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Le donjon de Natacha, – Chapitre 1

Le donjon de Natacha, - Chapitre 1



Le donjon de Natacha,

Achevant de me maquiller, je choisis ma plus belle lingerie pour passer le week-end avec Natacha.

C’est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

Au téléphone, je l’ai trouvée si proche de mes attentes que j’ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j’agrafe ma guêpière et enfile mes bas à couture en les accrochant à mes quatre paires de jarretelles.

A chacun de mes pas, je ressens l’exquise tension de mes bas sur mes cuisses gaînées de nylon.

Puis, je garnis mes bonnets 105 D de somptueuses prothèses en silicone avant de remonter sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Pour compléter mon savant maquillage, je me coiffe d’ une perruque blonde coupée au carré.

Enfin, je me glisse dans une ravissante robe en dentelle blanche qui me fait craquer.

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être « enfoncée » d’ici ce soir.

Je fais quelques pas en talons aiguilles devant mon miroir en accentuant le déhanchement qu’ils provoquent.

Mes longues jambes recouvertes de mailles brillantes sont mises en valeur par ma robe ultra courte.

Je glisse mon sexe sous ma jarretière pour éviter qu’il ne se voit sous ma robe.

Enfin satisfaite de mon apparence, je quitte mon appartement à bord de ma voiture décapotable.

Roulant sur l’autoroute par une chaleur estivale, je relève mon jupon pour me mettre à l’aise en

m’offrant délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils ont une vue plongeante jusqu’à la lisière de mes bas.

Je les double lentement pour qu’ils puissent me voir le plus longtemps possible.

Ils ne manquent pas de me rendre un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m’accompagne tout au long du trajet.

Mon GPS m’arrête devant une grande villa au cur d’un parc arboré à l’entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d’entrée s’ouvre instantanément devant moi et c’est le cur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m’attend sous le porche.

D’emblée, je suis impressionnée par sa grande taille.

Son visage slave aux pommettes saillantes dégage une forte sensualité.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir noir contiennent avec peine sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j’admire son corps souple et musclé.

Natacha dégage une sensualité et une force physique qui m’attire comme un aimant.

Je m’agenouille devant elle en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses fuselées.

— Ici c’est moi qui prend l’initiative, me dit-t-elle en me plaquant brutalement au sol.

Se tenant debout, les jambes écartées au dessus de ma tête, elle savoure le plaisir de me voir à ses pieds.

Cela me laisse le temps de contempler l’impressionnant gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.

Il est massif et strié de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

Entraîné par son poids, il retombe sur ses genoux en se balançant lourdement devant mes yeux.

Natacha ne porte pas de string et la sangle très ajustée du harnais disparaît complètement dans sa chatte.

Cette vision à la fois phallique et féminine me fait fondre de désir.

Je suis excitée mais aussi inquiète à l’idée d’être prise par un tel calibre.

Semblant lire dans mes pensées, elle me dit d’une voix moqueuse:

— Sois patiente, tu ne perds rien pour attendre…

Sans perdre un instant, elle m’entraîne dans son Donjon.

Nous descendons un large escalier s’ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est en tomettes de couleur ocre.

Mon regard s’attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit équipé de menottes aux barreaux, une table médicale, un cheval d’arçon, une cage métallique pour les suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement…

Au mur sont fixés des barres d’écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

De nombreux pals sur lesquels sont emmanchés des godes de différentes tailles se dressent menaçants dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement des plugs anaux et urétraux de tous calibres.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Natacha s’approche de moi.

Ses mains glissent de mon cou à mes cuisses, me caressent le ventre en s’attardant sur mes seins et mes hanches.

— Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

Jobéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Sa main est aussitôt attiré par le renflement évocateur de mon sexe enfoui dans ma lingerie.

Ses doigts le libèrent de la jarretière et il jaillit par la fente de ma culotte en soie.

Mon excitation s’accroît lorsqu’elle rajoute:

— Puisque tu es en forme, je vais commencer ton dressage.

— Lorsqu’il sera terminé, tu seras invitée à toutes les soirées des dominatrices de la capitale.

— Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir au couleur de mon école qui leur montrera qu’elles pourront assouvir leurs fantasmes les plus inavouables sur toi.

— Maintenant déshabille toi.

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d’une ravissante nuisette, de bas aux mailles brillantes et d’escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir pour me maquiller les yeux et les lèvres.

Une perruque blonde mi courte et un fond de teint gommant les imperfections de ma peau achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j’étais ressemble maintenant davantage à une fille de la rue Saint-Denis.

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d’ halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Elles entourent le lit alors que d’autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu’à tout moment, je pourrai me voir dans l’un de ces miroirs.

