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Le Détective… – Chapitre 2

Le Détective... - Chapitre 2



Maintenant que je tenais cette salope de bourge, je comptais bien lui en faire baver. Les affaires nallaient pas très fort en ce moment et je commençais à me dire que jallais me lancer dans une activité beaucoup plus lucrative. Caroline pouvait me ramener un max de blé après un dressage intensif Et le dressage allait commencer tout de suite. Je montais chez elle et sonnais à sa porte. Elle devint blanche en me reconnaissant et jentrais. Elle se tenait devant moi les bras ballants. Elle portait un pull fin moulant sa poitrine et une jupe courte sur des bas couleurs chair.

— Bien dormi Caro? demandais je, ironique.

Elle me fusilla du regard mais ne répondit pas. Je sortis une caméra numérique et lui montrait.

— Tu sais que je possède des clichés compromettants, nest ce pas? Si tu ne veux pas que ton mari les retrouve sur son bureau, tu devras mobéir. Tu feras tout ce que je te demande sans rechigner.

Elle baissa la tête et bafouilla

— OuiJe ferais tout ce que vous voudrez

— On va commencer par faire un film!

Elle rougit violemment.

— Marche un peu dans le salon, ondule du cul, comme une chienne en chaleur

Elle obéit et elle avança dans son salon pendant que je la filmais.

— Retrousse ta jupe

Elle sexécuta et jarrêtais net de filmer!

— Tas mis des collants! Viens par ici.

Effrayée, elle sapprocha de moi, javais parlé dun ton sec et elle appréhendait ce quil allait lui arriver. Je lagrippais par les cheveux et lemmenais vers le guéridon ou je lavais baisée hier. Je lui fessais le cul violemment à travers le nylon. Elle criait, sanglotant. Je lui déchirais son collant qui se retrouva en lambeaux.

— je tinterdis de mettre des collants sauf sur mes ordres! Que des bas et des porte-jarretelles! Pareil pour les sous-vêtements, que sur ordre. Tu dois toujours être disponible, comme une bonne putain Dailleurs vient par ici, montre moi ta chambre, je vais faire le tri dans tes fringues

Elle se releva et me conduisit vers sa chambre à coucher.

Dans le couloir, japerçu la laisse dun chien posé sur une petite table.

— tas un chien?

Elle me regarda, surprise.

— EuhOui, Milou.

— Il est ou?

Je venais davoir une idée.

Caroline cria et son chien apparut, remuant la queue. Cétait un épagneul noir. Il grogna en me voyant mais des que je lui caressai la tête, il se calma. Je me penchais et lui enlevais son collier.

— Tiens salope, maintenant, cest toi la chienne.

Je mis le collier autour du cou de Caroline et lui accrochait la laisse. Elle baissa les yeux, honteuse.

— Allez! A quatre pattes, comme une chienne!

Elle réprima un sanglot et sexécuta. Je tirais sur la laisse et elle me suivit la jupe troussée dévoilant son cul. Milou nous suivait et par moment je le voyais qui essayait de renifler le cul de sa maîtresse.

Nous montons les escaliers, ce qui ne fut pas évident pour chienne Caroline qui peina. Je lui fessais le cul avec la laisse pour la faire accélérer. Elle gémissait de honte et de dégoût chaque fois quelle sentait la truffe de Milou reniflant son cul ou sa fente.

— OhJe vous en supplie, écartez mon chien

— Pourquoi, il a droit à son petit plaisir lui aussi

Nous arrivons dans sa chambre et je me dirige vers sa penderie. Je fais le tri rapidement dans ses vêtements. Je jetais doffice tous les pantalons, je ne la voulais plus quen jupes. Je jetais également les jupes trop longues. Je jetais aussi tous les sous-vêtements qui nétaient vraiment pas sexys. Dieu merci, ils ny en avaient pas beaucoup. Caroline appréciant visiblement la lingerie fine. Idem pour les chaussures, je me débarrassais de tout ce qui nétait pas des talons aiguilles

Ce fut Caroline elle-même qui dut aller chercher un sac poubelle et y fourrer tous ses vêtements. Nous redescendons ensuite lescalier. Caroline toujours tenue en laisse, tenant entre ses dents le sac poubelle.

Revenue dans le salon, je veux terminer mon film. Je donne des instructions à Caroline.

