescendais doucement, tournant la tète a droite ou a gauche, frottant ma langue en même temps autour du gland, jétais a lui. Puis il ma repoussé la tète, je restais à genoux, devant lui la bouche ouverte à reprendre ma respiration, il se mit à bouger dans la salle "suis-moi !", je le rejoins a genoux, tandis quil sinstalle confortablement dans un fauteuil, arrivé à son niveau je me repenche pour reprendre sa queue dans ma bouche il met sa main sur ma tête pour maccompagner et je reprends ma fellation, je le gobe, laspire, le masturbe.

Il me repousse dun coup sec, je me retrouve là, à genoux devant lui, nu.

Je ne bouge plus, il semble récupérer, attendre de redescendre un peu, il me parle à nouveau "oh tu suces bien salope, si ta mère te voyait " , "tournes toi que je te l’enfile !" mon cur sest mis à saccélérer, je me suis relevé, je me suis retourné, je me suis mis à plat ventre sur le bureau devant lui. Mes mains tenaient le rebord opposé du bureau, comme pour maccrocher au bord dun précipice, mes pieds au sol, jambes écartées, mon cul bien offert, face à lui, plus haut que le reste de mon corps, je savais quil me regardait, je savais ce quil tenait dans les mains et je nen pouvais plus, je nétais rien dautre que "sa chose". Jattendais fébrilement que ça commence.

Je lai entendu faire du bruit derrière moi, un petit coup dil et je lai vu enfiler le préservatif, il me dominait, il avait mon cul à sa disposition. Jétais rabaissé et je voyais son membre énorme, je retournais la tête pour ne pas le regarder , jai senti ses deux mains de chaque coté de mes hanches, il me claqua un peu les fesses, je sursautais, il passait ses mains sur mon cul. Je respirais fort, il mouilla un de ses doigt et commença à me caresser la rondelle, je bougeais de plus en plus, il mavait rentré un doigt, il bougeait à lintérieur, je le sentais, je bougeais en suivant ses mouvement. Il retira son doigt, me reprit les fesses, plaça ses jambes entre les miennes, mécarta les cuisses en mappuyant sur le bas du dos, jétais complètement plaqué contre la table, le cul relevé, saillant, bien offert.

Jai senti son sexe contre ma rondelle, je me suis raidi tellement jai été surpris, mais rien !, il sest arrêté au bord, je le sentais là, le gland positionné, juste une toute petite pression, suffisante pour que je la sente mais insuffisante pour quil la rentre. Je relevais la tête, respirais plus fort encore, je le sentais là, prêt à partir, mais rien ne se passait, juste cette petite pression constante que je sentais. Comme je respirais fort mon cul faisait dinfimes mouvements, cela avait pour effet de faire varier la pression de son gland sur mon anus, ce qui me faisait respirer plus fort encore, me faisant bouger plus fort. Sans que je men rende compte jétais en train de mouvrir moi même sur son gland, apeuré, attendant avec inquiétude le moment fatidique.

Il avait une technique absolument incroyable, une petite pression, il se recule dun cm, une seconde pression , il se recule à nouveau, une 3e pression je nen pouvais plus, chaque pression me faisait mécarter un peu plus, chaque pression me détendait un peu plus lanus, à chaque fois javais peur quil ne rentre et je me contractais un peu … mais non, il ne rentrait pas … je commençais à me détendre, jétais de plus en plus souple, de plus en plus détendu, je commençais à ne plus penser à la pénétration. Juste le plaisir de ce bélier, qui faisait mine de vouloir rentrer mais qui se retirait dés quil commençait à mécarter. Je nen pouvais plus, je me laissais aller, ses mouvements étaient plus rapide, mon anus navait pas le temps de se resserrer que la pression suivante arrivait. Jusquau moment ou par surprise ! Sans my attendre, il ne sest pas reculé mais en me cramponnant les fesses, il a poursuivi la pression jusqua ce que mon anus à moitié ramolli ne sécarte en épousant la forme de son gland. Il est rentré tout seul, sans douleur, sans déchirement, il avançait doucement, dans un mouvement continu, sans sarrêter, je sentais chaque centimètre de sa queue me parcourir. Je sentais mon ventre se remplir, je me cramponnais à la table, je laissais partir mon cul en arrière, jusquau moment de la douleur, je lai senti buter , freiner, je me retrouvais entièrement, rempli, écarté.