Natacha me tire de mes pensées en les montrant du doigt.

— Chaque veilleuse allumée sur le dessus indique la présence d’hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain.

— Ils sont venus assister nombreux à ton dressage.

— Lors de la séance, ils feront clignoter leurs lampes lorsqu’ils voudront t’encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mon public présumé, je prends des poses suggestives en voyant très vite quelques lumières scintiller devant mes yeux.

— Ne les faisons pas attendre plus longtemps, me dit-t-elle en m’allongeant sur la table médicale.

Puis, Natacha m’attache les mains au dessus de la tête et me fourre une culotte en satin dans la bouche avant de me bâillonner avec l’un de ses bas.

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m’attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d’une cravache, elle commence à me fouetter doucement, puis de plus en plus fort.

Devant la violence des coups, je resserre mes jambes en poussant des gémissements étouffés.

— Écarte tes cuisses, m’ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table du miroir pour offrir à mes admirateurs une vue plongeante sur mon intimité.

Pendant de longues minutes, elle s’acharne sur mon sexe avec une précision diabolique.

Mes cuisses et mon ventre sont zébrés de coups de cravache.

Un peu plus tard, elle change de registre et les caresses succèdent aux caresses.

De sa bouche aux capacités infinies, elle me suce la queue d’une manière appliquée et généreuse.

Instinctivement, je me cambre en m’offrant davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Voyant mon sexe dressé, elle saisit sur une étagère une tige creuse en acier chirurgical longue de trente centimètres qu’elle lubrifie abondamment.

D’une main ferme, elle décalotte mon gland en introduisant avec application le plug urétral dans ma verge.

Sans me quitter des yeux, Natacha tend ma queue avec ses doigts pour le faire rentrer plus facilement.

Avec beaucoup de maîtrise, elle le pousse lentement jusqu’à la racine de mon sexe.

Soudain, un jet d’urine sort de la tige creuse lui indiquant qu’elle a atteint ma vessie.

Les va et vient de la tige dans ma verge me donnent des sensations agréables.

Parfois, Natacha enfonce entièrement l’insert dans mon gland tout en posant son pouce dessus pour l’empêcher de remonter.

Puis, elle le retire en voyant le métal rejaillir spontanément devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite ce scénario.

Les veilleuses se mettent à clignoter frénétiquement pour l’encourager à continuer.

Je suis au bord de l’orgasme quand elle me plante son majeur dans l’anus.

Restant entre mes cuisses, elle profite de ma forte érection pour plaquer ma queue contre sa chatte.

Très excitée, elle frotte sa vulve le long de ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans mon sexe.

Cette scène remporte un vif succès auprès de notre public.

Lorsqu’elle me voit au bord de l’orgasme, Natacha me dit d’une voix forte.

— Je t’interdis de jouir maintenant.

Dans le même temps, une douleur fulgurante me traverse le ventre lorsque sa main m’écrase violemment les bourses.

Avec sadisme, elle m’excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J’essaye en vain de me contrôler.

— Tu ne mobéis toujours pas, rajoute-t-elle d’une voix menaçante.

Un frisson me parcourt l’échine quand sa main remonte lentement le long de mes cuisses et se referme sur mon sexe.

Les yeux fixés sur moi, elle attend que la peur envahisse mon visage pour passer à l’action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle me broie les bourses entre ses doigts en maintenant une pression insupportable.

Natacha plaque sa bouche sur mes lèvres pour étouffer mes cris de souffrance qui retentissent dans la pièce.

Je suis tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

Mon sexe a perdu toute sa vigueur et la tige métallique est presque entièrement sortie de mon gland.

Ma Maîtresse la retire en souriant.

— C’est un bon début, je suis fière de mon élève, me dit-t-elle avec satisfaction.

Elle remet de l’ordre dans ma tenue en ajustant mes jarretelles.

Puis, à l’aide d’une seringue sans aiguille, elle m’injecte un lubrifiant dans l’urètre avant de m’enfoncer un plus gros insert dans la verge.

Il s’agit du fameux sceptre princier, la référence dans ce domaine.

C’est une tige en inox torsadée de 8 mm de diamètre dont l’extrémité se termine par un capuchon du même métal destiné à recouvrir mon gland.

Elle l’engage dans mon sexe en précisant:

— Il va rentrer tout seul par son poids.

Je ne ressens aucune douleur quand le plug urétral s’enfonce profondément dans mon sexe en érection.

— Quelle magnifique brochette ! s’exclame Natacha.

— Maintenant, je vais t’aider à devenir une femme, me dit-t-elle en brandissant un couteau.