— Retire ta jupe et ton pull. Dis-je tout en filmant.

Elle retira sa jupe dévoilant ses jambes fines et se débarrassa des restes du collant déchiré. Elle se retrouva en soutien-gorge devant moi.

— Enlève moi ça!

Elle passa les mains dans son dos pour dégrafer le sous-vêtement. Ses seins apparurent ronds et fermes.

— Tire sur tes pointes!

Elle obéit, se mordant les lèvres tous en se pinçant les bouts. Ses pointes devinrent vite rouges.

— Retire ton slip maintenant…

Elle ôta son slip ne se retrouvant plus quavec ses talons aiguilles. Elle tenta dans un geste de pudeur de cacher sa fente.

— Enlève tes mains! Mets les sur ta tête!

Elle neut pas la force de résister et elle se retrouva les mains sur la tête sexhibant sans retenue.

Je filmais en gros plan sa chatte. Elle voulut serrer ses cuisses et je lui ordonnais de les écarter.

— Accroupis toi, montre tout.

Je lui fis tirer sur ses poils et écartés ses lèvres intimes. Elle sexécuta en hoquetant de honte Elle plongea ses doigts dans sa fente et les retira, les montrant à la caméra. Ils étaient humides

— Tu mouilles ma salope! ça te plaît dêtre exhibée comme une pute

Je lui fis prendre des positions obscènes. Debout, jambes écartées au maximum, dévoilant sa chatte. Penchée en avant pour je puisse filmer son trou du cul. Allongée sur le sol, jambes relevées et bien écartées exposant ses lèvres intimes. Je lui ordonnais de se toucher la chatte et elle réprima un sanglot, me suppliant de lui épargner cette humiliation.

— Cest justement de thumilier qui me fait bander, alors obéit!

Caroline se caressa devant la caméra, senfonçant deux doigts dans son vagin et massant du pouce son clitoris. Elle gémissait, trempée.

— Arrête toi salope! Tu vas jouir

Caroline sarrêta, le souffle court. Je lui ordonnais de se relever et lui palpait le corps sous toutes les coutures. Enfonçant mes doigts dans sa fente, son trou du cul puis dans sa bouche. Elle salivait sur mes doigts. Je triturais ses seins, jouant avec, suçant les bouts. Je la tirais par la laisse et la forçait à se mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Je positionnais la caméra de façon à filmer Caroline. Celle-ci attendait, passive, soumise. Je la cambrais en avant et touchai sa vulve, étirant ses lèvres. Elle poussa un gémissement. Je me dégrafais sortant mon sexe qui me faisait mal tellement il était dur. Je menfonçais dans sa fente et Caroline poussa un petit cri. Je la pris par les cheveux et je la limais brutalement. Mon gros ventre allait buter contre ses fesses. Ses seins ballottaient. Je fis encore plusieurs va et vient et je ressortais brusquement. Jenfonçais mon index dans son anus et Caroline tressailli.

— Non, non Pas ça, je vous en supplie, je nai jamais été

Jéclatais de rire.

— Tas jamais été enculée? Tu vas voir, tu vas adorer!

Je tournais mon doigt dans son trou du cul, le faisant coulisser de plus en plus vite. Je pointais mon gland sur louverture des reins et je la pénétrais dune brutale poussée la faisant crier de douleur. La tenant solidement aux hanches, je la ramonais violemment. Jentendais les halètements de Caroline. Je ressortais ma bite et replongeait dans le cul de cette bourgeoise friquée avec un plaisir sadique. Elle ondulait du bassin, bougeant ses reins, sempalant delle même sur ma queue. Elle secouait la tête dans tous les sens, gémissant sans discontinuer. Sentant le plaisir monter dans mes reins, je sortis précipitamment et allait devant le visage de Caroline. Jéjaculais, lâchant des traînées de sperme qui allèrent sécraser sur son front et son nez

Je lui ai dit que jallais mettre le film sur internet et elle a eu lair terrifiée. Pour y avoir déjà été, je savais quil existait des sites ou on pouvait prendre contact avec des mecs pour des gangs-bangs ou des soirées dabattage, je comptais bien y emmener chienne Caroline pour sa formation avant de la mettre sur le trottoir Il faudrait que je mette aux points les tarifs Je lui demandais son numéro de téléphone portable pour la joindre plus facilement. Elle me le donna sans protester

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