Il semblait apprécier oh , Tu la sens maintenant ?" je nen pouvais plus, il commençait déjà à reculer doucement, pour se renfoncer un peu plus loin ensuite, lanus détendu, je lai senti buter au fond, marrachant un cri de douleur "Aïe !. Il recula à nouveau, se renfonça un peu plus loin, il recommença plus vite, plus vite encore, plus loin, au bout de deux minutes je me faisais labourer le ventre sans ménagement "Paf ! Paf ! Paf ! », Il tapait fort, marrachant un cri de douleur à chaque fois mais le plaisir était plus grand encore.

Il se retira sans ménagement et sans me prévenir "Aïe !", je me retrouve le cul ouvert, éclaté, mais je ne bougeais pas de ma position, javais vraiment du mal à reprendre ma respiration, il approcha une chaise a ma droite, une autre à ma gauche, me prit chaque jambes pour me positionner les genoux sur les chaises. Toujours à plat contre la table, toujours cramponné, javais maintenant les genoux sur deux chaises, le cul plus cambré encore, plus haut, plus offert, plus écarté. Il me reprit sans avertissement, rentrant dun coup brutal jusquau fond, jusquà ce que mon cul se retrouve écrasé contre son ses poils, je hurlais, je mabandonnais. Il allait tellement vite, si fort, je sentais mes intestins se liquéfier, je ne la sentais plus passer maintenant tellement javais lanus limé, je sentais uniquement les coups au fond.

Il accéléra encore, plus vite, plus fort, il râlait cette fois ci je hurlais en continuellement, avec des variations en fonctions des coups de butoir que je recevais « Aïe ! Aïe !. Et ce, jusquà ce quil se mette à hurler en me plaquant une dernière fois au maximum contre lui, il explosa dans le préservatif, au fond de mon ventre je criais en même temps tellement je sentais ce gland énorme, plaqué au fond de mon ventre, me faisant mal, il avait des mouvements saccadés, me tirant à nouveau des cris….

Il resta là quelques secondes, à récupérer, alors que moi javais toujours mal. Sa queue restait plaquée au fond, je râlais toujours, il prit ma bitte dans sa main, et en maintenant la pression sur mon cul, se mit à mastiquer très rapidement, jexplosais en moins de dix secondes, par saccades, avec un cri à chaque fois. Chaque saccade me faisant faire un sursaut, chaque sursaut me faisait sentir son sexe au fond de moi avec douleur, chaque douleur me faisait crier et exploser un nouveau jet, nouveau jet qui me faisait bouger sur sa queue. Et ce jusquà ce que je nen puisse plus et que je me torde pour quil retire sa main de ma tige et son sexe de mon cul.

Il se retira doucement et se positionna derrière moi, je restais plaqué sur la table, gémissant encore, les mains relâchées, parcouru de sursauts et de spasmes, ma queue pendante entre mes jambes écartées, des gouttes de sperme sen échappant encore. Mon derrière encore offert, laissait paraître le trou béant de mon anus complètement dilaté, je narrivais pas à récupérer, je lai vu retirer la capote, me la jeter dessus, pleine de liquide chaud. Elle pendait là, sur mon dos, je lai vu sessuyer avec du papier, et shabiller, après une minute comme ça, jétais toujours allongé, reprenant mon souffle, " je te remercie, cétait bien". Cest notre secret, je ne dirais rien à ta mère, et il maccompagna à l’entrée, il a ouvert la porte, il ma dit "à bientôt chéri et je suis vite rentré chez moi.

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