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Le droit de cuissage existe : je l'ai vécu – Chapitre 1

Le droit de cuissage existe : je l'ai vécu - Chapitre 1



Cette histoire est la stricte vérité. Je l’ai déjà publiée sur un autre site, mais comme j’utilise le pseudo de mon amie Badgirl (laquelle connaissait déjà cet épisode de ma vie) j’ai changé des prénoms ainsi que des détails pour être sûre de demeurer incognito, si j’ose dire.

Mon mari n’est pas au courant de ce que j’ai vécu ; pourtant, j’ai essayé à plusieurs reprises à mots couverts, il est vrai de lui ouvrir les yeux et lui faire comprendre ce que je subissais lorsque j’étais au travail.

À l’époque, j’étais déjà mariée et mère dune ravissante petite fille de sept ans. On me disait plutôt jolie (je le suis encore, paraît-il) et mon mari, Patrick, ne tarissait pas déloges sur ma chute de reins à damner un saint. Lui était plutôt bel homme. Il l’est toujours lui aussi, d’ailleurs. Sexuellement, ça marchait bien entre nous et je navais jamais cherché à voir ce qui se passait ailleurs, malgré les soupçons que j’avais quant à la fidélité de Patrick. En effet, j’étais et je reste persuadée qu’à plusieurs reprises, il avait allégrement donné quelques coups de canif à notre contrat de mariage.

Je travaillais dans une grande administration où javais un poste de cadre supérieur lorsqu’un nouveau directeur, du genre premier de la classe, a débarqué dans nos murs. Il avait l’air de m’avoir à la bonne ; aussi, je ne me manquais jamais de lui rendre ses sourires et ses amabilités lorsque nous nous rencontrions.

À ce stade de mon récit, il me semble plus simple d’utiliser le présent pour continuer en gardant en mémoire que cela s’est passé il y a plusieurs années.

Ce soir-là je mapprête à quitter mon bureau, très tardivement comme dhabitude, lorsque mon téléphone sonne. Cest lui, le nouveau directeur qui me demande de passer à son bureau aussi rapidement que possible.

Pour moi, la hiérarchie, ça veut dire quelque chose ; aussi, sans réfléchir à lheure on ne peut plus tardive, je me présente aussitôt devant sa porte. Il me fait entrer puis me demande ou plutôt mordonne de relire un document de travail que je lui ai fait parvenir dans la journée.

Le ton de sa voix est sans appel, aussi je lui obéis sans même me poser la moindre question. Je me dirige vers la table de travail pour commencer ma lecture et chercher ce qui cloche, ne faisant pas attention à ce qui se passe derrière moi.

Tout à coup, je le sens tout près, derrière moi. Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe qu’il me plaque contre la table. Il me force à me pencher en avant ; ma poitrine s’écrase contre la surface de la table. Je sens immédiatement à sa poigne quil est beaucoup plus fort que moi et quil est inutile de tenter une épreuve de force contre lui. Je le laisse me plaquer sur la table comme il en a envie puis, tandis quune de ses mains me parcourt les reins, je lui demande :

Quest-ce que vous faites ? Vous nallez quand même pas me violer ?

Il ne répond pas, mais sa main passe sous ma jupe pour parcourir lentement le galbe de mes fesses, ce qui me fait frissonner malgré moi. La rapidité, mais surtout lirréalité de cette situation me font perdre mes moyens. Dans mon esprit, ce qui est en train d’arriver est un rêve, un mauvais rêve. Ça ne peut pas être autre chose qu’un cauchemar, lequel cauchemar va prendre fin dès que je me serai réveillée.

Pourtant, d’un geste, il soulève ma jupe sur mes reins pour découvrir mes fesses au milieu desquelles doit disparaître la minuscule ficelle de mon string.

Tout de suite, ses cuisses se plaquent contre mes fesses, me faisant réaliser quil sest débarrassé de son pantalon ; mais peut-être lavait-il déjà enlevé alors quil me téléphonait.

