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Le gynéco – Chapitre 1

Le gynéco - Chapitre 1



Voilà, après plusieurs mois à lire vos histoire sur xstory, je me lance enfin à l’écriture de la mienne, qui est pour moi un vrai fantasme.

Mardi matin. 8h. Le réveil sonne alors que je suis encore dans un sommeil bien profond. Je me lève et enfile par dessus mon corps nue ma jolie nuisette noir. Mon mari est parti depuis une heure au boulot. Je suis donc seule chez moi, et n’ayant pas d’enfants, je peux donc me permettre de me promener à moitié nue dans ma maison, pour me diriger vers la cuisine et prendre un copieux déjeuné.

Ah, je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Julie, j’ai 21 ans. Je mesure environs 1m70 et je pense être assez bien foutue. Une poitrine en 95C, j’ai des cheveux blonds, légèrement ondulés et qui glissent sur mon corps jusque mes beau seins bien droit.

J’habite en région parisienne depuis quelques années et aujourd’hui, c’est mon premier rendez-vous avez mon tout nouveau gynécologue puis-ce que ma précédente ne me convenait pas. J’avais donc aujourd’hui mon premier rendez-vous chez un gynécologue de sexe masculin.

Je fini donc de déjeuner et me dirige vers ma chambre. Je choisis de mettre ce matin un joli ensemble de couleur rouge et noir, un soutiens gorge qui me maintient bien la poitrine et un joli string bien en dentelle. Par dessus, un léger haut décolleté et une petite jupe bien moulante m’arrivant bien au dessus des genoux. Bref, des habits provoquant, mais j’adore ça, être provocante. J’attrape finalement ma grande veste noir que je dépose sur mes épaules, mon sac, et je ferme ma porte pour prendre la voiture, direction le bureau de mon nouveau médecin.

Quelques minutes plus tard, me voilà seule dans la salle d’attente. Il est assez tôt et seule la secrétaire est arrivée. Je me laisse alors perdre dans mes pensées. Comment serait cet homme qui, dans quelques minutes, connaitrais en détail toute mon intimité ? Petit, grand ? Blond ? Serait-il jeune ou plutôt agé ? Je me laisse vaquer dans mes pensées qui font surgir mon plus gros fantasme; que mon gynécologue me fasse un jour l’amour. Cela fait plusieurs mois que mon homme ne m’a pas fait de bien, ne m’a pas fait jouir.. Et j’avoue que cette pensées me fait mouiller. Mais une voix me fait sortir de mes pensées.

Gynecologue : "Mademoiselle ?"

J. : "Oh, oui, excusez moi, j’étais au fin fond de mes pensées je ne vous ai pas vu arriver.."

Il me regarde avec un sourire amusé, puis me répond

G. : "Il n’y a pas de soucis. Vous voulez bien me suivre dans mon bureau ?"

Je me lève et lui emboite donc le pas. Puis, une fois à lintérieur, je massied sur la chaise en face de lui, de l’autre côté de son bureau. Je peux enfin mettre un visage sur cette voix que j’ai eu au téléphone il y a quelques semaines de cela. Un beau jeune homme, une trentaines d’années. Il est un peu plus grand que moi, je dirai dans les 1m80. Brun, un joli sourire éclatant, de beaux yeux bleus. Un regard qui, dans un premier temps, me met même mal à l’aise. Il me pose alors tout un tas de question dans un premier temps, des questions de routines mais qui se veulent de plus en plus personnelles.

G. : "Vous êtes mariée ?"

J. : "Oui, depuis plusieurs mois.." je lui réponds.

G. : "Vous semblez être mal à l’aise à la réponse de cette question.. Il y a une raison ?"

J. : "Je dirai que cela ne se passe pas au mieux. Depuis quelques semaines, il n’y a plus vraiment de choses sensationnelles entre nous deux.."

G. :"Qu’appelez-vous sensationnelles mademoiselle ?"

Je m’arrête quelques secondes, pensant aux rapports presque inexistant avec mon partenaire ces dernières semaines. Et je me rends compte que j’ai peut-être trop parlé.

J. :"Oh, trop fois rien. Disons que c’est différent entre nous.."

G. :"N’hésitez pas à m’en parler. Vous savez, je peux peut-être vous aidez à régler vos problèmes.."

Son regard se voit insistant, mais rassurant. J’ai envie de lui faire confiance.

J. :" Je ne voudrai surtout pas vous faire perdre votre temps vous savez.."

G. :"J’ai tout le temps qu’il faudra. Ma patiente qui devait venir après vous a retiré son rendez-vous. Je peux déborder sur ce temps avec vous, cela ne me dérange en aucun cas."

Il se laisse alors tomber légèrement en arrière, s’enfonçant dans son fauteuil qui semble si confortable.