Voyant ma surprise, elle s’explique :

— Sais-tu que c’est devenu un véritable phénomène de société aux USA !

— Chaque jour d’expertes dominatrices tranchent le sexe de leurs victimes consentantes lors de séances privées.

— Comme elles, j’aide ceux qui ne veulent plus être esclaves de leur sexualité ou qui aspirent comme toi à être une femme.

— Je te promets une vie sexuelle plus exaltante.

— Étant uniquement concentrée sur le plaisir de tes partenaires, tu découvriras une forme d’excitation nouvelle à les dominer.

— Tu pourras porter avec volupté les dessous les plus transparents et sexy qui dévoileront ton éclatante féminité.

— Tu aimeras encore plus la sodomie qui deviendra ta seule source de plaisir.

– Les pénétrations anales stimuleront davantage ton point G en te faisant jouir plus intensément.

— J’espère t’avoir convaincue ma belle !

— Habituellement, je commence par masturber mon soumis pour lui donner son ultime orgasme.

— Je suis toujours très excitée à la pensée d’être la dernière à le faire jouir.

— Après l’avoir vidé de sa semence, je m’allonge sur lui tête bêche.

— Puis, je serre sa tête entre mes cuisses en recouvrant son visage avec ma nuisette pour qu’il ne voit pas ce qui va lui arriver.

— J’attends quelques minutes que sa verge devienne flasque pour pouvoir la couper plus facilement.

— Puis, je la tranche d’un coup en comprimant son bas ventre pour éviter qu’il perde trop de sang.

— Mais aujourd’hui, j’ai plutôt envie de cisailler lentement ton phallus en pleine érection.

— Comme je vais prendre mon temps, cela va te faire souffrir, rajoute-t-elle avec sadisme.

Ses yeux rivés dans les miens Natacha pose la lame à la racine de mon sexe.

J’essaye en vain de me libérer de mes liens.

Sous mon regard horrifiée, elle commence à me trancher la queue.

Étonnée de ne ressentir aucune douleur, je m’aperçois qu’elle fait semblant de m’émasculer avec le dos de la lame.

Natacha, éclate de rire en voyant mon visage décomposé.

— Cela ne sera pas pour aujourd’hui, m’assure-t-elle satisfaite de m’avoir fait une peur bleue.

Elle pose ensuite un vibro sur le cône métallique du plug qui recouvre ma queue en me disant:

— Maintenant, je t’autorise à jouir.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j’explose en recouvrant l’insert d’épaisses coulées blanchâtres.

Ma maîtresse m’ayant interdit de jouir pendant plus d’un mois, mon trop plein de sève se répand avec abondance sur mon corset et mes bas.

— Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

Natacha retire avec douceur l’impressionnante tige torsadée ruisselante de sève.

Elle la porte à ses lèvres en souriant.

— J’aime goûter le sperme de mes soumis, me dit-t-elle.

Quelques minutes plus tard, elle m’enfonce une sonde dans l’urètre qu’elle raccorde à une poche en plastique suspendue à une patère.

Un liquide transparent m’irradie la queue d’une chaleur agréable.

— C’est un puissant aphrodisiaque qui va majorer ton érection, m’assure-t-elle.

Profitant du temps disponible, elle me pose un spéculum en l’ouvrant au maximum pour me dilater l’anus.

La peur s’empare à nouveau de moi quand je la vois se pencher sur mon sexe un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge en tranchant le moindre poil.

Elle régularise les contours mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement lillet.

Sa préparation terminée, Natacha m’entraîne dans son lit.

Elle attache mes poignets aux barreaux.

— Désormais, je t’interdis de jouir, me dit-t-elle en déroulant un préservatif sur ma queue.

— Il va me servir de témoin.

— Si à la fin de nos jeux, je retrouve ton sperme à l’intérieur, je te punirai sévèrement.

Poursuivant son programme, elle m’installe un étrange cockring autour de la verge.

Il se prolonge d’une barre en inox en ayant une boule fixée à son extrémité.

Elle a un diamètre supérieur à une boule d’attelage et Natacha doit forcer mon anus pour l’enfoncer.

A peine a-t-elle réussie, qu’elle la retire brutalement en m’arrachant un cri de douleur.

— Doucement, je t’en supplie, lui dis-je en l’implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle la rentre tout aussi violemment dans ma grotte.

— Je vais maintenant te mettre à l’épreuve, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Retirant son string, elle s’assoit à califourchon sur mon ventre en me faisant face.

— Je t’interdis de jouir, rajoute-t-elle d’une voix menaçante.

Elle me masturbe d’abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle enfonce ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe en me caressant les bourses et le périnée.