Cette constatation menvoie illico une décharge dadrénaline à la base de mon cerveau. Un nouveau grand frisson me parcourt la colonne vertébrale pour finir dans mon bas-ventre.

Je sens maintenant la puissance de son désir de me posséder appuyé contre mes fesses. Jessaie de le raisonner car, dans quelques secondes, je sais que je vais sentir son gland se frayer un chemin entre mes lèvres intimes.

Bizarrement, au lieu de paniquer, de crier, hurler, pleurer, me débattre, je sens lexcitation me gagner, me remuer les tripes jusquà me faire mouiller contre ma volonté.

Sans un mot, il écarte la ficelle de mon string puis, à petits coups de reins, cherche lentrée de ma chatte que je sens déjà trempée. Je me tortille pour lempêcher de me pénétrer, mais sa queue est déjà bien calée entre mes fesses.

Je passe mes mains derrière mon dos pour essayer de le repousser mais il réussit à les attraper et les bloquer avec une seule main sur mes reins puis, s’aidant de sa main libre, il cherche lentrée de ma vulve pour mieux y glisser sa queue. Elle est dure comme du bois. L’adrénaline afflue dans mes veines quand je me rends compte qu’il va arriver à ses fins. Sapercevant de mon excitation, il me souffle :

Arrête de jouer la comédie ; ça t’excite autant que moi : tu coules comme une fontaine.

Ses paroles me brisent net dans mon dernier élan de résistance. Cest vrai : je sens que ma chatte est inondée et le doigt quil a plongé dans mon intimité sen est vite rendu compte.

Vaincue, je me laisse retomber sur la table. Il m’ajuste tranquillement et, en deux secondes, son gland posé dans lentrée de ma vulve, me pénètre lentement mais sûrement. Son ventre bute déjà contre mes fesses. Il pousse un soupir de satisfaction :

Tes trop bonne. Je crevais denvie de te la mettre dès la première fois que tu es rentrée dans mon bureau.

Jai cessé toute résistance devenue inutile. Il est planté dans ma chatte jusquà la garde et commence à coulisser nerveusement entre mes fesses.

Tas un cul magnifique !

Ses mains, qui jusquà présent navaient servi quà mimmobiliser, parcourent maintenant mon corps, allant de mes fesses à mes reins en flattant mes flancs.

Ses va-et-vient dans mon intimité trempée émettent des bruits insupportables de lubricité, me rappelant que je suis en train de me faire mettre par un homme qui nest pas mon mari.

Lui nen a que faire, de mes états dâme : il me ramone en profondeur, marrachant des soupirs bien malgré moi. Ses mains posées sur mes fesses les écartent sans retenue. Il se rince lil, le salaud ! Peut-être a-t-il envie de me sodomiser, comme la plupart des hommes qui mont possédée. Je le laisse faire, docile.

Au point où nous en sommes, mon image de femme respectable en a pris un sérieux coup… Un de ses doigts me flatte maintenant lanus. Il entre, ressort, rentre encore, ressort pour tout à coup plonger jusquà la garde en tournant sur lui-même pour mouvrir un peu plus.

Je pousse immédiatement, ce qui le fait plonger encore plus profond dans mon intimité.

Tu aimes ça, on dirait…

Je ne réponds pas. Mon cul parle de lui-même, lui aussi. Je sens quil souvre au rythme des contractions de plaisir que je ne manque pas de ressentir. Un deuxième doigt rejoint le premier pour une joyeuse sarabande dans mon fourreau anal. Je laccueille avec les mêmes égards. Mon violeur en est « baba ». Il sent que je suis prête à recevoir sa bite entre mes fesses.

Je peux.

Sans attendre ma réponse, le voici déjà en train de se retirer de ma chatte pour pointer devant ma petite porte sa queue raide dexcitation. Avant même que je naie le temps de sentir sa poussée sur ma pastille, il senfonce sans hésiter, en terrain conquis.