J. :"Eh bien.. Nous n’avons presque plus de rapports."

G. :"Comment cela se fait ? Il n’a plus envie de vous ?"

J. :"Je ne sais pas. Je suis quelqu’un qui aime particulièrement le sexe mais lui, c’est comme s’il n’avait plus envie.."

G. :"Peut-être va-t-il voir ailleurs ? Je ne sais pas comment peut-on ne pas être attiré par une si jolie fille que vous."

Je rougis. Je peux voir ses yeux se déposer sur ma poitrine qui se découvre lentement. Mais je ne dis rien, trouvant plaisant le fait que quelqu’un puisse me trouver attirante.

C’est alors qu’il se lève.

G. :"Bien. Et si nous allions voir si tout fonctionne ?"

Il me prends par la main et m’emmène jusqu’à la chaise d’osculation.

G. :"Déshabillez vous. Vous pouvez gardez vos sous vêtement dans un premier temps, je vous les ferai enlever plus tard si besoin est."

Je me déshabille, dos à lui. Puis me tourne face à lui, et me dirige vers la chaise où je m’assied. J’installe mes deux pieds dans les étriers, les deux mains sur mon ventre. Il pose alors une première main au niveau de ma nuque, main froide qui me fait sursauter.

G. :"Je vous ai fais mal ?"

Je sourie

J. :"Non, non, excusez moi, c’est votre main froide contre ma peau chaude qui m’a fait sursauter !"

Il balade sa main sur mon cou, puis mon torse, mon ventre, mes jambes. Je frissonne à chaque caresse du bout de ses doigts. Me fait-il de l’effet ?

G. :" Que pensez-vous du fait que l’on se tutoie ? Enfin, je veux dire, cela ne nous empêche en rien de rester très professionnel bien sûr.."

J. :"Oui, d’accord."

G. :"Mon nom est Jules."

J. :"Et moi c’est Julie."

G. :"Enchanté Julie. Tu peux retirer ton soutiens-gorge s’il te plait ?"

Je me redresse et retire doucement mon haut, qui laisse se découvrir ma douce poitrine aux yeux du médecin.

G. :"Quelle jolie poitrine.."

Il pose sa main sur mon sein droit dans un premier temps. Mon téton se dresse au contact de sa peau, puis il commence son travail, toucher ma poitrine pour voir si rien n’est anormal. Mais ses caresses deviennent toujours plus insistante, mais toujours plus agréable. Je ferme mes yeux et me laisse aller..

G. :"Dit moi, tu as l’air d’aimer ça.."

Je balbutie

J. :"Oui, enfin euh, comment dire, ce.. ce n’est pas désagréable.

Désagréable ? Absolument pas. En vérité, j’ai l’impression de carrément aimer ça. Cela faisait longtemps qu’un homme n’avait pas autant pris soin de moi. Puis, je le vois s’approcher légèrement. Approcher sa tête de ma poitrine. Il y dépose ses lèvres doucement, sur le bout, sur mon téton dressé juste pour lui, juste par ses caresses. Il le léche d’abord doucement, puis le suce avec amour. Je le sent de temps en temps le mordiller, ce qui me fait sursauter de plaisir.

G. :"Mhh, quelle douceur.. Tu as une poitrine en parfaite santé.."

J. :"Je suis heureuse de l’apprendre.. Elle te plait ?"

G. :"Je l’aime beaucoup en effet.."

Il masse mes gros seins toujours plus fort. Je sens alors ma chatte s’humidifier, doucement. Et je pense au moment où..

G. :"Je vais devoir faire une analyse un peu plus poussée. Je vais te demander de retirer ton joli string."

Je m’exécute. Et retire le dernier bout de tissus qui cache mon intimé à ce beau jeune homme.

G. :"Quelle fraicheur.."

Il regarde mon sexe pendant quelques secondes, puis il écarte mes lèvres qui cachait mon clitoris, timide mais déjà bien gonflé. D’une main il tient mes lèvres écartées, d’une autre il balade ses doigts lentement sur toutes les parties de ma chair. Je peux sentir ma mouille qui devient de plus en plus abondante dans mon ventre, et j’ai de plus en plus chaud. Il entre alors délicatement un doigt en moi, son index je crois, et commence des vas et vient doux tout en caressant mon clitoris de son pouce.

G. :"Tu es toute mouillée.. Tu as l’air d’aimer ça."

J. :"Je.. cela faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas.. Enfin n’avait pas.."

Je pousse un soupire alors qu’il entre un deuxième doigt dans ma chair. Puis je vis sa tête disparaître entre mes cuisses. Il prends mon clito entre ses lèvres, puis le suce, et commence à le maltraiter dans sa bouche. Je bouge dans tous les sens, trouvant ma position de soumise toujours plus agréable. Il me mange le clito et je mouille toujours plus. Ses doigts s’activent maintenant en moi. Toujours plus vite. J’ai chaud, je sens ses doigts buter au fond de moi, sa langue sur mon clito gonflé de sang et qui n’attend qu’à être bouffé.