J’essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s’active sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je suis totalement dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s’arrêter.

— J’espère pour toi que tu ne m’as pas désobéis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

— Je te promets de te faire passer une nuit inoubliable, m’assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

Je suis toujours allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes somptueuses prothèses en silicone.

Saisissant un coton imprégné d’un produit réfrigérant, elle me glace les tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s’estompe lentement pendant qu’elle me pose des anneaux en acier.

— Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s’enlever.

— Désormais, tu m’appartiens, me susurre t-t-elle à l’oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s’allonge sur moi et glisse une jambe entre mes cuisses en me frottant la queue contre le nylon de ses bas.

Le contact des fibres synthétiques sur mon gland décalotté me provoquent une érection spectaculaire.

– Maintenant, tu as le droit de me baiser, me dit-t-elle en s’empalant à califourchon sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu’elle roule et ondule du bassin.

Puis, elle se penche sur moi en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha me comprime les carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s’activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement dominée et livrée à ses pulsions.

La peur qui m’envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu’elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

La quasi totalité des lampes témoins clignotent pour plébisciter cette scène.

— Je vais t’achever maintenant, me dit-t-elle en s’empalant de tout son poids.

Elle se trémousse d’une manière irrésistible en me pompant la queue avec sa chatte.

Tout en me fixant intensément du regard, elle se penche sur moi en m’écrasant les carotides jusqu’à ce que je me mette à trembler.

Soudain, un orgasme puissant me submerge et de puissants jets de sperme fusent dans le ventre de ma Maîtresse.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et Natacha doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

Avec étonnement, elle regarde ma sève ruisseler sur ses cuisses.

— Tu m’as noyée, m’affirme-t-elle admirative en s’épongeant avec son foulard.

Pendant que je récupère, je la vois sortir un étrange gode d’un tiroir de son chevet.

— Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

— Le premier à un diamètre de sept centimètres semblable à une bouteille de vin.

— Le second plus gros à la dimension d’une bouteille de champagne.

— Enfin, le dernier est réservé à quelques initiés.

— Je t’avoue que peu de mes soumis sont arrivés à ce stade, m’assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

Puis, Natacha m’amène devant un étrange cheval d’arçon.

Son extrémité est équipée d’un carcan qu’elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et les pieds ne touchant plus le sol, je ne peux plus bouger.

Elle contemple un moment mes fesses fermes et pommelées sur lesquelles sont tendues mes jarretelles ainsi que mon illet offert dans l’écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision enflamme ma perverse Maîtresse qui force ma rosette.

— Avec un tel calibre, c’est vraiment un viol, me chuchote-t-elle à l’oreille.

Le premier anneau s’engouffre assez facilement dans ma chatte.

Elle m’enfonce le second en pressant fortement le gode contre son genou.

Après plusieurs tentatives, elle réussit à me rentrer le dernier.

Je suffoque de douleur en sentant cette énorme masse m’ouvrir en deux.

Natacha la laisse un long moment dans ma grotte pour m’assouplir les chairs.

J’ai beau pousser, je n’arrive pas à l’expulser car mes sphincters étirés au maximum se sont refermés sur le dernier anneau.

Peu après, je me demande ce que va encore inventer ma Maîtresse lorsqu’elle m’allonge sur son lit.

Elle enfile un gant en latex et plonge sa main dans mon anus resté grand ouvert.

Je gémis lorsqu’elle tourne lentement son poignet dans ma grotte.

Dans le miroir, je la vois pousser toujours plus loin son bras qui finit par rentrer jusqu’au coude.

— Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant les entrailles de plus belle.

Quelques minutes plus tard, voyant son public satisfait, Natacha ressort lentement son bras de mes reins.

Puis, elle informe ses visiteurs qu’elle va faire une pause.

Allant dans sa salle à manger pour se restaurer, Natacha me transforme en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu’elle mange, je reste à ses genoux la tête entre ses cuisses.

Ma langue glisse sur son périnée allant sans trêve de son illet à sa chatte.

A la fin du repas, elle se lève de table en me rappelant sa promesse.

— Je vais te faire passer une nuit que tu n’es pas prête d’oublier!

Elle m’entraîne au centre de son donjon en me laissant affamée.

— Lève tes bras, m’ordonne-t-elle en m’attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

— Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves.

Ils viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

La spectacle que j’offre excite fortement leur libido car :

Je suis suspendue sur la pointe des pieds ce qui fait ressortir ma croupe.

Mon corset m’affine la taille en mettant mes fesses en valeur.

Mes talons aiguilles amplifient la cambrure de mes reins en attirant les regards sur ma chatte.