Cest seulement à ce moment que je laisse échapper un râle de plaisir. Mon enculeur nest pas dupe. Il sait que cest ce que je préfère. Mon mari, à mon grand désespoir, ne mencule pas souvent ; pourtant, ce nest pas faute de le lui avoir demandé

Bourre-moi, salaud ! Casse-moi le cul… Je vais jouir si tu ty prends bien.

Tes désirs sont des ordres, ma chérie.

Joignant le geste à la parole, mon violeur sagrippe à mes hanches pour senfoncer inexorablement entre mes fesses. Je le sens progresser en moi. Ça mexcite un max de me sentir prise par derrière. Je me sens chienne, soumise, à la merci du dard qui me pourfend. Lhumiliation suprême. Le plaisir est dément, pile au rendez-vous.

Je lagresse maintenant verbalement.

Plus fort ! Plus vite ! Fais-moi sentir ta bite dans mon cul… Domine-moi !

Mes paroles semblent le désarçonner quelque peu, mais il continue à plonger en moi sans ménagement. Il m’amène vers un orgasme que je sens dévastateur. Je glisse ma main sous mon ventre pour débusquer mon clito en pleine effervescence. À peine deux ou trois frottements appuyés et me voilà partie pour le grand voyage. Jexplose en silence mais mon baiseur ne se laisse pas surprendre. Il redouble deffort en me soufflant :

Oui, vas-y, jouis ; laisse-toi aller Jouis, ma belle.

La jouissance est longue et puissante. Épuisée, je me laisse à nouveau retomber à plate poitrine sur la table de baisage du grand patron. Lui accélère ses mouvements pour exploser à son tour dans mon postérieur. Il se bloque tout au fond pour déverser en moi sa semence.

Je préfère çà plutôt quil méjacule sur les fesses ou le dos, comme certains hommes adorent le faire en dégueulassant nos vêtements. Ses spasmes sont puissants ; il me met la dose, cest sûr. Il prend son pied dans mon cul, le salaud

Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Cest trop bon…

La fête est finie. On reste un moment accouplés, lui figé dans mon cul, moi dans une position de femme soumise, les bras en croix sur la table des sacrifices. Jai envie quil me libère rapidement mais il semble apprécier les lieux et lemprise quil a sur moi. Enfin, il se penche en avant pour membrasser tendrement le haut de lépaule, puis se dégage avec un bruit qui mexaspérera toujours.

Lhomme se rajuste, passe derrière son bureau pour enfiler son pantalon laissé au pied de son fauteuil puis revient vers moi, souriant, charmeur.

Jai adoré te faire lamour. Merci, Marine : cétait vraiment trop bon.

Vous venez de me violer et tout ce que vous trouvez à faire, c’est de me remercier ? Vous m’avez fait jouir, et je n’en suis pas fière ; mais ce que vous m’avez fait, c’est un viol !

Disons que c’est un privilège d’un supérieur hiérarchique sur sa subordonnée préférée. J’espère que tout cela restera notre petit secret.

Je ne sais pas ; pour l’instant, si je le pouvais, ce serait à coups de poings et de pieds que je vous répondrais. Jy réfléchirai.

Le lendemain de cette soirée, je recevais un disque vidéo sur lequel on voyait une séquence de nos ébats soigneusement sélectionnée. Jy apparaissais à plat-ventre sur la table de travail en train de me faire sodomiser par mon patron tandis que je lencourageais dune voix déformée par le plaisir.

Depuis, conscient de lemprise quil a sur moi, il me fait souvent venir dans son bureau pour me baiser et surtout soccuper de cette partie de mon anatomie que jaurais tant aimé quelle intéresse un peu plus souvent mon mari. Peut-être est-ce dailleurs la véritable raison qui me fait accepter ce droit de cuissage que daucuns pensent que ça n’existe que dans les films.

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