Puis, lorsqu’il me voit toute tremblante, il sort ses doigts de moi et me souffle.

G. :"Il faut que je fasse un examen beaucoup plus poussé."

Et je le vois descendre son pantalon à ses chevilles. Je peux voir à travers son caleçon son sexe droit et dur qui n’attend certainement que moi. Il est beaucoup plus gros, beaucoup plus imposant que celui de mon mari. Et rien qu’à la vu de ce dernier, ma chatte dégouline de plus belle.

G. :"Je veux d’abord pouvoir mettre ma belle bite entre tes seins."

J. :"Et bien.. Viens, je t’en pris.."

Il monte légèrement sur la chaise et pose son sexe entre mes deux seins. Puis, après les avoir humidifié de la mouille qu’il reste sur ses doigts, il prend ma poitrine, entoure son sexe et commence de gros vas et vient entre ma poitrine.

G. :"Mmh, c’est bon, hn, depuis le temps que j’en avais envie.."

J. :"Ils te plaisent Jules ? Mes deux gros seins ? Tu les aimes pas vrai ?"

G. :"T’es vraiment une sale garce.."

Il retire subitement son sexe de ma poitrine, descends de la chaise et sans un mot, attrape mes hanches et mee puissamment vers lui pour rentrer sa bite dans ma chatte dégoulinante. Je ne pu m’empêcher de laisser échapper un long soupire de plaisir. Elle est belle et bien plus grosse que celle de mon mari, mais qu’est-ce que c’est bon. Je peux le sentir, tout chaud tout dur au fond de moi. Puis il commence à me prendre de toute ses forces. Je sens sa chaire sortir et rentrer en moi, son bassin claquer sur mes cuisses. Je peux entendre son souffle saccélérer, ses mains et ses doigts agripper à fesses. Et je gémis, je sors par ma bouche tout le bien qu’il me fais.

J. :"HAN oui, Jules, prends moi, fait moi du bien, fait de moi ta salope.."

Il accélère ses mouvements comme si ma voix l’excite de plus belle, puis il sort, me prends par la main, m’emmène vers son bureau et me force à me mettre à quatre pattes sur ce dernier. Je sens alors ses mains au niveau de mon ventre me relever légèrement, et il entre à nouveau en moi, mais en levrette cette fois. Je sens ses reins claquer sur mon cul, ses boules qui frappent au rythme de ses mouvements toujours plus puissants.

J. :"OUI JULES HAN ACCÉLÈRE TU ME FAIS DU BIEN HAAN"

G. :"T’AIME CA HEIN, petite SALOPE MHH QUE J’AIME SENTIR TA MOUILLE SUR MA GROSSE BITE BIEN DUR, MHH"

Je le sens. Je vais jouir. Je suis à deux doigts. Puis il me retourne encore. Il me lève, m’assieds sur sa chaise, m’écarte puissamment les cuisses sans que je ne puisse rien dire, et s’enfonce à nouveau en moi, tout en continuant ses coups de reins toujours plus puissant. Je crie sans retenu, sans crainte que l’on puisse m’entendre. C’est tellement bon.

J. :"HAN JULES OUI TU ME FAIS DU BIEN CONTINUE HAAN JE VAIS JOUIR, ACCÉLÈRE !!"

G. :"OUI JOUI PETITE SALOPE QUE JE SENTE TON JUS COULER SUR MON SEXE ET QUE JE PUISSE A MON TOUR ME VIDER DANS TA CHATTTE"

J’attrape alors ses cheveux et je sens que j’explose. En moi, tout semble confus pendant de longues secondes. Je crie, mêlant sa salive à la mienne, je jouis dans sa bouche et sur son sexe, me laissant aller totalement, m’offrant totalement à lui. Je sens son jus qui gicle entre mes cuisses, son jus chaud qui frappe contre les parois de ma chatte déjà dégoulinant de mouille.

Il attend alors quelques secondes, puis se retire. Il me tend quelques mouchoirs, me sourit, puis retourne s’habiller. Quelques secondes après, je le suis en silence, le sourire aux lèvres, encore dans les vapes. Il me prends par la main, m’emmène sur le siège où j’étais assise au départ, s’assied en face de moi et me souffle.

G. :"J’espère que tu aura apprécié cette visite. Je ne te la fait pas payer. Cadeau de la maison. En contre partie, j’aimerai que tu viennes chaque semaine refaire ton examen. Parce que c’est important pour toi, de savoir que tout vas bien."

Je lui souris en réponse. Je prends mon sac, l’embrasse tendrement en guise de merci, sors du cabinet, en silence, si impatiente de revenir pour ma prochaine visite.

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