Enfin, mes bas tendus remontant jusqu’aux plis de mes fesses sont un véritable appel au viol.

Je regarde toutes ces queues dressées qui attendent avec impatience le moment de m’enfiler.

Puis, sans interruption, ces créatures du troisième sexe se succèdent en me prenant indifféremment par devant ou par derrière.

Je suis totalement comblée par ces filles qui l’une après l’autre plaquent leurs seins contre moi tout en m’enfonçant leurs queues gonflées de désir dans le ventre.

Je ne compte plus le nombre de fois qu’elles se sont vidées dans mes reins.

Pour finir, une splendide panthère noire se plante devant moi.

Visiblement, elle n’en peut plus d’attendre.

Son visage ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d’une pulsion irrésistible, elle relève mes jambes contre sa taille et m’enfonce sa queue d’ébène dans le ventre.

Trop impatiente, ses deux premières tentatives manquent leur objectif et sa verge vient glisser contre la mienne.

A la troisième, elle s’enfonce d’un coup dans mes reins jusqu’à la racine de son sexe en me faisant gémir de plaisir.

Quelques minutes plus tard, son corps se met à trembler et elle décharge longuement en moi.

Prolongeant notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l’une à l’autre.

Lorsqu’elle se retire un flot de sperme s’échappe de mes fesses en laissant d’épaisses traînées blanchâtres accrochées à mes bas.

Pour l’arrêter, elle me plonge un rosebud dans lillet en me disant :

— Comme ça, tu garderas ma sève plus longtemps dans ta chatte.

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m’attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

— J’étais très jalouse de voir toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle.

Elle se colle amoureusement contre moi en frottant mon sexe contre sa cuisse.

Ses irrésistibles pressions sur ma queue ne tardent pas à me faire de l’effet.

Les mailles satinées et brillantes de ses bas électrisent mon gland en me déclenchant une forte érection.

— Tu bandes encore, me dit-t-elle avec surprise.

Elle passe amoureusement ses bras autour de mon cou en me regardant droit dans les yeux.

— Tu n’es pas raisonnable, je vais devoir te calmer, me dit-t-elle.

Soudain, tout bascule.

Elle me passe ses bras autour du cou pour se stabiliser avant de lancer son genou avec une violence inouïe sur mes bourses.

Submergée par la douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s’affaisse sur la croix.

Ma Maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

— Redresse toi, je n’ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s’écarter d’un mètre et balancer sa jambe d’avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur ma queue.

Soudain, son pied part à la vitesse de l’éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Préférant me travailler au corps, elle revient se pendre à mon cou.

Devenant câline, elle fait monter patiemment mon désir avant de propulser à nouveau son genou sur mon sexe.

Puis, ses yeux de braise rivées dans les miens, elle m’écrase les bourses contre sa cuisse.

Elle s’acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s’arrêter.

S’absentant un court instant, elle revient avec un long pal surmonté d’un gode que j’avais aperçu à l’entrée de son donjon.

L’heure tardive n’a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Ma Maîtresse tourne la croix de Saint-André en me mettant la tête en bas.

Retirant mon rosebud, elle m’embroche lentement avec le pal.

Mes admirateurs ont une vue surréaliste.

J’ai la tête en bas, les cuisses ouvertes avec un long manche sortant de mes fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient l’attention de son public en me fouillant les entrailles.

Puis, elle redresse la croix pour minsérer dans la verge un plug urétral annelé dont l’extrémité se termine par une boule.

Les anneaux me donnent d’agréables sensations en s’enfonçant dans mon sexe.

— La tige en métal est creuse, me précise Natacha en la faisant aller et venir dans ma verge.

— Tu pourras uriner ou jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle en me masturbant en même temps.

Elle poursuit en me plongeant dans l’anus un plug dont le socle très large me recouvre les fesses.

— Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l’instant ou je vais m’assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

A d’autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s’approche de moi en me disant :

— Maintenant, je vais te prendre par tous tes orifices comme une vraie salope.

Elle me plonge un gode dans la gorge.

Puis, elle s’assure que mon plug est toujours planté dans mes fesses.

Enfin, elle dévisse la boule de l’insert planté dans ma queue pour que je puisse éjaculer.

Posant un vibro sur mon gland elle le fait aller et venir sur mon frein.

Natacha n’a pas longtemps à attendre pour que ma sève sous pression fuse par l’étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit quand mon sperme s’étale en jets puissants contre le miroir sans tain en déclenchant une frénétique activité lumineuse.

Je me cambre sous l’intensité de l’orgasme en dévoilant à mes admirateurs l’énorme socle du plug qui recouvre ma croupe.

Jusqu’à l’aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.

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